marchés privés – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Tue, 09 Dec 2025 12:42:08 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.9 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png marchés privés – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 La volatilité nourrit les marchés privés https://www.finance-investissement.com/nouvelles/la-volatilite-nourrit-les-marches-prives/ Tue, 09 Dec 2025 12:42:08 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=111324 Sous la pression des risques politiques et de la volatilité des marchés, les fondations et les fonds de dotation canadiens orientent de plus en plus leurs actifs vers les marchés privés, selon le sondage annuel de Mercer.

Cette tendance rejoint les conclusions de l’enquête mondiale de Mercer, selon laquelle la volatilité des marchés (83 %) et le climat politique, tant national qu’international (82 %), figurent parmi les principaux risques auxquels sont confrontées les organisations.

Ces préoccupations demeurent vives, notamment au sujet des politiques commerciales des États-Unis et de leurs effets potentiels sur l’économie canadienne, pointe Mercer.

La firme observe toutefois des distinctions entre les petites et les grandes organisations. Les organisations les plus petites, soit celles ayant moins de 100 millions de dollars (M$) d’actifs sous gestion (ASG), consacrent en moyenne 14,7 % de leurs actifs aux marchés privés. Les plus grandes, celles ayant plus de 500 M$ d’ASG, sont plus résolument tournées vers ces marchés en leur allouant 32,3 % de leurs actifs.

De plus, les petites organisations se tournent davantage vers les actions publiques, avec 52,8 % des actifs investis dans cette catégorie d’investissement, dont 13,4 % dans les actions canadiennes.

Les grandes organisations sont plus réservées quant à leurs investissements dans les actions publiques (48,5 %), et investissent presque deux fois moins dans les actions canadiennes comparativement aux plus petites organisations, soit 7,2 %.

Enfin, le rendement médian sur cinq ans s’établit à 7,6 %, ce qui est en dessous des 9,15 % nécessaires pour atteindre le seuil de rentabilité en dollars réels, c’est-à-dire en tenant compte de l’inflation, des distributions et des dépenses. L’année 2022 a été la seule année pour laquelle le rendement médian annuel a été inférieur à 9,15 % lors des cinq années qui viennent de s’écouler.

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Comment gérer le risque de liquidité des clients sur les marchés privés https://www.finance-investissement.com/nouvelles/comment-gerer-le-risque-de-liquidite-des-clients-sur-les-marches-prives/ Thu, 27 Nov 2025 12:57:12 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=111022 Les fonds des marchés privés comportent intrinsèquement des contraintes de liquidité, mais ces produits sont plus nuancés qu’il n’y paraît.

Lors d’un webinaire tenu le mois dernier, Nimar Bangash et Puneet Grewal, cofondatrices de la plateforme torontoise d’investissements alternatifs Obsiido, ont expliqué comment les conseillers en services financiers peuvent gérer le risque de liquidité de leurs clients sur les marchés privés, en particulier dans le cas des fonds evergreen, qui est un fonds d’investissement sans date de fin prédéterminée.

Voici quelques-uns des conseils qu’elles ont partagés, alors que plusieurs gestionnaires de fonds ont récemment gelé ou limité les rachats dans certains fonds de marchés privés.

Toutes les formes d’illiquidité ne sont pas égales

Les conseillers doivent garder à l’esprit que « toutes les formes d’illiquidité ne se valent pas », avertit Puneet Grewal, également chef de l’exploitation d’Obsiido et avocate spécialisée en valeurs mobilières.

« La première étape consiste vraiment à examiner et comparer les modalités de liquidité de chaque investissement », soutient-elle.

« En se concentrant sur la fréquence des rachats, les clauses de limitation, les exigences de préavis, les périodes de blocage, etc., il est important de comprendre que, même entre des stratégies très similaires, ces détails peuvent varier de manière considérable. Et ces différences seront cruciales lorsque les marchés se resserrent ou qu’une tension de liquidité survient. »

Les fonds fermés et les fonds evergreen ont tous deux des périodes de blocage qui déterminent la fréquence des rachats possibles, explique-t-elle.

