Fonds de solidarité FTQ | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/post_company/fonds-de-solidarite-ftq/ Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Wed, 15 Oct 2025 12:11:06 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Fonds de solidarité FTQ | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/post_company/fonds-de-solidarite-ftq/ 32 32 Le Fonds de solidarité FTQ dévoile son CA https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/le-fonds-de-solidarite-ftq-devoile-son-ca/ Wed, 15 Oct 2025 12:11:06 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110251 NOUVELLES DU MONDE – Découvrez qui en fait partie.

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Le Fonds de solidarité FTQ a profité de son assemblée générale annuelle, qui s’est tenue le 27 septembre 2025, pour élire la majorité des membres du conseil d’administration (CA).

Le CA est composé de 19 membres, soit :

  • Claude Séguin, qui possède plus de 40 ans d’expérience en finance. Après avoir occupé les postes de vice-président principal — développement de l’entreprise et investissements stratégiques et de vice-président principal — finances et investissements stratégique, il a occupé plusieurs postes au sein de la fonction publique québécoise, notamment, à titre de sous-ministre des Finances, sous-ministre adjoint des Finances, directeur de la planification et directeur adjoint des programmes sociaux du Conseil du trésor. Ce dernier agira au CA du fonds de solidarité FTQ à titre de président du conseil.
  • Magali Picard est membre de la nation wendate et militante pour les droits des peuples autochtones et des femmes. Tout au long de sa carrière, elle lutte pour une plus grande justice sociale pour les travailleurs et travailleuses afin que tous et toutes puissent vivre dans la dignité. Elle qui a été vice-présidente de la FTQ et du Fonds de solidarité FTQ occupe aujourd’hui le poste de première vice-présidente du conseil.
  • Denis Bolduc est secrétaire général de la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec et occupe le poste de troisième vice-président du conseil.
  • Janie C. Béïque est la première femme à avoir été nommée présidente et cheffe de la direction du Fonds de solidarité FTQ, poste qu’elle occupe actuellement.
  • Mario Basilico est un leader dans l’industrie de la construction et du mouvement syndical au Québec et joue un rôle clé dans l’avancement des droits des travailleurs et l’amélioration des conditions de travail dans l’industrie de la construction au Québec.
  • Claude Bergeron est avocat, administrateur de sociétés et conseiller. Il a notamment travaillé au ministère du Revenu Québec comme avocat au contentieux, avant d’être nommé directeur adjoint et chef de division.
  • Loïc Breton est, depuis 2016, président du Syndicat des employées et employés professionnels-les et de bureau (SEPB–Québec) et responsable de l’éducation.
  • Daniel Cloutier est directeur québécois d’Unifor.
  • Anouk Collet occupe le poste de conseillère principale au président national du syndicat des Travailleurs et travailleuses unis de l’alimentation et du commerce.
  • Robin Côté possède une vaste expérience de plus de trente ans en tant qu’opérateur de machinerie lourde chez Transports routiers de la Ville d’Alma, en plus d’être actif au sein du Syndicat canadien de la fonction publique.
  • Sylvie Demers occupait le poste de présidente à la direction, Groupe Financier Banque TD et est aujourd’hui administratrice de sociétés, ainsi que formatrice au Collège des administrateurs de sociétés à l’Université Laval en gouvernance sur les conseils d’administration.
  • Éric Gingras est président de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) depuis juin 2021.
  • Denis Labrèche cumule plus de 30 années d’expérience en évaluation d’entreprises, en litiges financiers et en fusions et acquisitions d’entreprises de divers secteurs d’activité.
  • Nicolas Lapierre est directeur québécois des Métallos et est également vice-président de la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec.
  • Katia Marquier cumule plus de 25 ans d’expérience dans les domaines de la comptabilité, fiscalité, planification stratégique et gouvernance d’entreprise. Depuis février 2017, elle est dirigeante chez Fednav, un transporteur maritime international.
  • Sylvie Nelson a été la première femme élue à titre de présidente du Syndicat québécois des employées et des employés de service, section locale 298 ; un poste qu’elle occupe depuis 2017.
  • Sébastien Paquette est vice-président exécutif régional au syndicat de l’Alliance de la Fonction publique du Canada — Québec (AFPC-Québec).
  • Roger A. Renaud a été président au Canada, puis chef mondial de l’exploitation chez Gestion d’Actifs Manuvie et est aujourd’hui administrateur de sociétés.
  • Nancy Simoneau est présidente et cheffe de la direction du Groupe Simoneau, un leader nord-américain dans la fabrication de chaudières industrielles, institutionnelles et commerciales.

