Great-West Life – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Sun, 19 Mar 2023 20:56:40 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Great-West Life – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Power Corp subira des effets limités de la débâcle de Silicon Valley Bank https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/power-corp-subira-des-effets-limites-de-la-debacle-de-silicon-valley-bank/ Sun, 19 Mar 2023 20:56:40 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=92609 Et présente des résultats en deçà des attentes des analystes.

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Les nuages qui planent sur le secteur bancaire dans la foulée de la crise de liquidités qui a frappé la Silicon Valley Bank ne devraient pas avoir d’effets « matériels » sur le portefeuille de Power Corporation, anticipe la direction du conglomérat de la famille Desmarais.

La clientèle de la Silicon Valley Bank, qui est passée sous contrôle du gouvernement américain, est majoritairement issue du milieu des entreprises technologiques. Dans les derniers jours, Power Corp a fait le tour de ses différents investissements dans le secteur des fintechs afin d’évaluer le risque encouru. « Il n’y a rien de « matériel » en ce qui concerne le groupe dans son ensemble », assure le chef des finances, Gregory Tretiak, lors d’une conférence téléphonique avec les analystes financiers, vendredi.

Ça ne veut pas dire que toutes les fintechs en portefeuille ne sont pas concernées par les manchettes économiques des derniers jours. « C’est sûr que pour certaines entreprises en démarrage, ça perturbe les activités, admet Gregory Tretiak. Elles doivent trouver différentes sources de crédit à court terme. »

Ces entreprises ne sont toutefois pas à risque, assure-t-il. « On n’a pas vu de perturbations majeures pour les entreprises en portefeuille, que ce soit au Canada ou en Europe. »

Power Corporation détient des participations majoritaires dans l’assureur Great-West, la Société financière IGM et Whealtsimple. Elle a également des investissements dans les entreprises québécoises Lion Électrique, un constructeur d’autobus et de camions électriques, et Lumenpulse, un spécialiste de l’éclairage.

Résultats inférieurs aux attentes

Power Corporation a dévoilé des résultats inférieurs aux attentes des analystes, après la fermeture des marchés la veille.

Dans sa présentation aux analystes vendredi, le président et chef de la direction, Jeffrey Orr, a mentionné que le contexte économique était difficile pour le secteur financier. Il a souligné que l’industrie des fonds communs canadiens avait enregistré des retraits records en 2022 dans un contexte où les marchés boursiers et obligataires affichaient des rendements négatifs. « Ce n’était pas une année où la confiance des investisseurs était très élevée. »

Au quatrième trimestre, le bénéfice net du conglomérat s’établit à 486 millions de dollars (M$), comparativement à 626 M$ à la même période l’an dernier. Le bénéfice ajusté dilué par action était de 59 cents, par rapport à 1 $.

Avant la publication des résultats, les analystes anticipaient un bénéfice par action de 98 cents, selon la firme de données financières Refinitiv.

Par filiale, l’analyste Graham Ryding, de Valeurs mobilières TD, estime que la Great-West, la Société financière IGM et le Groupe Bruxelles Lambert ont donné des résultats similaires aux prévisions. « Cependant, cela a été contrebalancé par les pertes dans les plateformes d’investissements et les entreprises autonomes », commente-t-il dans une note.

Au cours du trimestre, Power a déprécié la valeur de son actif dans Lion Électrique de 109 M$. Le conglomérat juge cependant que le constructeur d’autobus et de camions électriques est sur la bonne voie. La direction est satisfaite des plus récents résultats de l’entreprise.

« Ça ne veut pas dire que nous avons perdu de l’argent, je veux le clarifier, insiste Jeffrey Orr. Nous avons investi un peu plus de 100 M$ et la valeur de notre participation est d’environ 220 M$. Nous avons dû prendre une charge, mais la valeur est significativement plus élevée que l’argent investi. »

L’analyste Phil Hardie, de Banque Scotia, croit qu’il n’y a pas de grandes conclusions à tirer des résultats trimestriels tandis que les résultats « volatiles » des entreprises autonomes sont une source de « bruit ».

