Franklin Templeton – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Mon, 29 Apr 2024 11:35:47 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Franklin Templeton – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Franklin Templeton élargit sa gamme de FNB https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/franklin-templeton-elargit-sa-gamme-de-fnb/ Mon, 29 Apr 2024 11:35:47 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=100082 PRODUITS – Et inscrit une nouvelle série de FNB du Fonds d’obligations gouvernementales canadiennes Franklin.

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Franklin Templeton élargit sa gamme de fonds négociés en Bourse (FNB) à gestion active axés sur les titres à revenu fixe à la Bourse de Toronto et inscrit une nouvelle série de FNB du Fonds d’obligations gouvernementales canadiennes Franklin, qui portera le symbole FGOV.

FGOV expose les investisseurs aux obligations gouvernementales canadiennes de grande qualité, tout en leur proposant l’avantage supplémentaire d’une allocation active à faible coût. Ce Fonds cherche à procurer un revenu courant, une certaine liquidité et une modeste appréciation du capital en investissant principalement dans des obligations émises par les gouvernements fédéral, provinciaux et municipaux et les organismes gouvernementaux du Canada, notamment des titres adossés à des créances hypothécaires et des obligations à rendement réel.

« Nous nous efforçons d’offrir aux conseillers en placements et aux investisseurs une vaste gamme d’options de titres à revenu fixe pour les aider à positionner leurs portefeuilles dans toutes les conjonctures de taux d’intérêt, assure Ahmed Farooq, vice-président principal et chef de la distribution des FNB de détail, Franklin Templeton Canada. Lorsque les taux d’intérêt baisseront, le FGOV sera bien placé pour offrir un placement de grande qualité et à plus long terme, géré activement par notre équipe de titres à revenu fixe, moyennant des frais de 20 points de base seulement. »

Ce produit est cogéré par Darcy Briggs, vice-président principal et gestionnaire de portefeuille, et Brian Calder, vice-président, gestionnaire de portefeuille et négociateur principal qui possèdent conjointement plus de 50 ans d’expérience dans l’industrie. L’équipe Revenu fixe Franklin au Canada les appuie dans leur tâche.

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Franklin Templeton lance une nouvelle série de FNB https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/franklin-templeton-lance-une-nouvelle-serie-de-fnb/ Tue, 09 Apr 2024 10:44:23 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99969 PRODUITS – Les frais de ces derniers sont particulièrement bas.

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Franklin Templeton Canada crée une nouvelle série de fonds négociés en Bourse (FNB) indiciels à faible coût qui combinent les facteurs complémentaires que sont les dividendes élevés avec une faible volatilité pour aider à réduire le risque global dans un portefeuille.

Ainsi, trois FNB ont été inscrits sur les listes de Cboe Canada le 28 mars dernier soit :

  • le FINB d’actions canadiennes à faible volatilité et à haut rendement Franklin (FLVC),
  • le FINB d’actions américaines à faible volatilité et à haut rendement Franklin (FLVU)
  • et le FINB d’actions internationales à faible volatilité et à haut rendement Franklin (FLVI).

Leurs frais seront respectivement de 15, 12 et 25 points de base, soit parmi les plus bas de cette catégorie.

« Au lieu de devoir investir dans différents facteurs séparément, cette stratégie combinée de recherche de dividendes élevés et durables et de faible volatilité […] complète un portefeuille de stratégies actives et passives en visant à offrir un revenu plus élevé et à réduire le risque global, explique Ahmed Farooq, vice-président principal et chef de la distribution des FNB de détail, Franklin Templeton Canada. Bien que de nombreuses stratégies de dividendes mettent l’accent sur les dividendes qui ont été versés par le passé, cette série de FNB indiciels est également tournée vers l’avenir pour voir quels dividendes peuvent être maintenus et si les entreprises demeureront rentables pour les soutenir. »

La nouvelle série de FNB indiciels est construite à l’aide d’un processus d’indice fondé sur des règles avec les facteurs suivants :

  • Dividendes élevés : Un écran de dividendes et de rentabilité filtre les actions qui devraient continuer de verser des rendements de dividendes relativement élevés et les sociétés devraient demeurer rentables au cours des quatre prochains trimestres pour soutenir leur versement de dividendes.
  • Faible volatilité : Mesurer la volatilité des prix et des bénéfices réalisés, en plus des bénéfices projetés, afin de déterminer les changements dans le sentiment et le risque du marché.
  • Taux de rendement stable : Combinaison du rendement du dividende durable et des mesures de volatilité, tout en ajustant le rendement à la hausse lorsque la volatilité des prix et des bénéfices est faible, et vice versa.

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Réductions de frais chez Franklin Templeton https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/reductions-de-frais-chez-franklin-templeton/ Thu, 21 Mar 2024 11:53:52 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99688 PRODUITS – Celles-ci concernent ses portefeuilles FNB multiactifs.

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Franklin Templeton veut réduire des frais de 27 points de base pour les portefeuilles FNB multiactifs Franklin, proposant ainsi les frais les plus bas parmi ses concurrents qui proposent le même type de FNB.

