Le gouvernement fédéral a cumulé un déficit budgétaire de 5,8 milliards de dollars (G$) pendant les six premiers mois de son exercice financier 2019-20, comparativement à un excédent de 1,2 G$ pour la même période un an plus tôt.
La cadence de la croissance économique canadienne a ralenti au troisième trimestre, l'apport de la hausse des investissements des entreprises et des dépenses des ménages ayant été freiné par une baisse des exportations, a indiqué vendredi Statistique Canada.
Le directeur parlementaire du budget prévient que des conditions économiques plus difficiles entraîneront un déficit fédéral plus important, sans pouvoir en estimer l'ampleur.
La hausse du plafond de la première tranche de revenus pour laquelle les clients ne paient pas d’impôt fédéral touchera le plus de clients.
Les propositions budgétaires relatives aux options et aux rentes pourraient voir une nouvelle vie.
Le gouvernement fédéral ne considérera finalement pas les frais de gestion de placement payés à l’extérieur d’un régime enregistré comme un avantage au titre du régime, contrairement à ce qu’il annonçait en 2016.
Un organisme économique mondial a proposé une nouvelle façon de réglementer les paiements d'impôts des géants de la technologie et d'autres multinationales, un sujet qui fait les manchettes dans le monde entier et qui est devenu un enjeu électoral au Canada.
Le gouvernement fédéral a dévoilé mardi avoir cumulé un déficit budgétaire de 14 milliards de dollars (G$) pour son exercice 2018-19. Il s'agit d'un troisième manque à gagner de plus de 10 G$ en autant d'années.
Le Canada a ratifié la Convention multilatérale pour la mise en œuvre des mesures relatives aux conventions fiscales pour prévenir l’érosion de la base d’imposition et le transfert de bénéfices.
Le manufacturier estime que les avantages de ces fonds négociés en Bourse (FNB) seront maintenus.