Un des objectifs que poursuit Power Corporation, qui a réorganisé ses activités en 2020, est de réduire l’écart entre la valeur de son actif net et le prix de son action. L’écart avoisinait les 35 % en 2015. Cet écart était tombé à 17 % en juin, mais est remonté à 24 %.

Jeffrey Orr estime que l’écart est sur une tendance baissière. Cette tendance n’est pas linéaire et la réduction de l’écart s’accompagne de soubresaut, défend-il.

Phil Hardie croit, pour sa part, que l’écart se résorbera. Il estime que l’évaluation est attrayante quand on tient compte de l’élargissement de l’aubaine sur la valeur de l’actif net dans les derniers mois. « En attendant, les investisseurs sont récompensés par un généreux dividende de 6 % », ajoute l’analyste.

Vendredi, l’action reculait de 1,10 $, ou 3,12 %, à 34,18 $ à la Bourse de Toronto, vers midi.

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Inconfortable transition https://www.finance-investissement.com/edition-papier/actualites-edition-papier/inconfortable-transition/ Mon, 13 Jun 2022 04:20:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=87445 Des changements créent de l'incertitude chez Quadrus.

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Certains représentants liés à Services d’investissement Quadrus semblent vivre avec inconfort les changements découlant de la récente réorganisation opérée chez ce courtier et à la Canada Vie, selon le Pointage des courtiers multidisciplinaires 2022. La haute direction de Quadrus reste toutefois déterminée à s’améliorer et à les aider à croître.

Ainsi, l’Indice FI de Quadrus, lequel correspond à la moyenne des notes obtenues par ce courtier à tous les critères d’évaluation, est passé de 7,3 en 2021 à 6,9 en 2022. De plus, son taux de recommandation net (net promoter score, ou NPS) est passé de 6 à-10,7. Cela signifie que la proportion de répondants au sondage prêts à recommander ce courtier à un collègue ou à un ami (promoteurs) est désormais inférieure à celle de gens peu enclins à le faire (détracteurs).

Par rapport à l’an dernier, Quadrus a vu sa note baisser significativement (0,5 point sur 10 ou davantage) à la moitié des 26 éléments qu’ont évalués les répondants.

Quadrus affiche ses pires détériorations au chapitre de son soutien aux conseillers pour le développement des affaires, de son orientation stratégique, de sa culture d’entreprise et de l’efficacité de ses communications internes.

« Nous sommes en pleine réorganisation », dit un répondant. « Il n’y a pas de leadership, aucune personne ressource pour aider le conseiller. Ça prend beaucoup de temps pour avoir une réponse de la direction. Il y a un manque de personnel », souligne un autre. « Je ne reconnais plus la culture de la firme. La mentalité a changé radicalement depuis un an », lance un autre.

Tous les commentaires ne sont pas aussi critiques, certains notant une amélioration de la culture d’entreprise.

Parmi les occasions d’amélioration pour Quadrus, un segment de répondants parle du soutien aux conseillers, notamment de la nécessité d’avoir davantage de personnel et des gens mieux qualifiés. D’autres souhaiteraient que leur courtier soit « encore plus à l’écoute des conseillers », car des personnes sondées affirment qu’il n’y a parfois « pas de retour sur plusieurs demandes d’intervention ».

« Je suis découragé, car ce n’est pas de cette manière que l’on en discute à l’interne, s’exprime James McKay, président et chef de la direction de Quadrus. Nous passons beaucoup de temps à écouter le feedback des conseillers, à essayer d’améliorer les choses. Nos changements technologiques sont une réponse aux demandes des conseillers. On doit continuer de s’améliorer. »

Il y a eu certes bon nombre de changements à l’interne depuis quelques années. Le 1er janvier 2020, la Canada Vie a fusionné avec la London Life et la Great-West Life pour créer une seule entité. Au passage, la Financière Liberté 55 est devenue une filiale de l’assureur amalgamé et Quadrus a continué d’en être le courtier en épargne collective. En janvier 2022, les activités de courtage en épargne collective d’Excel gestion privée et du Groupe financier Horizons ont été regroupées au sein de Quadrus. Certaines migrations technologiques sont prévues en août.