Ces trois portefeuilles, qui sont gérés activement au moyen d’un processus dynamique de répartition de l’actif et de sélection des FNB qui tire parti des actions à gestion passive et des FNB de titres à revenu fixe à gestion active, ont un historique de cinq ans. Ils sont gérés par l’équipe Franklin Templeton Investment Solutions.

Ainsi à compter du premier avril, les frais de gestion des trois portefeuilles seront de :

Pour voir ce tableau en grand, cliquez ici.

À la même date, les frais de gestion du Fonds d’obligations gouvernementales canadiennes Franklin Bissett seront également réduits.

Pour voir ce tableau en grand, cliquez ici.

Franklin Templeton propose également la fusion à imposition reportée du Fonds canadien Franklin ActiveQuant et du Fonds américain Franklin ActiveQuant en Fonds d’actions canadiennes Franklin Bissett et en Fonds américain de croissance des dividendes Franklin, respectivement. Ces fusions seront soumises au vote lors de l’assemblée extraordinaire des investisseurs du 31 mai prochain à Toronto. Si elles sont approuvées, ces fusions seront effectuées à la fermeture des bureaux le 14 juin 2024.

En prévision de ces fusions, le Fonds canadien Franklin ActiveQuant et le Fonds américain Franklin ActiveQuant sont fermés aux nouveaux placements depuis le 13 mars. Si ces fusions ne sont pas approuvées, les deux fonds prendront fin à la fermeture des bureaux le 21 juin 2024.

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Violation de données : qu’en est-il des recours collectifs proposés ? https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/violation-de-donnees-quen-est-il-des-recours-collectifs-proposes/ Tue, 12 Mar 2024 11:14:19 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99497 « Il n’existe pas de plan détaillé pour gérer des réclamations multiples dans différentes provinces », selon un avocat.

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Les clients touchés par le piratage de données de l’année dernière impliquant des sociétés de services financiers et le service de transfert de fichiers GoAnywhere sont en droit de se demander quelle sera la suite des choses , étant donné que de nombreuses propositions de recours collectifs ont été déposées dans tout le pays.

La réponse courte ? C’est compliqué.

Quatre recours collectifs ont été déposés contre Placements Mackenzie en relation avec l’incident. La société InvestorCOM, spécialisée dans les technologies de l’information et de la communication, est défenderesse dans trois des quatre recours. Les autres défendeurs sont Edward Jones (deux plaintes) et Franklin Templeton (une).

Une plainte a été déposée en Colombie-Britannique, deux en Saskatchewan et une en Ontario, la plus récente ayant été déposée le 18 décembre et annoncée dans un communiqué de presse le 22 février.

Lorsque des recours collectifs sont introduits dans différentes provinces, « aucun tribunal provincial n’est compétent pour décider de la suite à donner à l’affaire », souligne Garth Myers, associé du cabinet Kalloghlian Myers à Toronto. (Garth Myers, comme les autres avocats interrogés dans le cadre de cet article, n’a pas commenté spécifiquement l’affaire du piratage informatique). « L’ouverture de recours collectifs nationaux qui se chevauchent dans différents tribunaux du pays a posé l’un des plus gros problèmes pour les recours collectifs au Canada ».

En revanche, « le système judiciaire fédéral [américain] a le pouvoir de résoudre ce problème », affirme Daniel Bach, associé, recours collectifs, chez Siskinds à Toronto.

Les cabinets d’avocats peuvent accepter de travailler en coopération pour faire avancer une action. Bien que ce soit « un résultat très fréquent », a déclaré Garth Myers, cela « dépend de la capacité des avocats, ou du plaignant et des membres du groupe, à se mettre d’accord et à conclure une sorte d’arrangement ».

Par ailleurs, les cabinets d’avocats pourraient essayer d’empêcher les affaires des uns et des autres d’avancer en déposant des requêtes dans d’autres provinces, mais « c’est un défi, et il n’y a pas beaucoup de grands précédents en la matière », précise-t-il.

Du point de vue du défendeur, il est inefficace et coûteux d’être poursuivi par les mêmes personnes devant différents tribunaux à travers le pays. Pour cette raison, un défendeur pourrait demander au tribunal de suspendre la procédure de manière temporaire ou permanente afin de permettre à une ou plusieurs autres affaires d’aller de l’avant, explique Garth Myers. Il a ajouté que les provinces diffèrent dans leur réceptivité à ces requêtes, qui sont appelées requêtes de suspension.

« Il n’y a pas de grand plan pour gérer les questions interjuridictionnelles soulevées par l’introduction d’une multiplicité de recours collectifs à travers le Canada », nous apprend Garth Myers.

Selon Daniel Bach, les modifications apportées en 2020 à la loi ontarienne sur les recours collectifs aident à résoudre les cas de chevauchement. Plus précisément, lorsqu’une affaire arrive au stade de la certification, le tribunal peut examiner si une affaire concurrente a été certifiée dans une autre province et si la réclamation en Ontario devrait plutôt être résolue dans une autre procédure. Mais une motion de certification peut intervenir des années après l’introduction d’un recours collectif, précise-t-il.

