FNB | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/tag/fnb/ Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Mon, 24 Nov 2025 11:59:39 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png FNB | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/tag/fnb/ 32 32 BMO veut changer certains fonds de Bourse https://www.finance-investissement.com/nouvelles/bmo-veut-changer-certains-fonds-de-bourse/ Mon, 24 Nov 2025 11:59:39 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=111023 PRODUITS – Les séries FNB de six fonds passeront du TSX à Cboe Canada.

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BMO Investissements compte changer le lieu d’inscription de chacune des séries FNB de six fonds d’investissement. Ces derniers passeraient ainsi de la Bourse de Toronto (TSX) à Cboe Canada.

Les produits concernés sont :

  • le BMO Brookfield Fonds mondial immobilier de technologie (TOWR) ;
  • le BMO Brookfield Fonds mondial d’infrastructures d’énergie renouvelable (GRNI) ;
  • le BMO Fonds d’obligations de base Plus (ZCPB) ;
  • le BMO Fonds d’obligations mondiales stratégiques (ZGSB) ;
  • le BMO Fonds d’obligations mondiales multisectorielles durables (ZMSB) ;
  • et le BMO Fonds leadership féminin (WOMN).

Le gestionnaire de fonds a déjà reçu l’approbation de Cboe Canada pour procéder à ce changement. Il prévoit donc de radier les parts de la cote du TSX à la fermeture des bureaux le mercredi 26 novembre 2025 et les inscrire à la cote de Cboe Canada le jeudi 27 novembre 2025.

Aucune approbation des porteurs de parts n’est nécessaire pour effectuer cette modification.

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Invesco Canada élargit sa gamme de FNB https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/invesco-canada-elargit-sa-gamme-de-fnb-2/ Wed, 19 Nov 2025 13:07:39 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110956 PRODUITS – Avec des produits couverts en dollars canadiens et en dollars américains.

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Invesco Canada étoffe sa gamme de fonds négociés en Bourse (FNB) Canadian Income Avantage avec le lancement de quatre nouvelles options de ses fonds Invesco S&P 500 Equal Weight Income Advantage ETF (EQLI) et Invesco NASDAQ 100 Income Advantage ETF (QCI).

Ces nouvelles variantes offrent aux investisseurs la possibilité d’accéder à ces produits dans différentes devises, soit en dollars canadiens ou américains, et selon leur tolérance au risque de change.

Les investisseurs ont désormais accès au :

  • Invesco S&P 500 Equal Weight Index ETF — couvert en $ CA (EQLI.F)
  • Invesco S&P 500 Equal Weight Income Advantage ETF – $ US (EQLI.U)
  • Invesco NASDAQ 100 Income Advantage ETF – couvert en $ CA (QQCI.F)
  • Invesco NASDAQ 100 Income Advantage ETF – $ US (QQCI.U)

« Nous avons lancé le EQLI et le QQCI sur le marché afin de répondre à l’appétit croissant pour les solutions dynamiques à gestion active conçues pour générer un revenu sans sacrifier l’exposition aux actions de qualité, explique Pat Chiefalo, vice-président principal et chef des produits, Canada. Grâce aux séries couvertes en $ CA et aux séries non couvertes en $ US de la gamme de FNB Canadian Income Advantage, nous élargissons l’accessibilité à ceux-ci afin d’offrir un meilleur contrôle sur l’exposition aux devises et de renforcer notre engagement à proposer des stratégies diversifiées axées sur les résultats à nos investisseurs. »

Depuis leur lancement en août 2024, le EQLI et le QQCI ont mobilisé plus de 214 millions de dollars canadiens en actif. Ces produits doivent leur popularité à leur capacité à offrir des solutions qui génèrent un revenu stable tout en réduisant le risque de baisse.

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Gestion d’actifs CIBC lance trois nouveaux FNB https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/gestion-dactifs-cibc-lance-trois-nouveaux-fnb/ Tue, 18 Nov 2025 12:05:35 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110954 PRODUITS – Leurs frais de gestion s’élèvent à 0,15 %.

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Gestion d’actifs CIBC a lancé trois nouveaux fonds négociés en Bourse (FNB), soit le Portefeuille FNB prudent CIBC — catégorie FNB, le Portefeuille FNB équilibré CIBC — catégorie FNB et le Portefeuille FNB équilibré de croissance CIBC — catégorie FNB. La gestion de ces produits, qui sont disponibles à la Bourse de Toronto depuis le 6 novembre, a été confiée à l’équipe de gestion de portefeuille de la Banque CIBC.

