RBC – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Wed, 23 Apr 2025 11:14:35 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png RBC – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 La Banque Royale du Canada annonce l’élection d’administrateurs https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/la-banque-royale-du-canada-annonce-lelection-dadministrateurs/ Wed, 23 Apr 2025 11:14:35 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106757 NOUVELLES DU MONDE – Ces derniers ont obtenu plus de 90 % des votes.

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Les candidats inscrits dans la circulaire de sollicitation des procurations datée du 11 février 2025 de la Banque Laurentienne ont été élus administrateurs de l’institution.

Ainsi, 13 candidats ont été élus comme administrateur de la Banque, soit :

  • Mirko Bibic, Président et chef de la direction, BCE Inc. et Bell Canada
  • Andrew A. Chisholm, Administrateur de sociétés
  • Jacynthe Côté, Présidente du conseil d’administration, Banque Royale du Canada
  • Toos N. Daruvala
  • Cynthia Devine, Administratrice de sociétés
  • Roberta L. Jamieson, Administratrice de sociétés
  • David McKay, Président et chef de la direction, Banque Royale du Canada
  • Amanda Norton, Administratrice de sociétés
  • Barry Perry, Administrateur de sociétés
  • Maryann Turcke, Administratrice de sociétés
  • Thierry Vandal, Président, Axium Infrastructure US
  • Frank Vettese, Cofondateur, SummitNorth Advisory Corp.
  • Jeffery Yabuki, Président du conseil, Sportradar AG

 

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Retrait des banques de l’Alliance Net Zéro : une stratégie de recul ou de repositionnement ? https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/retrait-des-banques-de-lalliance-net-zero-une-strategie-de-recul-ou-de-repositionnement/ Tue, 22 Apr 2025 10:14:42 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106835 Le contexte politique y est pour beaucoup.

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Au début de 2025, six grandes banques canadiennes — Banque de Montréal, Banque Nationale, CIBC, TD, Scotia et RBC — ont toutes quitté l’Alliance bancaire Net Zéro (NZBA), un regroupement soutenu par l’Organisation des Nations unies (ONU) visant à aligner les portefeuilles financiers sur les objectifs de carboneutralité d’ici 2050. Cette décision, qui fait suite à une vague similaire de retraits parmi les institutions américaines, soulève des interrogations quant à l’avenir de la finance durable au Canada.

On se rappelle que l’Alliance a été créée en avril 2021 sous l’impulsion de l’Initiative financière du Programme des Nations unies pour l’environnement. Elle fait partie de la Glasgow Financial Alliance for Net Zero (GFANZ), une coalition plus large regroupant différentes alliances financières engagées vers la neutralité carbone. Cette organisation était présidée jusqu’à récemment par Mark Carney, qui a démissionné pour endosser le rôle de premier ministre du Canada à la suite du départ de Justin Trudeau.

La NZBA a été créée pour aligner le secteur financier sur les objectifs climatiques de l’Accord de Paris, en accélérant la décarbonation de l’économie mondiale. Elle fournit aux banques un cadre international commun et des directives claires pour élaborer des stratégies crédibles de réduction des émissions, incluant des cibles intermédiaires à 2030. L’initiative vise aussi à responsabiliser les institutions financières en les incitant à aligner leurs portefeuilles sur des trajectoires net zéro et à publier leurs progrès de manière transparente, tout en favorisant la coopération et l’échange de bonnes pratiques à l’échelle mondiale.

Lancée avec 43 membres, l’Alliance avait rapidement gagné en influence, regroupant jusqu’à 140 banques en 2024, représentant 74 000 milliards de dollars (G$) d’actifs. Aujourd’hui, ils ne sont plus que 128 (pour 47 000 G$ d’actifs).

Comment expliquer ce mouvement de repli ? Ces décisions s’inscrivent dans un contexte politique tendu, particulièrement aux États-Unis, où l’ESG (environnement, social et gouvernance) est devenu un sujet fortement polarisé. Pour l’administration de Donald Trump, ces alliances restreignent indûment le financement des énergies fossiles.

Des pressions juridiques pèsent également sur les membres de la NZBA, explique Jacques Deforges, directeur général de Finance Montréal. En effet, des États républicains, dont le Texas, ont menacé des institutions membres de la NZBA de poursuites pour pratiques anticoncurrentielles, accusant ces coalitions de constituer des cartels, ce qui serait illégal. Il a aussi été question de les exclure des marchés publics.