Lorsque plusieurs plaintes sont déposées dans la même province et que les avocats ne s’entendent pas pour travailler ensemble, le tribunal décide dans une motion de transport quelle action collective concurrente sera poursuivie.

« Le tribunal applique un test multifactoriel qui se résume essentiellement à déterminer lequel de ces recours collectifs est dans le meilleur intérêt du groupe », résume Daniel Bach. Les facteurs pris en compte sont notamment le fondement de l’affaire et l’expérience des avocats. (Le Québec fait exception avec sa règle du premier à déposer).

Affaires de piratage informatique et intrusion dans la vie privée

Par ailleurs, la Cour d’appel de l’Ontario, dans une série de décisions, a « limité l’étendue de la récupération » dans les affaires de piratage de données, souligne Garth Myers.

Quelques-unes des plaintes déposées contre les sociétés de services financiers invoquent la responsabilité pour « intrusion dans la vie privée ». Mais la Cour d’appel a effectivement déclaré qu’un « défendeur de base de données » — qui détient des données personnelles et qui est piraté par un tiers — n’est pas responsable de l’intrusion dans la vie privée, nous informe Garth Myers.

« La responsabilité ne peut s’attacher qu’à une partie qui participe activement à l’accès illicite aux informations privées d’autrui », écrit Ellen Snow, associée du groupe de contentieux commercial de Clyde & Co. à Toronto, dans un article expliquant le point de vue de la Cour.

À la suite des décisions de la Cour d’appel, « je pense que nous avons constaté une diminution significative du nombre d’affaires relatives à la protection de la vie privée déposées au Canada », rapporte Garth Myers, qui qualifie l’approche de la Cour de « régressive » en ce qui concerne les informations personnelles.

« Pour l’instant, c’est la réalité à laquelle nous sommes confrontés, dit-il. Il n’y a pas de plainte automatique pour violation de la vie privée contre le défendeur d’une base de données, qui détient des informations privées, à chaque fois qu’il est piraté. »

Les autres causes contenues dans l’action sont la négligence et la violation des lois provinciales sur la protection de la vie privée.

Jusqu’à ce que les actions collectives proposées se concrétisent, les clients concernés devront se résigner à une approche attentiste.

Dans le rapport de gestion publié avec les résultats du quatrième trimestre, la société mère de Mackenzie, la Société financière IGM, a déclaré qu’elle ne s’attendait pas à ce que ces actions en justice aient un « effet négatif important » sur sa situation financière consolidée.

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Que se passe-t-il si une fiducie de fonds commun de placement perd son statut ? https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/que-se-passe-t-il-si-une-fiducie-de-fonds-commun-de-placement-perd-son-statut/ Wed, 06 Mar 2024 12:17:46 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99405 Cette situation rare peut avoir une incidence sur l'admissibilité aux régimes enregistrés.

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Les clients et les conseillers en services financiers tiennent généralement pour acquis que leurs fonds d’investissement conserveront leur structure. Mais ce que beaucoup ignorent peut-être, c’est qu’une fiducie de fonds commun de placement peut cesser d’en être une, ce qui peut poser des problèmes si le fonds était détenu dans un régime enregistré.

« Ce n’est pas une situation courante, surtout lorsqu’il s’agit d’un fonds d’une grande société de fonds », souligne Dan Hallett, vice-président de la recherche et directeur du HighView Financial Group à Oakville, en Ontario.

Cependant, Franklin Templeton Canada a annoncé au début du mois que le Franklin Brandywine Global Sustainable Balanced Fund avait temporairement perdu son statut de fiducie de fonds commun de placement, sans en préciser la raison.

« Le fonds était un investissement qualifié pour l’année fiscale 2023, précise Sarah Kingdon, directrice principale des communications d’entreprise chez Franklin Templeton, dans un courriel. En janvier 2024, il a temporairement cessé d’être admissible en tant que fiducie de fonds commun de placement en vertu de la Loi de l’impôt sur le revenu (Canada), mais il a retrouvé son statut de fiducie de fonds commun de placement et d’investissement qualifié à la fin de ce mois. »

Dans un communiqué, Franklin Templeton affirme que les détenteurs de parts n’ont pas besoin de prendre des mesures et qu’il « ne croit pas que ces événements entraîneront une responsabilité fiscale ou des obligations de déclaration pour tout investisseur qui a détenu les parts du fonds dans un régime enregistré au cours du mois de janvier 2024. »

La Loi de l’impôt sur le revenu (LIR) prévoit quatre conditions pour une fiducie de fonds commun de placement : la résidence au Canada, la possibilité de racheter les parts sur demande, l’investissement dans certains biens uniquement et la présence d’au moins 150 porteurs de parts distincts détenant chacun des parts d’une valeur d’au moins 500 $. Une fiducie de fonds commun de placement ne peut pas non plus avoir été établie principalement au profit de non-résidents.

