gestionnaires de fonds | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/tag/gestionnaires-de-fonds/ Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Fri, 01 Aug 2025 11:32:25 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png gestionnaires de fonds | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/tag/gestionnaires-de-fonds/ 32 32 Les allocataires mondiaux maintiennent un intérêt marqué pour les fonds spéculatifs https://www.finance-investissement.com/zone-experts_/aima/les-allocataires-mondiaux-maintiennent-un-interet-marque-pour-les-fonds-speculatifs/ Fri, 01 Aug 2025 11:32:25 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108811 ZONE EXPERTS — Malgré l’incertitude des marchés.

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Le rapport de mi-année Hedgeweek-AIMA sur le sentiment des allocataires 2025 présente les résultats d’une enquête exhaustive menée auprès de plus de 90 investisseurs institutionnels dans le monde, examinant les intentions d’allocation, les préférences en matière de stratégie et les priorités d’investissement pour le second semestre de l’année 2025.

L’enquête a permis de recueillir des informations auprès de bureaux de gestion de patrimoine (31 %), de fonds de pension (21 %), de gestionnaires de patrimoine (12 %) et d’autres investisseurs institutionnels en Europe (38 %), en Amérique du Nord (32 %) et dans la région Asie-Pacifique (30 %).

Voici les principaux résultats de cette enquête :

  1. Des intentions d’allocation solides

46 % des investisseurs institutionnels prévoient d’augmenter leur allocation en fonds spéculatifs au cours des 12 prochains mois, ce qui témoigne d’une confiance durable dans les stratégies d’investissement non conventionnelles.

  1. Une évolution vers de nouvelles relations avec les gestionnaires

40 % des allocataires recherchent activement de nouveaux partenariats avec des fonds spéculatifs, tandis que 13 % seulement se concentrent sur le réinvestissement avec des gestionnaires existants, ce qui témoigne de l’évolution des approches en matière de construction de portefeuille.

  1. Les considérations géopolitiques influencent les décisions

56 % des investisseurs considèrent les tensions géopolitiques comme leur principale préoccupation, mais ils considèrent les perturbations du marché comme un potentiel de génération d’alpha plutôt que comme un risque à éviter.

  1. Les attentes en matière de rendement restent positives

31 % des allocataires ont revu à la hausse leurs attentes en matière de rendement par rapport à il y a 12 mois, tandis que 51 % maintiennent leurs attentes inchangées malgré la volatilité des marchés.

  1. Les produits structurés ont la cote

42 % des allocataires expriment leur préférence pour les comptes gérés séparément, citant l’efficacité du capital, la transparence et la personnalisation comme principaux facteurs.

  1. Tendances en matière d’allocation des stratégies

Les allocataires mondiaux manifestent une préférence marquée pour les stratégies directionnelles longues/courtes, macroéconomiques mondiales et neutres par rapport au marché, ce qui reflète la demande institutionnelle pour des approches liquides et adaptables, capables de générer de l’alpha indépendamment des mouvements plus larges du marché.

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Capital Group mise sur les FNB actifs https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/capital-group-mise-sur-les-fnb-actifs/ Wed, 09 Jul 2025 10:10:20 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108397 FOCUS FNB – « Faible coût » ne signifie pas nécessairement « gestion passive ».

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En octobre 2024, Capital Group se lance sur le marché canadien des fonds négociés en Bourse (FNB) avec quatre produits actifs. Pour cette firme presque centenaire, qui se veut à l’écoute des conseillers et des investisseurs, ce lancement était une évidence. En effet, les clients désiraient pouvoir bénéficier de la stratégie de Capital Group à travers d’autres véhicules, dont les FNB.

« Les FNB sont vraiment devenus un véhicule de choix dans le marché canadien », témoigne Sri Vemuri, vice-président principal et directeur national des ventes en entrevue avec Finance et investissement.

Déjà présente sur le marché canadien depuis 25 ans, la firme — qui soufflera ses 100 bougies en 2031 et gère plus de 2800 milliards de dollars (G$) — propose 25 FNB aux États-Unis. Proposer ce type de produits au Canada s’inscrivait donc naturellement dans la continuité de sa stratégie globale. Cette initiative répondait également à son désir de renforcer sa présence sur les marchés européens, asiatiques et canadiens.

« Une de nos grandes ambitions est de croître en tant qu’organisation mondiale », précise Sri Vemuri.

Des FNB actifs à bas coût

Évidemment, Capital Group n’est pas la seule firme sur le marché des FNB canadiens, hautement compétitif. Mais Sri Vemuri estime que l’entreprise peut tirer son épingle du jeu en raison de la nature de ses produits : des « FNB actifs à faible coût conçus pour favoriser la résilience à long terme ».

« Nous savons qu’il existe de nombreux excellents fournisseurs avec de solides domaines d’expertise, mais notre force réside dans la gestion active à faible coût pour le cœur du portefeuille d’un client », explique-t-il en insistant sur le fait que « faible coût » ne signifie ainsi pas nécessairement « gestion passive ».

Pour Naoum Tabet, directeur des placements en revenu fixe, la gestion active prend d’autant plus de sens dans le contexte économique actuel. Il souligne que les indices boursiers canadiens sont particulièrement concentrés. « Lorsque vous investissez dans un fonds indiciel canadien, vous êtes essentiellement exposé à seulement trois secteurs — les banques, l’énergie et les services publics », fait-il remarquer.

C’est là, selon lui, que la gestion active permet de faire toute la différence. En plus de permettre une meilleure diversification, elle apporte « une valeur ajoutée significative à long terme ».