Selon Jacques Deforges, ce mouvement de retrait ne remet pas en cause les fondements mêmes de la finance durable. « La finance durable n’est pas une mode passagère, mais une transformation logique du système financier basée sur l’intégration des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance », affirme-t-il.

Il rappelle que ces pratiques répondent à une logique financière fondamentale : l’évaluation et la gestion des risques. « Tout conseil d’administration responsable devrait aujourd’hui se poser des questions sur trois types de risques majeurs : les risques géopolitiques, les risques liés à la cybersécurité et les risques environnementaux », précise-t-il.

Ces derniers prennent des formes très concrètes dans le monde des affaires : l’accès à l’eau pour les embouteilleurs, la navigabilité des cours d’eau pour le transport, la vulnérabilité des infrastructures face aux événements climatiques extrêmes… Autant de facteurs qui impactent directement la rentabilité et la pérennité des entreprises.

Ce recul n’est pas non plus un abandon des engagements climatiques des banques. « Les fondamentaux n’ont pas changé, soutient Jacques Deforges. Les grandes institutions continueront à publier leurs rapports de développement durable, à dialoguer avec leurs actionnaires et à intégrer les risques climatiques dans leurs modèles d’affaires. »

Bien qu’en retrait de la NZBA, les banques affirment maintenir leurs trajectoires vers la décarbonation. Aucune n’a voulu toutefois répondre à nos questions. Dans un communiqué, la Banque de Montréal a invoqué sa capacité à « faire cavalier seul », forte de ses « solides capacités internes à mettre en œuvre les normes internationales pertinentes ». Par écrit, un porte-parole de la Banque Scotia a réitéré la position déjà annoncée à savoir que la banque restait déterminée à mettre en œuvre son propre plan de transition climatique et à répondre aux exigences des organismes de réglementation du monde entier.

Du côté de la Banque Nationale, le président et chef de la direction, Laurent Ferreira a expliqué à la Presse canadienne que la décision de se retirer de la NZBA découlait avant tout du fardeau réglementaire croissant en matière de divulgation environnementale au Canada et en Europe, et non d’un désengagement climatique. Il a mentionné que l’institution concentrera désormais ses efforts sur le respect des exigences légales en matière de transparence et sur le soutien aux secteurs en transition. Selon lui, ce recentrage permettra à la Banque d’être plus rigoureuse dans ses actions environnementales.

Des investisseurs craignent toutefois que les institutions financières se désengagent de la lutte au réchauffement climatique. Derrière ce réalignement, un enjeu de fond persiste : concilier les objectifs climatiques avec les réalités commerciales, notamment le rôle central des banques dans le financement des énergies fossiles. Malgré leurs actions, les résultats ne sont pas toujours au rendez-vous. Selon un rapport d’Investors for Paris Compliance, quatre institutions canadiennes — Banque Toronto-Dominion, RBC, BMO et CIBC — figuraient encore en 2024 parmi les dix plus grands bailleurs de fonds mondiaux du secteur pétrolier, gazier et charbonnier.

Jacques Deforges suggère qu’à l’avenir, certaines institutions pourraient privilégier une approche « faire sans le dire » plutôt que l’inverse. « Les banques continueront à produire des rapports de développement durable et devront répondre aux questions des actionnaires lors des assemblées, mais pourraient être plus discrètes sur la place publique », explique-t-il.

Ce repositionnement stratégique intervient également dans un contexte où les priorités évoluent. Certaines enquêtes démontrent que les dirigeants financiers réorganisent leurs priorités en réponse à de nouveaux risques économiques, comme les tarifs douaniers ou les tensions géopolitiques.

À l’inverse des institutions nord-américaines, les principales banques françaises, dont BNP Paribas, Crédit Agricole SA, et Société Générale, maintiennent pour l’instant leur engagement au sein de la NZBA, marquant une différence d’approche significative entre les deux côtés de l’Atlantique.

Le retrait des alliances marque plutôt une adaptation à un contexte politique et économique plus complexe qu’un désengagement, selon Jacques Deforges. « Le vrai défi, c’est de continuer à avancer sans se laisser distraire par le bruit ambiant. La finance, c’est mettre un prix sur le risque — et les risques climatiques font désormais partie intégrante de cette équation », conclut-il.

L’Alliance bancaire Net Zéro assouplit ses règles

Dans ce contexte de défection en cascade, l’Alliance Net Zéro annonce une révision majeure de ses lignes directrices. Selon un article publié le 16 avril par esgtoday.com, la coalition abandonne son exigence centrale qui obligeait ses membres à aligner leurs activités de financement sur l’objectif climatique de 1,5 °C.