Chez Quadrus, la réorganisation aurait changé la personne qui soutient un conseiller sur le plan opérationnel et de ses activités, « sorte de quart-arrière qui travaille avec les conseillers », explique James McKay.

Enjeux technos

Différents aspects technologiques figurent parmi les améliorations que ciblent les répondants, à commencer par la signature électronique. Certains disent que celle-ci ne fonctionne ni pour les REER, ni pour les FERR ou les changements d’adresse, pour lesquels une signature manuscrite est exigée.

« Nous avons une expérience d’accueil de nouveaux clients complètement intégrée avec Univeris, notre fournisseur de services de middle office et de back office », note James McKay. Après avoir écouté l’avis de conseillers voulant utiliser la plateforme de signature électronique de DocuSign pour certains éléments, celle-ci a été ajoutée depuis environ trois mois, ajoute-t-il.

« Certains conseillers sont contents avec notre système intégré. D’autres sont plus à l’aise avec DocuSign. Nous avons reçu énormément de rétroaction positive à l’annonce que nous allions mettre en œuvre DocuSign », dit le dirigeant.

De plus, selon un répondant, depuis la fin de janvier, le Groupe financier Horizons a été victime d’une attaque informatique et, depuis, les courriels et les communications ne tournent pas rondement et la firme semble incapable de l’aider. Il juge que sortir de ce malaise informatique est une priorité:» Les firmes nous poussent à travailler avec l’informatique, mais quand le système ne répond pas, nous sommes laissés à nous-mêmes. »

James McKay admet que la cyberattaque a forcé cette organisation à éteindre ses systèmes pendant une certaine période, ce qui a présenté des défis pour les conseillers. « Le problème a été réglé de manière complète », ajoute-t-il.

Comme bien des firmes de l’industrie, Quadrus connaît aussi son lot d’enjeux informatiques. Même si tous les conseillers n’utilisent pas le logiciel de gestion de la relation client (GRC, ou CRM en anglais) que fournit la Canada Vie, certains qui le font jugent qu’il pourrait y avoir une plus grande centralisation des applications.

« Notre CRM est basé sur la plateforme de Salesforce, mais nous avons configuré celle-ci afin qu’elle soit vraiment facile à utiliser pour le conseiller. C’est le cas pour plusieurs fonctions, dont celle de soumettre des documents, sortir des informations pour les clients, mais elle n’est pas intégrée à 100% avec la plateforme d’Univeris. Ce sont deux systèmes qui ne se parlent pas encore de manière la plus intégrée possible », admet James McKay, qui souligne que cette plateforme sera éventuellement rendue cohérente.

Quant à l’arrière-guichet, certains jugent qu’il n’est pas optimal, car désimmobiliser un compte n’est pas facile, voire impossible. « Il y avait beaucoup d’erreurs de transactions, mais cela s’est amélioré », dit toutefois un répondant.

Les erreurs sont assez communes, note James McKay, et proviennent à la fois du personnel d’arrière-guichet et des conseillers eux-mêmes : « Nous avons bien entendu une responsabilité partagée sur ce plan. Nous avons aussi des applications qui ne sont pas en bon ordre pour certains documents. Nous travaillons afin d’améliorer nos capacités de même que notre formation et notre soutien aux conseillers. »

Il ajoute que le service chargé des opérations d’arrière-guichet chez Quadrus a effectué une modernisation de ses procédures. Par exemple, on a cartographié les capacités et les occasions d’amélioration continue afin de comprendre où se situent les goulots d’étranglement et d’être plus agiles. « Le gros de la mise en place s’est fait dans la dernière année, ou la dernière année et demie. Nous avons obtenu un bon standard de service durant la période des REER cette année », assure James McKay.

En français, SVP

L’un des talons d’Achille de Quadrus semble être son degré de services et de communications en français, y compris dans son soutien technologique. « Il n’y a pas assez de francophones », estime un répondant lorsqu’on le questionne sur les politiques en matière de diversité et d’inclusion.

« Les courriels sont uniquement en anglais, il y a un problème », observe un autre. Un conseiller juge que la version française de certains documents met souvent du temps à venir. La direction de Quadrus réfute ces deux dernières affirmations, les jugeant complètement fausses.

