Gestion d’actifs Global Alpha – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Fri, 16 Feb 2024 18:42:37 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Gestion d’actifs Global Alpha – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Finaliste catégorie Sociétés de gestion indépendante https://www.finance-investissement.com/edition-papier/top-des-leaders-de-lindustrie-financiere/finalistes-categorie-societes-de-gestion-independante/ Wed, 14 Feb 2024 02:40:13 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98805 Découvrez-les.

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SERGE DEPATIE, Gestionnaire de portefeuille, Gestion d’actifs Global Alpha

« ­Il dirige une firme en croissance qui intègre les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans son analyse d’investissement. Sa firme rayonne de ­Montréal et connaît une grande expansion en ­Amérique du ­Nord avec plusieurs clients à travers le monde », a dit le jury du ­Top des leaders.

De 2016 à 2022, l’actif sous gestion de ­Global ­Alpha est passé de 737 M$ à 6,9 G$ et le nombre de mandats, de 13 à 106. On comptait cinq employés en 2016 contre 17 en 2023.

De 2021 à 2023, l’actif sous gestion est passé de 7,5 G$ à 8,6 G$, alors que le nombre de mandats a monté de 97 à 106. L’entreprise est rentable et génère suffisamment de revenus pour financer sa croissance.

En 2023, ­Global ­Alpha a amorcé une nouvelle stratégie de développement durable d’actions mondiales à petite capitalisation. De plus, ­Serge ­Depatie a joué un rôle dans le recrutement de deux gestionnaires expérimentés : un pour l’exploitation et une candidate experte en conformité. « ­Ces embauches stratégiques soulignent notre engagement à renforcer nos capacités opérationnelles », indique l’entreprise.

En octobre 2012, ­Global ­Alpha devenait signataire de l’initiative des ­Principes d’investissement responsable (PRI) des ­Nations unies. Non seulement l’entreprise intègre continuellement les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) à sa recherche ascendante, mais elle reste aussi déterminée à mobiliser les sociétés dans lesquelles elle investit et à les soutenir dans leurs démarches relatives aux facteurs ­ESG.

Global ­Alpha a élaboré une politique interne sur l’ESG. Celle-ci détaille son approche d’investissement ­ESG. La firme de gestion a également créé de nouveaux documents tels que les directives de rémunération, la politique de vote par procuration et le questionnaire ­ESG. Elle a étendu l’analyse de l’empreinte carbone de ses portefeuilles.

Serge ­Depatie et les gestionnaires de portefeuille communiquent régulièrement avec la direction générale des entreprises, souvent sur des questions ­ESG. Si des risques ­ESG sont identifiés, ­Global Alpha engage un dialogue avec l’entreprise dans le but de les atténuer ou les éliminer. L’entreprise cherchera généralement à dialoguer avec une entreprise lorsqu’elle envisage de voter contre la direction.

Serge fait partie du conseil d’administration de la Fondation ­Connor ­Clark & ­Lunn, ­Global ­Alpha y remet une portion de ses revenus chaque année. Depuis trois ans, ­Global ­Alpha a versé plus d’un million de dollars en dons à différentes fondations et divers organismes de bienfaisance.

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Finalistes catégorie Leaders/cadres de l’industrie financière https://www.finance-investissement.com/edition-papier/top-des-leaders-de-lindustrie-financiere/finalistes-categorie-leaders-cadres-de-lindustrie-financiere/ Wed, 01 Feb 2023 00:24:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=91863 TOP DES LEADERS - Découvrez les trois autres personnes qui se sont distinguées dans cette catégorie.

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  • André Langlois : vice-président ventes et distribution, réseaux indépendants, Desjardins sécurité financière
  • «Il a su mettre le côté humain au coeur de la vision stratégique de l’entreprise. Le courtier qu’il dirige connaît une croissance des ventes d’épargne collective et une belle évolution des affaires, entre autres vers l’investissement responsable», a dit le jury.