« Si un gestionnaire parvient à produire un rendement net supérieur de seulement 1 % par année pendant 20 ans, l’impact est énorme ! » souligne-t-il.

Encore faut-il bien sûr que ces gestionnaires aient l’expérience et les outils nécessaires pour s’assurer ce rendement net supérieur. Capital Group mise pour cela sur sa méthode de gestion de portefeuille unique, structurée autour de la collaboration entre plusieurs gestionnaires et experts, pour garantir des décisions éclairées et payantes.

Une gestion particulière

Outre sa gestion active à bas coût, Capital Group se démarque également par sa gestion de portefeuille.

Naoum Tabet explique qu’il existe traditionnellement deux différentes approches dans l’industrie :

  • une gestion collaborative en équipe
  • ou le modèle du gestionnaire vedette.

Si les deux méthodes ont leurs avantages, elles ont également leurs limites, estime l’expert. Un gestionnaire n’est ainsi pas infaillible. Il peut connaître des périodes plus difficiles ou tout simplement quitter la firme pour laquelle il travaille. Quant aux équipes, elles tendent à éviter les frictions internes, ce qui peut mener à des portefeuilles très proches de l’indice de référence. « La valeur ajoutée n’est ainsi pas nécessairement claire », commente l’expert.

« Le système de Capital Group a vraiment été conçu pour produire des résultats supérieurs à long terme », assure Naoum Tabet, expliquant que l’approche de la firme repose essentiellement sur trois piliers :

Le premier pilier : une recherche collaborative. Chez Capital Group, gestionnaires de portefeuille, analystes et économistes travaillent de concert dans des groupes de recherche tout en gardant des responsabilités claires et définies. L’objectif étant de combiner l’intelligence collective, mais en encourageant les convictions individuelles.

Le deuxième pilier : des perspectives diversifiées. Chaque portefeuille est divisé en plusieurs parties distinctes, chacune confiée à un professionnel ou une équipe qui la gère de façon autonome. « Nos portefeuilles reflètent les meilleures idées de nombreux professionnels en placement, ce qui nous différencie clairement d’un modèle fondé sur un seul gestionnaire vedette », résume-t-il.

Le troisième pilier : un horizon à long terme. Capital Group étant une entreprise privée détenue par ses propres professionnels en placement, ceux-ci sont incités à penser à long terme. Leur rémunération est liée aux rendements obtenus sur des périodes de un à huit ans, avec une forte pondération sur le long terme. Ainsi, la firme priorise la création de valeur durable plutôt que la recherche de gains à court terme ou l’exposition à des risques inutiles.

Lire également : Capital Group évite les gestionnaires vedettes

Un lancement apprécié

Capital Group se dit satisfaite de l’accueil réservé à ses quatre premiers FNB sur le marché canadien. Selon la firme, les investisseurs ont démontré un véritable engouement pour ces nouveaux produits.

Si la priorité est pour le moment de consolider cette première offre, la firme ne ferme pas la porte à d’autres futurs lancements.

Sri Vemuri n’exclut ainsi pas l’idée d’accroître la gamme de FNB si la demande continue à croître. « Si nous constatons un intérêt soutenu pour ce type de produit et que les besoins des clients l’exigent, c’est une avenue que nous envisagerons certainement », conclut-il.

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Gestion interne ou externe des fonds https://www.finance-investissement.com/zone-experts_/aima/gestion-interne-ou-externe-des-fonds/ Fri, 04 Apr 2025 19:26:19 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106605 ZONE EXPERTS — Perspectives du Conseil mondial des investisseurs de l’AIMA.

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Le Conseil mondial des investisseurs de l’AIMA s’est récemment penché sur les considérations critiques relatives au choix stratégique entre la gestion externe et la gestion interne des fonds. Voici à cet égard des informations clés pour les gestionnaires de fonds alternatifs et les propriétaires d’actifs :

Approches de gestion interne et externe

Il existe une grande diversité dans la manière dont les institutions équilibrent la gestion de leurs fonds, en interne et en externe. Certaines organisations gèrent jusqu’à 80 % de leurs actifs en interne, tandis que d’autres externalisent totalement leur gestion.

Les principales raisons pour lesquelles les institutions choisissent la gestion externe sont les suivantes :

  • Une expertise spécialisée du point de vue mondial : l’accès à une expertise de niche dans le monde entier est essentiel, en particulier dans les domaines suivants :
    • Les marchés privés, où l’exécution repose en grande partie sur des relations spécialisées et des capacités propres au secteur ;
    • Les fonds spéculatifs, qui offrent des profils de rendement uniques et des avantages en matière de diversification ;
    • Les marchés émergents, où l’expertise locale est essentielle pour naviguer entre des complexités réglementaires et des dynamiques de marché uniques.

Inversement, les institutions s’orientent de plus en plus vers la gestion interne pour les raisons suivantes :

  • L’efficacité des coûts : réaliser des économies significatives sans sacrifier la performance des investissements.
  • Le contrôle des investissements : gagner en autonomie et en précision dans la prise de décision.
  • Les investissements opportunistes : capitaliser rapidement sur les occasions du marché en utilisant des stratégies propriétaires.

Une gestion interne réussie nécessite des cadres opérationnels solides et des infrastructures sophistiquées de gestion des risques.

Facteurs clés influençant les décisions de gestion

Plusieurs facteurs critiques influencent la décision des institutions d’opter pour une gestion interne ou externe :

  • La taille et la localisation des actifs : les établissements de plus grande taille et situés dans un lieu central disposent souvent d’une plus grande souplesse pour gérer leurs actifs en interne.
  • La disponibilité de l’expertise interne : les institutions doivent évaluer de manière critique la force et la profondeur de leur réserve de talents internes.
  • La capacité à attirer et retenir les talents : particulièrement pertinente dans les centres financiers éloignés ou moins compétitifs. Des solutions innovantes, telles que des scissions d’entreprise avec financement de démarrage, peuvent contribuer à remédier à la pénurie de talents.

