VMBL – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Tue, 16 Nov 2021 18:32:22 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png VMBL – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Vincent Hogue quitte Valeurs mobilières Banque Laurentienne  https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/vincent-hogue-quitte-valeurs-mobilieres-banque-laurentienne/ Tue, 16 Nov 2021 18:30:46 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=83744 NOUVELLES DU MONDE - Il était entré en poste chez VMBL en décembre 2019.

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Vincent Hogue se joint à l’équipe de direction de BMO gestion privée, où il agira comme vice-président et chef de marché, succursale McGill.

« Il apporte avec lui une vaste expérience de l’industrie ainsi qu’une compréhension profonde, une admiration pour, et une expérience de travail avec des professionnels de gestion de patrimoine », a commenté Mario Rigante, président régional, Québec, BMO Gestion privée, sur les médias sociaux.

Vincent Hogue possède plus de 30 ans d’expérience dans le secteur financier. Il a occupé plusieurs postes de direction au sein de différentes institutions, dont Fidelity Investments Canada, TD Waterhouse et Valeurs mobilières Desjardins. Il était premier vice-président, Clients particuliers chez Valeurs mobilières Banque Laurentienne, depuis près de deux ans. Il détient une maîtrise (M. Sc.) de l’Université de Montréal.

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Les meilleures stratégies boursières en 2020 https://www.finance-investissement.com/edition-papier/perspectives-2020/les-meilleures-strategies-boursieres-en-2020/ Wed, 01 Jan 2020 05:41:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=63583 La solide croissance de l'économie devrait créer beaucoup d'occasions.

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L’année 2020 devrait être plus favorable aux investisseurs que 2019 étant donné que l’économie reprendra de la vigueur, affirment trois stratèges que Finance et Investissement a interviewés.

Avec cette embellie qui pointe à l’horizon, quelles sont les tendances à surveiller et, surtout, quelles sont les meilleures stratégies pour les investisseurs ?

Chacun des trois spécialistes a ciblé une tendance macroéconomique (pouvant influer sur l’économie) et une tendance microéconomique (pouvant influer sur les entreprises), de même que la meilleure stratégie offensive et défensive à adopter par rapport à chaque tendance.

Michel Doucet

Vice-président et gestionnaire de portefeuille

Valeurs mobilières Desjardins

Tendance macroéconomique à surveiller : la reprise de l’économie mondiale

«Plusieurs indicateurs avancés annoncent une reprise», insiste-t-il. Il note la baisse des tensions commerciales combinée à la stabilisation de l’économie chinoise, ainsi que la reprise anticipée du secteur automobile.

Selon lui, les banques centrales demeureront vigilantes, prêtes à intervenir au moindre signe d’essoufflement. Or, cette situation réduit le risque de récession. «Historiquement, il n’y a jamais eu de récession lorsque les conditions monétaires étaient souples», souligne-t-il.

Stratégie offensive : surpondérer les actions

«Par pays, nous recommandons de surpondérer les États-Unis et le Canada, et d’adopter une position neutre à l’égard de l’Europe.» Selon lui, la conjoncture devrait être bénéfique pour les secteurs des technologies, des services de communication et des financières.

De plus, tant que la remontée des taux d’intérêt demeure modeste, le style croissance devrait conserver l’avantage sur le style valeur.

Stratégie défensive : réduire son exposition aux titres à revenu fixe

Une stabilisation de la croissance économique mondiale ou du commerce international pourrait mener à une révision de la prime de temps, c’est-à-dire l’écart de rendement supplémentaire entre les titres à court terme et ceux à long terme, dit Michel Doucet.

«Même si elle est mesurée, la remontée des taux pourrait avoir une incidence négative sur le rendement global d’un portefeuille d’investissement adéquatement diversifié.»

Rappelons qu’une hausse des taux d’intérêt fait baisser la valeur des obligations.

Si la baisse des taux s’est avérée très bénéfique aux titres à dividendes élevés, la remontée attendue devrait leur nuire. Dans ce contexte, les titres à dividendes élevés, à faible croissance et à endettement élevé sont particulièrement vulnérables.

À ses yeux, des fonds négociés en Bourse (FNB) peu volatils sont également intéressants si l’on croit à la durée du cycle économique. Par contre, ils sont «inquiétants», car ils sont fortement exposés aux secteurs dont l’évaluation est élevée.