« Il y a des délais, les intervenants ne maîtrisent pas le français, ils connaissent mal les logiciels », souligne un conseiller au sujet de la technologie de front office.

« Nous aimerions avoir davantage de talents francophones, mais c’est très difficile d’en trouver. Nous travaillons en ce sens », admet James McKay. Il souligne qu’on publie habituellement des documents et communications dans les deux langues et on fait des efforts afin d’avoir de meilleures traductions.

Le dirigeant s’enthousiasme de l’intégration d’Excel gestion privée, qui vient ajouter 30 francophones à son équipe. « Nous étions à Saint-Hyacinthe la semaine dernière [en mai] pour souhaiter la bienvenue à des conseillers francophone dans un événement complètement francophone. Nous avançons dans la bonne direction », se réjouit-t-il.

Bons coups

En 2022, les conseillers ont accordé une note supérieure à celle de l’an dernier aux critères qui touchent la rémunération. Certains parlent d’amélioration de leur grille depuis la fusion avec la Canada Vie et de changements qui s’accordent avec ceux du marché, alors que d’autres se plaignent d’une réduction de la grille.

Difficile de connaître exactement ce qui a changé, d’autant que la réorganisation semble avoir produit des effets différents selon la provenance des conseillers accueillis chez Quadrus. James McKay confirme toutefois que le courtier facture de nouveaux frais aux représentants pour ses services technologiques, opérationnels et de soutien. « La moyenne de l’industrie est de 200 à 300 $ pour les frais du courtier. Nous avons établi les nôtres à 100 $. Nous les avons gardés faibles », dit-il.

Dans un courriel, Quadrus indique que la rémunération des conseillers n’a pas changé en 2022 et que la firme revoit continuellement sa politique de rémunération afin qu’elle demeure concurrentielle. « Nous avons travaillé avec les conseillers qui ont quitté Excel gestion privée pour nous assurer que leur rémunération était maintenue après la fusion. Pour tous les autres conseillers, la rémunération est établie selon une grille basée sur les actifs sous administration », écrit-il.

Bon nombre de répondants félicitent leur courtier d’avoir élargi l’offre de produits, y compris de fonds négociés en Bourse pour les représentants convenablement formés, alors que Quadrus est le distributeur exclusif de fonds manufacturés par la Canada Vie.

« Notre courtier devrait établir un partenariat avec plus de 40 manufacturiers. La plupart des émetteurs de fonds seront proposés sur nos étagères. On parle d’environ 1 000 séries de fonds communs disponibles », souligne-t-il. Par ailleurs, Quadrus a investi afin d’améliorer ses comptes autogérés (nominee), même si on continue d’offrir des comptes au nom des clients.

De plus, depuis octobre 2021, Quadrus a établi un partenariat avec la firme de technologie financière Conquest, afin de rendre disponible un logiciel de planification financière facile d’utilisation. « On a environ 1 000 utilisateurs actifs de la plateforme maintenant, quelques mois après l’implantation. C’est l’un de nos objectifs de faire que les conseillers aient les outils qui leur permettent d’offrir d’abord du conseil, et, par la suite, des solutions d’investissement. »

Cliquez sur l’image ci-dessous pour télécharger un PDF du Pointage des courtiers multidisciplinaires 2022.

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Mackenzie et Great-West Lifeco acquièrent une participation stratégique dans Northleaf https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/mackenzie-et-great-west-lifeco-acquierent-une-participation-strategique-dans-northleaf/ Tue, 22 Sep 2020 12:03:24 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=75240 Une nouvelle intéressante pour le secteur des marchés privés.

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La Corporation Financière Mackenzie, la Société financière IGM et Great-West Lifeco ont conclu une entente de relation stratégique avec Northleaf Capital Partners afin d’améliorer leur gamme de produits relatifs aux marchés privés dans l’ensemble des réseaux de distribution d’IGM et de Lifeco.