    Le nombre de conseillers ayant un code de représentant est passé de 1 629 à la fin de 2019 à 1383 en novembre 2021 et à 1 339 en novembre dernier. L’actif sous administration (ASA) en fonds communs a crû de 14,7 G$ à la fin de 2019 à 17,9 G$ en novembre 2021 et à 17,3 G$ en novembre 2022. Pour les 11 premiers mois de 2022, les ventes d’assurance individuelles étaient de 23,8 M$, en hausse de 4,4% par rapport à la même période de 2021. Pour l’exercice 2019, ces ventes s’élevaient à 26,4 M$, alors qu’elles se chiffraient à 24,4 M$ pour celui de 2021.

    Grâce à la numérisation des transactions, amorcée en 2021, 65 % des actifs investis ont été traités de façon entièrement numérique à l’automne dernier. Ce mode transactionnel diminue le temps de traitement. Au siège social, dans les postes de gestion sous la responsabilité d’André Langlois, la représentativité féminine est de 75 %.

    • François Provost : vice-président régional, ventes au détail, Est du Canada, Placements Mackenzie

    «Son secteur connaît des ventes nettes positives malgré un contexte difficile. Les activités qu’il gère enregistrent une croissance importante au Québec. Le positionnement ESG de la firme est digne de mention», a dit le jury.

    Pour l’année 2021, les activités qu’a dirigées son équipe se sont traduites par des ventes nettes de 1,16 G$. Pour les neuf premiers mois de 2022, ces dernières ont totalisé 70,1 M$. Chez Placements Mackenzie, le Québec est la seule région affichant des ventes nettes positives durant cette période. On constatait pendant cette même période des rachats nets de 8,9 G$ dans le secteur des fonds d’investissement canadiens.

    Les revenus du Québec de Placements Mackenzie ont presque doublé de 2015 à 2020. La profitabilité a également doublé depuis 2015. En 2021, l’organisation a connu des ventes records au Québec.

    Avec son équipe, François Provost a déployé beaucoup d’efforts auprès d’établissements universitaires afin d’attirer des candidats respectant les critères de sa politique de diversité et d’inclusion. Il est membre du conseil des gouverneurs du Conseil des fonds d’investissement du Québec depuis 2019.

    • David Savignac : gestionnaire de portefeuille, Gestion d’actifs Global Alpha

    «Il a contribué à la croissance de sa firme, notamment à l’augmentation du nombre de clients. Sa firme a une belle feuille de route pour l’investissement ESG», a dit le jury.

    De 2016 à 2022, l’actif sous gestion de Global Alpha est passé de 737 M$ à 6,9 G$ et le nombre de mandats, de 13 à 107. On comptait 5 employés en 2016 et 15 en 2022. De 2021 à 2022, l’actif sous gestion est resté stable, à 6,9 G$, alors que le nombre de mandats a crû de 87 à 107.

    L’entreprise est rentable et génère suffisamment de revenus pour financer sa croissance.

    En 2021, David Savignac a contribué à l’embauche et à l’intégration de trois nouveaux membres dans son équipe. Il a aussi collaboré à l’élaboration et au lancement d’une stratégie d’actions à petite capitalisation de pays émergents qui sera gérée par la nouvelle équipe. En 2022, il a accueilli un autre spécialiste des produits.

    L’entreprise intègre les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) à sa recherche ascendante, notamment par l’intermédiaire d’un questionnaire mis à jour qu’elle soumet aux sociétés en portefeuille. Elle reste déterminée à mobiliser les sociétés dans lesquelles elle investit et à les soutenir dans leurs démarches relatives aux facteurs ESG.

    Au cours des deux dernières années, Global Alpha a embauché une analyste ESG et sensibilisé de manière plus approfondie des sociétés en portefeuille à la communication de l’information sur les changements climatiques et sur les programmes de réduction des émissions de carbone.

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    L’art de la sélection de petites capitalisations https://www.finance-investissement.com/fi-releve/strategie-daffaires/lart-de-la-selection-de-petites-capitalisations/ Thu, 04 Feb 2021 13:06:11 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=77615 FI RELÈVE - L’équipe de Gestion d’actifs Global Alpha possède à elle seule une expérience combinée de plus de 60 ans au sein du secteur des petites capitalisations.

