Programme des gestionnaires en émergence du Québec (PGEQ) – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Fri, 06 Jun 2025 13:22:06 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.1 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Programme des gestionnaires en émergence du Québec (PGEQ) – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Des associations s’allient pour soutenir les entrepreneurs en gestion d’actifs https://www.finance-investissement.com/zone-experts_/aima/des-associations-sallient-pour-soutenir-les-entrepreneurs-en-gestion-dactifs/ Fri, 06 Jun 2025 13:22:06 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=107933 ZONE EXPERTS – Ils proposent de nouvelles solutions politiques à cet égard.

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Le 30 avril 2025, quatre associations professionnelles et sectorielles de premier plan — l’AIMA (Alternative Investment Management Association) Canada, la CFA Societies Canada, le Conseil des gestionnaires en émergence (CGE) et l’Association des gestionnaires de portefeuille du Canada (AGPC) ont lancé conjointement la nouvelle Alliance canadienne pour l’entrepreneuriat en matière de gestion d’actifs (CAMEA) afin d’officialiser publiquement leur prise de position commune sur ce sujet.

Parallèlement à ce lancement, la CAMEA a publié une série élargie de recommandations politiques destinées à amorcer des conversations sur les façons dont les diverses parties prenantes peuvent travailler à l’amélioration des conditions pour les entrepreneurs en gestion d’actifs au Canada.

Devant l’intensification de la concurrence mondiale, l’augmentation des coûts opérationnels, la consolidation croissante du secteur et le déclin de l’entrepreneuriat canadien dans le domaine de la gestion d’actifs, la CAMEA plaide en faveur d’un effort concerté des parties prenantes de cette industrie dans les secteurs public et privé du pays afin d’envisager diverses solutions politiques visant à stimuler l’entrepreneuriat canadien dans le domaine de la gestion d’actifs.

Ces solutions, de grande portée, peuvent être mises en œuvre. Elles comprennent la création d’une stratégie de développement économique axée sur le secteur, avec une agence de développement économique dédiée, la mise en œuvre d’incitations fiscales ciblées, la fourniture de capital d’investissement pour les entreprises nouvelles et émergentes par le biais d’un programme structuré pour les nouveaux gestionnaires, et la mise en place d’un cadre réglementaire plus rationalisé, harmonisé et compétitif.

Elles sont conçues pour pouvoir être soutenues par un large éventail d’acteurs du secteur, y compris tous les niveaux du gouvernement, les régulateurs, les investisseurs institutionnels, les organisations du secteur financier, ainsi que les organisations de développement économique.

Nombre de ces propositions s’inspirent de modèles comparables qui ont fait leurs preuves dans le monde entier, notamment aux États-Unis, aux Bermudes, en Irlande, à Dubaï et en Suisse, ainsi que d’initiatives locales telles que le Programme des gestionnaires en émergence du Québec et Finance Montréal. Voici la liste complète des propositions politiques de la CAMEA.

Les dirigeants impliqués dans l’Alliance ont souligné l’urgence et l’esprit de collaboration qui ont présidé au lancement de la CAMEA.

Claire Van-Wyk-Allan, directrice générale, responsable du Canada et de l’Engagement des investisseurs, des Amériques, de l’AIMA et cofondatrice de la CAMEA, a commenté ainsi :

L’AIMA est fière d’être un membre fondateur de la CAMEA et de continuer à défendre la prochaine génération d’entrepreneurs canadiens en matière de gestion d’actifs. Dans le contexte mondial actuel, où persistent les pressions internationales telles que les tarifs douaniers, il est impératif que notre secteur local de la gestion d’actifs soit aligné sur la réussite et la croissance. Les politiques proposées sont conçues pour diriger davantage de capitaux et de talents vers les entreprises locales, afin de favoriser l’innovation, la croissance de l’emploi et la vitalité économique dans tout le Canada. Nous exhortons les décideurs politiques et les investisseurs du pays à reconnaître et soutenir cette occasion de renforcer notre leadership dans la finance mondiale et la gestion d’actifs.