Ainsi, cette transaction permettra à Mackenzie et Great-West d’avoir une présence plus forte dans le secteur des placements sur les marchés privés. L’opération permettra aussi à Mackenzie d’offrir des solutions de placement en matière d’actions de sociétés fermées, d’instruments de crédit privés et d’infrastructures à l’échelle mondiale.

IG Gestion de patrimoine bénéficiera quant à elle d’un gain du côté de la construction de portefeuille en matière d’intégration de catégories d’actif liées aux sociétés fermées dans les portefeuilles des clients.

Cela aidera notamment Lifeco à augmenter la part de placements alternatifs à son bilan et à accroître l’accès des clients aux solutions de placement sur les marchés privés dans l’ensemble de ses réseaux de distribution mondiaux, tout en accélérant la stratégie de croissance de Northleaf.

« Cette opération élargit la portée de notre gamme de placements et rehausse nos capacités de gestion d’actifs, particulièrement dans un contexte où l’appétit de nos clients pour la diversification continue de s’accroître », affirme Barry McInerney, président et chef de la direction de Placements Mackenzie.

D’ici un an et demi à deux ans, on estime que 700 M$ seront investis par IGM et Lifeco dans des produits de Northleaf. D’autres engagements devraient être pris au fil du temps.

« L’opération renforce notre relation stratégique avec Mackenzie tout en nous permettant d’ajouter des placements alternatifs au compte général et d’accroître l’accès aux solutions de marchés privés dans l’ensemble de nos entreprises à l’échelle mondiale, indique Paul Mahon, président et chef de la direction de Great-West Lifeco. Les capacités inégalées de Northleaf en matière d’actions de sociétés fermées de moyenne taille, d’instruments de crédit privés et d’actions en infrastructures seront complémentaires aux activités de nos équipes de placement actuelles, accroîtront la diversification de nos actifs investis et offriront des occasions d’accroître les rendements dans notre compte général, tout en élargissant le spectre des occasions de placement pour nos clients. »

Aux termes de l’entente, la haute direction de Northleaf conservera une participation avec droit de vote de 50,1 % dans la société. Cette dernière demeurera indépendante sur le plan opérationnel. Aucune modification ne sera apportée aux activités de prise de décisions en matière de placement ou de relations avec les investisseurs de Northleaf.

« Le soutien organisationnel stratégique, les ressources en distribution de produits de gestion de patrimoine et les engagements de fonds importants qu’IGM et que Lifeco nous offrent nous permettront de demeurer axés sur la production de rendements de premier ordre pour les actions de sociétés fermées de moyenne taille, les instruments de crédit privés et les placements en infrastructures », commente Stuart Waugh, associé directeur de Northleaf.

Cette opération, prévue au quatrième trimestre de 2020, demeure assujettie à certaines conditions de clôture et à certains ajustements d’usage du prix d’achat, y compris les approbations réglementaires.

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Une filiale de Great West acquiert un gestionnaire de placements américain https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/une-filiale-de-great-west-acquiert-un-gestionnaire-de-placements-americain/ Mon, 29 Jun 2020 18:58:57 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=67496 La transaction est évaluée à plus de 825 millions de dollars américains.

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La filiale de Great-West Lifeco, Empower Financial, a confirmé la conclusion d’une entente pour l’acquisition de Personal Capital, une société de gestion du patrimoine.

Personal Capital, dont le siège social est situé dans la région métropolitaine de Denver, sert tous les segments du marché des régimes de retraite d’employeur. La société administre un actif de 656 milliards de dollars américains pour le compte de plus de 9,7 millions de participants de régimes de retraite (au 31 mai 20201).

L’entente repose sur une contrepartie initiale de 825 millions de dollars américains et une contrepartie différée qui pourrait s’élever à 175 millions de dollars américains, sous réserve de l’atteinte de différents objectifs de croissance.

Personal Capital est une société de gestion du patrimoine qui combine l’expérience numérique et les conseils personnalisés offerts par des conseillers. L’acquisition réunira les services de régime de retraite d’Empower et ses outils financiers intégrés, à la plateforme de gestion du patrimoine numérique axée sur l’expérience personnalisée en forte croissance de Personal Capital.