Le maintien de relations étroites avec les partenaires extérieurs reste essentiel et permet :

  • le partage des connaissances et l’accès permanent à des informations externes et aux meilleures pratiques ;
  • des occasions de co-investissement qui facilitent une exécution plus rapide et un accès plus approfondi au marché.

Équilibrer les performances internes et externes

Les équipes d’investissement internes doivent constamment fournir des performances de premier ordre pour justifier leur valeur. Si les performances ne sont pas à la hauteur, la gestion externe devient de plus en plus attrayante.

L’écart de rémunération entre les gestionnaires externes et les gestionnaires de portefeuille internes fait l’objet d’une attention croissante, en particulier parmi les investisseurs institutionnels et éducatifs. Les entreprises doivent évaluer stratégiquement les avantages en matière de coûts internes par rapport à la flexibilité et à l’expertise spécialisée offertes à l’extérieur.

Bien que les équipes internes sous-performantes soient rarement éliminées d’emblée, les institutions tirent régulièrement parti de leurs expériences passées (comme l’abandon de stratégies quantitatives infructueuses) pour renforcer l’infrastructure interne, notamment par le biais d’investissements dans l’intelligence artificielle (IA) et l’analyse de données avancées.

Pour plus d’informations sur le Conseil mondial des investisseurs et d’autres ressources de l’AIMA, veuillez consulter le site aima.org.

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Jean-Philippe Lemay se joint à Connor, Clark & Lunn https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/jean-philippe-lemay-se-joint-a-connor-clark-lunn/ Tue, 10 Dec 2024 12:41:12 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104553 NOUVELLES DU MONDE — Celui-ci entrera en poste le 6 janvier.

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Le Groupe financier Connor, Clark & Lunn a annoncé l’embauche de Jean-Philippe Lemay. Il se joindra à l’équipe de direction de la firme à compter du 6 janvier 2025.

Depuis le bureau de Montréal, celui-ci supervisera ses équipes responsables de la distribution institutionnelle mondiale et du marketing, en plus d’assurer un leadership efficace pour le Groupe financier CC&L au Québec.

Jean-Philippe Lemay possède près de 25 années d’expérience en tant que dirigeant dans le domaine des placements. Il a travaillé durant 13 ans chez Fiera Capital, où il a exercé ses activités en mettant au point des solutions de placement axées sur le passif, avant d’occuper le poste de chef de la direction. Avant de se joindre à Fiera, il a été spécialiste de la gestion des risques et de la recherche quantitative à la Standard Life. Il a aussi été gestionnaire de portefeuille indiciel pour les actions internationales à la Caisse de dépôt et placement du Québec.

Titulaire d’un baccalauréat spécialisé en actuariat de l’Université Laval et d’une maîtrise en mathématiques financières de l’Université Stanford, il est également Fellow de la Society of Actuaries (FSA), Fellow de l’Institut canadien des actuaires (FCIA), et possède la certification CAIA (analyste agréé en placements alternatifs).

« Nous sommes ravis d’accueillir M. Lemay au sein de notre société », a déclaré Warren Stoddart, chef de la direction de Groupe financier CC&L. « Il s’agit d’une personne accomplie qui possède une vaste expérience et des compétences éprouvées en matière de leadership. Il constituera un ajout précieux à notre équipe de direction. L’intégration d’une personne de son calibre à notre équipe du bureau de Montréal est une étape importante dans le développement de notre présence au Québec au cours des prochaines années. »

« Je suis honoré de me joindre au Groupe financier CC&L et j’ai hâte de contribuer au progrès de la société », a indiqué Jean-Philippe Lemay. « Le Groupe financier CC&L, dont le succès dans le secteur des services financiers au Canada n’est plus à prouver, est devenu peu à peu l’une des plus importantes sociétés indépendantes de gestion d’actifs au pays. Ses sociétés affiliées, notamment Gestion d’actifs Global Alpha, Baker Gilmore & Associés et Gestion privée CC&L, font affaire avec de nombreux clients institutionnels et fortunés de la province. Je me réjouis à l’idée de collaborer avec l’équipe talentueuse du Groupe financier CC&L pour continuer sur cette lancée et favoriser une croissance soutenue à l’échelle locale et mondiale. »

Le Groupe financier CC&L et ses sociétés affiliées gèrent un actif de plus de 135 milliards de dollars répartis dans un éventail de stratégies de placement traditionnelles et non traditionnelles, à partir de bureaux au Canada, aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Inde.

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Rester fort : aperçu du sondage de l’AIMA sur les gestionnaires émergents https://www.finance-investissement.com/zone-experts_/aima/rester-fort-apercu-du-sondage-de-laima-sur-les-gestionnaires-emergents/ Fri, 04 Oct 2024 11:23:19 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103308 ZONE EXPERTS – Leur rôle dans le secteur devrait aller en s’accroissant.

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Dans un marché qui évolue rapidement, qui sont les gestionnaires de fonds alternatifs qui redéfinissent les stratégies d’investissement ? Tandis que la concurrence s’intensifie et que les conditions du marché évoluent, les gestionnaires émergents, les petites entreprises dynamiques, jouent un rôle essentiel dans le développement de l’avenir des gestionnaires de fonds alternatifs.

