Canaccord Genuity – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Fri, 20 Jun 2025 17:54:17 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.1 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Canaccord Genuity – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Altium renforce sa présence au Québec https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/altium-renforce-sa-presence-au-quebec/ Fri, 20 Jun 2025 17:54:07 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108084 NOUVELLES DU MONDE – Pour servir la clientèle multigénérationnelle.

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Altium Architecture de Patrimoine, un bureau familial indépendant (multi-family office) spécialisé dans la gestion de patrimoine multigénérationnel et l’accompagnement des familles fortunées, accueille un nouveau conseiller et gestionnaire de portefeuille en la personne de Clément Chenneveau.

Possédant une dizaine d’années d’expérience dans la gestion d’actifs, les marchés des capitaux et la gestion de patrimoine privé, Clément Chenneveau a accompagné des familles multigénérationnelles, des cadres dirigeants, des entrepreneurs ainsi que des investisseurs institutionnels, notamment lors de passages chez Canaccord Genuity (CG) Wealth Management, Mercer et Assante.

Au sein d’Altium, il aura pour mandat de mettre en place des stratégies patrimoniales avancées, en collaboration avec l’équipe de gestion des investissements et un réseau de spécialistes dans des domaines tels que la fiscalité et l’assurance, a précisé la firme dans un communiqué.

Il sera également appelé à jouer un rôle central dans le développement du bureau de Montréal et contribuera à renforcer les relations de la firme avec les familles entrepreneuriales du Québec ainsi que d’autres provinces canadiennes, a indiqué Sam Younès, président et chef de la direction de la firme Altium, fondée à Montréal en 2013.

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Un autre jour, un autre dollar https://www.finance-investissement.com/fi-releve/strategie-daffaires/un-autre-jour-un-autre-dollar/ Thu, 23 Jan 2025 12:05:43 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105052 DÉVELOPPEMENT —Comment parler du risque de change à ses clients.

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De nombreux investisseurs considèrent l’évaluation du dollar canadien en termes simples : un huard faible est mauvais, un huard fort passe inaperçu. Cependant, la manière dont notre dollar se comporte par rapport au dollar américain et à d’autres devises n’est pas sans impact. Lorsque notre monnaie fait la une des actualités, comme cela a été le cas ces dernières semaines, il est essentiel d’aborder le risque de change avec vos clients et de leur expliquer comment vous le gérez pour leur compte. C’est l’occasion de démontrer votre expertise.

C’est ce que recommande Andrew Pyle, conseiller principal en placements et gestionnaire de portefeuille chez CIBC Wood Gundy à Peterborough, en Ontario. « C’est vraiment le moment où nous devons commencer à examiner la situation à long terme, l’évolution possible du dollar canadien et l’impact de cette évolution sur la répartition des actifs du client sur le marché des actions américaines [et sur d’autres marchés] », explique-t-il.

Commencez par des « concepts très simples que les clients comprennent », recommande Andrew Pyle.

En fonction de l’exposition du client, vous pouvez également discuter de la position du dollar canadien par rapport aux devises d’autres régions comme l’Europe et le Japon, et de l’impact que cela pourrait avoir sur les portefeuilles des clients à court, moyen et long terme.

Voici un exemple simple : votre client détient des actions de Microsoft Corp. cotées à la Bourse de New York. Il a décidé de liquider sa position, mais n’a pas tenu compte du fait qu’un échange de devises a eu lieu lors de l’achat et que le prix de vente est en dollars américains.

Rappelez tout cela à votre client, puis expliquez-lui d’autres scénarios potentiels dans lesquels l’évaluation des deux monnaies pourrait avoir un impact sur son rendement.

Au cours de ces conversations, Andrew Pyle souligne l’importance d’avoir une exposition au-delà des titres canadiens à des fins de diversification et la façon dont ils peuvent utiliser des stratégies de couverture — telles que l’allocation à des fonds d’investissement couverts contre le risque de change et à des certificats de dépôt canadiens (CDR) — pour minimiser le risque de change. Les certificats de dépôt canadiens permettent aux investisseurs d’acheter et de vendre des actions de sociétés étrangères en dollars canadiens et sur les marchés boursiers canadiens.