Le Portefeuille FNB prudent CIBC — catégorie FNB (CCON) sera composé à 60 % de titres à revenu fixe et à 40 % d’actions.

À l’inverse, le Portefeuille FNB équilibré CIBC — catégorie FNB sera composé à 60 % d’actions et à 40 % de titres à revenu fixe.

Finalement, le Portefeuille FNB équilibré de croissance CIBC — catégorie FNB comptera 75 % d’actions et 25 % de titres à revenu fixe.

Les frais de gestion de ces trois produits s’élèveront à 0,15 %.

« Grâce au lancement de ces nouveaux FNB, nous élargissons notre gamme de solutions tout-en-un afin que les investisseurs puissent accéder à nos stratégies de répartition de l’actif au sein d’un véhicule qui répond le mieux à leurs besoins », commente Greg Gipson, directeur général et chef, Équipe des fonds négociés en bourse à Gestion globale d’actifs CIBC.

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La SEC ouvre la porte aux FNB à catégories multiples https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/la-sec-ouvre-la-porte-aux-fnb-a-categories-multiples/ Tue, 18 Nov 2025 12:05:34 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110638 Cette décision pourrait transformer l’industrie des fonds en améliorant l’efficacité et la distribution, estime Moody’s.

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La récente décision de la Securities and Exchange Commission (SEC) d’autoriser les fonds négociés en Bourse (FNB) à plusieurs catégories d’actions ouvre la voie à une adoption plus large de ce type de structure, ce qui pourrait permettre aux gestionnaires de fonds de gagner en efficacité opérationnelle, selon Moody’s Ratings.

Le mois dernier, la SEC a accordé une dispense à Dimensional Fund Advisors lui permettant d’offrir, au sein d’un même fonds, des parts de FNB et de fonds communs de placement.

Dans un nouveau rapport, Moody’s affirme que cette décision « ouvre la perspective d’une adoption plus large des structures de FNB à catégories multiples, susceptibles d’améliorer considérablement l’efficacité opérationnelle dans l’industrie américaine des fonds », ce qui constitue un facteur positif sur le plan du crédit.

« L’utilisation d’une structure à plusieurs catégories d’actions permet aux promoteurs de fonds de rationaliser leurs activités, en éliminant les coûts redondants liés à la gestion de stratégies identiques au sein de portefeuilles distincts », indique l’agence.

Moody’s ajoute que cette approche pourrait aussi permettre aux sociétés de fonds d’accéder à de nouveaux canaux de distribution, ce qui bénéficierait particulièrement aux firmes ayant une offre de FNB limitée.

Jusqu’ici, la SEC exprimait des inquiétudes quant aux risques de subvention croisée entre catégories d’actions, qui pourraient désavantager certains investisseurs en leur imposant les coûts générés par d’autres catégories. C’est pourquoi elle n’avait permis ce type de structure que pour certains fonds indiciels.

« Pour atténuer ces risques, Dimensional a proposé un cadre fondé sur une supervision rigoureuse du conseil d’administration », précise Moody’s.

La firme a également instauré une méthodologie d’allocation des revenus et des dépenses entre les différentes catégories, de façon à ce que les rendements annualisés ne varient qu’en fonction des ratios de frais, conformément aux exigences réglementaires.

Le rapport souligne qu’environ 80 autres sociétés de fonds ont déposé des demandes similaires auprès de la SEC, qui devrait continuer à les approuver, bien que la fermeture du gouvernement américain risque d’en retarder le traitement.

Enfin, Moody’s indique que la SEC pourrait institutionnaliser cette approche par voie réglementaire, mais que ce processus serait long et peu compatible avec l’orientation actuelle de l’administration américaine.

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TD modifie la cote de risque d’un FNB https://www.finance-investissement.com/nouvelles/td-modifie-la-cote-de-risque-dun-fnb/ Wed, 12 Nov 2025 13:08:03 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110611 PRODUITS – Celle-ci diminue.

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Gestion de Placements TD a réduit la cote de risque du FNB d’obligations du Trésor américain à long terme TD. Celle-ci est passée de « moyenne à élevée » à « moyenne » le 29 octobre 2025.

Malgré cette modification, les objectifs et stratégies de placement du fonds négocié en Bourse (FNB) demeurent les mêmes.