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    C’est en se concentrant sur son expertise et en l’approfondissant minutieusement que la firme québécoise a connu le succès, notamment dans le marché institutionnel nord-américain.

    Dès le moment où ils se sont associés pour créer Global Alpha en 2008, les deux ex-collègues de Natcan, Robert Beauregard, chef des placements et David Savignac, chef de l’exploitation avaient un plan de match qui demeure essentiellement le même à ce jour : garder le « focus » sur les small cap.

    En d’autres mots, ses gestionnaires se consacrent entièrement à ce qu’ils font le mieux, soit la construction de portefeuilles d’actions mondiales et internationales à petite capitalisation. Ces derniers ont également fait appel assez tôt à Qing Ji, une analyse du milieu financier montréalais qu’ils connaissaient bien pour se joindre à leur projet en tant que gestionnaire de portefeuille puisqu’ils étaient convaincus que son profil concordait parfaitement avec cette vision.

    Lire également : Une croissance fulgurante

    En plus de miser sur leurs connaissances communes en matière de petites capitalisations, ces gestionnaires se sont aussi rendu compte qu’une même passion nourrissait leurs ambitions de carrière.

    « Nous avions tous la fibre entrepreneuriale en nous. Personnellement, je viens d’une famille d’entrepreneurs. J’ai pu tremper à la fois dans l’immobilier et dans le milieu des affaires, entre autres dans le domaine des centres de rénovation. Aujourd’hui, nous sommes onze employés chez Global Alpha et chacun d’entre nous possède de l’expérience en industrie. C’est ce qui nous permet de mieux connecter et de bien dialoguer avec les dirigeants des entreprises que nous rencontrons », explique David Savignac.

    Trouvailles fructueuses

    Global Alpha se présente comme une firme de placement qui effectue un travail d’analyse fondamentale indépendant pour repérer des placements intéressants du côté des entreprises dont la croissance n’est pas prise en compte par le marché boursier. « Les études et les analyses consacrées aux petites sociétés sont souvent restreintes ou encore faiblement diffusées, ce qui favorise la formation d’un écart entre le cours effectif et la juste valeur des actions », indique le groupe sur son site Web.

    Plus précisément, ce phénomène d’inefficience de marché crée une occasion pour des gestionnaires férus de petites capitalisations de dénicher des sociétés présentant des caractéristiques de croissance méconnues pour les portefeuilles de leurs clients.

    Pour se faire, l’équipe de Global Alpha passe par une recherche diligente et exhaustive effectuée dans un vaste univers de placement qui regroupe la totalité des sociétés dont la capitalisation boursière se situe entre 100 millions de dollars américains et 5 milliards de dollars américains. Les gestionnaires prennent le temps de se rendre dans chaque région et de visiter les entreprises qui présentent des occasions de placement qu’ils estiment intéressantes.

    « C’est ce qui me motive de mon métier : partir à la découverte de nouvelles sociétés prometteuses. Les rencontres avec les entrepreneurs sont extrêmement intéressantes et enrichissantes. De plus, c’est un travail qui n’est jamais ennuyant puisque tu dois constamment en apprendre sur les entreprises et demeurer au fait des dernières tendances de différents secteurs. C’est très gratifiant ! », partage David Savignac qui a entre autres parcouru l’Europe et l’Asie à de nombreuses reprises à la recherche des perles rares qui contribueraient aux stratégies d’investissement offertes par Global Alpha.

    Thématiques d’avenir

    Une autre méthode de travail qui est un gage de succès pour la firme Global Alpha est celle d’examiner la valorisation d’un titre en fonction d’une thématique de placement et non pas simplement sur la base d’une approche ascendante. Par exemple, ses gestionnaires considèrent qu’une entreprise solide qui profite des tendances positives à long terme, telles que la préservation de l’environnement, constitue un excellent placement.