Tendance microéconomique à surveiller : la hausse des coûts de la main-d’oeuvre

«Si la conjoncture économique générale est plutôt favorable, il sera important de surveiller l’évolution des salaires, des coûts unitaires de main-d’oeuvre et de leur impact sur la rentabilité des entreprises», dit-il.

À court terme, des hausses salariales sont bénéfiques pour les consommateurs et pour les ventes des entreprises, et donc pour la vigueur de l’économie en général. Toutefois, si les entreprises n’arrivent pas à compenser les hausses salariales par des gains de productivité, les bénéfices diminueront ou l’inflation augmentera, prévient-il.

Une baisse des bénéfices exercerait de la pression sur les Bourses, tandis qu’une hausse de l’inflation forcerait les banques centrales à revoir leurs politiques monétaires, ce qui, du coup, minerait possiblement la croissance économique.

Stratégie offensive : investir dans la techno et les services de communication

Selon Michel Doucet, les entreprises des secteurs de la technologie et des services de communication devraient mieux s’en tirer.

«Ces deux secteurs subissent depuis plusieurs années une énorme concurrence pour l’acquisition et la rétention de talents. Ces entreprises investissent donc énormément dans leur productivité, ce qui stabilise leurs bénéfices.»

Stratégie défensive : miser sur l’or et les obligations à rendement réel

Selon lui, investir dans l’or et les obligations à rendement réel sont des mesures de protection à considérer, dans un contexte où il y a peu de solutions pour se prémunir contre une hausse trop rapide des coûts de la main-d’oeuvre.

«Si une hausse légère de l’inflation peut s’avérer bénéfique pour les actions lorsqu’elle s’accompagne d’une croissance économique accrue, il y a peu de remèdes à une hausse plus marquée de l’inflation», relève-t-il.

Stéphane Rochon

Vice-président, directeur général et chef stratège

BMO Nesbitt Burns

Tendance macroéconomique à surveiller : les taux d’intérêt resteront bas

«Cette situation aura un impact positif sur la croissance économique», dit-il. Selon lui, les investisseurs sous-estiment d’ailleurs le potentiel de «réaccélération de l’économie», au moins au cours des premiers mois de 2020.

Pour autant, le risque de récession n’est pas complètement écarté, mais il est faible, précise-t-il. «Si jamais ce risque devait se matérialiser, ce sera davantage en 2021.»

Stratégie offensive : miser davantage sur les actions canadiennes

Stéphane Rochon suggère de surpondérer les actions canadiennes par rapport aux actions américaines, surtout dans les ressources naturelles.

«S’il y a une accélération de l’économie en 2020, ça devrait être bon pour le secteur des matières premières et pour celui de l’énergie au Canada, qui se sont fait massacrer en 2019», fait-il remarquer.

Les évaluations sont «très favorables» dans ces deux secteurs, ajoute-t-il. En revanche, il s’agit de domaines offensifs, car les prix sont extrêmement volatils.

Stratégie défensive : acheter l’ensemble du marché canadien

«La meilleure stratégie serait d’acheter le marché canadien dans son ensemble», dit-il. Par exemple, il recommande des transporteurs ferroviaires, comme le Canadien National et le Canadien Pacifique.

«Qu’il y ait ou non une récession, ce sont des entreprises et une industrie qui vont demeurer profitables.»

Selon lui, CGI et CAE sont aussi de bons titres défensifs, car ces sociétés ont des modèles d’entreprise forts, sont solides financièrement et génèrent beaucoup de liquidités.

Tendance microéconomique à surveiller : un environnement favorable au transport des hydrocarbures

Il faut surveiller la mise en place d’un environnement plus favorable au transport du pétrole et du gaz naturel au Canada, à commencer par les travaux d’expansion du pipeline Trans Mountain reliant l’Alberta à la Colombie-Britannique.

«Les investisseurs vont constater qu’on est passé d’une situation difficile en 2018-2019, où il y avait des bouchons pour transporter notamment le pétrole canadien aux États-Unis, à une situation où les choses commencent à bouger dans la bonne direction», dit-il.

Stratégie offensive : prendre une participation dans les producteurs de pétrole

Stéphane Rochon suggère d’acheter des actions de producteurs de pétrole lourd (une catégorie de pétrole brut), comme l’albertaine Cenovus, dont l’action a fondu de moitié depuis cinq ans à la Bourse de Toronto.

«Ce serait une stratégie très agressive, qui n’est pas pour tout le monde», prévient-il.