Michael Thom, directeur général de CFA Societies Canada et cofondateur de la CAMEA, a dit pour sa part :

Le Canada est fier d’avoir su tirer parti de ses talents et de ses institutions pour créer des organisations financières enviées par le monde entier. Nos banques, les fonds de pension du modèle Maple et les principales compagnies d’assurance ont prouvé que le Canada est capable de se surpasser. Nous pensons que la gestion d’actifs au Canada devrait être ajoutée à cette liste en stimulant la croissance économique, en construisant la prochaine génération de réussites canadiennes et, en dernier lieu, en créant des entreprises de gestion d’actifs basées au Canada qui soient championnes au niveau mondial.

Charles Lemay, président du Conseil des gestionnaires émergents (CGE) et associé chez Walter Global Asset Management, a partagé son point de vue en ces termes :

La mission du Conseil des gestionnaires en émergence est d’éduquer et de promouvoir les gestionnaires émergents canadiens, et le fait d’être associé à la CAMEA fait partie de notre mission. Nous croyons fermement que nous avons été en mesure de construire une plateforme pour les entrepreneurs afin qu’ils puissent échanger des idées et des solutions, mais nous avons maintenant besoin des allocataires au niveau provincial et national pour soutenir les petites et moyennes entreprises capables de créer de bons emplois pour les Canadiens talentueux. Nous avons connu un certain succès avec le Programme des gestionnaires en émergence du Québec (PGEQ), et nous avons besoin que ce succès soit reproduit dans l’ensemble de notre grand pays.

Katie Walmsley, présidente de l’Association des gestionnaires de portefeuille du Canada (AGPC), a précisé :

L’Association des gestionnaires de portefeuille du Canada est fière de participer à l’initiative de la CAMEA. Il est essentiel de soutenir les sociétés de gestion d’actifs émergentes pour assurer la solidité et l’indépendance du secteur de la gestion fiduciaire d’actifs au Canada. Non seulement ces sociétés stimulent l’innovation et introduisent de nouvelles perspectives dans le paysage de l’investissement, mais elles créent également de précieuses possibilités d’emploi et de développement professionnel dans tout le pays. Leurs contributions aident à renforcer l’avenir financier des investisseurs individuels, des retraités, des régimes de retraite et d’autres investisseurs institutionnels, tout en améliorant la résilience et la compétitivité globales de l’économie canadienne.

L’Alliance canadienne pour l’entrepreneuriat en matière de gestion d’actifs (CAMEA) a pour mission de favoriser la croissance de l’esprit d’entreprise dans le secteur de la gestion d’actifs au Canada, mais aussi d’assurer la vitalité du secteur de la gestion d’actifs dans le pays et d’encourager la prochaine génération d’entreprises de gestion d’actifs championnes au niveau mondial.

Pour en savoir plus ou vous impliquer, vous êtes invités à consulter le site www.investwithcanada.ca

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S’initier intelligemment à l’investissement alternatif en contexte canadien https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/sinitier-intelligemment-a-linvestissement-alternatif-en-contexte-canadien/ Tue, 20 May 2025 10:07:14 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=107489 Claire Van Wyk-Allan, de l’AIMA Canada, offre sa perspective.

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Depuis longtemps prisés et popularisés par le modèle « Maple » dans le domaine institutionnel, les placements alternatifs coulent aussi de plus en plus de source dans l’univers de la gestion de patrimoine au Canada en raison des périodes de volatilité des marchés auxquelles font face les investisseurs.

En effet, selon Claire Van Wyk-Allan, directrice générale, analyste agréée en placements non traditionnels, responsable du Canada et de l’engagement des investisseurs pour les Amériques de l’Alternative Investment Management Association (AIMA), les conseillers ont intérêt à considérer ce type de classe d’actifs en raison de la diversification, des rendements non corrélés et de la protection contre les fluctuations des marchés qu’ils offrent potentiellement.