Ce changement est basé sur la méthode normalisée de classification du risque prescrite par les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) et sur l’examen annuel connexe que mène GPTD pour établir la cote de risque des fonds d’investissement offerts au public.

Pour en savoir plus sur ce produit, cliquez ici.

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Les FNB BMO avec ou sans couverture de change https://www.finance-investissement.com/fi-tv_/nouvelles-fi-tv/les-fnb-bmo-avec-ou-sans-couverture-de-change/ Wed, 12 Nov 2025 11:07:02 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106291 FI TV — Erika Toth, Directrice générale, FNB BMO, Est du Canada, explique comment fonctionne la couverture de change de ces FNB et parle de ses forces et faiblesses.

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Finance et investissement : BMO propose des fonds négociés en Bourse (FNB) avec ou sans couverture de change (version couverte en dollars canadiens ou version non couverte). Même si cette couverture peut ne pas être parfaite, pourriez-vous expliquer aux conseillers comment elle fonctionne, ainsi que ses forces et ses faiblesses?

Erika Toth : Le rendement des devises peut avoir une incidence importante sur le rendement des investisseurs qui achètent des actifs non canadiens.

L’objectif de la couverture de change c’est d’éliminer l’effet de fluctuation des devises et donner à l’investisseur canadien un rendement qui s’approche de celui du marché local. On peut choisir un FNB non couvert lorsque nous prévoyons que la devise étrangère aura des rendements plus élevés que le dollar canadien. Ou à l’inverse, couvert contre le risque de change lorsque nous prévoyons un renforcement du dollar canadien par rapport à la devise étrangère.

Le fournisseur du FNB prend une position vendeur avec un contrat à terme qui correspond à la valeur du portefeuille sous-jacent. Si la devise sous-jacente perd de la valeur par rapport au dollar canadien, ses pertes seront compensées par des gains du contrat de change à terme.

À l’inverse si la devise sous-jacente s’apprécie par rapport au dollar canadien, ses gains seront contrebalancés par les pertes du contrat de change à terme.

Voici quelques points à considérer avant de choisir d’aller de l’avant avec un FNB couvert ou non couvert :

  • considérez vos perspectives concernant la devise ;
  • considérez votre horizon de placement, car à court terme l’incidence de la devise peut accentuer la volatilité ;
  • considérez le coût de la couverture. Les contrats de change à terme très liquides comme sur le dollar américain sont une couverture moins coûteuse. En revanche, la couverture de l’exposition au change devient plus chère et moins efficiente dans le cas des devises moins liquides comme celles des marchés émergents.

Les FNB facilitent l’accès au marché américain et aussi aux marchés internationaux pour les investisseurs. Les devises peuvent contribuer ou nuire considérablement aux rendements d’un placement étranger, donc cette décision ne devrait pas être prise à la légère.

Les opinions exprimées sont celles d’Erika Thot, Directrice générale, FNB BMO, Est du Canada, en date du 5 mars 2025, et elles peuvent changer selon la situation des marchés et d’autres conditions.

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BNI simplifie sa gamme de fonds et ajuste ses réductions de frais https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/bni-simplifie-sa-gamme-de-fonds-et-ajuste-ses-reductions-de-frais/ Mon, 10 Nov 2025 13:05:49 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110564 PRODUITS — Deux fonds sont fusionnés tandis que le programme destiné aux investisseurs fortunés prendra fin en décembre.

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Banque Nationale Investissements fusionne deux de ses fonds et modifie son programme de réduction des frais de gestion pour les investisseurs fortunés.

Le 24 octobre dernier, les parts du FNB de revenu d’actifs réels mondiaux BNI ont été échangées contre des parts équivalentes de la série FNB du Fonds de revenu d’actifs réels mondiaux BNI. À la suite de cette opération, le fonds cédant a été retiré de la Bourse de Toronto.

Trois jours plus tard, les parts de la série FNB du fonds receveur ont été inscrites à la cote de la Bourse de Toronto, sous le même symbole boursier NREA. Les porteurs de parts du fonds cédant ont reçu des parts équivalentes du fonds receveur, d’une valeur égale à celle de leurs placements avant la fusion.

Modification au programme de réduction

Le programme de réduction des frais de gestion pour les investisseurs bien nantis applicable au Fonds d’actions américaines SmartData BNI et au Fonds d’actions internationales SmartData BNI prendra fin le 24 décembre prochain.

À noter toutefois que le 8 août dernier, les frais de gestion et d’administration des séries Conseillers, F, F5, FH, H, Investisseurs, T5, FNB et FNBH de ces deux fonds ont été réduits.