Le nouveau cadre de référence adopté par les 128 membres restants remplace les obligations par des recommandations : là où les directives de 2024 stipulaient que les banques « doivent » établir une cible climatique compatible avec 1,5 °C, le texte de 2025 se limite à suggérer qu’elles « devraient » le faire.

Pour justifier ce changement de cap, la NZBA évoque un « nouveau contexte » dans lequel les banques doivent composer avec des réalités externes mouvantes. L’alliance affirme vouloir désormais concentrer ses efforts sur le soutien pratique aux banques, afin de les aider à surmonter les freins au financement de la transition verte, en collaboration avec leurs clients et les pouvoirs publics.

« En tant que plus grande initiative mondiale spécifiquement axée sur le soutien aux mesures d’atténuation du changement climatique prises par les banques, la NZBA est particulièrement bien placée pour apporter un soutien pratique aux banques qui s’engagent dans la voie de la transition vers un bilan net zéro », a déclaré Shargiil Bashir, président de l’Alliance et chef de la durabilité de First Abu Dhabi Bank.

Cette évolution témoigne des défis croissants auxquels sont confrontées les initiatives climatiques dans le secteur financier, prises entre les ambitions environnementales et les réalités économiques et politiques.

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Nouvelle série FNB à RBC iShares https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/nouvelle-serie-fnb-a-rbc-ishares/ Wed, 16 Apr 2025 11:09:27 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106713 PRODUITS – La firme lance la série FNB du Fonds d’actions mondiales de sociétés à grande capitalisation RBC.

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RBC iShares lance une série FNB du Fonds d’actions mondiales de sociétés à grande capitalisation RBC sur le Bourse Cboe Canada.

Le Fonds d’actions mondiales de sociétés à grande capitalisation RBC – Série FNB (RGLE) cherche à offrir une plus-value du capital en investissant principalement dans des titres de participation de sociétés opérant dans divers pays à travers le monde, offrant ainsi des occasions de croissance à long terme.

Ses frais de gestion du s’élèvent à 0,75.

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RBC élargit sa gamme de FNB https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/rbc-elargit-sa-gamme-de-fnb-2/ Fri, 11 Apr 2025 11:13:23 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106622 PRODUITS – Avec quatre nouveaux produits.

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RBC iShares élargit sa gamme de fonds négociés en Bourse (FNB) et lance sur la Bourse de Toronto :

  • le FNB d’obligations canadiennes à très court terme RBC (TSX : RUST),
  • le FNB d’obligations gouvernementales canadiennes Objectif 2031 RBC (TSX : RGQT),
  • le FNB d’obligations de sociétés canadiennes Objectif 2031 RBC (TSX : RQT)
  • et le FNB d’obligations de sociétés américaines Objectif 2031 RBC (TSX : RUQT) (TSX : RUQT.U).

Le FNB d’obligations canadiennes à très court terme RBC est destiné aux investisseurs à la recherche d’une option de duration pour combler l’écart entre les fonds du marché monétaire et les obligations à court terme.

Ce produit, dont les frais de gestion s’élèvent à 0,20 %, vise à produire un revenu constant tout en préservant le capital grâce à une protection contre les risques de baisse lors des marchés volatils. Pour cela, il investit essentiellement dans un portefeuille diversifié d’obligations de sociétés canadiennes à court terme de catégorie investissement dont la durée jusqu’à l’échéance est de moins d’un an.

Les trois autres produits viennent s’ajouter à la gamme de titres à revenu fixe de RBC iShares qui arrivent à échéance en 2031. Leurs frais de gestion s’élèvent à 0,15 % pour le RGQT et à 0,20 % pour le RQT et le RUQT/RUQT.U.

« Les titres à revenu fixe sont une composante clé de la constitution d’un portefeuille, et les investisseurs et conseillers canadiens cherchent des solutions qui les aideront à naviguer dans un marché en constante évolution, » estime Stephen Hoffman, premier directeur général, Fonds négociés en bourse, RBC Gestion mondiale d’actifs.

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Une forte perte d’emplois pour l’économie canadienne https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/une-forte-perte-demplois-pour-leconomie-canadienne/ Mon, 07 Apr 2025 11:06:04 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106627 Sa plus forte depuis 2022 !

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L’économie canadienne a enregistré en mars sa plus importante perte d’emplois depuis janvier 2022 en raison de l’incertitude liée aux droits de douane américains qui a commencé à se faire sentir.