Néanmoins, cette dernière rappelle qu’allouer plus de place à l’investissement non traditionnel dans le portefeuille des clients intéressés reste une bonne idée dans la mesure où les conseillers sont prêts à se renseigner adéquatement. « Il faut bien saisir la nature de la balance entre la liquidité des produits la composition des actifs sous-jacents, la fréquence des rachats, et les implications structurelles de ce type de placements, par exemple », souligne Claire Van Wyk-Allan.

Elle ne cache pas que ce type de produits requièrent des niveaux de vérifications additionnels et nécessitent aussi une documentation plus volumineuse à préparer. L’accessibilité de certains investissements peut aussi nécessiter des fonds supplémentaires, ce qui requiert une compréhension accrue des systèmes de distribution et des exigences opérationnelles. Les conseillers doivent donc être en mesure de bien transmettre l’information qui est importante pour leurs clients intéressés par de tels investissements.

Des outils concrets

Les conseillers à la recherche d’informations sur le sujet ont tout intérêt à consulter dans un premier temps le site Internet de l’AIMA Canada, estime Claire Van-Wyk-Allan. Ils y trouveront un questionnaire de diligence pour les guider en lors de leur entretien avec des gestionnaires de fonds. Comment bien choisir son spécialiste des Alts ? « Comme pour tout autre type d’investissement, il est important d’évaluer la culture du gestionnaire, sa gouvernance, les mécanismes de gestion des conflits d’intérêts, et les politiques de gestion des risques », dit-elle.

Voici par exemple, cinq questions essentielles tirées de ce questionnaire portant sur le crédit privé :

  1. Comment le gestionnaire d’investissement identifie-t-il les emprunteurs potentiels ?
  2. Quelle est la maturité cible typique des prêts recherchés ?
  3. Comment les modalités de remboursement des prêts octroyés sont-elles généralement structurées ?
  4. Quels types de déclarations, de garanties et de clauses restrictives (ou conventions) les emprunteurs doivent-ils fournir et quels sont les collatéraux (ou couvertures) exigés ? Comment cela est-il contrôlé ?
  5. Quelle est la politique du gestionnaire en matière de prêts en difficulté ou de créances douteuses, et quel est son historique de performance à cet égard ?

Quelques idées reçues

Il est relativement aisé d’investir dans les placements alternatifs par l’intermédiaire de fonds communs de placement et de fonds négociés en Bourse. Cependant, ce type de placements ne représente qu’une fraction de l’univers des Alts. Un client qui cherche à diversifier son portefeuille pourrait trouver son bonheur avec les placements illiquides, comme la dette privée, estime Claire Van Wyk-Allan. « Cela peut représenter une belle occasion pour ces investisseurs de considérer des produits alternatifs qui ne sont pas publics. De nombreuses entreprises demeurent privées et en les écartant, les investisseurs ratent des occasions intéressantes », fait-elle valoir. La dirigeante ajoute que tout investissement doit évidemment correspondre au niveau de risque de l’investisseur, s’avérer pertinent au sein de son portefeuille et être conforme à la réglementation en vigueur au Canada, qui comporte certaines spécificités dans le cas des Alts.

Une autre idée reçue, selon Claire Van Wyk-Allan, concerne les frais. Ils sont souvent perçus comme trop élevés, déplore-t-elle. « Si les frais sont justifiés par une réelle valeur ajoutée, que ce soit la diversification, des revenus non corrélés, une meilleure protection ou un accès à des occasions uniques, ils sont pertinents. Il faut considérer les avantages pour le portefeuille de façon globale », nuance-t-elle.

Profiter d’une culture en expansion et du succès québécois

En tant que dirigeante d’un regroupement dédié à la promotion de l’industrie de la gestion alternative au Canada, Claire Van Wyk-Allan, elle est d’avis qu’il est de plus en plus aisé pour les conseillers qui envisagent d’intégrer les placements non traditionnels dans les portefeuilles de leurs clients, de trouver de l’information et des outils pour le faire. Elle met d’ailleurs de l’avant rôle que l’AIMA joue auprès des gestionnaires d’actifs, notamment de facilitatrice de partenariats entre les différentes parties prenantes concernées à travers le Canada. Elle cite en exemple un renforcement de collaboration entre l’Association et la Canadian Asset Management Entrepreneurship Alliance (CAMEA). « Nos objectifs sont l’amélioration de la formation, la sensibilisation réglementaire et la création et le maintien de partenariats régionaux », explique-t-elle.