    David Savignac donne l’exemple du titre de l’entreprise Tomra que Global Alpha a détenu longtemps dans ses portefeuilles avant de s’en départir après qu’elle soit devenue trop grande pour être considérée comme une petite capitalisation. Tomra est une entreprise internationale d’origine norvégienne spécialisée dans les machines munies de capteurs permettant de collecter et de trier les déchets de manière à réduire le gaspillage.

    En plus d’avoir un impact positif sur la planète, cette entreprise a connu une croissance importante durant les années où Global Alpha a détenu son titre. Pour l’année fiscale 2017, Tomra avait rapporté des ventes de 900 M$ US, ainsi qu’un EBIDTA de 177 M$ US. En date de décembre 2019, la croissance annuelle de l’entreprise a été de 10.5 % sur les trois années précédentes.

    Des structures qui propulsent

    La stratégie de Global Alpha en tant que société de placement en émergence a également été de se doter d’une structure permettant à ses gestionnaires de se concentrer exclusivement sur la construction des meilleurs portefeuilles possibles de petites capitalisations mondiales et internationales pour leurs clients.

    Global Alpha fait ainsi partie du Groupe financier Connor, Clark & Lunn, qui soutient la firme dans les aspects autres que la gestion de placements, comme les ventes, le marketing, la conformité et l’informatique. « Nous savions dès le départ que nous allions viser le marché institutionnel et c’est pourquoi nous nous sommes dotés de cette structure qui plaît entre autres beaucoup aux clients américains d’envergure », mentionne David Savignac.

    Global Alpha, qui a effectué ses premiers pas avec un premier mandat institutionnel d’environ 7 M$ canadiens, gère aujourd’hui près de 5 G$ canadiens et 65 % de ses actifs proviennent de sa clientèle américaine. Ce sont les programmes pour les gestionnaires en émergence américains qui ont permis à la firme de réellement prendre son envol, car c’est par l’entremise de l’un d’entre eux que la société de placement a pu acquérir son premier mandat institutionnel américain significatif en 2013. « La performance de nos stratégies parlait déjà d’elle-même, mais obtenir un tel mandat pour un État américain a vraiment démontré notre sérieux aux autres clients potentiels du même type », rapporte le gestionnaire de portefeuille de Global Alpha.

    La firme croit ainsi énormément en l’importance de tels programmes pour propulser les gestionnaires en émergence et s’engage auprès des initiatives québécoises du genre comme le Conseil des gestionnaires en émergence (CGE) et le Programme des gestionnaires en émergence du Québec (PGEQ).

    « On remarque un engouement certain pour l’investissement local au Québec. De nombreux investisseurs saisissent de plus en plus l’importance d’encourager les gestionnaires en émergence d’ici. Par exemple, ils comprennent que dans une ville comme Montréal, confier ses actifs à des firmes locales engendre des retombées économiques partout dans notre écosystème puisque celles-ci font elles-mêmes affaire avec nombreux services professionnels en périphérie (traducteurs, avocats, notaires, etc.).

    Les textes de la série Gestionnaires en Émergence sont rédigés par le CGE et visent à mieux faire connaître des gestionnaires émergents canadiens, leurs stratégies d’investissement, et leurs réalisations.

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    «Nous sommes une industrie et un peuple forts» https://www.finance-investissement.com/edition-papier/top-25-de-lindustrie-financiere-du-quebec/nous-sommes-une-industrie-et-un-peuple-forts/ Sun, 01 Mar 2020 05:38:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=64716 Sylvie Demers a souligné l'engagement de l'industrie lors du Gala du Top 25 de l'industrie financière.

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    L’industrie financière du Québec peut être fière de sa contribution à l’avancement de la société québécoise.

    C’est l’un des messages communiqués par les cinq lauréats du Top 25 de l’industrie financière du Québec, lors du gala au cours duquel Sylvie Demers, première vice-présidente, Réseau de succursales, et présidente, Direction du Québec, du Groupe Banque TD, a été nommée «Personnalité financière de l’année 2019».