Le sondage Emerging Manager Survey 2024, mené par l’Alternative Investment Management Association (AIMA) en collaboration avec Marex Prime Services, au début de l’année, a fourni un aperçu complet des expériences, des défis et de la réussite de ces gestionnaires de la prochaine génération.

Le sondage, dont il s’agit de la quatrième édition, réuni les réponses de 171 gestionnaires de fonds alternatifs, qui représentent un total de 18,3 milliards de dollars (G$) d’actifs sous gestion (ASG) et celles de 60 investisseurs supervisant plus de 400 G$ de capital. Le rapport propose une analyse approfondie des gestionnaires ayant des actifs sous gestion allant jusqu’à 500 M$, tout en incluant des informations comparatives sur les entreprises gérant jusqu’à 1 G$. Ces gestionnaires émergents, souvent considérés comme des innovateurs dans leur domaine, remodèlent souvent le paysage des fonds alternatifs.

Si les stratégies d’actions à long terme dominent toujours le secteur, leur popularité diminue légèrement, car un plus grand nombre de gestionnaires s’orientent vers des stratégies de crédit et de revenu fixe. Cette diversification reflète la capacité d’adaptation croissante des gestionnaires émergents en réponse à la demande des investisseurs pour des approches spécialisées. Le sondage révèle que l’ASG moyen des répondants s’élève à 107 M$, 70 % d’entre eux gérant entre 101 M$ et 499 M$.

Malgré l’examen minutieux des frais, les gestionnaires émergents ont maintenu des structures de frais stables, ce qui leur permet de répondre aux attentes des investisseurs. La commission de gestion moyenne s’élève à 1,37 %, avec une légère tendance à la hausse alors que des entreprises facturent à plus de 2 %, bien que la majorité d’entre elles se situe toujours en dessous de ce seuil. Les commissions de performance sont également restées stables. La moyenne de 16,36 % indique que les investisseurs continuent de récompenser les gestionnaires pour leurs bonnes performances tout en gardant à l’esprit les considérations de coûts.

Dans un environnement opérationnel difficile marqué par une inflation croissante et des changements économiques post-pandémiques, l’efficacité des coûts demeure une priorité absolue pour les gestionnaires émergents. Le sondage a révélé que le seuil de rentabilité moyen des ASG nécessaire pour maintenir les opérations est de 65 M$. Cela représente une légère augmentation par rapport aux 64 M$ évoqués en 2022. L’externalisation est devenue un moyen de plus en plus populaire de gérer les coûts opérationnels, de nombreux gestionnaires tirant parti de l’expertise externe pour faire évoluer leurs activités sans compromettre la qualité.

Il n’est donc pas surprenant que l’un des principaux obstacles auxquels se heurtent les gestionnaires émergents reste la recherche de capitaux. Le délai moyen pour conclure un nouvel investissement est passé de six à huit mois, ce qui s’explique par des processus de diligence raisonnable plus stricts et par la complexité croissante des structures de fonds. Il y a toutefois des raisons d’être optimiste : le sondage révèle que davantage d’investisseurs sont prêts à investir dans des fonds de plus petite taille. Près de la moitié des personnes interrogées ont indiqué qu’elles investiraient dans des fonds dont l’ASG est inférieur à 50 M$, ce qui témoigne d’une confiance croissante dans la flexibilité et le potentiel des gestionnaires de petite taille.

Les gestionnaires émergents sont bien placés pour jouer un rôle de plus en plus important dans le secteur des fonds alternatifs. Alors que les investisseurs continuent d’ouvrir leurs portes à des fonds plus petits et plus agiles, ces gestionnaires sont prêts à tirer profit de nouvelles occasions. Pour l’AIMA et Marex Prime Services, il est essentiel de soutenir ces pionniers pour que l’industrie des gestionnaires de fonds alternatifs reste innovante et tournée vers l’avenir.

Les gestionnaires émergents ne se contentent pas de suivre le rythme des changements dans l’industrie, ils en pavent la voie. En mettant l’accent sur la rentabilité, en restant en phase avec les investisseurs et en s’adaptant aux nouvelles conditions du marché, ces gestionnaires contribuent à façonner l’avenir de la gestion des fonds alternatifs et à répondre aux demandes des investisseurs.

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Bilan positif pour le CGE https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/bilan-positif-pour-le-cge/ Tue, 28 May 2024 10:48:29 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101109 Et encore de nombreux projets sur la table.

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« La gestion de portefeuille est une super belle business. Nous avons beaucoup de talents au Québec, nous aimerions intéresser encore plus de jeunes diplômés à cette pratique et pouvoir évidemment trouver des emplois pour tous ces jeunes-là », lance Charles Lemay, président du Conseil des gestionnaires en émergence (CGE).

Amorçant la dernière année d’un deuxième mandat de deux ans à la tête de l’OBNL fondé en 2014, Charles Lemay est tout sourire. Il dresse un bilan plutôt positif de la dernière année d’activités du CGE, dont la mission est de soutenir la croissance des firmes de gestion de portefeuille canadiennes en démarrage ou de plus petite taille.

« L’objectif, lorsque j’ai pris la présidence, était d’améliorer les communications, et d’éduquer les gens sur la business de gestion de portefeuille », explique Charles Lemay, dans les minutes précédant son adresse aux membres et aux invités présents au traditionnel cocktail du printemps, le 23 mai dernier au Musée McCord, à Montréal.

Un grand pas a été fait en ce sens, selon lui. Il évoque la mise en ligne d’un site Internet complètement revu en 2024. On y retrouve notamment un calendrier des événements pertinents offerts aux membres de l’industrie, ainsi que des informations utiles aux gestionnaires, et un répertoire de fournisseurs.