Le dynamisme observé au Québec avec la création du Programme des gestionnaires en émergence du Québec (PGEQ), qui donne la part belle à un volet dédié aux placements alternatifs, et le soutien que ce type d’initiative récolte de la part de Finance Montréal, constituent d’ailleurs une inspiration pour l’AIMA dans ses actions à travers le pays.

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Stratège de l’IA https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/stratege-de-lia/ Mon, 14 Apr 2025 10:47:39 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106324 Il réinvente la gestion de portefeuille.

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Carl ­Dussault est ­président-directeur général d’Evovest, une firme de gestion de portefeuille qui se démarque par son utilisation de l’intelligence artificielle (IA) dans la gestion d’actifs. « L’automatisation permet de réduire les biais humains et de maximiser l’efficacité des analyses. Nos algorithmes peuvent analyser des milliers d’actions quotidiennement, ce qui permet de dégager une valeur ajoutée pour nos clients », ­dit-il.

C’est au secondaire que sa passion pour la finance a pris forme, lui qui feuilletait quotidiennement les pages économiques des journaux. Une rencontre avec une représentante de ­HEC ­Montréal lors d’une journée d’orientation scolaire allait concrétiser son choix de carrière. « ­Dans le dépliant promotionnel, il y avait le titre de gestionnaire de portefeuille. Après m’être informé sur ce domaine, je n’ai plus jamais regardé en arrière », confie-t-il.

Il a fait ses premiers pas dans l’industrie comme stagiaire à la Banque Nationale. Il a ensuite travaillé à BMO Nesbitt Burns comme conseiller avant de se joindre à Intact Assurance comme gestionnaire de portefeuille en octobre 2012. C’est là qu’il a découvert le potentiel des technologies émergentes.

En 2016, il prend un virage décisif. Convaincu que l’intelligence artificielle peut transformer la gestion de portefeuille, il quitte son emploi pour fonder Evovest. Son approche est novatrice : utiliser l’apprentissage machine pour prédire quelles actions surpasseront leur indice de référence. Deux ans plus tard, la firme obtient son permis de l’Autorité des marchés financiers (AMF) et met en marché son premier produit en 2019.

Sur cinq ans, Evovest ­Actions ­Mondiales affiche un rendement avant les frais de gestion et d’exploitation de 13,3 % par rapport à 7,7 % pour l’indice ­MSCI ­World ­EW, tout en affichant une volatilité moindre que celle de cet indice.

Le lancement d’un fonds négocié en ­Bourse (FNB) en partenariat avec la ­Banque ­Nationale en mars 2024 marque un tournant. Baptisé ­FNB ­Actions ­Mondiales Evovest (EVO), ce produit rend la stratégie accessible à un plus large public.

La croissance de ses actifs est au ­rendez-vous, Evovest en gérant 170 millions de dollars (M$). Avec une équipe de huit personnes, l’entreprise démontre que la taille n’est pas un frein à la performance. « ­On a plusieurs années d’historique de rendement, ce qui nous met en avant de la parade alors que d’autres commencent tout juste à lancer des produits utilisant l’IA », se réjouit Carl Dussault. L’entreprise a aussi reçu une reconnaissance importante du ­Programme des gestionnaires en émergence du ­Québec (PGEQ), qui lui a accordé un second mandat de près de 75 M$ pour le lancement du ­Fonds Evovest marché neutre mondial.