Michael Friedman, associé en fiscalité chez McMillan à Toronto, déclare que le fait de passer sous le seuil des 150 détenteurs de parts est la raison la plus fréquente pour laquelle les fonds communs de placement perdent leur statut. Michael Friedman s’exprimait toutefois de manière générale et ne parlait pas de la situation de Franklin Templeton.

« La plupart des fonds surveilleront le nombre de détenteurs de parts et, s’ils tombent en dessous de 150, ils prendront des mesures pour essayer d’en augmenter le nombre ou, à défaut, pour liquider le fonds avant qu’il n’y ait des conséquences négatives pour les régimes enregistrés », explique Michael Friedman.

Heureusement, la LIR tient compte des baisses temporaires. « Il existe une règle de présomption qui stipule que si vous êtes une fiducie de fonds commun de placement au début de l’année civile et que vous passez sous le seuil des 150 détenteurs de parts, vous serez réputé être resté une fiducie de fonds commun de placement pour le reste de l’année civile. »

En règle générale, cela n’entraîne aucune conséquence fiscale défavorable pour les détenteurs de parts.

Toutefois, lorsqu’une fiducie de fonds commun de placement perd son statut de façon permanente, elle cesse d’être un placement admissible aux fins des régimes enregistrés, comme les REER et les CELI.

« Si un REER détient une part d’une fiducie de fonds commun de placement et que celle-ci cesse d’être une fiducie de fonds commun de placement, il s’agit soudainement d’un investissement non admissible, prévient Michael Friedman. Et des pénalités fiscales particulièrement lourdes s’appliquent aux détenteurs de REER ou d’autres régimes enregistrés qui détiennent des placements non admissibles. Il s’agit donc d’une préoccupation réelle pour les régimes enregistrés. »

Un REER qui acquiert ou détient un investissement non qualifié est soumis à un impôt de 50 % sur la juste valeur marchande de l’investissement au moment où il a été acquis ou est devenu non qualifié. Le revenu d’un investissement non qualifié est considéré comme imposable pour le REER au taux marginal le plus élevé.

La règle de présomption peut être particulièrement utile pour les fonds dont le nombre de porteurs de parts diminue au début de l’année, mais elle l’est moins pour ceux dont le nombre diminue à la fin de l’année.

« Supposons, par exemple, que vous ayez 150 détenteurs de parts jusqu’au 30 décembre, vous n’auriez qu’un jour pour dépasser le [seuil] », calcule Michael Friedman.

En outre, la règle ne s’applique qu’au seuil de 150 détenteurs de parts et non aux autres critères de la LIR pour les fonds communs de placement.

« Il pourrait y avoir d’autres raisons pour lesquelles le fonds ne remplit plus les conditions requises, et elles pourraient être plus problématiques », ajoute-t-il. Si la plupart des détenteurs de parts deviennent soudainement non-résidents, par exemple, « la fiducie cesserait d’être une fiducie de fonds commun de placement – et cela ne peut pas être corrigé ».

La raison historique du critère de fonds commun de placement est probablement la protection.

« Ce qui a été suggéré, c’est que le gouvernement veut s’assurer que nos REER ont des investissements relativement sûrs et sécurisés, rapporte Michael Friedman. Les conditions d’investissement qualifiées limitent les régimes enregistrés à des investissements dans des fonds plus largement souscrits, plus importants ou gérés par des professionnels. »

Mais les critères ne font pas l’unanimité. « Beaucoup [de gestionnaires de fonds] diront qu’il s’agit d’une politique un peu paternaliste de la part du gouvernement », rapporte-t-il.

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Les gestionnaires d’actifs anticipent des gains grâce aux obligations et à l’IA https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/les-gestionnaires-dactifs-anticipent-des-gains-grace-aux-obligations-et-a-lia/ Wed, 10 Jan 2024 11:23:03 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98367 FOCUS FNB - Les fournisseurs de FNB privilégient les titres à revenu fixe et la gestion active dans leurs perspectives pour 2024.

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Les perspectives haussières relatives aux obligations, les opportunités de croissance dans l’intelligence artificielle (IA), ainsi que la transition énergétique, figurent parmi les thèmes récurrents des prévisions 2024 des fournisseurs de fonds d’investissement.

« En raison des valorisations actuelles, des perspectives de croissance économique difficile et de la diminution de l’inflation, nous pensons que les obligations ont rarement semblé plus intéressantes que les actions », indique un rapport d’allocation d’actifs publié par la société américaine Pacific Investment Management Co. LLC, dont le siège social se trouve aux États-Unis. Connue pour être l’un des principaux gestionnaires d’obligations, la société PIMCO propose six fonds négociés en Bourse (FNB) cotés au Canada.

Les stratèges de PIMCO affirment qu’historiquement, lorsque les obligations de haute qualité enregistraient des rendements moyens similaires aux niveaux actuels, une surperformance s’ensuivait au cours des cinq années suivantes. En revanche, le ratio cours-bénéfice corrigé des variations cycliques des actions a eu tendance à être associé à une sous-performance à long terme.