    «Je voudrais souligner l’engagement exemplaire de l’industrie financière en matière de philanthropie, de diversité et d’inclusion», a indiqué Sylvie Demers en recevant son prix.

    «Soyons fiers de ce que nous faisons. Nous offrons plus de 200 000 emplois. Notre industrie donne énormément d’argent en philanthropie. Nous avons des implications énormes du côté des communautés. Ce que nous faisons très bien, ce sont des choses que nous faisons ensemble», a-t-elle ajouté.

    Robert Beauregard, cofondateur et chef des placements de Gestion d’actifs Global Alpha, a aussi souligné l’empreinte des gestionnaires de portefeuille sur l’économie du Québec. «Lorsqu’une caisse de retraite établie au Québec choisit un gestionnaire québécois, c’est un choix qui va plus loin que de juste lui confier un mandat», a noté le lauréat de la catégorie Sociétés de gestion indépendante.

    Robert Dumas, président et chef de la direction pour le Québec de la Financière Sun Life et gagnant de la catégorie Assureurs de personnes, a partagé son prix avec l’ensemble de ses employés.

    Selon lui, le conseil financier a un impact essentiel sur la société québécoise, «mais seulement une personne sur trois a un conseiller financier», a-t-il souligné.

    Denis Gauthier, premier vice-président et directeur national de Financière Banque Nationale, Gestion de Patrimoine, a abondé dans le même sens. «Nous faisons une réelle différence dans la vie des gens, et ça, c’est précieux et ça nous motive», a dit le gagnant de la catégorie Courtiers de plein exercice.

    Il a d’ailleurs remercié l’ensemble de son équipe, particulièrement les conseillers de la FBN.

    Gino-Sébastian Savard, président de MICA Cabinets de services financiers et lauréat de la catégorie Cabinets multidisciplinaires, a quant à lui «félicité non seulement mes confrères de la distribution indépendante, mais aussi chaque personne pour qui l’engagement à l’avancement des Québécois sur le plan financier est le pain et le beurre».

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    Le Top 25 2019 de l’industrie financière https://www.finance-investissement.com/dossiers_/top-25/le-top-25-2019-de-lindustrie-financiere/ Thu, 06 Feb 2020 23:56:24 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=63872 DIAPORAMA – Qui fait partie du Top 25 de l’industrie financière du Québec? Vous le découvrirez ici.

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    Le Top 25 de l’Industrie financière 2019

    Le Top 25 de l’industrie financière de Finance et Investissement rend hommage à 25 cadres et hauts dirigeants habitant et travaillant au Québec qui se sont illustrés au cours de la dernière année.

    Cette année, le Top 25 regroupe:

    Personnalité financière de l’année: Sylvie Demers, première vice-présidente, Réseau de succursales, et présidente Direction du Québec Groupe Banque TD

    Catégorie Institutions financières à portée nationale

    Gagnante: Sylvie Demers, première vice-présidente, Réseau de succursales, et présidente Direction du Québec Groupe Banque TD

    Finalistes:

    Guy Cormier, président et chef de la direction Mouvement Desjardins

    Louis Vachon, président et chef de la direction, Banque Nationale du Canada

    Claude Gagnon, président, Opérations BMO Groupe Financier, Québec

    Nadine Renaud-Tinker, Présidente, Direction du Québec, RBC Banque Royale du Canada

    Catégorie Assureurs

    Gagnant: Robert Dumas, président et chef de la direction de la Financière Sun Life pour le Québec.