Au cours des prochains mois, le site sera enrichi d’une section qui va permettre aux firmes d’afficher des postes et de recruter des jeunes qui pourront aussi y déposer leur profil. Il contiendra également des guides à l’intention des futurs entrepreneurs, par exemple sur la marche à suivre permettant de s’inscrire auprès de l’Autorité des marchés financiers, illustre le dirigeant.

La nouveauté la plus notable du site est toutefois la publication d’un classement visant à montrer « quels sont les gestionnaires les plus performants et à pouvoir les mettre en valeur », signale Charles Lemay.

Trois classements sont ainsi proposés dans les catégories Gestion alternative, Gestion traditionnelle — actions, et Gestion traditionnelle à revenu fixe, avec le soutien de Fundata. En date du 30 avril 2024, ces classements sont respectivement dominés, avec des rendements « à ce jour », par Les investissements Rivemonts et son fonds Rivemont Crypto Fund Series B (40,2 %); Tonus Capital et son fonds Tonus Partners’ Fund Class A (16,8 %); ainsi que par Nymbus Capital et son fonds Nymbus Sustainable Enhanced Bonds Fund Class F (3,79 %).

Ce classement de fonds a remplacé les indices CGE qui étaient auparavant publiés dans le but de montrer la performance consolidée de fonds gérés par les membres.

Événements

« Il était important, aussi, d’offrir plus de soutien aux membres », ajoute Charles Lemay, concernant les services proposés par le CGE.

Le 16 février dernier, le CGE a envoyé une délégation à Albany, dans l’État de New York, afin d’assister à la 17e Conférence de l’Annual Emerging Manager & MWBE de New York. « C’est l’équivalent de la Caisse de dépôt de l’État de New York, avec un fonds de pension de 220 G$. Leur programme de gestionnaires en émergence à lui seul est de 10 G$, explique Charles Lemay. Lors de leur événement, ils accueillent 1000 personnes et on peut y rencontrer, par exemple, le “Eric Girard” Newyorkais, pour se présenter et échanger. C’est une belle façon d’ouvrir des portes. Ensuite, c’est à toi de faire ta chance ».

En plus d’organiser ce type de « visites », le CGE a accentué son offre en matière de formation. Le 14 mai, par exemple, le Conseil a tenu une conférence sur la conformité, en collaboration avec Alpha CCO. Finalement, le CGE entend bien sûr continuer à miser sur des valeurs sûres et tiendra de nouveau son événement annuel d’introduction aux capitaux. Fort couru, ce rendez-vous met en relation des gestionnaires avec des allocateurs d’actifs du Québec, mais aussi de l’Ontario et des États-Unis. « Nous en sommes à notre neuvième année. C’est notre événement phare », mentionne Charles Lemay.

Le prochain Cap Intro est prévu le 14 novembre à Montréal. Le CGE caresse l’idée d’en organiser un également à Toronto. Il faut dire que sur les 75 gestionnaires qui sont membres du CGE, près de la moitié provient de l’extérieur du Québec, principalement de l’Ontario, mais aussi de villes comme Calgary, Winnipeg et Vancouver.

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Perspectives sur les fonds spéculatifs et le crédit privé https://www.finance-investissement.com/zone-experts_/aima/perspectives-sur-les-fonds-speculatifs-et-le-credit-prive/ Fri, 05 Apr 2024 10:12:25 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99456 ZONE EXPERTS – Point de vue du Conseil mondial des investisseurs (GIB) d'AIMA.

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Le Conseil mondial des investisseurs d’AIMA a récemment discuté des tendances et des préférences en matière de fonds spéculatifs et de crédit privé. Ce conseil est composé de près de 20 investisseurs institutionnels du monde entier. Voici leur point de vue :

Perspectives sur les fonds spéculatifs

Les fonds spéculatifs continuent de jouer un rôle clé dans l’allocation d’actifs, tant pour diversifier les portefeuilles que pour les remplacer. Ils le font tout en réduisant la volatilité des portefeuilles et en générant des rendements corrigés du risque.

La mesure de la performance est au cœur des préoccupations des investisseurs institutionnels, qui sont nombreux à réévaluer les indices de référence et à considérer les liquidités et les marges comme une nouvelle variable d’ajustement. Il est important que les données et la composition des indices de fonds spéculatifs reflètent le secteur et soient cohérentes avec les allocations des fonds.

Avec la popularité des mandats multigestionnaires et multistratégies, ainsi que l’augmentation du nombre de gestionnaires utilisant le modèle de dépenses indirectes, des négociations réfléchies sur les frais afin d’aligner les intérêts des commanditaires et des commandités continuent d’être au centre de l’attention.

Les attentes des commanditaires en matière de performance des gestionnaires sont élevées, car les arguments en faveur de la capture d’opportunités d’alpha par les fonds spéculatifs devraient être solides dans le contexte actuel de rendements plus élevés, de volatilité macroéconomique accrue et de dispersion plus importante.

Les implications fiscales, les négociations sur le taux de rendement minimal, la surveillance continue des risques et les contraintes de capacité des gestionnaires sont des considérations constantes pour les partenaires limités lorsqu’ils envisagent les allocations, en particulier pour les investisseurs disposant d’équipes plus réduites.

Au-delà des rendements, de la gestion des risques et de la diversification, les fonds spéculatifs peuvent apporter une valeur ajoutée substantielle en tant que partenaires stratégiques, en représentant une bonne source de données, de connaissances et d’expertise. Il est important de quantifier ce service au-delà des rendements pour que les gestionnaires et les investisseurs puissent le justifier.