Stratégie défensive : acheter les titres des transporteurs d’énergie

On peut réduire le risque en achetant les titres d’exploitants de pipelines de pétrole et de gaz naturel, tels que TC Énergie, Enbridge, Inter Pipeline et Pembina.

Les titres de ces transporteurs d’énergie sont plus prudents que ceux des producteurs de pétrole lourd, souligne Stéphane Rochon.

Sébastien Lavoie

Économiste en chef

Valeurs mobilières Banque Laurentienne

Tendance macroéconomique à surveiller : la reprise du manufacturier et la résilience des services

La guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine a ralenti l’investissement des entreprises et les échanges mondiaux, de sorte que la moitié des chefs de la direction financière dans le monde s’attendent à une récession en 2020, selon un sondage de l’Université Duke.

«Par contre, la bonne nouvelle, c’est que la consommation des ménages continue de croître. Elle bénéficie de la baisse continue du chômage dans les pays industrialisés», affirme-t-il.

Un contexte qui pourrait se traduire par une reprise dans le secteur manufacturier, ce qui mettrait ainsi fin «aux vents contraires avec lesquels les investisseurs ont dû composer en 2019», dit-il.

Stratégie offensive : acheter les multinationales américaines

Surpondérer légèrement les actions par rapport aux obligations est une bonne stratégie, car la majorité des banques centrales ont récemment baissé leur taux directeur. «Les marchés émergents et les entreprises américaines exposées au commerce mondial pourraient s’avérer plus profitables», souligne Sébastien Lavoie.

Quant au marché obligataire, il recommande les titres à revenu fixe à court terme, car ils pourraient s’avérer plus résilients que ceux à long terme.

Stratégie défensive : chercher des entreprises résilientes

Si jamais l’économie ralentit, il propose de choisir des entreprises en bonne santé financière. Selon lui, investir dans le secteur immobilier est aussi une bonne stratégie.

En fait, les placements immobiliers sont attrayants dans un environnement de faibles taux d’intérêt. Aussi, ils diminueraient l’écart-type d’un portefeuille d’investissement, étant donné leur faible corrélation avec les actions et les titres à revenu fixe.

Tendance microéconomique à surveiller : la hausse du transport de pétrole

«En attendant la ligne 3 d’Enbridge à la fin de 2020, le secteur pétrolier albertain tente d’optimiser les oléoducs existants afin d’exporter davantage.» Il faut s’attendre à une hausse des volumes de transport de pétrole par train cette année, précise-t-il.

De plus, Sébastien Lavoie affirme qu’il est possible que l’Alberta soit en mesure d’exporter quelques centaines de milliers de barils supplémentaires grâce à une meilleure utilisation de solvants dans les oléoducs.

Stratégie offensive : surpondérer légèrement l’énergie dans le S&P/TSX

Trois facteurs l’incitent à proposer cette stratégie : l’offre et la demande mondiale de pétrole sont favorables ; la santé financière des producteurs américains d’énergie s’améliore ; et les projets d’expansion de l’oléoduc Trans Mountain et de construction de la ligne 3 d’Enbridge.

Pour autant, une surpondération ne fait pas partie de ses scénarios de base en ce moment, «mais le vent pourrait tourner de manière favorable», précise-t-il.

Stratégie défensive : investir dans la consommation

Selon lui, plusieurs facteurs sont favorables actuellement à la consommation.

Il s’agit notamment de l’effet retardé des baisses de taux d’intérêt aux États-Unis, de l’accélération de la croissance des salaires, de même que de la bonne tenue du marché du travail américain.

«Le secteur de la consommation de base est davantage soutenu que les autres secteurs en raison de l’élan positif sur le plan des prix et des bénéfices», dit-il.

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Un ex-dirigeant de VMD passe chez VMBL https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/un-ex-dirigeant-de-vmd-passe-chez-vmbl/ Mon, 16 Dec 2019 15:18:15 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=63265 NOUVELLES DU MONDE - Il entrera en poste en janvier.

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Valeurs mobilières Banque Laurentienne annonce la nomination de Vincent Hogue à titre de premier vice-président, Clients particuliers. Il entrera en fonction à compter du 6 janvier 2020.

Il aura pour mandat de développer l’équipe qui travaille pour les clients particuliers. « Je suis très enthousiaste face à ce magnifique mandat, afin de faire ma marque avec la Laurentienne, une organisation de premier plan au Québec », a-t-il indiqué à Finance et Investissement.