    Finalistes:

    Richard Payette, Président et chef de la direction, Manuvie Québec

    Denis Ricard, Président et chef de la direction, iA Groupe Financier

    Jean-François Chalifoux, président-directeur général SSQ Assurance

    Stéphane Rochon, président et chef de la direction Humania Assurance

    Catégorie Courtiers de plein exercice

    Gagnant: Denis Gauthier, premier vice-président et directeur national, Financière Banque Nationale, Gestion de patrimoine

    Finalistes:

    Stephan Bourbonnais, premier vice-président et directeur régional, Est du Canada, Services privés Gestion de Patrimoine TD

    Paul Balthazard, vice-président et directeur régional, Québec, RBC Dominion Valeurs Mobilières

    Frédéric Paquette, Vice-président exécutif, affaires et ventes nationales, iA Valeurs Mobilières

    Richard Rousseau, vice-président directeur – Chef de la Gestion de patrimoine, Raymond James Limited

    Catégorie Cabinets multidisciplinaires

    Gagnant: Gino-Sébastian Savard, président MICA Cabinets de Services financiers

    Finalistes:

    Gilles et Patrick Cloutier, Président du conseil d’administration et Président et chef de la direction, respectivement, Groupe Cloutier

    Robert Frances, président du conseil et chef de la direction, Groupe financier Peak

    Christian Laroche, Président, Aurrea Signature

    Yan Charbonneau, Président directeur général d’AFL Groupe financier

    Catégorie Sociétés de gestion indépendante

    Gagnant: Robert Beauregard, cofondateur et chef des placements de Global Alpha

    Finalistes: 

    Stéphane Corriveau, président et directeur principal Alphafixe Capital

    François Bourdon, chef des placements global, Fiera Capital

    Louis Allard, Président, Allard, Allard & Associés

    J. Sebastian Van Berkom, président et chef de la direction Van Berkom et Associés

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    Une croissance fulgurante https://www.finance-investissement.com/edition-papier/top-25-de-lindustrie-financiere-du-quebec/robert-beauregard-une-croissance-fulgurante/ Sat, 01 Feb 2020 05:49:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=64131 Top 25 2019 - Robert Beauregard dit être plus passionné que jamais. Cela explique sans doute en partie pourquoi Gestion d'actifs Global Alpha, dont il est cofondateur et chef des placements, a affiché une croissance fulgurante au cours des deux dernières années.

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    L’actif sous gestion (ASG) de la firme montréalaise spécialisée dans les sociétés à petite capitalisation est passé de 1,4 G$ à la fin de 2017 à 4,6 G$ en novembre 2019, une hausse spectaculaire de 228 %. L’ASG était de 549,5 M$ à la fin de 2016.

    Cette performance a amené le jury du Top 25 à désigner Robert Beauregard gagnant de la catégorie Sociétés de gestion indépendante.

    «Il est une vedette à l’international. Il a été reconnu aux États-Unis, ce qui est exceptionnel. Les portefeuilles gérés connaissent de bonnes performances. Sa croissance, sur le plan tant de son actif sous gestion que du nombre de ses mandats, est impressionnante», indique le jury.

    Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Au 29 novembre 2019, les rendements annualisés du portefeuille d’actions internationales à petite capitalisation atteignaient 12,4 % sur un an, 17,3 % sur cinq ans et 15,4 % depuis sa création, le 31 décembre 2009. Pour le portefeuille d’actions mondiales à petite capitalisation, les rendements annualisés ont été de 13,3 % sur un an, de 14,9 % sur cinq ans et de 13,9 % depuis le 31 juillet 2008.

    Ces portefeuilles, dont les rendements sont présentés avant déduction des frais, surclassent leur indice de référence. Pour le premier portefeuille, la valeur ajoutée est de 410 points de base (pb) depuis sa création par rapport à l’indice MSCI EAEO à petite capitalisation (net). Pour le second, la valeur ajoutée par rapport à l’indice MSCI Monde à petite capitalisation (net) se chiffre à 310 pb depuis sa création.

    La clientèle de Global Alpha a elle aussi progressé rapidement depuis deux ans : le nombre de clients est passé de 29 à 86 (en date de novembre 2019), dont 44 sont canadiens, et 42, américains. Toutefois, 60 % de l’ASG de la firme provient des États-Unis.

    La clientèle américaine est composée exclusivement d’investisseurs institutionnels, tandis qu’au Canada, la firme compte aussi un groupe de clients privés, précise Robert Beauregard.