En prévision d’un éventuel cycle de difficultés, les investisseurs explorent les options d’exposition par le biais d’allocations alternatives publiques et privées.

Perspectives sur le crédit privé : 

Sentiment du marché : l’intérêt pour le crédit privé reste fort, de nombreux investisseurs maintenant ou augmentant leur allocation à la classe d’actifs. D’un point de vue tactique, les arguments restent solides en raison du retrait des banques, des craintes persistantes des banques régionales et de la capacité des gestionnaires à négocier des clauses plus strictes.

Stratégies intéressantes : si les prêts garantis de premier rang et les prêts directs restent des stratégies populaires, l’intérêt pour les prêts NAV, les ABS, les infrastructures, le financement de la transition vers l’énergie verte et d’autres stratégies de niche s’accroît.

Liquidité et blocages : bien que les délais d’engagement se soient allongés de plusieurs années, les investisseurs ont généralement peu d’inquiétudes quant à la liquidité et sont à l’aise avec les délais d’immobilisation plus longs.

Rendements et effet de levier : jusqu’à présent, les gestionnaires ont été en mesure de générer des rendements satisfaisants avec peu ou pas d’effet de levier, et l’on s’attend à un rendement de 8 à 12 % avec un recours minimal à l’effet de levier. L’utilisation du taux de rendement interne est encore très répandue dans le secteur.

Préoccupations potentielles : le resserrement des écarts, la concurrence pour les transactions et le déploiement des capitaux, sont tous surveillés de près, car les investisseurs voient beaucoup de refinancement – « étendre et prétendre » – pour éviter de forcer les faillites ou les restructurations, bien que les gestionnaires soient encouragés à protéger les actifs en cas de besoin.

Conseils aux gestionnaires : la transparence au niveau des gestionnaires et des prêts, un contrôle continu rigoureux, des capacités de restructuration internes éprouvées (en particulier avec une expérience de 2008 ou similaire), une évaluation par un tiers indépendant, des considérations de durabilité, des tests de résistance et des plans d’urgence pour un cycle de défaillance potentiel sont primordiaux.

Par Claire Van Wyk-Allan, directrice pour le Canada à l’AIMA

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Se mettre en position de tête https://www.finance-investissement.com/zone-experts_/aima/se-mettre-en-position-de-tete/ Fri, 08 Mar 2024 11:48:45 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99462 ZONE EXPERTS - Comment les fonds spéculatifs tirent parti de l'IA générative pour prendre de l'avance.

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La simple évocation de l’intelligence artificielle (IA) suscite autant d’enthousiasme que d’inquiétude. À quoi ressemblera l’avenir dans un monde fondé sur l’IA ? Comment votre journée de travail changera-t-elle lorsqu’un assistant personnel d’IA viendra compléter chacune de vos tâches, prédisant vos besoins et rationalisant vos opérations d’une manière que les moteurs de recherche et les logiciels actuels sont loin de pouvoir concurrencer ? Aurez-vous encore un emploi? Telles sont quelques-unes des grandes questions qui se posent aujourd’hui, à l’aube de la prochaine grande révolution technologique.

L’IA, dans son sens le plus large, n’est pas nouvelle. Le sous-ensemble de l’IA le plus utilisé aujourd’hui est l’apprentissage automatique. Il est utilisé dans la finance, la science et d’autres domaines en appliquant des algorithmes complexes à de grands ensembles de données. Depuis novembre 2022, avec le lancement du ChatGPT d’OpenAI, l’imagination du public a été captée par une autre ramification de l’IA : l’IA générative (Gen).

Les outils d’IA générative, également connus sous le nom de grands modèles de langage, exploitent de vastes ensembles de données pour produire un contenu sophistiqué, notamment du texte, du code, des images et d’autres médias. Cependant, pour chaque converti à l’IA, un sceptique peut mettre en avant les lacunes des capacités de la technologie et de ses applications pratiques dans un cadre professionnel.

Le rapport Getting in pole position: How hedge funds are leveraging Gen AI to get ahead donne un aperçu de l’attitude des gestionnaires de fonds spéculatifs à l’égard de l’IA : comment ils utilisent ces nouveaux outils, où ils prévoient des opportunités futures et quels sont les obstacles qui les empêchent de l’adopter plus largement. Outre l’enquête menée auprès des membres d’AIMA, nous nous sommes entretenus avec des pionniers du secteur et d’autres parties prenantes afin de comprendre comment ils tirent parti de la technologie dont on parle le plus en ce moment. Toutes les personnes interrogées s’accordent à dire que l’intégration réussie de l’IA dans les opérations commerciales nécessite d’investir autant dans la technologie que dans le personnel, un thème que nous explorons dans ce rapport.

Un commentateur a décrit comment, à l’instar d’une équipe de course automobile gagnante, la stratégie optimale pour réussir consiste à associer le meilleur moteur au meilleur pilote. L’étude de marché et les entretiens qualitatifs ont révélé l’ambition de certains – principalement des gestionnaires de fonds spéculatifs de grande taille – de créer précisément un tel partenariat afin de s’assurer une position de tête dans l’adoption de l’IA. Les gestionnaires d’actifs qui disposent des ressources nécessaires investissent massivement dans la création de produits uniques et dans l’apport d’expertise afin de tirer pleinement parti de cette nouvelle boîte à outils en pleine expansion.

Le revers de la médaille de cette dynamique de marché est la perspective d’un avenir de nantis et de démunis entre ceux qui bénéficient des outils de l’IA et ceux qui sont coincés dans la voie des stands, s’appuyant sur des technologies héritées de moins en moins performantes.