Pour souligner ce parcours, le jury du ­Top des leaders de l’industrie financière lui accorde une mention ­Coup de cœur dans la catégorie ­Sociétés de gestion indépendante. « ­Il dirige une entreprise en croissance et innovante, mariant gestion de portefeuille et intelligence artificielle. Ses efforts en matière de facteurs environnementaux et sociaux sont dignes de mention, tout comme ses efforts pour redonner à la communauté. Bravo ! »

Sur le plan social, Carl Dussault et son équipe participent activement à des initiatives comme  Technovation et VersaFi (anciennemment Women in Capital Markets), contribuant à promouvoir la diversité dans le secteur financier. La firme soutient également la relève en finance à travers des partenariats avec la ­Fondation HEC, offrant des bourses et des débouchés aux étudiants.

Malgré ces progrès, Carl Dussault reste lucide. Si l’entreprise approche de la rentabilité pour 2025, il prévoit continuer de réinvestir les profits dans sa croissance. Son prochain défi ? ­Développer des outils qui rapprocheraient l’IA du travail d’un analyste traditionnel, en maintenant une approche qui réduit les biais humains dans la gestion de portefeuille.

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Partenariat entre Mageska Capital et Nymbus Capital https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/partenariat-entre-mageska-capital-et-nymbus-capital/ Thu, 20 Feb 2025 12:32:34 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105592 PRODUITS — Concernant la gestion d’une portion du Fonds Mageska.

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Mageska Capital, une firme spécialisée en gestion d’investissements établie à Laval, a choisi de confier à Nymbus Capital la gestion d’une portion du Fonds Mageska « pour mettre en œuvre une stratégie d’alpha portable », indique l’entreprise par communiqué.

Nymbus Capital, une firme montréalaise de gestion d’actifs ayant développé une approche systématique et quantitative, est reconnu pour son expertise dans les stratégies à faible volatilité et décorrélées des indices traditionnels. « Cette collaboration vise à rehausser le potentiel de rendement global du Fonds Mageska tout en réduisant sa corrélation avec son indice de référence », indique-t-on.

Les deux entreprises affirment partager une vision commune de l’investissement, « alliant innovation, technologie et discipline pour offrir aux investisseurs des solutions performantes et durables ».

Fondée en 2022, Mageska Capital a développé un outil exclusif appelé M-LAB, qui intègre intelligence artificielle et machine learning. Il permet d’identifier les tendances du marché et facilite la prise de décisions, adaptées au contexte économique du moment.

Le Fonds Mageska a pour objectif d’améliorer le rapport risque-rendement d’un portefeuille diversifié. Il investit dans des Fonds négociés en Bourse (FNB) et son niveau de risque est de : moyen.

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Le PGEQ confie 50 M$ supplémentaire à Tonus Capital https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/le-pgeq-confie-50-m-supplementaire-a-tonus-capital/ Wed, 19 Feb 2025 11:55:22 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105595 Cet investissement s’ajoute au mandat confié en 2021.

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Le programme des gestionnaires en émergence du Québec (PGEQ), près de 4 ans après avoir sélectionné une première fois Tonus Capital, offre à la firme de Montréal une allocation additionnelle d’un montant de 50 M$ dans sa stratégie d’actions américaines à petite capitalisation.

Fondée en 2007 et dirigée par Philippe Hynes, Tonus Capital se spécialise dans la gestion d’actions à petite et moyenne capitalisation en Amérique du Nord. L’analyse fondamentale et l’approche valeur sont à la base de la recherche effectuée par son équipe. Préconisant l’indépendance et une connaissance approfondie de ses investissements, Tonus effectue ses propres analyses et des modélisations financières axées sur la quête d’entreprises de qualité se négociant sous leur valeur intrinsèque.

L’objectif de la stratégie d’actions américaines à petite capitalisation est de maximiser les rendements sur un horizon long terme en investissant de manière responsable et en contrôlant les risques afin de protéger le capital en période de marchés baissiers.

Cette allocation s’inscrit dans le cadre de l’engagement du PGEQ à confier des mandats structurants à des gestionnaires émergents afin d’accélérer leur croissance.

« Grâce à cette nouvelle allocation, nous désirons encourager Tonus à poursuivre ses développements pour atteindre ses objectifs en matière de croissance. Philippe est un exemple de succès avec une approche d’investissement alliant rigueur et discipline. Nous sommes heureux de supporter une stratégie qui mérite et aspire à une reconnaissance accrue de la part des investisseurs institutionnels », a indiqué Isabel Trépanier, directrice, Gestion des programmes PGEQ et Investi.