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Rose des Vents : une boussole pour la finance durable https://www.finance-investissement.com/fi-releve/carriere/rose-des-vents-une-boussole-pour-la-finance-durable/ Mon, 29 Sep 2025 10:23:04 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110053 FORUM FINTECH – Mère et entrepreneure : le double défi d’Odrey Robillard

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Lancée en septembre 2024, l’entreprise Rose des Vents incarne la volonté de redonner du sens à la finance. Portée par l’une des participantes au parcours ElleFintech de Finance Montréal, la jeune entreprise de conseil conjugue stratégie ESG (environnemental, social et de gouvernance), engagement communautaire et entrepreneuriat au féminin.

C’est pendant son deuxième congé de maternité que l’idée de créer Rose des Vents a germé dans l’esprit d’Odrey Robillard. Pour elle, c’était l’occasion rêvée de prendre un pas de recul face au milieu de la finance et de réfléchir à la façon de maximiser son impact professionnel dans un monde en profonde transformation.

Alors que les indices ESG sont bousculés et que plusieurs organisations revoient leurs politiques, réorienter sa carrière dans ce secteur pouvait sembler audacieux.

« Ce n’est pas un contexte facile pour lancer une entreprise, surtout en finance durable, où certains termes comme ESG sont devenus polarisants. Mais justement, c’était le bon moment », affirme Odrey Robillard.

Diplômée en finance de l’Université de Sherbrooke, ses premiers entretiens d’embauche dans le secteur bancaire lui font prendre conscience d’un écart entre ses valeurs et celles du secteur bancaire. Elle quitte alors les processus de recrutement pour s’inscrire à une maîtrise en environnement, un virage déterminant.

De retour au Québec après un séjour en France, elle débute sa carrière au Groupe d’Investissement responsable (GIR), une PME qui exerce les droits de vote pour le compte de grandes organisations, puis rejoint en 2015 la première équipe en investissement responsable formée par la Caisse de dépôt et placement du Québec.

« C’était un moment fondateur. La Caisse est un bijou qu’on connaît mal au Québec. Elle a pris un réel leadership sur la finance durable à partir de 2017, notamment avec sa stratégie climatique », se souvient-elle.

En 2019, elle intègre le Fonds de solidarité FTQ, qui cherchait alors à structurer sa propre approche d’investissement responsable. Elle contribue à bâtir une équipe et à tisser des liens avec les entrepreneurs du Québec. Elle y occupera le poste de directrice du développement durable, placements privés et investissements d’impact pendant deux ans.

De l’intrapreneuriat à l’entrepreneuriat

Au fil du temps, Odrey Robillard ressent les limites du cadre organisationnel. « Quand on travaille dans une grande structure, il y a des balises. On ne peut pas toujours connecter les acteurs entre eux ou initier des projets plus risqués », explique-t-elle. Le désir d’entreprendre prend le dessus. « Je me suis toujours définie comme une intrapreneure. Mais au fond, je suis une entrepreneure : j’ai la vision, la capacité de faire arriver les choses et l’envie de tracer ma propre feuille de route. »

Plutôt que de sauter dans le vide, elle prépare soigneusement sa transition. Elle constitue un fonds de prévoyance pour assumer quelques mois sans revenus. Son premier mandat arrive en 2024 grâce à son implication au sein du conseil d’administration d’une fondation. Ce mandat à temps partiel lui permet de poser les premiers jalons de son entreprise : recherche de nom, identité de marque, site web, etc. tout se fait pas à pas, avec l’aide de coachs et mentors.

Le programme d’accélération ElleFintech, chapeauté par Finance Montréal, joue un rôle déterminant dans le déploiement de Rose des Vents. L’entrepreneure y bénéficie d’un encadrement personnalisé pour structurer son argumentaire, rencontre d’autres entrepreneures et se rapproche de l’écosystème fintech de la métropole. Cerise sur le gâteau : elle signera prochainement un bail dans la nouvelle phase d’expansion des bureaux de Finance Montréal à la Place Ville-Marie. « Jamais je n’aurais pensé avoir un bureau au cœur du quartier financier. C’est à la fois symbolique et motivant », confie-t-elle.