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Composantes d’autres fonds, les FNB https://www.finance-investissement.com/edition-papier/guide-des-fnb/composantes-dautres-un-fonds-les-fnb/ Mon, 10 Nov 2025 05:18:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110733 On les utilise pour s’exposer aux titres à revenu fixe ou aux actions étrangères.

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Les fonds négociés en Bourse (FNB) ne cessent de gagner en popularité et de fracasser des records de créations nettes. Or, ces produits ne font plus que seulement concurrencer les fonds communs de placement (FCP), mais ils sont aussi de plus en plus intégrés dans leur actif sous gestion, voire également dans d’autres FNB, selon Marchés des capitaux CIBC.

« Les émetteurs font preuve de plus en plus de créativité pour trouver de nouveaux utilisateurs et de nouvelles utilisations pour leurs FNB qui sont même imbriqués dans d’autres produits », indique l’étude en faisant une analogie avec les poupées russes.

Cette intégration des FNB parmi les actifs des FCP aurait été impensable lors de leur création, il y a maintenant une trentaine d’années. « À l’origine, les FNB étaient perçus comme idéologiquement opposés aux fonds communs de placement, et même comme des ennemis perturbateurs. Aujourd’hui, il existe une symbiose bien plus marquée entre ces deux outils de placement », constate Daniel Straus, qui dirige le groupe Recherche et stratégie sur les FNB et les produits financiers de la Financière Banque Nationale.

Dan Hallett, vice-président de la recherche chez HighView Financial Group, fait écho à ces propos. « Il est de plus en plus courant d’inclure des FNB dans un fonds commun de placement, ou même dans un fonds de fonds, comme un portefeuille de répartition d’actifs », constate-t-il.

Plus de 20 % des quelque 1600 FNB canadiens sont désormais détenus par des FCP, et 8 % supplémentaires sont détenus par des FNB de FNB, selon CIBC.

Cette percée s’explique en partie par le fait que certaines grandes sociétés de fonds disposent désormais de leurs propres gammes complètes de FNB et les intègrent à d’autres produits, indique l’étude de CIBC.

L’engouement pour les FNB de même que la fonctionnalité et l’efficacité de leur structure contribuent également à leur croissance continue dans les FCP. Ainsi, parmi les cinq plus grands émetteurs de FNB au Canada, entre un cinquième et deux tiers de l’ensemble de leurs actifs en FNB sont intégrés à d’autres outils de placements de détail, souligne la CIBC.

« On a une très vaste gamme de fonds communs qui intègrent des FNB dans leurs actifs. Ça répond très bien aux besoins des gestionnaires de portefeuille et des investisseurs », confirme Erika Toth, directrice générale à FNB BMO pour l’Est du Canada en ajoutant que BMO offre de tels produits depuis une quinzaine d’années.

Même constat de la part de Daniel Straus. « Des conseillers et des investisseurs, surtout parmi les plus avertis, comprennent que c’est un moyen d’obtenir une exposition très diversifiée et très peu coûteuse à tous les types de placements », précise-t-il. Il note également que de jeunes conseillers en placement, qui ont hérité de la clientèle d’un collègue retraité, ont réorienté des portefeuilles de certains clients pour y inclure davantage de FNB.

Par ailleurs, l’intégration des FNB dans des FCP offre aussi à des conseillers qui ne peuvent le faire autrement la possibilité d’offrir des FNB à leurs clients. « représentants en épargne collective n’ont pas accès à des FNB. Ils peuvent donc contourner ce problème en offrant des fonds communs composés de FNB », affirme Dan Hallett. Cela dit, précise-t-il, « s’ils ont un accès aux FNB, il est préférable de miser directement sur ces outils de placement plutôt que [de passer] par l’intermédiaire de FCP détenant des FNB ».

Les FNB représentaient 4,7 % des avoirs des FCP canadiens en 2023, comparativement à quelque 2 % en 2018, indique l’étude de CIBC. Parmi les types de fonds communs de placement, les fonds équilibrés ont tendance à avoir la part la plus élevée de leur actif sous forme de FNB (7,9 1 %), tandis que la pénétration des FNB dans les fonds d’actions et d’obligations est d’environ 2,4 %.

En ce qui a trait aux FNB détenus au sein de FNB, les proportions sont plus élevées, en particulier dans les fonds équilibrés qui utilisent les FNB de la gamme interne de l’émetteur comme actif.