Bien connu dans le milieu des affaires et avec plus de 30 ans d’expérience dans le secteur financier, Vincent Hogue a occupé plusieurs postes de direction au sein des principales institutions financières.

Notamment, en avril 2018, Vincent Hogue a été forcé de quitter son poste de vice-président et chef des services aux particuliers de Desjardins Gestion de patrimoine, malgré les bons résultats de la division qu’il gérait. Il allait faire partie d’une autre vague de départs de gestionnaires dans le cadre de la restructuration qui se poursuit chez Desjardins Gestion de patrimoine depuis plusieurs mois.

Lire : La restructuration se poursuit

Vincent Hogue relèvera de Kelsey Gunderson, vice-président exécutif, Marchés des capitaux et chef de la direction et président de Valeurs mobilières Banque Laurentienne, qui l’accueille dans son équipe. Kelsey Gunderson a été nommé en poste le 15 octobre dernier. Il était, jusqu’à tout récemment, chef, Produits de négociation mondiaux chez BMO Marchés des capitaux, où il a d’ailleurs occupé divers postes de gestion pendant plus de dix ans.

Dans un communiqué, Kelsey Gunderson indique ceci : « Avec des stratégies de développement d’affaires solides et une expérience éprouvée au niveau de la croissance de la clientèle des particuliers, je suis convaincu que Vincent sera un atout pour l’équipe et un solide contributeur au succès de notre organisation. »

Vincent Hogue détient une maîtrise (M. Sc.) de l’Université de Montréal, siège au sein de plusieurs conseils et est très impliqué dans sa collectivité par le biais de différents organismes de bienfaisance.

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Les meilleures stratégies pour investir en 2019 peu importe le scénario – 3 de 4 https://www.finance-investissement.com/edition-papier/perspectives-2019/les-meilleures-strategies-pour-investir-en-2019-peu-importe-le-scenario-3-de-4/ Wed, 30 Jan 2019 20:14:34 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=55936 Dans le troisième de quatre textes, Luc Vallée se prononce.

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L’année 2019 risque d’être très mouvementée pour les investisseurs en raison de la fin prochaine du cycle économique, affirment quatre stratèges interviewés par Finance et Investissement.

Dans ce contexte, quelles sont les tendances à surveiller, et quelles sont surtout les meilleures stratégies pour les investisseurs ?

Les spécialistes ont déterminé une tendance macro-économique (pouvant influer sur l’économie) et une tendance micro-économique (pouvant influer sur les entreprises) ainsi que leur meilleure stratégie offensive et défensive pour chacune de ces tendances.

Luc Vallée

Stratège en chef

Valeurs mobilières Banque Laurentienne

Tendance macro-économique à surveiller : les hausses des taux d’intérêt

Malgré la faible inflation, la croissance dans plusieurs pays, dont le Canada, s’approche de son potentiel et du plein emploi. Selon lui, ces pressions se traduiront par une hausse des prix et des taux de court terme.

«Des taux d’intérêt de court terme inférieurs au taux neutre (ni stimulant ni restrictif) ne semblent plus justifiés.»

Stratégie offensive : hausser la pondération en actions

Il faut augmenter la pondération des actions dans les portefeuilles.

Les consommateurs, les entreprises et les gouvernements sont très endettés. Les banques centrales vont probablement tenter de ralentir les hausses de taux pour une récession en laissant aux différents acteurs économiques le temps de digérer les hausses des dernières années.

Stratégie défensive : éviter les obligations de sociétés et de pays émergents

Dans le secteur du revenu fixe, il faut éviter les obligations, en particulier les obligations de sociétés et les obligations souveraines des pays émergents.

«Les entreprises ont profité des bas taux d’intérêt pour s’endetter et le niveau des dettes d’entreprises est à un niveau record. Des hausses de taux pourraient mettre en péril leur santé financière», dit-il.

Tendance micro-économique à surveiller : les tensions commerciales entre Washington et Pékin

La planète suit l’évolution des négociations entre les États-Unis et la Chine. Un dérapage qui inciterait les États-Unis à imposer des tarifs de 25 % sur l’ensemble des importations chinoises pourrait provoquer une récession mondiale.

«Dans un tel scénario, il y aurait une chute brutale des marchés boursiers et possiblement des baisses de taux d’intérêt», souligne-t-il. Par contre, une paix commerciale donnerait une nouvelle impulsion aux marchés financiers, entraînant aussi des hausses de taux d’intérêt.