D’autres fervents défenseurs de l’argument de l’évaluation favorisant les obligations plutôt que les actions sont les stratèges de l’allocation d’actifs du groupe américain Vanguard Group Inc, la société mère du fournisseur de FNB Vanguard Investments Canada Inc., établie à Toronto.

Selon les perspectives de marché de Vanguard pour 2024, la hausse des taux d’intérêt a entraîné une augmentation substantielle des rendements attendus pour les titres à revenu fixe. Les taux élevés ont également comprimé la prime de risque des actions, qui correspond au rendement supérieur attendu des actions.

Cela a entraîné un changement radical du modèle tactique de Vanguard, basé sur l’évaluation, connu comme l’allocation d’actifs variable dans le temps (time-varying asset allocation (TVAA)). D’une pondération neutre de 50-50, le portefeuille modèle TVAA est passé à 68% de titres à revenu fixe et seulement 32% d’actions. « Cette position reflète notre approche proactive visant à capturer la valeur tout en gérant le risque dans un paysage de marché dynamique », signale Vanguard.

Sur le marché des titres à revenu fixe, le comité de répartition des actifs de Gestion de Placements TD Inc. (GPTD) privilégie une légère surpondération des obligations d’État. Il est neutre à l’égard des obligations de sociétés de qualité, invoquant le resserrement des écarts qui a rendu ces titres de créance moins attrayants. Pour la même raison, GPTD sous-pondère les titres à revenu fixe à haut rendement et s’attend également à une détérioration des fondamentaux des crédits aux entreprises.

En ce qui concerne les actions canadiennes, l’investissement passif ne sera pas la meilleure solution en 2024, selon un stratège affilié à BlackRock Asset Management Canada Ltd, le plus grand fournisseur de FNB du pays, surtout connu pour ses FNB indiciels à marché large.

« L’incertitude et la dispersion accrues des rendements dans le nouveau régime appellent une approche plus active de la gestion des portefeuilles d’investissement », a déclaré Tara Iyer, stratège macroéconomique en chef pour l’Amérique du Nord au sein du BlackRock Investment Institute.

Les entreprises de grande qualité, dotées de modèles d’entreprise durables et de faibles ratios d’endettement, pourraient continuer à surperformer l’année prochaine, estime Tara Iyer, qui est basée à New York. Elle ajoute que les sociétés énergétiques canadiennes obtiennent de bons résultats auprès des indicateurs de qualité.

Bien que les titres à revenu fixe soient devenus plus attrayants, les actions mondiales devraient revenir aux moyennes à long terme et surpasser les obligations au cours des dix prochaines années, selon Franklin Templeton Investment Solutions (FTIS), une société basée à Toronto. Actuellement, le portefeuille de FTIS prévoit une surpondération des actions américaines et des actions des marchés émergents, ainsi qu’une sous-pondération du Canada et de l’Europe.

Malgré une forte croissance démographique, la faible croissance de la productivité reste un vent contraire pour le Canada, a déclaré Ian Riach, vice-président principal et gestionnaire de portefeuille de FTIS, lors d’une réunion de conseillers en services financiers qui s’est tenue à Toronto en décembre. Le ratio du service de la dette des ménages au Canada, beaucoup plus élevé qu’aux États-Unis, constitue un autre motif de prudence.

Adoptant une position neutre à l’égard des actions canadiennes, les stratèges de GPTD ont déclaré qu’il reste à voir le plein effet de la hausse des taux sur les consommateurs et le marché de l’immobilier. « Toutefois, les flux de trésorerie disponibles élevés dans le secteur de l’énergie et les titres financiers relativement peu coûteux peuvent offrir des occasions intéressantes. »

Par ailleurs, selon la FTIS, la valeur des actions européennes semblent attrayantes, mais elles reflètent la faiblesse des données économiques, notamment les prévisions négatives concernant la croissance économique et les niveaux d’emploi. GPTD a déclaré que les actions internationales des marchés développés, en particulier en Europe, continuent de susciter des inquiétudes quant à la rentabilité des entreprises et au ralentissement des conditions macroéconomiques.

Les stratèges de BlackRock sont optimistes à l’égard du Japon, qui reste leur marché développé préféré, même après les fortes hausses enregistrées en 2023. BlackRock cite les valorisations attrayantes, la croissance des bénéfices et les réformes d’entreprise favorables aux actionnaires.

En ce qui concerne les marchés émergents, GPTD indique que les baisses de taux au Brésil et au Chili créent un potentiel d’amélioration de la croissance économique. Cette situation, conjuguée à des valorisations relativement faibles des actions, accroît l’attrait de ces marchés. Toutefois, GPTD est prudente à l’égard de la Chine en raison des difficultés persistantes du secteur de l’immobilier.

En ce qui concerne le critère clé de la rentabilité, le marché américain reste en tête, selon la FTIS, avec un rendement des capitaux propres nettement supérieur à celui des autres régions.