Personal Capital continuera d’exercer ses activités en tant qu’entreprise de vente directe aux clients à forte croissance, qui est actuellement rentable sans les coûts de conversion du client, indique le communiqué. La marque d’Empower Retirement ne changera pas après la transaction terminée; Personal Capital deviendra Personal Capital, an Empower Company.

Empower intégrera toutefois la technologie et la capacité de Personal Capital pour proposer une série d’outils de mieux-être financier de pointe et des conseils numériques et en personne aux clients de détail, actuels et futurs, d’Empower.

« Cette transaction s’inscrit dans le prolongement de l’objectif d’Empower d’accélérer sa croissance dans le secteur des conseils aux particuliers et de la gestion du patrimoine pour les participants de régime et vient compléter son objectif de développer ses activités entourant les régimes de retraite à cotisations déterminées, tant à l’interne que par des regroupements d’entreprises », affirme Paul Mahon, président et chef de la direction.

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TD détrône RBC dans le classement de Brand Finance https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/td-detrone-rbc-dans-le-classement-de-brand-finance/ Mon, 25 May 2020 12:09:37 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=66521 Une première en 7 ans.

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La société indépendante de conseil en évaluation d’entreprise de marque, Brand Finance, a publié son rapport révélant les marques canadiennes les plus fortes et qui ont le plus de valeurs.

Le rapport commence par une mise en garde : « L’étude de Brand Finance sur les marques canadiennes les plus valorisées a été réalisée avant l’apparition de la COVID-19. Les réalisations extraordinaires de ces marques au cours de l’année dernière ne devraient pas être diminuées, mais il est inévitable que le marché soit dans un état complètement différent maintenant qu’il ne l’était en janvier lorsque l’étude a été achevée. »

Selon le rapport, TD dépasse maintenant RBC pour revendiquer le titre de marque la plus précieuse au Canada pour la première fois depuis 2013.

La TD s’est emparée du titre grâce à une valeur de 21 243 millions de dollars après avoir affiché une croissance impressionnante de la valeur de la marque de 16,3%, la plus élevée du secteur bancaire. Le succès enregistré aux États-Unis, ainsi que le maintien d’un solide capital de sympathie de la part des clients sur le territoire national, ont été les piliers du succès de la marque cette année.

RBC, BMO, la Banque Scotia et la CIBC ont faibli. La baisse globale de la valeur de la marque de RBC s’explique en grande partie par une diminution de sa force, en baisse de 2,8 cette année (de 83,0 à 80,2). La situation s’explique par diverses raisons.  « Il convient de noter que RBC affiche de mauvais résultats dans nos mesures d’investissement dans les marques, ce qui est soutenu par une baisse des recommandations et des scores de réputation », précise le rapport.

Pour la Banque Scotia, des rendements moins que remarquables sont à noter sur les investissements à l’étranger, en Amérique centrale, après des années d’expansion rapide. La valeur de la marque CIBC a diminué de façon nominale. « Notre évaluation a été effectuée avant les licenciements récemment annoncés de plus de 2 000 employés dans le cadre d’une restructuration d’entreprise plus vaste », note le rapport.

Canada-Vie gravit des échelons

La valeur de la marque de la Canada Vie a augmenté de 688%, ce qui se traduit par une hausse de 52 places dans le tableau, qui la ramène au 6e rang. Cela s’explique en grande partie par la décision stratégique prise par la société mère, Great-West Lifeco, qui a consolidé les sous-marques Canada-Vie, London Life et Great-West-Vie sous une seule bannière. À l’avenir, la marque de la Canada Vie nécessitera beaucoup moins d’investissements pour maintenir ce qui était autrefois un vaste portefeuille d’assurance. C’est un risque qui se traduit parfois par une perte nette des préférences et de l’acquisition des clients. Jusqu’à présent, la Canada Vie a pu rester relativement à l’abri d’un impact négatif sur le résultat net.

Ailleurs dans le secteur de l’assurance, Manuvie et Sun Life ont également affiché une performance exceptionnelle, se plaçant au coude à coude respectivement aux 17e et 18e. En mai dernier, Manuvie a annoncé que sa division de gestion d’actifs et de patrimoine allait renommer 30 titres de propriété intellectuelle sous la même bannière, Gestion de placements Manuvie. Comme avec la Canada Vie, si les marques sont correctement transférées sans perte de capitaux propres, Manuvie profitera probablement de cette approche de marque principale au cours des prochaines années.