De manière générale, les deux utilisations les plus courantes des FNB dans les fonds communs de placement canadiens sont la gestion de l’exposition aux titres à revenu fixe et l’accès aux actions étrangères.

Compte tenu de la forte croissance des FNB, « il est raisonnable d’envisager un potentiel de hausse supplémentaire au sein des fonds communs de placement », affirme l’étude en soulignant qu’un quart de l’actif sous gestion des FCP canadiens est actuellement constitué d’« autres fonds communs de placement ». Cela représente environ cinq fois l’actif sous gestion des FNB détenus actuellement dans les FCP.

La majeure partie de la croissance des FNB nationaux dans les FCP s’explique par le fait que certains émetteurs disposent à la fois de solides capacités de fabrication et de distribution de FNB et de fonds communs de placement, c’est-à-dire qu’ils sont intégrés à l’interne.

D’ailleurs, les émetteurs de FCP utilisent principalement leurs propres FNB dans la composition de FCP ayant des FNB dans leurs avoirs. « Les fournisseurs de fonds hésitent à acheter des FNB auprès d’émetteurs concurrents. Près d’un tiers des FNB détenus dans les fonds communs de placement canadiens sont externes, c’est-à-dire qu’ils ne font pas partie de leur propre famille de fonds. Dans le cas des FNB qui intègrent d’autres FNB, pratiquement aucun n’est externe », constate l’étude de CIBC.

BMO utilise principalement ses propres FNB dans la composition des actifs de sa trentaine de fonds communs constitués de FNB. Et ce, « parce que nous avons l’une des plus grandes gammes de FNB au pays, ce qui ne nous incite pas à nous tourner vers d’autres fournisseurs. Il nous arrive quand même de le faire, lorsque nous n’avons pas un produit précis recherché par un gestionnaire », explique Erika Toth.

Autre raison d’avoir recours à ses propres FNB : « l’investisseur devra payer une autre couche de frais de gestion si nous utilisons un produit d’un autre émetteur », dit Erika Toth.

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Les FNB de vente d’options d’achat couvertes visent un revenu amplifié https://www.finance-investissement.com/edition-papier/produits-et-assurances/les-fnb-de-vente-doptions-dachat-couvertes-visent-un-revenu-amplifie/ Mon, 10 Nov 2025 05:16:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110731 Des retraités cherchant à maximiser leur revenu plutôt que leur gain en capital pourraient y trouver leur compte.

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Les fonds négociés en Bourse (FNB) à vente d’options d’achat couvertes (VOAC) ont le vent dans les voiles, même s’il s’agit de produits dont le recours aux dérivés d’options présente une certaine complexité. Ils visent un revenu supérieur aux instruments classiques, mais cela s’accomplit au prix d’un gain en capital réduit.

Au 30 septembre 2025, l’actif total accumulé dans les FNB d’actions et d’obligations avant recours à des stratégies d’options couvertes s’élevait à 32,4 milliards de dollars (G$), selon les analyses de Banque Nationale Marchés financiers. Ils accaparaient 86 % de tous les actifs engrangés sous la catégorie générale des FNB à base d’options. Seulement en 2025, 82 nouveaux FNB à base d’options ont vu le jour, portant le total de cette catégorie à 297 pour un actif total de 37,5 G$.

Les FNB VOAC cherchent d’abord et avant tout à survolter les distributions de l’investisseur. Ils y parviennent en général, mais en sacrifiant par ailleurs une partie du rendement. « Les gens cherchent un revenu de 5 % à 6 %, mais n’y arrivent pas avec un portefeuille classique, dit Alain Desbiens, vice-président, FNB chez BMO. D’où l’utilité des FNB à options couvertes et du remplacement d’une partie des actions en portefeuille par ces FNB. Même un recours à une relativement petite proportion peut générer un revenu supérieur. »

Coup d’œil sous le capot

Un FNB VOAC présente deux strates : la fondation composée d’actions et d’obligations, identique à tout portefeuille d’actions et d’obligations, et la part d’options. Très souvent, la première strate est composée d’actions à dividendes, par exemple celles des grandes banques canadiennes. On peut trouver nombre d’autres actifs sous-jacents, qu’il s’agisse de secteurs comme l’énergie ou l’or, ou de régions comme les titres européens ou de marchés émergents.

