Desjardins études économiques prévoit une embellie au printemps sur les marchés financiers, après un début d’année plus difficile.
Le Fonds monétaire international projette une croissance économique modérée pour le Canada cette année et la prochaine, mais à une cadence moindre que celle de l'an dernier et considérablement plus lente qu'aux États-Unis.
L’économie mondiale ralentit mais croît toujours, incitant même d’autres banques centrales à envisager de retirer leur politique monétaire d’urgence.
Desjardins estime possible que la Réserve Fédérale américaine (Fed) décide d'augmenter ses taux de 0,25 point de pourcentage par trimestre alors que la Banque du Canada (BdC) ferait de même seulement par semestre.
Le vieillissement de la population au Canada a ralenti l’efficacité de la politique monétaire depuis la crise financière, selon un nouveau rapport du C.D. Howe Institute.
L'économie canadienne s'est contractée de 0,1 % en janvier, ce que Statistique Canada a attribué jeudi à des fermetures non prévues pour l'entretien dans certaines installations pétrolières et à une faiblesse de l'activité du secteur immobilier après l'entrée en vigueur de nouvelles règles hypothécaires.
Le grand patron de la Banque Scotia a indiqué mercredi être en désaccord avec les récents avertissements du Fonds monétaire international (FMI) au sujet du niveau élevé d'endettement du Canada, et il a assuré être «à l'aise» avec le profil de risque du prêteur.
Malgré les fluctuations du marché des derniers mois et le repli pénible ressenti à travers le monde, la Banque Royale table sur l’atteinte de nouveaux sommets et une reprise du marché haussier à long terme au courant de 2018.
Le gouvernement devrait créer des «agences qui administreraient les grands programmes (éducation, santé, transport, etc.) à distance des élus et avec un mandat de rigueur et d'efficacité» conseille un répondant du sondage de mars 2018 que l'Association des économistes québécois a mené auprès de ses membres en collaboration avec Raymond Chabot Grant Thornton.
La probabilité que survienne une période de tensions financières au cours des deux prochaines années au pays est de 36 %, selon l’indicateur de la Banque du Canada (BDC), réutilisé par RBC Gestion mondiale d’actifs.