« C’est l’occasion idéale d’avoir cette conversation avec le client, parce que vous expliquez maintenant cette recommandation, le raisonnement qui la sous-tend, pourquoi vous pensez qu’elle est meilleure pour le client et vous entrez dans la discussion sur la gestion des risques », affirme-t-il.

L’importance d’un langage clair

Kelly Ho, planificatrice financière agréée et partenaire du DLD Financial Group à Vancouver, recommande également d’aborder le risque de change de manière simple et d’utiliser des exemples concrets de la vie de tous les jours.

« L’utilisation d’un jargon excessif complique le concept », prévient-elle.

Kelly Ho aime utiliser « l’exemple de la chaussure ». Elle explique à ses clients combien il en coûterait à un Canadien pour acheter une paire de chaussures aux États-Unis — en fonction de la valeur des monnaies des deux pays — et fait le lien avec l’investissement.

« Lorsque le dollar canadien est élevé, il nous en coûte zéro dollar canadien [en plus du prix des chaussures] pour acheter quelque chose aux États-Unis. C’est la même chose dans le monde de l’investissement. S’il y a eu d’importantes fluctuations des devises, c’est là que se situe le risque. »

Lorsqu’elle construit un portefeuille pour un client ayant un horizon à court terme, Kelly Ho lui explique qu’étant donné qu’il ne dispose pas d’une longue période pour se remettre des fluctuations de change, il est préférable de gérer le risque de change de manière plus prudente.

En revanche, un client ayant un horizon à long terme peut absorber un niveau plus élevé de risque de change.

Le risque de change est « très difficile » à gérer manuellement, avertit Kelly Ho. Les gestionnaires de portefeuille ont l’habitude de se couvrir contre le risque de change, ce qui « élimine une partie du risque » à long terme, ajoute-t-elle. « Lorsque vous avez un portefeuille […] à long terme et diversifié, le risque de change est généralement compensé », souligne Kelly Ho. L’exposition à des titres négociés dans différentes devises peut être couverte les uns par rapport aux autres.

S’il est nécessaire d’adapter un portefeuille à une répartition plus appropriée, les conseillers doivent en discuter avec leurs clients et trouver ce qui leur convient, suggère Kelly Ho.

Exemples historiques et visuels

Andrew Pyle explique qu’il montre souvent à ses clients un graphique à long terme, remontant à 50 ans, pour les aider à voir les différents cycles qu’a connus le dollar canadien, notamment lorsqu’il est passé de creux à des sommets extrêmes et vice-versa. Il explique ce que ces cycles signifient pour les investisseurs.

« Il ne s’agit pas d’un exercice de prévision pour le client. Nous n’allons pas nous asseoir et dire : “En tant que conseiller, je prédis que nous allons passer de 69 cents à 80, 90 ou un dollar [par rapport au dollar américain] », précise-t-il. Il s’agit en fait d’étudier les cycles au cours desquels le dollar canadien s’est apprécié [ou déprécié] de divers pourcentages, et d’examiner les valorisations au cours de ces périodes. »

Martin Roberge, stratège de portefeuille et analyste quantitatif chez Canaccord Genuity Group à Montréal, est également friand d’images. « Un graphique vaut souvent, comme nous le disons, mille mots », dit-il.

Martin Roberge recommande aux conseillers de partager avec leurs clients un graphique montrant les performances de l’indice composé S&P/TSX et du S&P 500 de 2000 à 2009.

L’environnement a été « manifestement difficile » pour les investisseurs en actions, car le S&P 500 a perdu environ 25 % de sa valeur au cours de cette décennie, alors que le dollar canadien s’est apprécié de 35 %, explique Martin Roberge. « Ainsi, si vous êtes un investisseur canadien qui a placé son argent dans des actions américaines au plus fort de la bulle Internet en 2000, vous avez perdu 60 % de votre investissement. »

Selon Martin Roberge, cette période souligne l’importance de tenir compte à la fois des baisses de prix des actions et des baisses de prix des devises. Elle illustre également les parallèles avec la situation actuelle, où le marché des actions américaines est potentiellement surévalué et où le dollar canadien est faible.