Les fonds fermés comportent une période de blocage stricte (hard lock-up) soit une période donnée pendant laquelle aucun rachat n’est permis, généralement de 10 à 12 ans.

Les fonds evergreen ont eux aussi une période de blocage stricte, habituellement de un à trois ans, mais ils peuvent aussi être assortis d’une période de blocage souple (soft lock-up), qui permet des rachats anticipés moyennant des frais ou pénalités.

Chaque fois qu’un investisseur effectue un nouvel investissement dans un fonds evergreen, une nouvelle période de rachat anticipé s’applique, précise Puneet Grewal.

Suivre les investissements de près

Les conseillers doivent suivre de près les périodes de préavis pour les demandes de rachat, les dates limites correspondantes, ainsi que les dates de paiement des produits de rachat.

Par exemple, pour les fonds evergreen, les investisseurs doivent généralement aviser le gestionnaire de fonds de leur demande de rachat 30 à 90 jours à l’avance. S’ils manquent la date limite, leur demande est reportée à la période suivante.

« Ce qui pouvait sembler être une opportunité de liquidité trimestrielle peut facilement se transformer en une attente de six mois, voire davantage », prévient Puneet Grewal.

Elle recommande, comme meilleure pratique, de tenir un calendrier détaillé pour consigner ces informations.

Prendre note des clauses de limitation de rachat

Les conseillers doivent aussi examiner les clauses de limitation des rachats (gate provisions) dans la documentation des fonds.

Ces clauses permettent aux gestionnaires de limiter ou suspendre les rachats pendant une période donnée afin d’éviter une « ruée sur le fonds ». Elles peuvent s’appliquer au niveau de l’investisseur ou au niveau du fonds.

« Il peut y avoir une limite sur la portion de votre investissement que vous pouvez racheter au cours d’une période donnée, ou sur la proportion totale de rachats que le fonds peut exécuter », précise Puneet Grewal.

Certains gestionnaires déclenchent une clause de limitation lorsque les demandes de rachat atteignent 5 % de la valeur liquidative d’un fonds au cours d’un trimestre. D’autres clauses de limitation peuvent être basées sur des seuils annuels liés aux actifs sous gestion.

Comprendre la source de liquidité d’un fonds

Un autre élément clé consiste à comprendre d’où provient la liquidité d’un fonds de marchés privés.

Les conseillers doivent lire les documents du fonds pour vérifier si le gestionnaire a accès à des facilités de crédit ou à une réserve de liquidité (liquidity sleeve) ; c’est-à-dire une petite allocation en espèces ou équivalents de trésorerie servant de tampon de liquidité afin d’éviter de devoir vendre les actifs principaux du portefeuille.

Si le versement en espèces n’est pas possible, les documents peuvent prévoir des billets de rachat (redemption notes), soit essentiellement des « reconnaissances de dette » à court terme émises lorsque la liquidité immédiate n’est pas disponible. Cela signifie que l’investisseur recevra les produits de rachat plus tard, explique Puneet Grewal.

« Tous ces éléments aident à déterminer si les modalités de rachat sont viables à long terme », ajoute-t-elle.

Cependant, ces billets de rachat ne sont pas admissibles dans les comptes enregistrés, souligne Nimar Bangash, chef de la direction d’Obsiido, et peuvent entraîner un impôt imprévu si l’investisseur accepte un billet plutôt que du numéraire.

« Ces questions sont complexes, comme des pelures d’oignon qu’on enlève une à une, image-t-il. Et malheureusement, il n’y a aucune normalisation : chaque fonds peut avoir un ensemble différent de modalités de liquidité. »

Examiner l’historique du fonds

Il est tout aussi important d’examiner l’historique des distributions, des rachats et des clauses de limitation d’un fonds donné ou de fonds similaires offerts par le même gestionnaire.

Cela permet aux conseillers de savoir si le gestionnaire a été capable de respecter les demandes de rachat de façon constante ou s’il a déjà dû suspendre les paiements ou limiter les rachats.