Le rapport révèle le classement pour plusieurs autres entreprises, dont SNC-Lavallin et les trois géants de télécommunication Bell, Telus et Rogers.

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Recul important du bénéfice de la Great West https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/recul-important-du-benefice-de-la-great-west/ Thu, 07 May 2020 19:50:22 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=66354 Le plongeon des marchés boursiers et le recul des taux d'intérêt depuis décembre ont fait diminuer le bénéfice net de l'assureur Great-West Lifeco de près de 50 % au premier trimestre par rapport à l'an dernier.

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La société de Winnipeg a expliqué que les marchés financiers de partout dans le monde avaient été touchés par la pandémie de la COVID-19 et a précisé s’attendre à ce que leur volatilité significative se poursuive.

Les augmentations des passifs relatifs aux contrats d’assurance attribuables au repli des marchés boursiers, l’incidence des garanties liées aux fonds distincts et des inefficacités de couverture connexes, la diminution des honoraires et les pertes latentes sur les capitaux de lancement ont eu une incidence défavorable d’environ 300 millions de dollars (M$) sur le résultat trimestriel.

Pour le trimestre clos le 31 mars, Great-West a affiché un bénéfice attribuable aux actionnaires ordinaires de 342 M$, soit 37 cents par action, par rapport à celui de 657 M$, ou 67 cents par action, de la même période l’an dernier.

Le bénéfice ajusté pour le trimestre, qui exclut l’incidence des marchés et d’autres éléments, s’est chiffré à 543 M$, ou 59 cents par action, en baisse par rapport à celui de 569 M$, ou 58 cents par action, un an plus tôt, alors qu’un plus grand nombre d’actions étaient en circulation.

Les analystes s’attendaient en moyenne à un bénéfice ajusté de 59 cents par action pour le trimestre, selon les prévisions recueillies par la firme de données financières Refinitiv.

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Karen Leggett rejoint Manulife https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/karen-leggett-rejoint-manulife/ Tue, 03 Mar 2020 12:24:14 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=64673 NOUVELLES DU MONDE – Karen Legget vient grossir les rangs de Manulife à titre de Directeur général du marketing et membre de l’équipe de direction.

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« Karen est une leader accomplie qui apporte une richesse d’expérience et nous sommes ravis qu’elle ait rejoint notre équipe gagnante », affirme Roy Gori, Président et directeur général de Manulife Toronto sur LinkedIn.

Karen Legget cumule plus de 30 ans d’expérience dans les services financiers. Elle a travaillé à Montréal, à Toronto, à Ottawa-Hull, à Winnipeg et à Vancouver, dans le domaine de l’assurance, puis dans le secteur bancaire.

Elle est entrée dans la profession au sein de Great-West Life, à Mississauga en Ontario où elle est restée près de 12 ans et a notamment occupé le poste de Directrice générale, Directrice nationale des agences Ontario et Atlantique.

Se sentant limitée dans les possibilités de développement à la Great-West, elle se joint à la division Assurance de la Banque Royale du Canada où elle est restée pendant 11 ans. Elle y travaille notamment en marketing et en gestion de produits. Elle a ainsi occupé le poste de Première vice-présidente, Cartes et Solutions de paiement.

Elle est débauchée de RBC en 2012 par Louis Vachon en personne. Le président et chef de la direction de la Banque Nationale la convainc de se joindre à la Banque Nationale, à Montréal, où elle travaillera pendant six ans et occupera notamment le titre de Chef de la direction Marketing et PVP à la direction, Développement corporatif.

Le dernier poste qu’elle a occupé est celui de Partenaire – conseil en services financiers EY à Ernst & Young Global Consulting Services à Toronto.

Karen Legget a fait ses études à l’Université de Concordia où elle a obtenu un Baccalauréat en commerce et a fait une maîtrise en administration des affaires pour cadres à l’Université de Western Ontario.

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