La prochaine strate distinctive est celle des options qu’on dit « coUvertes » parce que le gestionnaire détient leurs titres sous-jacents en portefeuille. S’il ne les détenait pas, on parlerait alors d’options d’achat non couvertes (naked call options), ce qui hausserait considérablement les risques du portefeuille.

En vendant des options d’achat, le gestionnaire recueille une prime, et c’est cette prime qui donne au FNB son revenu accru. Il doit manœuvrer à partir de deux variables clés la proximité du prix d’exercice de l’option avec le cours de l’action sous-jacente, et le degré de couverture, c’est-à-dire quelle portion de son portefeuille il va « couvrir » d’options. Plus le prix de l’option est proche du cours, plus la prime sera forte (on parle alors d’une option à parité ou près du cours).

D’autre part, plus la proportion du portefeuille couverte par des options sera élevée, plus forte sera l’entrée d’argent produite par la prime. En contrepartie, la hausse potentielle des actions sera réduite d’autant. « Pour avoir un même revenu avec une vente d’options hors cours, il faudrait avoir une couverture beaucoup plus étendue », explique Nicolas Piquard, responsable de la stratégie d’options chez Hamilton ETFs.

Voyons rapidement cette mécanique des options : sur un titre coté à 100 $, si je vends des options à un prix d’exercice de 101 $, je récolterai une prime plus élevée qu’à un prix d’exercice de 105 $, en revanche la hausse du titre sera plafonnée plus rapidement dans le premier cas que dans le second. De même, si je vends des options sur 50 % des titres que je détiens, j’aurai un plus haut revenu de primes, mais j’affaiblirai davantage le potentiel de gain que si je vends des options sur seulement 25 % des titres.

Une autre variable à considérer est celle de la volatilité des titres sous-jacents. « Plus les actions sont volatiles, plus les revenus sont élevés, et vice versa », affirme Alain Desbiens.

Pour voir ce tableau en grand, cliquez ici.

Des revenus survoltés

Le revenu produit par un FNB VOAC peut être assez substantiel comparativement à un FNB classique. Par exemple, le iShares S&P/TSX Composite High Dividend Index ETF (XEI) a présenté pour la dernière année un revenu de 4,87 % et un rendement de 21,8 %, selon Stock Analysis. Pour sa part, durant la même période, le FNB BMO vente d’options d’achat couvertes de sociétés canadiennes à dividendes élevés a livré un revenu de 6,04 % et un rendement de 17,1 %.

Les stratégies d’options et de couverture peuvent faire une différence notable. Le FNB Catégorie Revenu d’options d’achat couvertes sur banques canadiennes CI (CIC), qui pratique une couverture moyenne de 25 % et vend des options près du cours, affiche pour l’année à ce jour un revenu de 6,11 % et un rendement de 22,76 %, rapporte Madeleine Griffith, gestionnaire de portefeuille institutionnel chez CI Gestion mondiale d’actifs. En comparaison, le FNB équivalent de BMO, le FNB BMO vente d’options d’achat couvertes de banques canadiennes, qui couvre ses actifs à 50 %, a livré un revenu de 5,72 % et un rendement de 20,83 %.

Chez certains, le revenu peut être substantiel. Par exemple, il est de 12,84 % sur le Canadian Financials Yield Maximizer ETF de Hamilton, dont les actifs sont proches de ceux des deux FNB précédents. La clé tient en grande partie à une pratique d’options à quasi-parité et une couverture de 25 %, explique Nicolas Piquard.

Hamilton offre aussi des FNB VOAC qui recourent à un effet de levier de 25 %. Ainsi, son FNB amélioré vente d’options d’achat couvertes multisectorielles donne pour l’année en cours un revenu de 10,31 % et un rendement de 26,11 %. «général, on arrive à générer 80 % du rendement total, mais en ayant un revenu supérieur», fait ressortir Nicolas Piquard.

Les frais de gestion des FNB VOAC oscillent en général autour de 0,70 %. Notons en passant l’avantage fiscal de ces fonds, dont les revenus et le rendement sont le plus souvent imposés à titre de gain en capital.

Leur niveau de volatilité est équivalent à celui des actifs sous-jacents qui les composent, mais amoindri par le revenu des primes, qui agit comme un coussin sur toute perte à la baisse. Ils présentent un risque à long terme inattendu. « En renonçant à un potentiel gain futur, vous pourriez également renoncer à un rendement futur potentiel si votre valeur liquidative n’augmente pas aussi rapidement », fait remarquer une étude de BNMF.