Nimar Bangash recommande aussi de vérifier si le gestionnaire a déjà imposé des clauses de limitation, et comment il a communiqué et géré ces situations.

« La réalité, c’est que dans les marchés privés, surtout avec les structures evergreen ou semi-liquides, chaque classe d’actif peut subir des pressions selon le cycle, affirme-t-il. Il peut y avoir des situations où les clauses de limitation servent à protéger les investisseurs existants contre des ventes forcées d’actifs, mais tout dépend de la gestion de la situation et de la transparence du gestionnaire. »

Beaucoup de fonds de marchés privés offerts au Canada sont des fonds nourriciers (feeder funds) qui investissent dans un fonds maître (master fund), insiste-t-il. Comme ces fonds dépendent des rachats effectués dans le fonds maître, la liquidité y est en cascade, et les paiements peuvent donc être retardés.

Examiner le gestionnaire de fonds

Les conseillers devraient analyser l’ensemble des stratégies proposées par un gestionnaire avant d’investir dans l’un de ses fonds.

« Il ne s’agit pas seulement d’une stratégie donnée. Il est important de comprendre la diversification du gestionnaire à travers son offre de fonds et la répartition de ses actifs sous gestion », estime Puneet Grewal.

Elle note qu’un grand gestionnaire disposant de plusieurs fonds peut généralement mieux gérer la liquidité qu’une petite firme n’ayant qu’un seul fonds de marchés privés, en raison de son expérience accrue dans ce domaine.

Autres facteurs à considérer

Parmi les autres éléments à évaluer :

  • la composition des investisseurs d’un fonds ;
  • et son recours à l’effet de levier.

Savoir qui investit dans un fonds privé peut aider à estimer le risque de tension de liquidité.
Les investisseurs institutionnels, par exemple, ont généralement un horizon d’investissement plus long que les investisseurs particuliers.

Ainsi, un fonds comptant des investisseurs institutionnels procure « une certaine assurance supplémentaire qu’il n’y aura pas nécessairement de ruée vers les rachats en période de stress », déclare Nimar Bangash.

Il est aussi essentiel de comprendre le niveau d’endettement et les modalités associées, précise-t-il. « Si un fonds est sous pression, le créancier — placé au sommet de la structure du capital — peut exiger le remboursement ou la liquidation des facilités de crédit, ce qui ajoute encore plus de tension financière au portefeuille. »

L’éducation demeure essentielle

Étant donné la complexité de ces produits, les conseillers doivent éduquer leurs clients sur le risque de liquidité des marchés privés, tant au moment de l’investissement initial que de façon continue.

Les clients doivent être informés non seulement du potentiel de rendement, mais aussi des contreparties, comme la liquidité différée ou les décalages d’évaluation, indique Puneet Grewal.

« L’éducation ne peut pas se limiter à une conversation unique. Elle doit évoluer au même rythme que les marchés et les circonstances du client », insiste-t-elle.

Les besoins de liquidité et la tolérance au risque d’un client peuvent aussi changer avec le temps, ce qui nécessite des ajustements périodiques du portefeuille.

« Il est très difficile d’éviter complètement l’illiquidité dans les marchés privés, conclut Puneet Grewal.
L’enjeu est de la gérer de manière délibérée et transparente, et de s’assurer qu’elle correspond bien aux attentes du client. »

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Lancement d’un nouveau fonds multi-actifs de marchés privés https://www.finance-investissement.com/nouvelles/lancement-dun-nouveau-fonds-multi-actifs-de-marches-prives/ Thu, 06 Nov 2025 10:53:52 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110508 Placements Mackenzie et Northleaf Capital Partners unissent leurs forces pour lancer le Fonds multi-actifs de marchés privés Mackenzie Northleaf. Destiné aux investisseurs qualifiés ce dernier offre une exposition au capital-investissement, au crédit privé et aux infrastructures.