    Global Alpha s’est également vu confier deux mandats à titre de gestionnaire pour des fonds communs de placement. Le premier, pour le CC&L Global Alpha Fund, il y a cinq ans, par le Groupe financier Connor, Clark & Lunn (CC&L), de Toronto. L’autre, pour le Ninepoint International Small Cap Fund, en février 2018, par Ninepoint Partners, de Toronto.

    Remarquée aux États-Unis

    Robert Beauregard explique en partie les bons résultats de Global Alpha par l’intérêt des caisses de retraite à l’égard des petites capitalisations, et par le fait que la firme ait atteint une taille cruciale.

    «Des clients avec lesquels nous avions obtenu des mandats dans le cadre de programmes de gestionnaire en émergence, par exemple l’État du Texas et celui de New York, nous ont fait graduer, ce qui implique de plus gros montants à gérer», illustre-t-il.

    La croissance de l’ASG permet également à Global Alpha de retenir davantage l’attention de grands clients institutionnels américains. Il cite l’exemple de l’Association des employés retraités du comté de Los Angeles, qui lui a confié un mandat en août 2018.

    «La première question de l’appel d’offres était : « Avez-vous 1 G$ d’actif sous gestion et 500 M$ investis dans la stratégie proposée ? » Trois mois plus tôt, nous aurions répondu « non », raconte-t-il. Mais nous avons pu répondre « oui » et nous avons été retenus parmi les 54 firmes postulantes.»

    Robert Beauregard évoque aussi l’intérêt grandissant pour les facteurs ESG (enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance), «que nous avons rapidement intégrés dans nos solutions». Dans l’ensemble, les firmes détenues dans ses portefeuilles émettent moins de gaz à effet de serre que celles de leurs indices de référence.

    Des fondations solides

    Global Alpha peut également compter sur des fondations solides. Dès sa création en 2008, la firme a conclu un partenariat avec CC&L, qui lui fournit une infrastructure légale, comptable et informatique, ainsi qu’une représentation auprès des clients institutionnels. La majorité des parts (51 %) de Global Alpha appartiennent à ses six associés, et 49 %, à CC&L.

    «Sans ce partenariat, j’aurais dû passer une bonne partie de mon temps à bâtir une infrastructure. Et lorsque tu commences à gagner des clients, c’est le pire moment pour perdre le focus sur le portefeuille», indique Robert Beauregard.

    Global Alpha se distingue aussi par le recrutement de personnes au parcours atypique. Elles apportent une expérience de vie et de travail qui n’est pas cantonnée à la gestion financière, signale Robert Beauregard. «Personne, chez nous, n’a commencé sa carrière après s’être dit : « Je vais aller à l’université en finance, devenir CFA ou analyste financier, puis gestionnaire de portefeuille ».»

    En cette ère de diversité, cinq employés sur les 10 de Global Alpha ont immigré à l’âge adulte au Canada et «ont vécu la difficulté de recommencer à zéro».

    À lire aussi: Finalistes Sociétés de gestion indépendante

    L’équipe compte également trois femmes, dont deux sont associées. L’âge des membres de l’équipe de recherche varie entre 40 et 55 ans, Robert Beauregard étant le plus âgé, à 55 ans. «J’ai plus que jamais le feu sacré. Ma passion, c’est de trouver des sociétés dans lesquelles investir, aller voir les clients et parler de la stratégie.»

    Et pas question de s’arrêter de sitôt. «À 75 ans, j’aimerais être encore actif, peut-être pas comme chef des placements, mais je voudrais pouvoir encore visiter des entreprises et donner des idées à l’équipe.»

    Robert Beauregard, qui possède les titres de CFA, de CPA et de CMA, a notamment travaillé à la Caisse de dépôt et placement du Québec et chez Gestion de portefeuille Natcan. Il a étudié au Collège militaire royal de Saint-Jean et a passé huit ans dans l’armée.

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    Du renfort chez Connor, Clark & Lunn à Montréal https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/du-renfort-chez-connor-clark-lunn-a-montreal/ Wed, 17 Jul 2019 11:41:08 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=59754 NOUVELLES DU MONDE - Connor, Clark & Lunn a une nouvelle vice-présidente, ventes institutionnelles, en la personne de Vilashi Patel.