Près de 33 000 emplois ont été perdus en mars, tandis que le taux de chômage a grimpé à 6,7 %, contre 6,6 % en février, a indiqué Statistique Canada vendredi.

Tu Nguyen, économiste chez RSM Canada, a mentionné que ce résultat donnait un aperçu de ce qui pourrait se passer alors que le conflit commercial avec les États-Unis s’intensifie et que le pays est confronté à la possibilité d’une récession.

« Nous avons constaté de nombreux licenciements dans le secteur commercial en mars et nous prévoyons qu’ils seront encore plus nombreux en avril et qu’une hausse du taux de chômage sera observée, a-t-elle expliqué lors d’une entrevue. Certaines usines de fabrication, notamment dans le secteur automobile, ont déjà licencié leurs employés. »

Les pertes d’emplois ont annulé une partie des gains réalisés à la fin de l’année dernière et en janvier.

Les États-Unis ont imposé le mois dernier des droits de douane sur les importations canadiennes non conformes à l’Accord Canada–États-Unis–Mexique, ainsi que sur les importations d’acier et d’aluminium. Les menaces tarifaires du président américain Donald Trump ont subi plusieurs révisions et retards, semant l’incertitude chez les entreprises.

Les États-Unis ont également annoncé le mois dernier des droits de douane sectoriels sur les importations automobiles, entrés en vigueur cette semaine, ainsi que des droits de douane de grande envergure sur d’autres pays, suscitant des inquiétudes quant à la possibilité d’une récession mondiale.

Pas près de s’arrêter

Selon Tu Nguyen, les pertes d’emplois au Canada continueront de s’accumuler si les droits de douane restent en vigueur, citant la décision de Stellantis d’interrompre le travail pendant deux semaines à son usine d’assemblage de Windsor, en Ontario, l’entreprise évaluant la situation comme un exemple de ce qui pourrait arriver.

« Le secteur automobile est tellement intégré en Amérique du Nord qu’une fois qu’on frappe un pays, on frappe tout le monde », a-t-elle souligné.

Claire Fan, économiste principale à la RBC, a mentionné que les données sur l’emploi de mars étaient légèrement inférieures aux prévisions de la banque, mais que la faiblesse pourrait encore se poursuivre.

« De plus, les risques pour la croissance américaine, liés aux droits de douane beaucoup plus élevés qui menacent d’être imposés sur les importations en provenance de la plupart des autres pays, pourraient également avoir un impact négatif sur le Canada », a-t-elle écrit.

Claire Fan a souligné que le Canada avait perdu environ 7000 emplois manufacturiers en mars.

« L’emploi dans le secteur sera surveillé de près dans les prochaines données sur l’emploi, afin de déceler tout signe d’impact des droits de douane sur les conditions de travail au Canada », a-t-elle déclaré.

D’après Tu Nguyen, la Banque du Canada se trouvait dans une situation difficile en raison de la persistance d’une certaine inflation sous-jacente.

« Mais, compte tenu de la faiblesse du rapport sur l’emploi de mars et de la prévision d’une récession en raison du taux tarifaire actuel, je pense que la Banque du Canada pourrait envisager d’abaisser son taux d’intérêt à 2,5 % », a-t-elle avancé.

Le taux de référence actuel est de 2,75 %, après sept baisses consécutives.

La prochaine décision de la Banque du Canada concernant les taux d’intérêt est prévue pour le 16 avril, date à laquelle elle publiera également son dernier rapport sur la politique monétaire, qui comprendra ses prévisions économiques actualisées.

Le recul de l’emploi à l’échelle nationale s’explique par la perte de 62 000 emplois à temps plein, compensée partiellement par une hausse de l’emploi à temps partiel.

L’Ontario et l’Alberta ont été les deux provinces les plus touchées par les pertes d’emplois, alors qu’il s’est perdu 28 000 postes en Ontario et 15 000 en Alberta.

Au Québec, le taux de chômage a connu une hausse de 0,4 point de pourcentage pour s’élever à 5,7 %.

Le secteur du commerce de gros et de détail a perdu 29 000 emplois en mars, ce qui annule en partie l’augmentation de 51 000 emplois enregistrée en février.

Le secteur de l’information, de la culture et des loisirs a perdu 20 000 emplois le mois dernier.

Parallèlement, le secteur des « autres services », qui comprend les services personnels et les services de réparation, a créé 12 000 emplois. Il s’est ajouté 4200 emplois dans les services publics.