« Avec une croissance notable et continue attendue dans les marchés privés, le Fonds multi-actifs de marchés privés Mackenzie Northleaf constitue une option pour les investisseurs voulant accéder aux catégories d’actif des marchés privés par l’intermédiaire d’un seul placement », assure Kristi Ashcroft, vice-présidente exécutive, Produits et solutions, Placements Mackenzie.

« Grâce à notre partenariat stratégique avec Northleaf, les conseillers et les investisseurs obtiennent une occasion attrayante d’intégrer efficacement une exposition aux marchés privés dans leurs portefeuilles », continue-t-elle.

Ce fonds permet d’accéder à un portefeuille diversifié qui regroupe aussi bien des placements en capital-investissement, que du crédit privé et des infrastructures du marché intermédiaire. Le fonds visera une allocation 60/40. Il cherchera des occasions de croissance, tout en visant une volatilité moindre et des rendements ajustés au risque plus élevé.

« Northleaf a le plaisir de s’associer à Mackenzie pour lancer cette offre innovante. Le Fonds témoigne d’importantes recherches sur le marché, y compris les perspectives de conseillers sophistiqués sur les meilleures façons d’intégrer des actifs privés dans des portefeuilles individuels », affirme Nadim Vasanji, directeur général, Northleaf.

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L’ICI souhaite un meilleur accès des particuliers aux marchés privés https://www.finance-investissement.com/nouvelles/lici-souhaite-un-meilleur-acces-des-particuliers-aux-marches-prives/ Fri, 16 May 2025 11:16:11 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=107110 L’Investment Company Institute (ICI) demande à la Securities and Exchange Commission (SEC) de faciliter l’accès des investisseurs individuels aux investissements sur les marchés privés.

Lors de la conférence annuelle de l’ICI à Washington, D.C., le 1er mai, Eric Pan, président et chef de la direction de l’organisation, a exhorté les autorités de réglementation à élargir l’accès des investisseurs aux marchés privés, notamment dans les secteurs du capital-investissement, du crédit privé, de l’immobilier et des infrastructures.

« L’essor des marchés privés ne peut être ignoré en tant que partie marginale de l’écosystème d’investissement », a-t-il affirmé. Il a souligné que les actifs sur les marchés privés sont passés d’environ 4 000 milliards de dollars (G$) en 2013 à 15 000 G$ en 2023, et qu’ils continuent de croître depuis.

« Selon une mesure, les marchés privés ont déjà atteint la barre des 25 000 G$, ce qui signifie que leur croissance s’accélère encore plus vite que prévu », a-t-il souligné.

Cette croissance des marchés privés s’inscrit dans un contexte de baisse prolongée du nombre d’entreprises publiques, qui est passé d’environ 7 300 en 1996 à environ 4 300 aujourd’hui, a-t-il fait remarquer.

De nos jours, les entreprises restent privées plus longtemps que par le passé, a-t-il ajouté, ce qui explique qu’il y ait aujourd’hui davantage de grandes entreprises privées en activité.

Pourtant, les investisseurs individuels n’ont qu’un accès limité à ces marchés, a-t-il fait remarquer, car les règles actuelles limitent « sévèrement » le montant que les fonds réglementés peuvent investir dans les catégories d’actifs alternatifs.

« En conséquence, les investisseurs individuels sont largement coincés par le nombre décroissant d’entreprises cotées en bourse et sont incapables de participer de manière significative à l’essor dynamique des marchés privés. Autrement dit, un potentiel considérable — et en expansion — de création de richesse demeure hors de leur portée, concentré entre les mains d’un nombre beaucoup plus réduit d’investisseurs institutionnels », a-t-il analysé.

Les décideurs politiques devraient remédier à cette disparité en facilitant l’accès des investisseurs particuliers, a-t-il affirmé.

L’ICI a notamment recommandé à la SEC :

  • de supprimer la limite de 15 % applicable aux investissements alternatifs dans les fonds à capital fixe,
  • d’élargir les conditions de co-investissement par les fonds réglementés
  • et d’accroître l’accès aux stratégies des marchés privés dans les comptes de retraite agréés.