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    Diplômée de l’Université Concordia, Vilashi Patel provient des rangs de Placements Franklin Templeton. Elle y a passé près de sept ans. Elle était, jusqu’à récemment, responsable des ventes, régimes à cotisations définies, pour l’Est du Canada.

    Entre 2010 et 2012, elle occupait les fonctions d’administratrice, comptes institutionnels chez McLean Budden à Toronto.

    Basée à Montréal, Vilashi Patel rejoint Lucie Faucher, vice-présidente, développement d’affaires chez Connor, Clark & Lunn.

    Lucie Faucher est responsable des régimes de retraite de plus de 300 M$ alors que Vilashi Patel s’occupera des régimes de 20 M$ à 300 M$.

    Fondée en 1982 à Vancouver, Connor, Clark & Lunn affiche plus de 75 G$ d’actif sous gestion. Sa filiale montréalaise Gestion d’actifs Global Alpha gère des portefeuilles de petites capitalisations mondiales et internationales. Une autre filiale montréalaise, Baker Gilmore & Associates, se spécialise dans les mandats à revenus fixes.

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    Projet de coopérative pour le CGE https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/projet-de-cooperative-pour-le-cge/ Mon, 14 May 2018 13:57:10 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=48115 Le Conseil des gestionnaires en émergence (CGE) espère lancer une coopérative de services pour les gestionnaires en émergences d’ici la fin de l’année.

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    C’est ce qu’a mentionné la présidente du CGE, Geneviève Blouin, lors du cocktail annuel de l’organisme sans but lucratif, tenu jeudi au Musée McCord, à Montréal.

    Le CGE prévoit mettre en place une « infrastructure indépendante permettant aux entrepreneurs d’établir une base stable en leur permettant d’avoir accès à des services légaux, de comptabilité et de conformité ». Les services pourraient aussi comprendre du tutorat et le partage de locaux, notamment. L’objectif ultime étant d’amener les « gestionnaires émergents à bâtir une structure et des procédures satisfaisants les exigences des clients institutionnelles », a mentionné Geneviève Blouin. Le CGE bénéficiera de l’appuie de Finance Montréal dans ce projet.

    Le CGE a profité de cette rencontre annuelle pour souligner la croissance de quelques-uns de ses membres, ceux-ci ayant passé le cap de 1 milliard de dollars (G$) en actif sous gestion. Il s’agit de Gestion d’actifs Global Alpha (1,5 G$), de Cote 100 (1,3 G$), et de Formula Growth (1,5 G$).

    Pour sa part, Vital Proulx, Chef des placements et président du conseil d’administration d’Hexavest, et responsable du Chantier entrepreneuriat de Finance Montréal, a fait le point sur l’avancée du Programme des gestionnaires en émergence du Québec (PGEQ). Il a évoqué un capital investi de 262 M$ par 13 institutions financières, à travers deux programmes. « C’est presque l’ensemble des institutions du Québec qui sont investis au sein du programme, et nous en sommes très fier », a-t-il mentionné.

    Selon Vital Proulx, une nouvelle phase de sollicitation sera lancée afin d’obtenir de nouveaux fonds. Elle visera plus particulièrement les fondations et les « Family Office ».

    Pour l’instant, sept firmes de gestion ont été approuvées pour l’un ou l’autre des deux programmes, et six d’entre elles se sont vues confier un mandat. « La septième firme a dépassé le cap du milliard de dollar d’actif, alors nous allons sélectionner un autre mandataire incessamment », a mentionné Vital Proulx.

    Sur la photo :  Charles Lemay du CGE, Ari Kiriazidis est Chef de la direction financière et de la conformité chez Formula Growth, serge Depatie, Gestionnaire de portefeuille chez Global Alpha, Pascal Bossé, gestionnaire de portefeuille, clients institutionnels et privés chez Cote 100, et Geneviève Blouin du CGE.

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