« Nous nous trouvons à peu près dans la même situation qu’au plus fort de la bulle Internet en 2000, analyse Martin Roberge. Je ne dis pas que nous nous dirigeons vers une répétition de cette dernière décennie, mais […] tout dépend de l’importance du risque de change ou de l’ampleur du risque que l’on est prêt à prendre à ce stade. »

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Canaccord acquiert une équipe de conseillers de Wood Gundy https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/canaccord-acquiert-une-equipe-de-conseillers-de-wood-gundy/ Wed, 27 Nov 2024 11:53:29 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104189 L’acquisition marque également le lancement du bureau de Canaccord à Ottawa.

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Gestion du patrimoine Canaccord Genuity a pris une autre part du gâteau de CIBC Woody Gundy en faisant l’acquisition d’une équipe de conseillers d’Ottawa qui gère des actifs de clients d’une valeur de 1 milliard de dollars (G$).

L’acquisition du Sutherland Investment Group marque également le lancement du bureau de Canaccord à Ottawa.

« Nous sommes ravis d’accueillir le Sutherland Investment Group au sein de notre équipe en pleine croissance et d’établir notre présence à Ottawa », assure Matt Cicci, chef du groupe de la clientèle privée de Canaccord, dans un communiqué.

« L’expansion à Ottawa marque une étape importante qui nous permet d’améliorer notre service aux clients de la région de la capitale, soulignant notre engagement à fournir aux meilleures équipes de conseillers du Canada une plateforme qui leur permet d’offrir une valeur exceptionnelle à leurs clients », ajoute-t-il.

Le Sutherland Group est dirigé par le gestionnaire de portefeuille et conseiller en placement Fraser Sutherland, qui a déclaré dans le communiqué que son équipe avait opté pour Canaccord parce qu’elle y voyait une « culture entrepreneuriale et une plateforme technologique qui [leur] permet d’améliorer [leur] offre à la clientèle ».

En septembre, Canaccord a racheté à CIBC Wood Gundy la société BPS Wealth Management, basée à Vancouver, qui supervise 1,4 G$ d’actifs de clients.

Stuart Raftus, chef de la direction de La Corporation Canaccord Genuity, affirme que l’ajout récent de plusieurs équipes de conseillers à Canaccord « démontre l’attrait de notre plateforme pour les conseillers d’élite ».

« Dans le secteur concurrentiel des services-conseils en gestion de patrimoine, les meilleurs conseillers recherchent activement une plateforme et un environnement qui permettent à leurs équipes de répondre à la complexité de leurs propositions de valeur et d’atteindre les résultats auxquels ils aspirent pour leurs clients », assure Stuart Raftus dans le communiqué.

Le total des actifs administrés de Canaccord a dépassé la barre des 40 G$ plus tôt cette année.

Le total des actifs des clients de l’entreprise de gestion du patrimoine mondial de Canaccord, qui englobe ses activités au Canada, en Australie, au Royaume-Uni et dans les dépendances de la Couronne, a atteint un nouveau sommet de 110 G$ au cours du dernier trimestre de l’exercice.

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Les émissions d’actions ont bondi au Canada en 2023 https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/les-emissions-dactions-ont-bondi-au-canada-en-2023/ Tue, 09 Jan 2024 12:17:22 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98357 Malgré une baisse du nombre de transaction.

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Malgré un quatrième trimestre faible, les marchés boursiers canadiens ont connu une forte hausse de l’activité des nouvelles émissions en 2023, signale LSEG Data & Analytics.

Le total des émissions d’actions a bondi de 37 % l’année dernière pour atteindre 17,7 milliards de dollars (G$), indique la société. Cette forte augmentation est survenue malgré une baisse du nombre de transactions, qui a diminué de 19 % d’une année sur l’autre.

Le solide gain enregistré en 2023 s’est également produit face au quatrième trimestre, qui a vu les émissions chuter de 47 % par rapport au trimestre précédent, selon LSEG.

Le secteur de l’énergie et de l’électricité a mené l’activité des nouvelles émissions pour l’ensemble de 2023, avec 53 % du produit total. Le secteur des matériaux s’est classé deuxième avec 17 %, suivi du secteur industriel avec une part de 7 %.

BMO Marchés des capitaux a dominé le classement général des actions, supplantant RBC Marchés des Capitaux, qui a chuté au deuxième rang.