Le nombre total d’heures travaillées a augmenté de 0,4 % en mars, après avoir reculé de 1,3 % en février.

Le salaire horaire moyen des employés a augmenté de 3,6 % sur une base annuelle en mars.

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Des différences régionales marquées dans la façon d’investir https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/des-differences-regionales-marquees-dans-la-facon-dinvestir/ Wed, 02 Apr 2025 11:36:29 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106372 Les Canadiens de l’Atlantique sont prudents avec leur argent, les Québécois sont les plus optimistes.

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Un nouveau sondage révèle de fortes variations régionales dans les habitudes d’investissement, la tolérance au risque et la perception de l’indépendance financière des Canadiens. Les Albertains étaient ainsi les plus susceptibles d’investir l’an dernier, tandis que les Québécois et les Canadiens de l’Atlantique étaient les moins susceptibles de le faire.

Près des trois cinquièmes des Albertains ont investi en 2024, contre 38 % des habitants du Canada atlantique et du Québec, selon le sondage sur l’indépendance financière de RBC.

En plus d’être les plus susceptibles d’avoir investi l’an dernier, les Albertains étaient également plus susceptibles d’avoir acheté des fonds communs de placement (34 %), des actions (28 %), des fonds négociés en Bourse (FNB) (15 %) et des cryptomonnaies (9 %).

Plus de la moitié des résidents d’autres provinces plus riches comme la Colombie-Britannique (51 %) et l’Ontario (53 %) ont également investi en 2024, alors que la moyenne nationale est de 49 %. Selon l’enquête, les fonds communs de placement constituent l’investissement le plus populaire dans les deux provinces.

L’enquête a indiqué que les Canadiens de l’Atlantique étaient les plus conservateurs en 2024, avec 9 % investissant dans des actions, 4 % dans des FNB et 3 % dans des cryptomonnaies. Ces chiffres se comparent à la moyenne nationale d’un cinquième qui a acheté des actions, d’un dixième pour les FNB et de 5 % pour les cryptomonnaies.

Par ailleurs, près d’un quart (24 %) des Québécois ont investi dans un régime de retraite l’an dernier, soit plus que dans toute autre région du Canada. Les fonds communs de placement (16 %) étaient tout aussi populaires que les placements à terme (16 %) dans la province.

Bien que les Québécois soient les moins susceptibles d’investir en 2024, 54 % d’entre eux sont optimistes quant à la possibilité d’atteindre l’indépendance financière au cours de leur vie, ce qui les place en troisième position, à égalité avec l’Alberta.

Les Québécois se distinguent également en estimant qu’ils ont besoin du montant le moins élevé, soit 616 954 $, pour être financièrement indépendants. Les habitants des provinces de l’Atlantique arrivent en deuxième position avec 851 157 $. Les habitants de la Saskatchewan et du Manitoba ont déclaré avoir besoin du montant le plus élevé, soit 958 525 $.

Le sondage en ligne a été réalisé par Ipsos entre le 4 et le 11 octobre 2024 auprès de 2 000 adultes canadiens.

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Les Canadiens se sont enrichis en 2024 https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/les-canadiens-se-sont-enrichis-en-2024/ Mon, 31 Mar 2025 11:07:57 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106240 Mais l’incertitude entourant les tarifs douaniers pourrait annuler les gains.

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La valeur nette totale des ménages canadiens a augmenté durant les quatre trimestres de 2024, atteignant 17 500 milliards de dollars (G$) au dernier trimestre, selon Statistique Canada. Cela représente une hausse de près de 1 200 G$ par rapport à la fin de 2023.

Le dernier bilan national de Statistique Canada révèle que la valeur nette des ménages a progressé de 1,4 % (236,3 G$) au quatrième trimestre par rapport au troisième trimestre, principalement en raison de la croissance des actifs financiers, qui ont atteint un niveau record de 10 830 G$.

La croissance de l’indice composé de la Bourse de Toronto (S&P/TSX) a progressé de moins d’un tiers de sa hausse du trimestre précédent (3 %), mais il a tout de même surpassé la performance de l’indice S&P 500. La dépréciation rapide du dollar canadien a par ailleurs contribué à augmenter la valeur des investissements étrangers détenus par les ménages.

La hausse des actifs immobiliers a également soutenu la croissance de la richesse des ménages au cours du dernier trimestre de 2024, portant la valeur des actifs non financiers à 9 745 G$ (+0,6 %).