Ce partenariat avec le PGEQ permettra à Tonus Capital de renforcer ses investissements opérationnels tout en augmentant sa visibilité auprès des investisseurs locaux, nationaux et internationaux, a signalé Philippe Hynes, président et chef de la direction de Tonus Capital.

« Le Québec a vu émerger plusieurs firmes prospères dans la gestion de fonds de petites capitalisations, et Tonus Capital est déterminé à jouer un rôle clé dans l’expansion de cette spécialisation prometteuse », a ajouté le dirigeant.

Le PGEQ bénéficie de la collaboration de 12 investisseurs institutionnels québécois et offre, par le biais d’Innocap, un cadre institutionnel rigoureux pour l’accompagnement des gestionnaires, la gouvernance, la vérification diligente, la gestion des risques et le suivi en continu des firmes de gestion impliquées dans le programme.

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Vision 2027 https://www.finance-investissement.com/zone-experts_/aima/vision-2027/ Fri, 17 Jan 2025 11:24:38 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104943 ZONE EXPERTS — La feuille de route des placements non traditionnels d’AIMA Canada et du manuel des placements non traditionnels 2024 sont maintenant disponibles.

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Le dynamisme du marché canadien des placements non traditionnels n’a jamais été aussi grand.

L’intérêt et les investissements dans les stratégies non traditionnelles continuent de croître dans les canaux institutionnels, familiaux et patrimoniaux. Le Canada peut s’enorgueillir d’un marché des fonds spéculatifs en croissance constante, qui atteint aujourd’hui près de 138 milliards de dollars américains (G$ US) selon Preqin. Les placements non traditionnels liquides, dont l’actif sous gestion a dépassé les 30 milliards de dollars canadiens (G$) en cinq ans, ont favorisé l’accès aux placements non traditionnels dans les circuits patrimoniaux, dans une structure qui continue d’évoluer grâce à diverses exemptions afin d’aligner au mieux les structures sur les stratégies.

Les gestionnaires mondiaux distribuent de plus en plus de produits non seulement aux institutions, mais aussi maintenant aux canaux de distribution patrimoniaux, ce qui permet aux investisseurs de bénéficier d’un choix et d’un accès supplémentaires aux placements non traditionnels. La proposition actuelle de la Commission des opérations de bourse concernant les actifs à long terme ne manquera pas d’apporter à l’avenir des structures plus souples pour les placements non traditionnels.

Cependant, partout dans le monde, la concurrence pour les capitaux, les coûts opérationnels et la charge réglementaire augmentent pour les gestionnaires de produits non traditionnels. La consolidation est également importante, PwC estimant que la moitié des actifs sous gestion seront contrôlés par 10 sociétés d’ici 2027.

Le Québec est fier de son programme de gestionnaires émergents qui soutient les nouveaux et les petits gestionnaires de la province. Alors que le Canada est confronté à un déficit d’entrepreneuriat en général, moins de la moitié des personnes lancent de nouvelles entreprises qu’il y a 20 ans, selon la BDC. De nouveaux programmes à travers le pays pourraient contribuer à encourager la création de fonds d’investissement gérés localement et à positionner les talents canadiens pour qu’ils continuent à diriger la gestion d’actifs à l’échelle mondiale dans les années à venir.

AIMA Canada s’engage à assurer des règles du jeu équitables où la réglementation locale est cohérente à l’échelle mondiale et où l’accès des gestionnaires canadiens au capital est juste et solide.

Dans la Vision 2027 d’AIMA Canada pour les placements non traditionnels au Canada, les thèmes suivants ressortent afin de faire croître notre marché des placements non traditionnels avec dynamisme à court terme et dans les années à venir :

  1. Soutien accru aux nouveaux gestionnaires d’actifs

Il pourrait s’agir de programmes provinciaux, nationaux ou indépendants supplémentaires ou de services partagés afin de minimiser les coûts opérationnels d’excellence et d’augmenter les capitaux alloués à un plus grand nombre de gestionnaires et de fonds au niveau national.