Stratégie offensive : attendre le creux des négociations pour acheter

Il propose d’attendre pour acheter des actions dans les marchés émergents et dans les secteurs cycliques.

La ligne dure du président Donald Trump envers la Chine est populaire auprès de l’électorat, selon lui. C’est pourquoi il est fort probable que les pressions américaines sur la Chine s’intensifieront à court terme.

Stratégie défensive : investir dans les entreprises en bonne santé financière

Il faut investir dans des entreprises saines, car l’avenir s’annonce difficile pour les entreprises trop endettées. «Si l’économie ralentit ou, pis encore, s’il y a une récession, le poids de leur dette minera leur performance financière.»

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De VMBL à RBC Dominion https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/de-vmbl-a-rbc-dominion/ Wed, 05 Sep 2018 20:30:41 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=50851 NOUVELLES DU MONDE – Janie Provencher Blais se joint à RBC Dominion comme vice-présidente, assurance et services de planification successorale.

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Elle quitte ainsi Valeurs mobilières Banque Laurentienne (VMBL) où elle était depuis un an et demi à titre de directrice, planification fiscale et successorale.

Janie Provencher Blais est également chargée de cours à l’Université Laval au baccalauréat en comptabilité.

Avant VMBL, elle a été fiscaliste en planification financière et successorale chez l’Industrielle Alliance, un poste qu’elle a occupé de juillet 2014 à mars 2017.

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Taux: pas de hausse mercredi à moins que… https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/taux-pas-de-hausse-mercredi-a-moins-que/ Tue, 29 May 2018 13:40:43 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=48391 La Banque du Canada jouera de prudence et ne relèvera pas son taux directeur le 30 mai, bien que la décision tienne à un fil.

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Sébastien Lavoie, économiste chez Valeurs mobilières Banque Laurentienne, prévoit que Stephen Poloz optera encore pour le statuquo puisque divers risques pèsent sur l’économie canadienne.

«En même temps, il ne faudrait pas être surpris non plus si le banquier central haussait son taux cible des fonds à un jour de 25 points de base à 1,50 % (ayant signalé en avril que d’autres hausses étaient à venir)», indique M. Lavoie dans une note.

Après tout, l’inflation est restée au-dessus de la barre de 2% en avril, ce qui fait en sorte que le taux réel de la Banque Canada est négatif.

De plus, le cours du pétrole a grimpé au-delà de la marque de 60$US le baril que la banque centrale entrevoyait en avril.

Enfin, les tensions commerciales entre les États-Unis et la Chine semblent perdre de leur mordant, tandis que les salaires canadiens augmentent.

Aux études économiques Desjardins, l’équipe est plus catégorique en prévoyant au taux directeur inchangé à 1,25%, mercredi.

«Il n’y a pas d’urgence d’agir lorsque la croissance économique évolue à un rythme plus soutenable depuis quelques trimestres», écrivent les économistes de Desjardins.

Le remède à la surchauffe résidentielle: un ralentisseur latent

Les deux institutions s’entendent sur un point: l’effet cumulatif de la remontée graduelle des taux d’intérêt, et surtout des nouvelles restrictions hypothécaires, commencera à se faire sentir sur le marché immobilier et sur l’humeur dépensière des Canadiens.

Les nouvelles règles ont devancé les transactions immobilières en 2017, croit M. Lavoie.

L’échec de la renégociation de l’Accord de libre-échange nord-américain (Aléna), avant la date butoir officieuse du 24 mai, est aussi une source d’inquiétude pour les entreprises dont la part des exportations aux États-Unis s’érode, rappelle M. Lavoie.

Cet économiste s’attend aussi à ce que l’économie canadienne déçoive un peu au premier trimestre.

Il prévoit une croissance du produit intérieur brut de 1,5%, par rapport au consensus de 1,9%.

Prochain rendez-vous, 11 juillet

Ce n’est que partie remise puisque M. Lavoie table sur une augmentation du taux directeur à la prochaine réunion du 11 juillet.

L’équipe de Desjardins maintient son scénario de deux autres hausses du taux directeur d’ici la fin de 2018.

«La Banque du Canada voudra sans doute attendre le rebond prévu de l’économie au deuxième trimestre avant d’agir. La prochaine augmentation pourrait être décrétée en juillet», avaient scénarisé les économistes de Desjardins en avril.

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