Maria Solovieva, économiste à la Banque Toronto-Dominion (TD), a déclaré au Financial Post que les résultats du quatrième trimestre étaient le fruit de l’effet cumulatif des cinq baisses de taux d’intérêt de la Banque du Canada en 2024, qui ont incité davantage de Canadiens à contracter des prêts hypothécaires.

Cependant, la croissance des ventes immobilières, qui a marqué un ralentissement en début d’année, pourrait se stabiliser au cours des prochains mois, car les occasions les plus accessibles liées à la baisse des taux hypothécaires ont déjà été saisies, prévient l’économiste.

Shelly Kaushik, économiste principale et vice-présidente à la Banque de Montréal (BMO), souligne pour sa part que le ratio dette/revenu des ménages a augmenté pour la première fois en près de deux ans au dernier trimestre, alors que l’endettement a progressé plus rapidement que les revenus.

Cette situation pourrait faire en sorte de freiner la progression de la richesse des ménages en 2025, car les turbulences du marché déclenchées par l’incertitude tarifaire ont grugé environ 1 % du S&P/TSX et 5 % du S&P 500 depuis le début de l’année.

Même si la Banque du Canada ramène son taux directeur à 2,25 % d’ici le milieu de l’année, les risques liés au commerce international pourraient éclipser les réductions de taux et les gains récents de la richesse des ménages, signale Nathan Janzen, économiste en chef adjoint à la Banque Royale du Canada (RBC).

Il souligne que les ménages à revenu moins élevé pourraient être plus durement affectés par une guerre commerciale par rapport à ceux qui gagnent un revenu plus élevé, car ils ont moins de capacité d’épargne et consacrent une plus grande part de leurs revenus à la consommation.

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Indépendance financière : les Canadiens misent sur les placements https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/independance-financiere-les-canadiens-misent-sur-les-placements/ Mon, 31 Mar 2025 11:07:53 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106332 Mais les turbulences actuelles sur les marchés les inquiètent.

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Les placements sont perçus par les Canadiens comme un moyen d’atteindre l’indépendance financière, toutefois les turbulences actuelles sur les marchés suscitent des inquiétudes concernant leur capacité à épargner suffisamment pour atteindre cet objectif, révèle un sondage récent de RBC.

Les Canadiens estiment avoir besoin d’épargner 846 437 $ pour assurer leur indépendance financière. Les répondants de certaines provinces visent une somme encore plus élevée, les Albertains visent 928 179 $, les habitants de la Saskatchewan et du Manitoba 958 535 $ et les Ontariens 916 714 $.

Il est intéressant de constater que les membres de la génération X sont ceux qui visent le plus haut montant, soit 1 128 990 $. En comparaison, les membres de la génération Y estiment devoir accumuler 945 748 $.

Afin d’atteindre ces montants, près de la moitié des répondants (49 %) se tournent vers les placements. Ainsi 49 % des membres de la génération X et 46 % de ceux de la génération Y ont placé de l’argent en 2024.

Toutefois, la volatilité des marchés inquiète nombre de répondants. Près de la moitié (48 %) ont admis que c’était leur principale préoccupation, 54 % des membres de la génération Y et 46 % de ceux de la génération X partagent cette inquiétude.

« Nous discutons avec des investisseurs qui se posent beaucoup de questions en raison de l’incertitude actuelle. Bien qu’il puisse être difficile de donner des réponses claires, nos conseillers ont l’expérience de plusieurs décennies d’accompagnement de clients dans les fluctuations des marchés. Une chose reste constante : la valeur de disposer d’un bon plan financier fondé sur une approche à long terme, et de s’y tenir, pour traverser toutes les périodes de turbulences », rappelle Brigitte Felx, planificatrice financière, RBC.

La moitié des Canadiens (51 %) disposent maintenant d’un plan financier. Parmi ceux-ci, 50 % sont des membres de la génération Y et 44 % de la génération X. Ces sondés avouent que cela leur donne un sentiment de confiance et de sécurité.

« Il est difficile d’établir la valeur de la confiance et de la sécurité que les plans financiers apportent actuellement aux Canadiens, surtout lorsque ces plans sont soutenus par l’expertise d’un conseiller. Un bon plan financier définit une stratégie de placement que vous pouvez suivre. Un conseiller peut vous aider à respecter votre stratégie, à ignorer l’agitation du marché et à discuter de vos éventuelles préoccupations financières, afin que vous puissiez rester concentré sur ce qui compte vraiment : les objectifs financiers que vous souhaitez atteindre en fin de compte par vos placements », souligne Brigitte Felx.