  1. Amélioration de l’alignement réglementaire sur d’autres juridictions et structures de premier plan

Il pourrait s’agir de délais d’enregistrement améliorés, d’exigences de compétence moins prohibitives, d’un enregistrement préalable confidentiel, d’un système provincial harmonisé, de la possibilité d’adopter des frais de transfert, d’une exemption codifiée pour les fonds non traditionnels relevant du règlement 81-102 sur les fonds d’investissement.

  1. Réduction des obstacles à l’adoption des canaux de distribution de la richesse

Il peut s’agir d’un meilleur accès aux tablettes pour les gestionnaires tiers et les fonds de toutes tailles et de tous horizons, de notations de risque qui s’alignent sur la performance historique ajustée au risque du fonds ou de la stratégie, de catégories élargies de fonds alternatifs du CIFSC, de processus KYP de réformes axées sur le client qui comparent les fonds longs et non traditionnels, de solutions automatisées qui améliorent l’efficacité du flux de travail tout en minimisant la paperasserie ou de minimisation des exigences en matière de compétences.

  1. Renforcement de l’engagement des talents de la nouvelle génération

Il pourrait s’agir de la participation d’un plus grand nombre de nouveaux talents aux initiatives du secteur, de l’amélioration des pratiques de DE&I dans les entreprises, de l’inclusion dans l’enseignement secondaire et universitaire afin de garantir un solide vivier de successeurs.

  1. Placements non traditionnels dans les médias grand public

Il pourrait s’agir d’un plus grand nombre d’articles sur les actifs, les stratégies et les gestionnaires de produits non traditionnels et d’un plus grand nombre de mentions dans la presse des travaux de recherche de l’AIMA ou de ses leaders d’opinion.

Tous les participants du secteur jouent un rôle dans la réalisation de ce qui précède et dans l’évolution des placements non traditionnels. L’AIMA se réjouit de continuer à travailler avec les parties prenantes de l’ensemble de notre secteur pour concrétiser cette vision.

Par Claire Van Wyk-Allan, directrice générale, analyste agréée en placements non traditionnels, responsable du Canada et de l’engagement des investisseurs pour les Amériques de l’AIMA

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Nomination stratégique chez BeeQuest https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/nomination-strategique-chez-beequest/ Wed, 18 Dec 2024 12:45:53 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104610 NOUVELLES DU MONDE — Pour renforcer l’expérience client.

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La firme de gestion d’actifs spécialisée en investissement responsable BeeQuest a annoncé l’arrivée de Nadine Tabet au poste de vice-présidente, Expérience client et Solutions institutionnelles. Ce recrutement s’inscrit dans une stratégie de croissance appuyée récemment par une deuxième allocation du Programme des gestionnaires en émergence du Québec (PGEQ), d’un montant de 50 millions de dollars.

Actuaire expérimentée, Nadine Tabet quitte AON, où elle occupait depuis avril 2022 le poste d’associée au sein de l’équipe des services-conseils en régimes de retraite. Forte de plus de 18 années d’expérience dans l’industrie, elle s’est spécialisée dans les régimes de retraite, notamment dans le secteur public.

Une grande partie de sa carrière s’est déroulée chez Solutions Mieux-être LifeWorks (anciennement Morneau Shepell), où elle occupait le poste d’associée adjointe, Solutions de retraite et financières, avant que l’entreprise soit acquise par Telus.

Outre son parcours professionnel, Nadine Tabet s’est investie dans l’enseignement universitaire. Elle a donné plusieurs cours en conception et évaluation des régimes de retraite dans le cadre du programme d’actuariat de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), où elle a obtenu un baccalauréat en actuariat en 2004.

Elle siège également au conseil d’administration de l’Association de la retraite et des avantages sociaux du Québec (ARASQ) et détient les titres de Fellow de la Society of Actuaries (FSA) et de l’Institut canadien des actuaires (FICA).