Tous les intervenants s’entendent pour dire que les FNB VOAC s’adressent en tout premier lieu à des investisseurs pour qui le revenu prime sur le rendement. De façon typique, il s’agit de retraités qui cherchent à maximiser leur revenu plutôt que leur gain en capital.

Quelle place leur réserver en portefeuille ? « Quelle que soit votre allocation dans un secteur de base de votre portefeuille, vous pourriez très bien la remplacer par des FNB VOAC, propose Madeleine Griffith. Ainsi, vous pourriez très bien remplacer vos titres de banques canadiennes par un FNB VOAC de banques canadiennes. Vous augmenteriez votre revenu tout en amenuisant la volatilité. Mais ça dépend évidemment du secteur où vous êtes investi. Par exemple, un FNB VOAC multisecteur, largement diversifié, pourrait assurément occuper une position de base dans votre portefeuille. Évidemment, vous n’allouerez pas une aussi large part à des titres aurifères, cependant, un FNB VOAC voué aux titres aurifères pourrait très bien remplacer votre allocation en or. »

La sélection ci-contre met l’accent sur les FNB dont les distributions sont les plus élevées et dont l’historique est d’au moins cinq ans. Or, ces FNB sont davantage à risque de subir une réduction de leur valeur liquidative à terme, une partie de leur rendement espéré étant grugée par la vente d’options au fil du temps. Fait intéressant : le taux annuel de distribution de ces fonds est passé d’une fourchette de 4 à 8 %, en 2021, à plus de 10 % en 2025. Sur finance-investissement.com, retrouvez une autre sélection de Fundata qui met en relief les FNB ayant le ratio de Sharpe le plus élevé sur trois ans. Également pour cette sélection, les distributions annuelles ont généralement connu une hausse de 2021 à 2025.

Pour voir ce tableau en grand, cliquez ici.

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Mes 20 années d’utilisation de FNB d’or physique https://www.finance-investissement.com/edition-papier/guide-des-fnb/mes-20-annees-dutilisation-de-fnb-dor-physique/ Mon, 10 Nov 2025 05:12:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110725 L’exécution de la stratégie reste un défi.

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Afin de bâtir les portefeuilles de mes clients, j’utilise des fonds négociés en Bourse (FNB) d’or en détention physique depuis 2006. Cette exposition à l’or a apporté différents bénéfices à mes clients, dont celui de la diversification. Par contre, elle comporte certains défis, dont celui de gérer leurs émotions par rapport à ces fonds. Voici des leçons tirées de mon expérience.

Actif unique. Les principaux utilisateurs d’or se répartissent en quatre groupes. L’industrie de la bijouterie représente près de la moitié de la demande mondiale. Les institutions financières utilisent l’or à des fins d’investissement. Le secteur technologique y a recours pour la fabrication de composants électroniques, tels que les connecteurs, et le secteur médical, pour la conception d’équipements.

Pour les clients, l’or peut offrir une sorte de couverture contre la perte de pouvoir d’achat des monnaies fiduciaires : ce métal précieux tend à conserver sa valeur avec le temps. Il est aussi une valeur refuge, les investisseurs se tournant souvent vers l’or lors des bouleversements du marché, faisant monter son prix et offrant une stabilité aux portefeuilles. L’or est un actif liquide, facilement convertible en espèces sur les marchés mondiaux. Cette liquidité garantit que les investisseurs peuvent rapidement accéder aux fonds en cas de besoin, faisant de l’or un élément flexible d’une stratégie d’investissement.

Gérer le risque. J’utilise l’or dans mes portefeuilles surtout pour sa capacité de diversification. Les mouvements de prix de l’or sont généralement non corrélés ou négativement corrélés avec d’autres catégories d’actifs, telles que les actions et les obligations. Ceci aide à réduire le risque global du portefeuille et sa volatilité, améliorant les rendements à long terme.

Par exemple, en 2022, alors que les actions et les obligations connaissaient des baisses de rendement, l’or s’est révélé stable, ce qui a permis à mes clients de réduire la volatilité à la baisse de leur portefeuille. Par contre, il faut être prêt à conserver l’or à long terme, et ceci, même lors de périodes prolongées de rendements moins intéressants.