Discuter avec un conseiller permet également de mieux disposer de l’argent mis de côté, mais pas encore investi.

« Si vous avez de l’argent de côté et que vous attendez le moment idéal pour investir, vous pourriez manquer des occasions de réaliser la croissance que vous espérez, prévient Brigitte Felx. C’est là que la durée des placements, plutôt que l’anticipation du marché, est importante. Plus tôt vous commencez à investir et plus longtemps vous conservez vos placements, plus vous avez de chances de bénéficier de la croissance progressive que les marchés et les économies peuvent connaître à long terme. »

Ces données proviennent du sondage annuel Sondage sur l’indépendance financière RBC. Celui-ci a été mené du 4 au 11 octobre 2024 par Ipsos au moyen d’entrevues en ligne auprès de 2 000 Canadiens de 18 ans et plus.

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Résiliation de contrats de sous-conseiller à RBC https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/resiliation-de-contrats-de-sous-conseiller-a-rbc/ Thu, 20 Mar 2025 11:01:57 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106118 PRODUITS – Plusieurs fonds Indigo sont concernés.

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RBC Gestion d’actifs Indigo a décidé de résilier des contrats de sous-conseiller pour les fonds communs de placement Indigo RBC et les fonds en gestion commune Indigo RBC d’ici la fin du mois de mars et la mi-avril dans certains cas.

Depuis le 7 mars, Gestion de Placements Mawer et Gestion de portefeuille Triasima ne sont plus les sous-conseillers :

  • du Fonds de croissance de sociétés à petite capitalisation Indigo RBC
  • du Fonds en gestion commune actions de sociétés canadiennes à petite capitalisation Indigo RBC

Dès le 28 mars, le contrat de sous-conseiller actuel des fonds gérés par des sous-conseillers suivants prendra fin :

Fonds Sous-conseiller
Fonds d’obligations mondiales de sociétés Indigo RBC HSBC Global Asset Management (USA) Inc.

HSBC Global Asset Management (France)

Fonds de créance de marchés émergents Indigo RBC HSBC Global Asset Management (USA) Inc.

HSBC Global Asset Management (UK) Limited

Fonds de revenu mensuel en dollars US Indigo RBC HSBC Global Asset Management (USA) Inc. Federated Investment Counseling
Fonds d’actions mondiales Indigo RBC HSBC Global Asset Management (UK) Limited
Fonds concentré gestion de la volatilité actions mondiales Indigo RBC HSBC Global Asset Management (UK) Limited
Fonds d’actions américaines Indigo RBC Los Angeles Capital Management LLC
Fonds européen Indigo RBC HSBC Global Asset Management (France)
Fonds du marché du Sud-Est asiatique Indigo RBC HSBC Global Asset Management (Hong Kong) Limited
Fonds d’actions chinoises Indigo RBC HSBC Global Asset Management (Hong Kong) Limited
Fonds de marchés émergents Indigo RBC HSBC Global Asset Management (UK) Limited
Fonds indiciel d’actions de marchés émergents Indigo RBC HSBC Global Asset Management (UK) Limited
Fonds en gestion commune obligations mondiales à rendement élevé Indigo RBC HSBC Global Asset Management (USA) Inc.

HSBC Global Asset Management (France)

HSBC Global Asset Management (UK) Limited

Fonds en gestion commune actions américaines Indigo RBC HSBC Bank USA, N.A.
Fonds en gestion commune titres de marchés émergents Indigo RBC HSBC Global Asset Management (UK) Limited

Dès le 31 mars le contrat de sous-conseiller de HSBC Global Asset Management (UK) Limited prendra fin pour le Fonds en gestion commune actions internationales Indigo RBC.

Finalement, le 17 avril, le contrat de sous-conseiller HSBC Global Asset Management (UK) Limited prendra fin pour :

  • le Fonds de marchés émergents Indigo RBC II (pour une partie du fonds)
  • et le Fonds indiciel d’actions américaines Indigo RBC.

Depuis le 7 mars 2025, en raison des fusions de fonds annoncées le 7 janvier 2025, RBC gestion mondiale d’actifs (GMA) a pris en charge la direction et la supervision d’Indigo RBC pendant la transition des portefeuilles des fonds Indigo RBC vers ceux des fonds maintenus par RBC GMA. De plus, RBC GMA supervise la transition complète du Fonds d’actions indiennes Indigo RBC et du Fonds indiciel d’actions internationales Indigo RBC vers la famille de fonds RBC GMA.