« Profondément engagée à assurer la satisfaction de ses clients, Nadine s’est toujours consacrée à trouver des solutions innovantes pour aider ses clients à atteindre leurs objectifs », a souligné BeeQuest dans un message publié sur LinkedIn.

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PGEQ : un nouveau mandat est confié pour le volet « placements alternatifs » https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/pgeq-un-nouveau-mandat-est-confie-pour-le-volet-placements-alternatifs/ Tue, 22 Oct 2024 11:10:04 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103599 La valeur du mandat s’élève à 50 M$.

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Le Programme des gestionnaires en émergence du Québec (PGEQ) a sélectionné la firme Converium Capital afin de lui confier la gestion d’un mandat de fonds de couverture au sein du volet alternatif du programme.

Converium, une firme de Montréal fondée en 2020 se voit ainsi confier un mandat de 50 millions de dollars (M$) qui sera investi dans leur produit phare de type multistratégies opportuniste.

La stratégie gérée par Converium combine de multiples stratégies à l’échelle mondiale et dans différentes catégories d’actifs. Converium préconise une approche à contre-courant (contrarian) qui le positionne comme un fournisseur de liquidités, en particulier lors d’épisodes de détresse financière ou de dislocations des marchés. La stratégie met l’accent sur le crédit opportuniste mais cible également des opportunités d’engagement, d’arbitrage de structure de capital et d’événements de marché telles que les restructurations et les scissions d’entreprise.

L’objectif visé par la stratégie est de générer des rendements positifs, sans corrélation positive à long terme aux actifs traditionnels, quel que soit l’environnement macroéconomique. Par l’entremise d’une gestion contrôlée des risques financiers, la stratégie met une emphase importante sur la préservation du capital tout en cherchant à minimiser l’effet de levier du portefeuille.

Converium a été co-fondée par Aaron Stern et ses partenaires Michael Rapps et Elliot Ruda. Après avoir passé une quinzaine d’années à New York, Aaron Stern, un ancien étudiant de l’université McGill, est revenu s’établir à Montréal pour lancer sa firme d’investissement. Auparavant, il a travaillé pendant une dizaine d’années au sein de la société new-yorkaise Fir Tree Partners à titre d’associé et directeur général avec son partenaire Elliot Ruda qui agissait comme négociateur en chef. Michael Rapps, ex-PDG de Clarke, un conglomérat diversifié de Halifax, dirige les investissements axés sur l’engagement, la restructuration et l’activisme au sein de la firme.

« Converium Capital est fière d’être le premier gestionnaire à se voir confier un mandat visant des placements avec des périodes de détention prolongées, a expliqué Aaron Stern, co-fondateur et chef des Placements de Converium. En tant que membre de l’écosystème financier québécois, nous sommes ravis de nous associer au PGEQ afin de générer des rendements pour ce programme important et pour les investisseurs institutionnels du Québec qui le soutiennent. »

François Rivard, chef de la direction, Innocap, s’est pour sa part dit « très enthousiaste d’accueillir une autre firme émergente prometteuse au sein du PGEQ ». Selon lui, Converium, « menée par une équipe de professionnels chevronnés et la passion de son co-fondateur et chef des placements Aaron Stern, possède de nombreux atouts pour poursuivre sa croissance auprès de la clientèle institutionnelle. »

Rappelons que le PGEQ a pour mandat de favoriser l’essor de l’entrepreneuriat financier au Québec en offrant aux investisseurs institutionnels des stratégies de placement diversifiées, gérées par des gestionnaires québécois en émergence indépendants. Ce projet a vu le jour en 2016 dans le cadre des travaux du chantier Entrepreneuriat de Finance Montréal, en collaboration avec des firmes établies de gestion de portefeuille.

Le PGEQ bénéficie présentement de la collaboration de 12 investisseurs institutionnels québécois et offre, par le biais d’Innocap, un cadre institutionnel rigoureux pour l’accompagnement des gestionnaires, la gouvernance, la vérification diligente, la gestion des risques et le suivi en continu des firmes de gestion impliquées dans le programme.

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