L’histoire est également du côté des investisseurs qui sont optimistes à l’égard des États-Unis en 2024, car les années d’élections présidentielles ont tendance à avoir des rendements boursiers positifs. Comme l’a noté BMO Gestion mondiale d’actifs (BMO GMA) dans ses prévisions, depuis 1952, l’indice S&P 500 n’a jamais baissé au cours d’une année où un président sortant était candidat à sa réélection.

« Les présidents ont tendance à utiliser tous les leviers politiques nécessaires pour stimuler l’économie, consolider leurs appuis et maximiser leurs chances d’être réélus », a déclaré Fred Demers, directeur des solutions multi-actifs de BMO GMA.

En outre, les États-Unis sont le principal acteur de l’un des principaux thèmes de croissance mondiale : l’impact transformateur de l’IA sur tous les aspects de l’économie. « Les entreprises technologiques, y compris les Sept Magnifiques, trouvent de nouveaux moyens d’étendre leurs activités déjà dominantes », selon Fred Demers. « Ne soyez pas surpris si les grandes entreprises technologiques restent en tête en 2024. »

La transition énergétique est une autre tendance mondiale prometteuse. Dans ses perspectives de marché, Placements Mackenzie prévoit qu’en 2024, les investissements et les progrès se poursuivront dans la production et le stockage de l’énergie solaire, ainsi que dans la fabrication et l’infrastructure des véhicules électriques. La technologie de capture du carbone pourrait également gagner en importance, selon Mackenzie.

Un thème connexe est la résilience climatique, avance Olivia Markham, une gestionnaire de portefeuille de BlackRock basée à Londres, en Angleterre, qui se spécialise dans les investissements thématiques et sectoriels.

« Il s’agit de la capacité à se préparer, à s’adapter et à résister aux risques climatiques, ainsi qu’à reconstruire après les dommages causés par le climat », explique Olivia Markham. À titre d’exemple, elle a cité les systèmes de surveillance permettant de prévoir les inondations et la modernisation des bâtiments pour qu’ils résistent aux conditions météorologiques extrêmes.

« Nous constatons déjà une augmentation de la demande de produits et de services qui renforcent la résilience climatique, mentionne Olivia Markham. Il se peut que les marchés n’apprécient pas à sa juste valeur la façon dont ce thème peut devenir un thème d’investissement courant au fil du temps. »

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Great-West Lifeco a finalisé la vente Putnam Investments https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/great-west-lifeco-a-finalise-la-vente-putnam-investments/ Fri, 05 Jan 2024 12:59:07 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98327 La firme est passée dans le giron de Franklin Templeton.

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Great-West Lifeco a confirmé la conclusion de la vente de Putnam Investments à Franklin Ressources, dont les activités sont exercées sous le nom de Franklin Templeton.

« Étant donné que les besoins en gestion des actifs continuent d’évoluer, l’étendue et la portée de Franklin Templeton, de pair avec les capacités complémentaires de Putnam, produiront des résultats positifs pour les parties prenantes, affirme Paul Mahon, président et chef de la direction, Great-West Lifeco. Cette transaction s’inscrit dans la stratégie de Lifeco visant à établir et à faire croître des partenariats stratégiques avec des gestionnaires d’actifs de premier ordre afin de répondre aux besoins de nos clients en matière de retraite, de garanties collectives et de gestion du patrimoine pour les particuliers. »

L’annonce de la transaction a été faite en juin dernier. Elle était alors évaluée à 1,2 milliard de dollars (G$). Great-West Lifeco avait indiqué à ce moment qu’elle allouerait 35 G$ en actifs gérés à Franklin Templeton dans les 12 mois suivant la conclusion de la transaction, avec la possibilité d’augmenter ce montant au cours des prochaines années. La firme signale ne pas s’attendre à ce que cette transaction ait une incidence financière importante à la clôture des marchés.

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Fin de parcours pour deux FNB de Franklin Templeton Canada https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/fin-de-parcours-pour-deux-fnb-de-franklin-templeton-canada/ Mon, 16 Oct 2023 10:21:01 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96773 PRODUITS – La dissolution est prévue vers la mi-décembre.

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Franklin Templeton Canada a annoncé son intention de dissoudre deux de ses fonds négociés en Bourse (FNB) : le FNB actif équilibré de base Franklin et le FNB actif d’actions canadiennes à risque géré Franklin. La liquidation est prévue pour le 13 décembre 2023 ou aux alentours de cette date.

À partir du 1er novembre 2023, la société n’acceptera plus aucune souscription directe de parts pour ces deux FNB. Toutefois, ils continueront d’être cotés à la Bourse de Toronto (TSX) jusqu’au 7 décembre 2023, date à laquelle ils seront volontairement radiés.

Franklin Templeton vendra et convertira les actifs des FNB en espèces aux alentours du 8 décembre 2023. Une fois que tous les passifs et obligations des FNB seront réglés, les actifs restants seront distribués aux porteurs de parts au prorata. Les porteurs de parts qui ne procéderont pas à la vente ou au rachat de leurs parts avant le 7 décembre 2023 recevront un montant en espèces correspondant à leur quote-part des FNB le 14 décembre 2023 ou vers cette date.