Pour l’instant, Rose des Vents est une entreprise de service-conseil. Mais l’aspect technologique pourrait évoluer. L’intégration d’outils d’intelligence artificielle pour mieux traiter les enjeux ESG fait partie des pistes explorées.

Briser les barrières et inspirer

Être entrepreneure et mère de deux jeunes enfants est un double rôle exigeant. Odrey Robillard souligne l’importance d’une bonne organisation, d’un réseau de soutien… et d’un partenaire engagé. « Mon conjoint me pousse depuis trois ans à lancer mon entreprise. Il m’appuie à 100 % et prend en charge beaucoup de choses à la maison. »

Le rythme est intense : journées longues, soirées prolongées après le coucher des enfants, mais les priorités restent claires. « Avoir du temps de qualité avec mes enfants est non négociable. Je suis présente pour eux tous les soirs et toutes les fins de semaine », dit-elle. Pour préserver cet équilibre, elle s’apprête à ouvrir un premier poste dans son entreprise, signe d’une croissance rapide et d’un besoin urgent de déléguer.

Être une femme entrepreneure dans le secteur fintech n’est pas sans défis. « Il faut toujours établir sa crédibilité. Et quand tu es jeune et que tu arrives dans un comité d’investissement, tu es encore trop souvent la seule femme autour de la table », évoque-t-elle.

Elle insiste sur l’importance d’avoir plus de modèles variés, notamment pour les femmes qui jonglent entre famille et ambition professionnelle. Elle appelle aussi les employeurs des conjoints à soutenir davantage l’implication des hommes dans la vie familiale.

Malgré les obstacles, elle garde le cap. « Ce qu’il faut, c’est de la détermination, de l’endurance… et un peu de naïveté », dit-elle en riant. Rose des Vents repose sur cinq valeurs clés : espoir, détermination, audace, réciprocité et excellence. Autant de boussoles pour orienter sa trajectoire dans un secteur en pleine mutation.

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Le Fonds de solidarité FTQ injecte 20 M$ dans le nouveau fonds d’Alfar Capital https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/le-fonds-de-solidarite-ftq-injecte-20-m-dans-le-nouveau-fonds-dalfar-capital/ Wed, 24 Sep 2025 12:06:08 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=109810 Un deuxième fonds de 66 M$ pour soutenir la croissance d’entreprises québécoises.

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La société de capital-investissement Alfar Capital, fondée en 2019 à Montréal, vient de clore son deuxième fonds d’investissement privé en capital de développement. Ce nouveau véhicule, d’un montant total de 66 millions de dollars (M$), est destiné à soutenir le repreneuriat axé sur la croissance et l’amélioration opérationnelle, principalement dans les secteurs manufacturiers, des technologies de l’information et des services.

Parmi les investisseurs figure le Fonds de solidarité FTQ, qui s’est engagé à hauteur de 20 M$.

« La mission d’Alfar Capital est de donner aux entrepreneurs un accès à des capitaux, mais aussi à des ressources stratégiques et à un réseau d’experts afin de favoriser la croissance et l’innovation des entreprises », souligne Fares Kabbani, fondateur et directeur associé d’Alfar Capital.

Pour le Fonds de solidarité FTQ, cet engagement prend une résonance particulière dans le contexte géopolitique actuel, qui exige de redoubler d’efforts pour assurer la pérennité des entreprises québécoises et stimuler la relève entrepreneuriale, notamment en misant sur l’optimisation opérationnelle comme avantage concurrentiel et levier de croissance », indique Philippe P. Huneault, vice-président Placements privés et investissements d’impact Gestion de fonds et chef du développement international des entreprises au Fonds de solidarité FTQ.

Ce deuxième fonds vient consolider la présence d’Alfar Capital dans l’écosystème québécois du capital-investissement. La firme avait lancé en 2020 son premier fonds de développement, déjà destiné à appuyer les entrepreneurs dans leurs projets de croissance et de relève.

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