Valeurs Mobilières TD Inc. est passée de la sixième place en 2022 à la troisième place, tandis que la Banque Scotia est demeurée à la quatrième place et que Marchés mondiaux CIBC est passée de la troisième place l’année précédente à la cinquième place.

La Scotia est en tête du classement pour l’émission de titres privilégiés, la Banque CIBC au premier rang pour les produits structurés de détail, et Canaccord Genuity et Citi se partage le leadership pour les premiers appels publics à l’épargne, constate LSEG.

LSEG indique également que les émissions de titres de créance ont augmenté de 19 % en 2023 pour atteindre 218,9 G$. Le nombre de transactions a augmenté de 28 % d’une année sur l’autre, a-t-il déclaré.

Pour ce qui est de la souscription de titres de créance, RBC a pris la première place, suivie de la TD, de la Banque CIBC, de la Scotia et de BMO. La Financière Banque Nationale a glissé au sixième rang l’an dernier, alors qu’elle occupait le premier rang en 2022.

La TD était en tête pour ce qui est de la dette publique, tandis que RBC occupait la première place sur le marché canadien des titres de créance de sociétés.

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La division de gestion du patrimoine soutient Canaccord https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/la-division-de-gestion-du-patrimoine-soutient-canaccord/ Tue, 21 Nov 2023 10:48:14 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97629 L'inflation oblige certains clients à retirer des actifs pour répondre à leurs besoins.

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Le Groupe Canaccord Genuity a déclaré un bénéfice stable et des produits d’exploitation moins élevés au cours du dernier trimestre en raison de la baisse des activités sur les marchés des capitaux et malgré des résultats plus solides en gestion du patrimoine.

La société a déclaré des produits de 337,3 millions de dollars (M$), en baisse de 11,4 % par rapport à l’année précédente, pour son deuxième trimestre d’exercice terminé le 30 septembre.

La majeure partie de la baisse provient de la division des marchés des capitaux, dont les revenus ont diminué de 29,6 % d’une année sur l’autre. À l’exclusion des éléments importants, la division a enregistré une perte de 6,3 M$ pour le trimestre.

Les produits tirés de la gestion du patrimoine mondial de Canaccord ont augmenté de 10,6 % par rapport à l’exercice précédent pour s’établir à 187,2 M$, et le bénéfice net avant impôts, compte non tenu des éléments importants, a progressé de 18,1 %.

« Notre secteur de la gestion du patrimoine a continué d’apporter une contribution stable au bénéfice, ce qui nous a permis d’atteindre le seuil de rentabilité malgré les pertes subies dans notre secteur des marchés des capitaux », a expliqué Dan Daviau, président et chef de la direction de Canaccord, le 15 novembre au matin, lors d’une conférence téléphonique avec des analystes.

Les revenus de la division canadienne de gestion de patrimoine ont diminué de 3,6 % par rapport à la même période l’an dernier, pour s’établir à 70,8 M$, mais le revenu net excluant les éléments significatifs a augmenté de 5,6 % par rapport à la même période l’an dernier, pour s’établir à 9,2 M$.

Les revenus liés aux honoraires ont représenté plus de la moitié des revenus de la division canadienne de gestion de patrimoine, soit une augmentation de cinq points de pourcentage, reflétant une augmentation des comptes à honoraires. Ces revenus « nous ont aidés à obtenir des contributions stables de cette activité malgré la réduction prolongée des activités de nouvelles émissions », a souligné Dan Daviau.

Les actifs des clients au Canada totalisaient 35,3 milliards de dollars (G$) au 30 septembre, une augmentation de 4,7 % d’une année à l’autre que Canaccord a attribuée aux entrées nettes et aux actifs nets des recrues. Toutefois, les actifs ont diminué de 5 % par rapport au trimestre précédent en raison des baisses du marché et des flux nets de clients.

Dans certains cas, l’environnement inflationniste incite les clients à retirer des actifs, a rapporté Don MacFayden, directeur financier de Canaccord, lors de la conférence téléphonique.