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La préférence optimale pour les titres domestiques https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/la-preference-optimale-pour-les-titres-domestiques/ Wed, 11 Oct 2023 10:20:02 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96597 FOCUS FNB - Deux études examinent la bonne répartition entre titres locaux et mondiaux.

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Pour les Canadiens, le marché des actions nationales se compare un peu à l’aliment réconfortant de l’investissement. Le nom des entreprises est familier, le crédit d’impôt pour dividendes, tout comme l’absence de risque de change sont autant de raisons valables de détenir une part beaucoup plus importante d’actions canadiennes que la modeste part évaluée à 3 % de la capitalisation boursière mondiale.

Toutefois, les stratèges en investissement affirment qu’il existe un compromis entre le biais domestique et une diversification adéquate. Selon deux importantes sociétés de gestion d’investissements qui ont produit des recherches sur ce sujet, les Canadiens qui limitent leur enthousiasme pour le marché national pourraient bénéficier de meilleurs rendements corrigés du risque au fil du temps.

Une étude publiée en juin par Placements Vanguard Canada Inc., de Toronto, a conclu que la combinaison optimale pour les Canadiens dans la partie actions de leurs portefeuilles est de 30 % d’actions nationales et de 70 % d’actions étrangères.

Une étude publiée en 2022 par la société d’investissement Franklin Templeton, également de Toronto, est parvenue à une conclusion similaire. Cette étude a conclu qu’il était raisonnable de consacrer de 25 à 35 % de l’allocation en actions aux titres canadiennes, la partie supérieure de cette fourchette étant appropriée pour les portefeuilles davantage orientés vers la croissance.

« Il y a de bonnes raisons d’avoir une certaine préférence pour les investissements de son pays d’origine, a déclaré le co-auteur Ian Riach, vice-président senior et gestionnaire de portefeuille chez Franklin Templeton. Cependant, il faut aussi trouver un équilibre avec le risque de forte concentration du marché [canadien], d’où l’intérêt de la diversification. »

Les arguments en faveur de la mondialisation reposent non seulement sur la faible part du Canada sur les marchés mondiaux, mais aussi sur sa composition. Le document de Vanguard note que les 10 plus importantes actions canadiennes, au 31 mai, représentaient 36,9 % de l’ensemble du marché national. À titre de comparaison, les 10 plus grandes actions étrangères représentaient 15,6 % du marché mondial des actions.

En ce qui concerne la répartition sectorielle, le Canada est fortement surpondéré par rapport aux marchés mondiaux dans les secteurs des services financiers et de l’énergie, et nettement sous-pondéré dans les secteurs des technologies de l’information, des soins de santé et de la consommation discrétionnaire. « Les investisseurs canadiens pourraient bénéficier de l’ensemble des opportunités offertes par une plus grande exposition aux actifs étrangers », note le document de Franklin.

L’étude de Vanguard a conclu que la combinaison la plus efficace de risque et de rendement pour les Canadiens était d’investir dans un portefeuille mondial avec une faible pondération pour le Canada.

Or, pour des raisons de gestion de risque, Vanguard ne préconise pas une approche globale à part entière. Lorsque la part des actions étrangères dépasse 70 %, la volatilité commence à augmenter.

« C’est pourquoi nous disons que le niveau optimal pour les Canadiens est de maintenir une pondération de 30 % en actions canadiennes », a déclaré l’auteur du document de recherche, Bilal Hasanjee, stratège principal en matière d’investissement chez Vanguard Canada.

La recommandation de 30 % se fonde en grande partie sur des facteurs quantitatifs, notamment l’analyse de la variance minimale. Toutefois, elle tient également compte des préférences des investisseurs, en citant une étude du Fonds monétaire international (FMI) datant de 2022. Le FMI a calculé que les portefeuilles d’actions au Canada détenaient un total combiné de 52,2 % de leurs actifs en actions canadiennes.

L’analyse de Vanguard s’est appuyée sur des catégories d’actifs larges, pondérées par la capitalisation boursière, de sorte qu’elle n’a pas pris en compte l’impact des crédits d’impôt pour dividendes.

L’allocation domestique recommandée de 30 % s’applique à toutes les stratégies d’allocation d’actifs, qu’elles soient prudentes ou agressives, à condition qu’il y ait au moins une part d’actions.

Le Portefeuille FNB équilibré Vanguard, par exemple, a une répartition cible des actifs de 60 % en actions et 40 % en titres à revenu fixe. Sa pondération de 18 % en actions canadiennes équivaut à 30 % de l’exposition totale aux actions. Le Portefeuille FNB prudent Vanguard, quant à lui, ne détient que 12 % d’actions canadiennes, ce qui représente tout de même 30 % de l’exposition totale aux actions. Or, cela représente tout de même 30 % de l’exposition totale aux actions.

Selon Bilal Hasanjee, quel que soit le profil de risque de l’investisseur, l’allocation aux actions canadiennes, ou l’optimisation de la volatilité, est toujours de 30 % sur la base de simulations effectuées sur différents niveaux d’allocation d’actifs.

