Gros plan d’une femme d’affaires méconnaissable calculant les finances dans un bureau.
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Une nouvelle étude soutient qu’une répartition des investissements qui privilégie les actions internationales est toujours optimale, quel que soit l’âge de l’investisseur et quelle que soit son allocation en titres à revenu fixe.

Pour les investisseurs dont l’objectif est d’épargner pour leur retraite, cette étude remet en question des règles aussi populaires que la diversification entre les actions et les obligations, ainsi que la diminution de l’allocation en actions au fur et à mesure que l’investisseur avance en âge.

Une pondération proche d’un tiers d’actions nationales et de deux tiers d’actions internationales demeure toujours optimale, selon l’étude intitulée « Beyond the Status Quo: A Critical Assessment of Lifecycle Investment Advice », menée par Aizhan Anarkulova, Scott Cederburg et Michael S. O’Doherty, chercheurs en finances respectivement à l’Université d’Emory, à l’Université d’Arizona et à l’Université du Missouri.

Les titres à revenu fixe ne sont plus aussi rentables qu’avant

Vu la complexité des marchés à revenu fixe à l’heure actuelle, la production de rendement de revenu et la gestion du risque nécessitent une gestion active comme celle qu’offrent les FNB de titres à revenu fixe de Placements Franklin Templeton.

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Selon cette étude, cette approche optimale est plus efficace pour accumuler de la richesse, et préserver le capital.

Les chercheurs assurent qu’aucune allocation significative en titres à revenu fixe n’est nécessaire pour obtenir ce niveau de rendement optimal. Ils considèrent également que cette pondération en actions n’a pas à varier en fonction de l’âge de l’investisseur.

Cette stratégie optimale procure des résultats si élevés que les investisseurs en fonds à date cible devraient épargner 63 % de plus avant leur retraite pour obtenir les mêmes performances.

L’étude prévient cependant qu’une telle stratégie vient avec un niveau de variabilité élevée, incluant des pertes potentielles à court terme. Un écart significatif entre le pic et le creux des investissements est attendu, jusqu’à 55 % en période d’activité professionnelle et 47 % au cours de la retraite.

Par ailleurs, cette stratégie n’élimine pas totalement le risque de manquer d’argent, même si elle se montre plus performante pour les investisseurs qui vivent longtemps. Un autre élément à considérer est que cette stratégie crée une dépendance importante aux actions internationales.