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Fraudes en hausse : les Québécois baissent la garde https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/fraudes-en-hausse-les-quebecois-baissent-la-garde/ Mon, 17 Mar 2025 11:45:55 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106159 Alors que les escroqueries sont de plus en plus sophistiquées.

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La menace numérique n’a jamais été aussi présente, ni aussi raffinée. Selon le dernier Sondage RBC du Mois de sensibilisation à la fraude, une écrasante majorité de 96 % des Québécois estime que les escroqueries sont devenues plus ciblées et sophistiquées. Face à cette déferlante, un phénomène inquiétant émerge : l’épuisement de la vigilance.

Ce coup de sonde, mené auprès de 1500 adultes canadiens, dont 346 Québécois en janvier 2025, met en lumière un paradoxe préoccupant. Alors même que les tentatives d’escroquerie connaissent une hausse marquée selon 88 % des répondants (contre 71 % en 2023), près d’un tiers (30 %) admettent avoir tendance à baisser leur garde. Une majorité de répondants (64 %) se disent lassés de devoir constamment faire preuve de vigilance.

« Les escroqueries étant de plus en plus nombreuses et sophistiquées, il n’est pas étonnant que la vigilance des Québécois soit en baisse, explique Vanja Gorazi, vice-présidente, Lutte antifraude chez RBC. Grâce aux dernières technologies, les criminels peuvent recueillir des renseignements, inspirer confiance, créer un sentiment d’urgence et exploiter les besoins et les craintes de leurs victimes. »

Des menaces qui évoluent rapidement
L’hameçonnage et le harponnage demeurent les formes d’escroquerie les plus répandues selon 81 % des répondants québécois. Mais d’autres menaces gagnent rapidement du terrain. Les fraudes ciblant spécifiquement les aînés sont en hausse, selon 81 % des sondés.

L’hypertrucage, cette technologie permettant de manipuler l’image et la voix pour se faire passer pour une personne de confiance, connaît une progression fulgurante. Pas moins de 74 % des Québécois signalent une augmentation de ce type de fraude, contre 51 % seulement l’année précédente.

Cette évolution rapide explique pourquoi 84 % des répondants estiment qu’il est de plus en plus difficile de reconnaître les escroqueries et de s’en protéger.

Des mesures de protection radicales
Face à ces menaces, les Québécois ne restent pas passifs. La quasi-totalité (96 %) reconnaît l’importance de prendre des mesures de protection, et 87 % affirment que la meilleure façon de se protéger est de demeurer vigilant.

Pour 70 % des répondants, ces mesures doivent être « radicales » pour être efficaces.

Parmi les comportements adoptés par les Québécois figurent en tête :

  • ne jamais divulguer ses mots de passe, NIP ou coordonnées d’accès (93 %) ;
  • ne jamais répondre aux messages, appels ou courriels non sollicités (90 %) ;
  • ne jamais donner suite aux demandes prétendument urgentes (87 %) ;
  • et mettre en place l’authentification multifacteurs quand c’est possible (85 %).

Cependant, seuls 65 % se méfient systématiquement de toutes les communications non sollicitées, même celles qui semblent provenir d’une source fiable, ce qui laisse une marge de manœuvre importante aux fraudeurs utilisant des techniques d’usurpation d’identité.

L’importance de rester vigilant
« 
Il est naturel de vouloir agir à bon escient pour sa famille, ses amis et sa collectivité. Les fraudeurs en ont bien conscience et cherchent à en tirer profit », rappelle Vanja Gorazi.

« En matière d’escroquerie, la moindre erreur peut entraîner des pertes et un stress considérables », ajoute-t-elle.

RBC recommande trois approches essentielles pour se protéger :

  • prendre le temps de réfléchir avant de répondre à toute sollicitation,
  • configurer les fonctionnalités de protection comme l’authentification multifacteurs,
  • et se tenir informé des pratiques des fraudeurs.

L’institution rappelle qu’elle ne demandera jamais d’identifiants de connexion, de NIP ou de mots de passe par téléphone, texto ou courriel, et n’exigera jamais de détruire une carte bancaire ou d’ajouter RBC comme bénéficiaire de paiement pour « sécuriser un compte ».

Face à l’ingéniosité croissante des fraudeurs, la meilleure défense reste une vigilance constante et informée, malgré la fatigue que cela peut engendrer.

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