Le point de vue de Franklin sur le contenu canadien, géré activement, est en revanche plus nuancé. Son analyse a montré que les Canadiens devraient généralement détenir 30 à 33 % de leurs portefeuilles d’actions en actions canadiennes, a déclaré Ian Riach, dont les responsabilités en matière de gestion de portefeuille incluent les Portefeuilles Franklin Quotentiel , dont l’actif géré  est évaluée à 7 milliards de dollars (G$).

« D’un point de vue dynamique, cependant, étant donné que les marchés ont des cycles différents, dans nos portefeuilles nous avons varié ce pourcentage à moins de 30 % [et] à plus de 35 % à certains moments », a-t-il mentionné.

Récemment, l’allocation de l’équipe Franklin Quotential aux actions canadiennes a été inférieure aux niveaux typiques cités par Ian Riach. À la fin du mois de juillet, le Portefeuille équilibré de croissance Franklin Quotentiel, un fonds commun de placement, détenait 15 % d’actions canadiennes, ce qui représentait environ 25 % du contenu en actions de ce portefeuille composé à 60 % d’actions et à 40 % de titres à revenu fixe. Cela représentait environ 25 % du contenu en actions de ce portefeuille composé à 60 % d’actions et à 40 % de titres à revenu fixe.

Le document de Franklin, vieux d’un an, comprenait également une répartition des revenus fixes. Dans cette catégorie d’actifs, Franklin privilégiait une allocation de 65 % au Canada et de 35 % en titres étrangers comme point de départ.

Selon Ian Riach, le marché obligataire canadien est très similaire au marché des actions en termes de concentration. Les obligations d’État, tant fédérales que provinciales, représentent environ 70 % du marché.

Quant aux obligations d’entreprises, plus de 60 % d’entre elles sont concentrées dans deux secteurs seulement : les services financiers et l’énergie. « Il est intéressant de diversifier ses placements et d’augmenter ses opportunités en allant à l’étranger », a-t-il déclaré, bien que le document recommande une plus grande préférence pour les titres domestiques pour les titres à revenu fixe que pour les actions.

L’allocation recommandée par Franklin pour les titres à revenu fixe étrangers suppose une couverture complète du risque de change par rapport au dollar canadien. « Cela nous permet en fait d’augmenter notre exposition à l’étranger si nous couvrons cette devise, car cela élimine le risque de change », a déclaré Ian Riach.

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Judy Goldring nommée présidente du CA de l’IFIC https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/judy-goldring-nommee-presidente-du-ca-de-lific/ Fri, 29 Sep 2023 10:37:57 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96389 NOUVELLES DU MONDE – Et Éric Hallé réélu à la présidence du conseil des gouverneurs du CFIQ.

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L’Institut des fonds d’investissement du Canada (IFIC) a nommé Judy Goldring, présidente et chef de la distribution mondiale, Placements AGF, à titre de présidente du conseil d’administration pour un mandat de deux ans. Elle succède à Rick Headrick, président Gestion d’actifs Capital International, qui a terminé un mandat de deux ans à la tête du CA et qui continue à siéger à titre d’administrateur.

« Je suis fière de présider le conseil d’administration de l’IFIC en ce moment important dans notre secteur, a dit Judy Goldring. Appuyer le travail de collaboration de l’organisation demeurera une priorité absolue pour faire progresser les enjeux clés avec les représentants, les organismes de réglementation, les gouvernements et les défenseurs des investisseurs afin de façonner le secteur des fonds de placement pour nos investisseurs et nos membres. »

Duane Green, président et chef de la direction, Franklin Templeton Canada, a été élue vice-président. Stephen Fiorelli, président et chef de la direction, vice-président principal, Solutions de gestion de patrimoine, Gestion de placements Canada Vie Ltée, s’est joint à titre d’administrateur.

Éric Hallé reconduit au CFIQ

Par ailleurs, Éric Hallé, vice-président régional, Est du Canada, Fonds Dynamique, a été réélu à la présidence du conseil des gouverneurs du Conseil des fonds d’investissement du Québec (CFIQ) pour un mandat d’un an.

« Je suis honoré d’avoir été réélu président du conseil pour une troisième année consécutive afin de diriger les efforts continus de la CFIQ et d’être un porte-parole efficace du secteur des fonds d’investissement au Québec », a-t-il déclaré.

Éric Hallé siège depuis 2017 au conseil des gouverneurs du CFIQ. Il est entré en 2001 chez Fonds Dynamique, où il a assumé pendant les 13 dernières années le rôle de vice-président régional pour l’Est du Canada. Auparavant, il a travaillé à la Banque Nationale. Il est titulaire d’un baccalauréat en finance de HEC Montréal et porte le titre de Gestionnaire de placement agréé (CIM).

Marie Brault, vice-présidente, Services juridiques, Affaires juridiques et réglementaires, Banque Nationale Investissements, a quant à elle été réélue à titre de deuxième vice-présidente du conseil.

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