« Les clients subissent des pressions extérieures alors qu’ils auraient pu emprunter pour financer quelque chose, a-t-il expliqué. Maintenant, ils envisagent de ne pas emprunter et d’utiliser leurs actifs que nous aurions autrement détenus. »

Canaccord comptait 147 équipes de conseillers au Canada au 30 septembre, soit le même nombre qu’au trimestre précédent. Dan Daviau a indiqué lors de la conférence téléphonique que la société avait ajouté deux équipes de conseillers ce mois-ci, ce qui se reflétera dans les résultats du troisième trimestre.

À l’échelle mondiale, le total des actifs des clients en gestion de patrimoine s’est élevé à 93,3 G$, soit une augmentation de 4,7 G$ ou de 5,3 % d’une année sur l’autre.

La division britannique, dont les actifs s’élèvent à 52,6 G$, a généré 101 M$ de recettes au cours du trimestre. La semaine dernière, la société a annoncé qu’elle avait acquis Intelligent Capital, une société de planification financière basée à Glasgow, dont les actifs clients s’élèvent à 372 M$.

Canaccord a également engagé des frais de restructuration de 15 M$ à la suite des réductions d’effectifs annoncées en août. La société a supprimé environ 3,7 % de son effectif mondial, la majorité des départs ayant eu lieu dans le secteur des marchés des capitaux, a déclaré Dan Daviau lors de la dernière conférence téléphonique trimestrielle.

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Canaccord Genuity visé par un examen réglementaire https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/canaccord-genuity-vise-par-un-examen-reglementaire/ Tue, 04 Jul 2023 10:26:45 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94858 Une « pénalité importante » pourrait en découler.

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Groupe Canaccord Genuity a indiqué être visé par un examen réglementaire qui pourrait l’amener à payer une « pénalité importante ».

Dans un document réglementaire, la société a expliqué que l’affaire découlait d’un examen de ses activités de tenue de marché de gros. Aucun autre détail n’a été divulgué.

Canaccord a précisé s’attendre à ce que le problème soit résolu et qu’il n’ait pas une incidence importante, mais a rappelé que l’issue de l’affaire n’était pas connue.

Dans un document distinct, la société a indiqué que son président, David Kassie, prévoyait de quitter son poste de direction après l’assemblée annuelle du 4 août et de prendre sa retraite en tant que président après l’assemblée annuelle de l’an prochain.

La société a annoncé le 14 juin que le projet de rachat par la direction de l’entreprise n’aurait pas lieu puisque les conditions clés de l’offre, y compris l’obtention des approbations réglementaires requises, n’avaient pas été satisfaites à la date d’expiration de l’offre.

Canaccord Genuity avait averti en mai qu’un problème de réglementation avec l’une de ses filiales étrangères pourrait retarder l’accord et qu’il était peu probable qu’elle obtienne l’approbation d’effectuer le rachat à temps.

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Canaccord : l’échec de l’offre publique d’achat n’influe pas sur le recrutement https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/canaccord-lechec-de-loffre-publique-dachat-ninflue-pas-sur-le-recrutement/ Fri, 23 Jun 2023 11:30:43 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94720 Ni sur le moral des troupes, affirme Dan Daviau, le chef de la direction.

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L’échec de l’offre d’un groupe dirigé par la direction de Canaccord Genuity Group Inc. de privatiser la société n’a pas nui au recrutement dans le secteur canadien de la gestion de patrimoine, a déclaré lundi le président et chef de la direction, Dan Daviau, bien que le nombre d’équipes de conseillers ait légèrement diminué.

« On aurait pu penser, à première vue, qu’une partie de l’incertitude engendrée par la situation nuirait peut-être au recrutement », a déclaré Dan Daviau, lors d’une conférence téléphonique pour discuter des résultats du quatrième trimestre de la société de services financiers.

Le recrutement lors de périodes volatiles des marchés est toujours difficile, a-t-il noté, car les conseillers n’aiment généralement pas faire la transition de leur clientèle à de tels moments.

Cependant, Dan Daviau a déclaré que le pipeline de recrutement dans le secteur de la gestion de patrimoine canadienne est « aussi solide que jamais ».

La société a déclaré qu’elle comptait 145 équipes de conseillers au Canada au 31 mars, en baisse par rapport à 148 équipes à la fin du trimestre précédent, soit avant que le groupe de direction ne lance son offre publique d’achat le 9 janvier. Au 31 mars 2022, la société comptait 146 équipes.