L’élimination de la limite de 15 % sur les investissements alternatifs « permettra aux fournisseurs de fonds d’offrir de nouveaux produits et de les adapter aux investisseurs qui souhaitent une plus grande diversification et un meilleur accès aux marchés privés », a-t-il assuré.

« Nous étudions les moyens de répondre aux préoccupations en matière de responsabilité fiduciaire qui, par le passé, ont empêché les promoteurs de régimes de sélectionner des fonds à date cible et d’autres options d’investissement qui utilisent des stratégies de marchés privés », a déclaré Eric Pan concernant l’élargissement de l’accès aux comptes de retraite.

« Les avantages pour les investisseurs seront nombreux. Ils auront plus d’options grâce à une plus grande diversification et la possibilité de bénéficier de rendements plus élevés grâce à des structures moins liquides. Les fonds en profiteront également. Ils auront des besoins en capitaux plus souples et mieux adaptés, et la possibilité d’offrir à leurs investisseurs un plus large éventail de choix », a-t-il souligné.

Eric Pan a reconnu que la volonté de l’ICI d’accroître l’accès des particuliers aux marchés privés sera probablement critiquée comme exposant les investisseurs à des risques accrus.

« Nous sommes d’accord pour dire que de tels risques doivent être atténués, a-t-il déclaré. Toutefois, le fait est que les fonds réglementés offrent déjà la meilleure protection, notamment en matière de gouvernance, d’information et de diversification. »

« En utilisant des fonds réglementés pour investir sur les marchés privés, les investisseurs de détail bénéficieront du meilleur des deux mondes et des protections qu’ils méritent », a-t-il soutenu.

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BMO et Carlyle s’associent encore une fois pour élargir l’accès aux marchés privés https://www.finance-investissement.com/nouvelles/bmo-et-carlyle-sassocient-encore-une-fois-pour-elargir-lacces-aux-marches-prives/ Wed, 03 Apr 2024 10:44:03 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99875 BMO Gestion mondiale d’actifs établit sa troisième collaboration visant à élargir l’accès aux marchés privés pour les investisseurs qualifiés canadiens. En partenariat avec Carlyle, une société de placement mondial qui gérait 426 milliards de dollars d’actifs fin décembre 2023, cette stratégie permettra d’accéder à un portefeuille mondial diversifié de capital-investissement par le biais d’un fonds unique prévu pour ce printemps.

« Nous sommes ravis de travailler avec Carlyle pour simplifier les placements dans le capital-investissement, qui a toujours été le segment le plus rentable des marchés privés », assure Jeffrey Shell, chef, Placements non traditionnels, BMO Gestion mondiale d’actifs.

Carlyle exerce ses activités par l’intermédiaire de trois segments :

  • capital-investissement mondial,
  • titres de créance mondiaux
  • et solutions de placement mondiales (AlpInvest).

« La catégorie d’actif du capital-investissement offre une exposition à des sociétés privées comptant parmi les 80 % de l’économie qui ne sont pas cotées en bourse et qui, traditionnellement, n’étaient offertes qu’aux grands investisseurs institutionnels. Ensemble avec Carlyle, nous nous concentrons sur la conception de produits qui mettent l’expérience des investisseurs qualifiés canadiens au premier plan, notamment en permettant des souscriptions mensuelles avec des investissements minimums relativement faibles et en éliminant la nécessité d’appels de capitaux, qui sont une caractéristique standard des fonds créés pour les investisseurs institutionnels », résume Jeffrey Shell.

« Nous sommes ravis de collaborer avec BMO Gestion mondiale d’actifs dans le cadre de ce qui constitue une étape importante pour les activités de gestion de patrimoine de Carlyle au Canada, alors que nous continuons à élargir notre portée dans le canal à l’échelle mondiale, affirme Shane Clifford, chef de la stratégie de gestion de patrimoine de Carlyle. La solution, qui passe par notre plateforme AlpInvest, offrira aux investisseurs qualifiés au Canada un accès direct à un portefeuille mondial d’occasions principales, secondaires et de co-investissement, procurant aux investisseurs une exposition diversifiée aux marchés privés. »

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