Cette phase d’exploration de l’IA générative peut donner un avantage initial aux grands gestionnaires de fonds spéculatifs qui ont un meilleur accès aux ressources pour la recherche et le développement. Néanmoins, les gestionnaires de fonds spéculatifs plus modestes peuvent suivre la voie qu’ils ont toujours suivie en faisant preuve d’agilité et d’innovation dans leur approche des nouvelles technologies. L’ouverture aux nouvelles opportunités et la volonté de tirer parti de la loi de Moore impliquent que, lorsque les fissures d’un nouveau fossé technologique apparaissent, il appartient aux entreprises de choisir le côté du fossé où elles se situent.

Voici quelques éléments spécifiques :

Taux d’adoption élevé : 86 % des gestionnaires de fonds spéculatifs interrogés autorisent leur personnel à utiliser une forme ou une autre d’outils d’IA générative pour les aider dans leur travail.

Polyvalence : les gestionnaires de fonds spéculatifs utilisent les outils d’intelligence artificielle pour améliorer leur matériel de marketing, soutenir leurs efforts de codage et effectuer des recherches générales.

Outils d’IA générative préférés : ChatGPT est le premier choix des gestionnaires de fonds spéculatifs pour les applications d’IA générative, suivi de Bing et de Bard.

Perturbations prévues dans l’industrie : la recherche, l’informatique, le juridique et la conformité, ainsi que les relations avec les investisseurs sont les fonctions des fonds spéculatifs les plus susceptibles d’être perturbées de manière significative par l’IA, selon les prévisions des répondants à l’enquête.

Potentiel de gestion de portefeuille : bien que l’utilisation des outils de l’IA générative dans la gestion de portefeuille soit actuellement limitée, 20 % des gestionnaires de fonds spéculatifs les plus importants prévoient une perturbation substantielle dans ce domaine d’ici deux ans.

Défis à l’adoption : les principaux défis liés à l’intégration de l’IA générative sont les préoccupations en matière de sécurité et de confidentialité des données, les réponses incohérentes et la nécessité d’une formation complète du personnel.

Formation spécialisée : seulement 10 % des personnes interrogées ont reçu une formation à l’IA, mais près de la moitié des gestionnaires de fonds spéculatifs de grande taille (ceux qui gèrent plus d’un milliard de dollars) et 26 % des gestionnaires de fonds spéculatifs de plus petite taille prévoient de proposer une formation au cours des six prochains mois. Près de la moitié (47 %) de tous les répondants envisageant une formation à l’IA générative explorent des services tiers, ce qui représente des opportunités pour les prestataires de formation.

Tendances en matière de recrutement : environ un tiers des répondants ont déclaré qu’il serait important qu’une partie ou la totalité de leurs futurs employés aient de l’expérience dans l’utilisation d’outils d’IA générative. Parmi eux, 10 % déclarent qu’elle sera importante pour les recrutements au niveau des services de première ligne et, ce qui est quelque peu surprenant, 7 % déclarent qu’elle sera importante pour les postes dans les services de suivi de marché et d’arrière-guichet.

Par Claire Van Wyk-Allan, directrice pour le Canada à l’AIMA

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Fonds Dynamique lance quatre nouveaux Portefeuilles https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/fonds-dynamique-lance-quatre-nouveaux-portefeuilles/ Mon, 20 Nov 2023 13:16:30 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97551 PRODUITS – Découvrez la gamme de Portefeuilles FNB actifs Dynamique.

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Fonds Dynamique lance quatre Portefeuilles FNB actifs Dynamique afin de donner accès aux investisseurs à des solutions de fonds communs tout-en-un pratiques qui réunissent une combinaison ciblée de FNB actifs Dynamique. Ces quatre portefeuilles cherchent un équilibre entre revenu et plus-value du capital à long terme.

Il s’agit ainsi du :

  • Portefeuille FNB actif de revenu Dynamique : un portefeuille, composé de 75 % de titres à revenu fixe et 25 % d’actions;
  • Portefeuille FNB actif de prudent Dynamique : un portefeuille, composé de 60 % de titres à revenu fixe et 40 % d’actions;
  • Portefeuille FNB actif de équilibré Dynamique : un portefeuille, composé de 40 % de titres à revenu fixe et 60 % d’actions;
  • Portefeuille FNB actif de revenu Dynamique : un portefeuille, composé de 20 % de titres à revenu fixe et 80 % d’actions.

« Nous sommes ravis de faciliter l’accès à notre gamme de FNB actifs Dynamique au moyen de portefeuilles tout-en-un, simples et diversifiés selon les catégories d’actifs et les régions. Les FNB sous-jacents des portefeuilles bénéficient de la gestion active, une caractéristique prisée par notre clientèle », déclare Mark Brisley, directeur général de Fonds Dynamique.

Les gestionnaires de portefeuille des FNB actifs Dynamique sous-jacents possèdent tous une vaste expérience dans leur domaine d’expertise. Ensemble, ils couvrent un large éventail de catégories d’actifs, de régions et de secteurs.

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Canada Vie modifie sa gamme de FCP https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/canada-vie-modifie-sa-gamme-de-fcp-2/ Wed, 15 Nov 2023 13:27:19 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97497 PRODUITS - Nouveaux frais de gestion, fusions et fermetures de fonds sont au programme.

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Gestion de placements Canada Vie limitée (GPCV) compte apporter quelques modifications à sa gamme de fonds communs de placement (FCP). On parle ici de fusions et de fermetures de fonds, de changements de sous-conseillers, de réductions de frais de gestion et de changements de noms et de stratégies de placement.