La semaine dernière, le groupe de gestion dirigé par Dan Daviau et le président David Kassie a déclaré qu’il ne prolongerait pas son offre d’une valeur de 1,1 milliard de dollars (G$) pour privatiser la société au-delà de la date limite du 13 juin. Un problème réglementaire sans rapport avec l’une de ses filiales a fait en sorte que l’accord ne pourrait être approuvé avant la date limite liée au financement fixée au mois d’août, selon la société, ce qui a mené le conseil d’administration a recommandé aux actionnaires de rejeter l’offre.

Dan Daviau a balayé lundi les inquiétudes concernant le moral de l’entreprise à la suite de l’échec de l’offre de privatisation. Quatre membres du conseil d’administration qui faisaient partie d’un comité spécial chargé d’évaluer l’offre ont démissionné en mars après qu’ils n’aient pas appuyé l’offre de la direction.

Dan Daviau a déclaré que l’un des résultats positifs à la suite du rejet de l’offre était le soutien démontré par les employés. Le groupe ayant déposé l’offre comprenait 50 personnes, a-t-il précisé, mais 150 autres collègues avaient offert un soutien formel et environ 300 autres avaient exprimé leur intérêt envers la démarche.

« Nous avons reçu un soutien incroyable de la part des employés », a déclaré Dan Daviau. « Par conséquent, nous allons continuer à chercher des moyens d’améliorer l’actionnariat salarié dans l’entreprise dans son format actuel de société ouverte. »

Le directeur général a reconnu que l’énergie consacré au dépôt de l’offre finalement refusée avaient requis du temps de la part de plusieurs personnes. « Cela a aussi entraîné beaucoup de points négatifs, y compris de la confusion… dans le marché », a-t-il dit.

Canaccord a également déclaré que les bénéfices avaient été affectés par les coûts associés à l’offre de la direction. Un accord de statu quo conclu la semaine dernière à l’expiration de l’offre a permis le remboursement de « certaines dépenses raisonnables » engagées par le groupe de gestion.

Dan Daviau n’a pas fourni plus d’informations sur la question réglementaire qui faisait obstacle à l’accord, mais a déclaré que ce n’était « pas existentiel » pour l’entreprise. Cependant, il était clair que le problème ne serait pas résolu avant la date limite de financement d’août, a-t-il insisté, c’est pourquoi l’équipe de direction n’a pas prolongé son offre.

« L’extension se serait traduite par un coût supplémentaire, une perte de temps et aurait induit le marché en erreur », a déclaré Dan Daviau. « Il n’y avait aucune probabilité raisonnable d’y arriver dans ce laps de temps. »

Il a mentionné que la société avait discuté de la prolongation de l’accord de financement, mais n’a pas fourni plus de détails sur ces discussions.

Canaccord a déclaré une perte nette de 7,2 millions de dollars (M$) pour le trimestre, comparativement à un bénéfice net de 56,3 M$ un an plus tôt.

Les actifs sous gestion dans le secteur mondial de la gestion de patrimoine ont totalisé 96,2 G$, en hausse de 0,2 % par rapport à l’année précédente. L’actif des clients nord-américains s’élevait à 35,7 G$ au 31 mars, en baisse de 5,8 % par rapport à l’exercice précédent, mais en hausse de 2,8 % par rapport au trimestre précédent.

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Canaccord : l’offre de rachat abandonnée https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/canaccord-loffre-de-rachat-abandonnee/ Fri, 16 Jun 2023 17:28:54 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94658 Le projet était mené par des membres de la direction.

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Canaccord Genuity a indiqué mercredi que son projet de rachat par la direction de l’entreprise n’aurait pas lieu puisque les conditions clés de l’offre, y compris l’obtention des approbations réglementaires requises, n’ont pas été satisfaites à la date d’expiration de l’offre.

La société de services financiers a précisé que le groupe de direction avait décidé de ne pas prolonger l’offre au-delà de la date limite du 13 juin.

En conséquence, aucune action n’a été acquise dans le cadre de l’offre, a ajouté l’entreprise.