Sur 25 ans, l’or a été la catégorie d’actifs qui a affiché la plus forte performance. Un investissement de 100 $ effectué le ler janvier 2000 vaut 1068 $ au 30 juillet 2025 pour un rendement annuel de 10 %, selon Thomson. La même somme investie dans le S&P 500 ne vaudrait que 710 $ pour un rendement de 6 % malgré ses impressionnants résultats depuis plus de dix ans. Et si on avait investi 100 $ dans l’or à son sommet du 11 août 2011 et dans le S&P 500 après sa décennie de sous-performance ? L’investissement dans l’or vaudrait 246 $ comparativement à 910 $ dans le S&P 500, soit un rendement de 6 % contre 17 % pour l’indice, d’après Thomson. L’or, comme tout autre actif, connaît de bonnes périodes et des mauvaises.

Choisir le bon FNB. Je préfère les FNB qui offrent le métal en détention physique plutôt que les titres de sociétés aurifères ou des contrats à terme sur l’or. Les aurifères comportent trop de risques opérationnels et un levier financier défavorable aux investisseurs. Et ils ont par le passé sous-performé par rapport aux FNB d’or en détention physique.

Quant aux FNB qui utilisent des contrats à terme, ils sont sujets au rendement inférieur lié au roulement de leurs contrats (vendre ceux à courte échéance et acheter ceux à plus longue échéance).

Cette situation s’explique parce que le marché est souvent en situation de report (contango), soit lorsque le prix à terme du contrat est supérieur au prix au comptant. Les FNB tels que le MNT se distinguent du fait qu’ils offrent la possession directe des lingots d’or, tandis que les fonds comme GLD donnent des certificats de livraison. Certains clients peuvent croire à tort que ces certificats les désavantagent par rapport aux grands acteurs du secteur financier. C’est un aspect sur lequel on doit les rassurer. On doit aussi les informer que, par rapport à un FNB classique, MNT est un fonds à capital fermé (closed end fund), ce qui vient avec un coût indirect, car il est sujet à des écarts importants entre la valeur marchande du fonds et sa valeur liquidative.

Pour m’exposer à l’or, je privilégie les FNB classiques, étant donné qu’ils sont généralement faciles à négocier en grands blocs, liquides et offerts à coût raisonnable.

Gare aux coûts. Certes, il faut tenir compte des frais de gestion et des frais de transaction des FNB sur l’or, qui varient entre 0,17 % et 0,74 %, d’après une compilation de Banque Nationale Marchés financiers. Or, il. Y a d’autres facteurs à considérer. Par exemple, un coût de l’écart cours acheteur-cours vendeur supérieur pour un FNB peut nuire à l’expérience du client si l’on doit négocier souvent ce FNB. La taille de l’actif géré par un FNB importe également dans ses coûts de transaction. Rien ne sert d’économiser quelques dollars en frais de gestion et ensuite de subir des coûts moins visibles encore plus importants.

Garder le cap. L’or a joué un rôle positif dans les comptes de nos clients au fil des années, même en faisant abstraction de la forte performance des 18 derniers mois. Or, il arrive que certains clients s’impatientent contre les catégories d’actifs qui semblent moins bien s’illustrer sur une période relativement prolongée. Peut-être que c’est même encore plus le cas avec un actif comme l’or qui ne paie aucun dividende ni revenu d’intérêts. C’est lors de ces moments de doute que le conseiller peut apporter beaucoup de valeur en expliquant que la diversification améliore la fiabilité des rendements. Le prix à payer pour cette fiabilité est qu’il faut accepter que certaines composantes puissent avoir une contreperformance durant une certaine période. On doit les conserver et même en acheter davantage pour maintenir la pondération cible, même si nos émotions nous disent de vendre.

Financière Banque Nationale Gestion de patrimoine (FBNGP) est une division de la Financière Banque Nationale inc. (FBN) et une marque de commerce appartenant à la Banque Nationale du Canada (BNC) utilisée sous licence par la FBN. FBN est membre de l‘Organisme canadien de réglementation des investissements (OCRI) et du Fonds canadien de protection des investisseurs (FCPI) et est une filiale en propriété exclusive de la BNC, qui est une société ouverte inscrite à la cote de la Bourse de Toronto (NA : TSX). Les titres ou les secteurs mentionnés dans cette chronique ne s’adressent pas à tous les types d’investisseurs et ne devraient en aucun cas être considérés comme une recommandation. Veuillez consulter votre conseiller en gestion de patrimoine afin de vérifier si ce titre ou secteur vous convient et pour avoir des informations complètes, incluant les principaux facteurs de risque. Certains titres ou secteurs mentionnés dans cette chronique peuvent ne pas être suivis par les analystes de la FBN.

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