Ainsi, une vingtaine de FCP seront fusionnés aux alentours du 26 janvier prochain, afin de simplifier l’offre de fonds pour les conseillers. Fin novembre, un document de notification et d’accès sera envoyé par la poste à tous les investisseurs inscrits aux registres le 17 novembre 2023 et les porteurs de parts seront appelés à approuver les fusions suivantes :

  • le Fonds de croissance moyennes capitalisations américaines Canada Vie sera fusionné avec le Fonds de croissance petites et moyennes capitalisations américaines Canada Vie;
  • le Fonds équilibré mondial de croissance Canada Vie sera fusionné avec le Fonds de revenu stratégique mondial Canada Vie;
  • le Fonds équilibré d’occasions mondiales de croissance Canada Vie sera fusionné avec le Fonds mondial équilibré Canada Vie;
  • le Fonds équilibré de valeur mondiale Canada Vie sera fusionné avec le Fonds mondial équilibré Canada Vie;
  • le Fonds de croissance américaine Canada Vie sera fusionné avec le Fonds de croissance toutes capitalisations américaines Canada Vie;
  • le Fonds de valeur américaine Canada Vie sera fusionné avec le Fonds de valeur des États-Unis Canada Vie;
  • le Fonds d’actions européennes Canada Vie sera fusionné avec le Fonds d’actions internationales Canada Vie;
  • le Fonds mondial de dividendes Canada Vie sera fusionné avec le Fonds d’actions mondiales toutes capitalisations Canada Vie;
  • le Fonds Fondateurs d’actions mondiales Canada Vie sera fusionné avec le Fonds d’actions mondiales toutes capitalisations Canada Vie;
  • le Fonds de croissance internationale Canada Vie sera fusionné avec le Fonds d’actions internationales Canada Vie;
  • le Fonds de titres spécialisés nord-américains Canada Vie sera fusionné avec le Fonds de croissance petites et moyennes capitalisations américaines Canada Vie;
  • le Fonds d’infrastructure mondiale Canada Vie sera fusionné avec le Fonds d’actifs réels diversifiés Canada Vie;
  • le Fonds immobilier mondial Canada Vie sera fusionné avec le Fonds d’actifs réels diversifiés Canada Vie;
  • et le Fonds science et technologie Canada Vie sera fusionné avec le Fonds d’occasions de croissance mondiales Canada Vie.

Six autres fusions de fonds ont déjà été examinées et approuvées par le Comité d’examen indépendant des fonds communs de la Canada Vie. Ainsi :

  • le Fonds de revenu fixe canadien équilibré II Canada Vie sera dissout au profit du Fonds de revenu fixe canadien équilibré Canada Vie;
  • le Fonds de revenu stratégique II Canada Vie sera dissout au profit du Fonds de revenu stratégique Canada Vie;
  • le Fonds de croissance équilibrée canadienne II Canada Vie sera dissout au profit du Fonds de croissance équilibrée canadienne Canada Vie;
  • le Fonds d’actions canadiennes Canada Vie sera dissout au profit du Fonds de croissance canadienne Canada Vie;
  • le Fonds de dividendes principalement canadiens Canada Vie sera dissout au profit du Fonds de dividendes canadiens Canada Vie;
  • et le Fonds de dividendes canadiens de base Canada Vie Fonds de dividendes canadiens Canada Vie.

En plus de ces fusions, GPCV compte fermer le Fonds d’obligations à court terme Canada Vie et le Fonds d’obligations tactiques canadiennes Canada Vie. Si les porteurs de parts acceptent ces fermetures aux alentours du 15 janvier prochain, la liquidation et la fermeture de ces deux produits seront effectuées vers le 26 janvier 2024.

À cette même date, le sous-conseiller du Fonds de revenu fixe multisectoriel mondial Canada Vie sera remplacé par Brandywine Global Investments. Des modifications seront apportées aux stratégies de placement pour refléter la gestion du fonds, qui investira maintenant la totalité de ces actifs dans le Fonds d’obligations mondiales multisectorielles Canada Vie. Les frais de gestion des séries A, QF, W et F/QFW seront quant à eux réduits de 5 points de base. Les objectifs de placement du fonds resteront toutefois identiques.

Aux alentours du 27 novembre, le sous-conseiller du Fonds concentré d’actions canadiennes Canada Vie sera remplacé par Gestion de placements Connor, Clark & Lunn. Le fonds changera de nom pour refléter ce changement et deviendra le Fonds d’actions fondamentales canadiennes Canada Vie. À nouveau, les stratégies de placement du fonds seront modifiées pour refléter la gestion du fonds car le fonds passera d’une approche qui repose sur un portefeuille concentré à un portefeuille comptant plus de titres et pouvant détenir jusqu’à 10 % de son actif à l’extérieur du Canada, dans des titres de participation étrangers. Toutefois, les objectifs de placement du fonds et son niveau de risque resteront les mêmes.

Le 9 novembre, GPCV a réduit les frais de gestion de certaines séries du Fonds du marché monétaire Canada Vie. Ainsi les séries A/RB et QF seront réduites de 15 points de base et les séries W et F/QFW seront réduites de 10 points de base.

À la même date, les stratégies de placement du Fonds de petites et moyennes capitalisations canadiennes Canada Vie ont été modifiées afin de clarifier la façon dont le fonds est géré d’un point de vue régional et de permettre un plus grand potentiel de diversification en augmentant l’éventail de la répartition de l’actif pour les actions américaines. Aucun changement n’est apporté aux objectifs de placement ni au niveau de risque de ce fonds à la suite de ces changements.

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