Le conseil d’administration de Canaccord a recommandé aux actionnaires, la semaine dernière, de rejeter la proposition puisque les conditions de l’offre ne semblaient pas en voit d’être satisfaites d’ici la date limite.

La société avait prévenu, le mois dernier, qu’un problème de réglementation avec l’une de ses filiales étrangères pourrait retarder l’accord et qu’il était peu probable qu’elle reçoive l’approbation du rachat à temps.

Le groupe de direction comprenait le chef de la direction, Daniel Daviau, et le président, David Kassie, ainsi que tous les membres du comité d’exploitation mondial de la société et d’autres employés principaux et permanents de l’ensemble de ses activités.

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Canaccord : son rachat pourrait être retardé https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/canaccord-son-rachat-pourrait-etre-retarde/ Tue, 09 May 2023 11:18:43 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=93957 Pour des raisons réglementaires.

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Groupe Canaccord Genuity a indiqué lundi qu’un problème de réglementation avec l’une de ses filiales étrangères pourrait retarder le projet de rachat par la direction de l’entreprise.

La société de services financiers a précisé que l’émission non spécifiée dans son activité sur les marchés des capitaux faisait en sorte qu’il est peu probable qu’elle reçoive l’approbation pour le rachat d’ici la date d’expiration du 13 juin. De même, la transaction pourrait ne pas être sécurisée d’ici la date d’expiration du 9 août pour les engagements de financement liés à l’accord.

Selon Canaccord, le problème n’est pas lié à l’accord et sa filiale a apporté des améliorations significatives à ses fonctions de conformité, en plus d’importants investissements supplémentaires dans du personnel et de la technologie.

Lire également : Un groupe d’employés de Canaccord Genuity propose de racheter la firme

L’entreprise n’a pas immédiatement répondu à une demande pour obtenir plus de détails sur la question réglementaire, mais a indiqué dans un communiqué de presse qu’elle s’attendait à ce que le problème soit résolu sans que cela n’ait d’impact significatif sur ses finances.

Un comité spécial de Canaccord examine toujours la proposition des dirigeants et des employés de l’entreprise, qui ont offert 11,25 $ par action pour la privatiser à une valorisation d’un peu plus de 1,1 milliard de dollars.

Le groupe d’employés comprend le chef de la direction, Daniel Daviau, et le président, David Kassie, ainsi que tous les membres du comité d’exploitation mondial de l’entreprise et d’autres employés principaux et permanents de l’ensemble de ses activités.

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Canaccord : un actionnaire réclame le retrait d’administrateurs https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/canaccord-un-actionnaire-reclame-le-retrait-dadministrateurs/ Thu, 09 Mar 2023 11:31:28 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=92432 Ceux-ci sont opposés au rachat par des employés.

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Un actionnaire de Groupe Canaccord Genuity réclame de départ de quatre administrateurs du conseil d’administration membres d’un comité spécial qui s’est opposé à une offre de rachat de l’entreprise par un groupe d’employés dirigé par la direction de l’entreprise.

Skky Capital sollicite une assemblée des actionnaires pour destituer Gillian Denham, Charles Bralver, Dipesh Shah et Sally Tennant du conseil et élire deux nouveaux administrateurs indépendants.

Lire également : Cannacord : l’offre de rachat jugée insuffisante

La firme, qui a nominé Terrence Lyons et Lars Rodert, dit avoir perdu confiance dans le comité spécial et le conseil d’administration et affirme que la vente de la société en une seule transaction, à un seul acheteur, offre une certitude de transaction à une valorisation attrayante et est préférable à une vente de ses actifs séparés.

Skky Capital, qui détient une participation de 8,8 % dans Canaccord, veut tenir l’assemblée des actionnaires le 10 mai au plus tard.

Le comité spécial a indiqué le mois dernier qu’il recommanderait aux actionnaires de ne pas accepter l’offre de rachat après qu’une évaluation indépendante préparée pour elle par la Banque Royale du Canada a placé la juste valeur marchande des actions de Canaccord dans une fourchette comprise entre 12,75 $ et 15,75 $ par action en date du 15 février.

Le groupe d’employés de Canaccord dirigé par la direction, qui a offert 11,25 $ par action pour l’entreprise, a qualifié l’évaluation de la Royale d’« irréaliste et imparfaite ».

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