Fiera Capital | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/post_company/fiera-capital/ Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Wed, 08 Oct 2025 19:36:31 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Fiera Capital | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/post_company/fiera-capital/ 32 32 Actions privilégiées : marché rétréci, mais payant https://www.finance-investissement.com/edition-papier/actions-privilegiees-marche-retreci-mais-payant/ Wed, 08 Oct 2025 10:03:18 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110242 FOCUS FNB — Malgré la baisse du nombre de titres en circulation, les actions privilégiées renouent avec de solides rendements.

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Le marché canadien des actions privilégiées est en déclin, mais les investisseurs qui détiennent ces titres à dividendes, ainsi que les fonds qui les possèdent, ont de bonnes raisons de se réjouir.

Après des pertes marquées en 2022, environ –18 % pour la catégorie, les actions privilégiées ont connu un rebond spectaculaire, enregistrant des gains de l’ordre de 25 % l’an dernier. Leur progression se poursuit d’ailleurs en 2025.

Près de 80 % du marché canadien des actions privilégiées est composé de titres à taux révisable, dont les dividendes sont ajustés tous les cinq ans en fonction du rendement des obligations fédérales à cinq ans. Ces titres avaient plongé lorsque les révisions sont survenues en période de taux planchers, mais ils bénéficient aujourd’hui pleinement de la remontée des taux. Les investisseurs semblent d’ailleurs persuadés que ceux-ci ne reviendront pas à leurs creux d’autrefois.

Aujourd’hui, la valeur totale du marché s’élève à environ 46 milliards de dollars (G$), contre 70 G$ il y a cinq ans, selon Nicolas Normandeau, gestionnaire de portefeuille chez Fiera Capital. La firme montréalaise gère le Global X Active Preferred Share ETF (HPR), doté d’environ 920 millions de dollars (M$) d’actifs.

Rien que dans les neuf premiers mois de 2025, environ 4,4 G$ d’actions privilégiées ont été rachetées. Les banques et compagnies d’assurance privilégient désormais les billets de capital à recours limité (limited recourse capital notes ou LRCN), un instrument de capital réglementaire portant intérêt et dont les paiements sont déductibles d’impôt pour l’émetteur. Les entreprises non financières suivent la tendance en remplaçant leurs actions privilégiées par des titres hybrides à intérêt.

Résultat : les institutions et autres investisseurs dont les titres ont été rachetés se livrent concurrence pour reconstituer leurs portefeuilles, ce qui fait grimper les prix. « C’est un moteur important de la vigueur du marché depuis les creux de 2022 », souligne Nicolas Normandeau.

Le iShares S&P/TSX Canadian Preferred Share Index ETF (CPD), dont l’actif est de 1 G$, affiche un rendement de 23,9 % en 2024 et de 11,4 % depuis le début de 2025 jusqu’à la fin de septembre. Or, l’investissement passif dans cette catégorie reste volatil : le même FNB avait perdu 18,4 % en 2022 et détient une cote D de Fundata Canada ainsi qu’une note deux étoiles de Morningstar.

Une approche indicielle différente est celle du FINB BMO échelonné actions privilégiées (ZPR) (1,4 G$), dont le portefeuille contient des actions privilégiées à taux révisable est réparti également entre des échéances d’un à cinq ans. Cette structure réduit la volatilité liée aux variations des taux à cinq ans et améliore le rendement ajusté au risque.

La plupart des fonds négociés en Bourse (FNB) d’actions privilégiées sont gérés activement. Ils offrent un avantage distinct grâce à la sélection de titres au Canada et à la possibilité d’inclure des actions privilégiées américaines, des LRCN ou d’autres instruments hybrides des deux côtés de la frontière.

« L’idée est de faire sa propre analyse fondamentale et de choisir ses titres en fonction de la structure », explique Marc-André Gaudreau, vice-président et gestionnaire principal du Dynamic Active Preferred Shares ETF (DXP) chez Placements Dynamique.

Le marché des actions privilégiées étant peu liquide par rapport aux autres types de titres à revenu fixe, le potentiel de surperformance par rapport à un indice est élevé, ajoute-t-il. Son FNB, l’un des mieux cotés du secteur, affiche d’ailleurs cinq étoiles Morningstar.

Parmi les autres fonds performants, on retrouve le Global X Active Preferred, le FNB NBI Active Canadian Preferred Shares et le TD Active Preferred Share ETF.

« La flexibilité de notre approche est essentielle, précise Marc-André Gaudreau. Nous ne sommes pas obligés de rester uniquement dans le marché des actions privilégiées à valeur nominale de 25 $. Nous pouvons aller aux États-Unis ou sur le marché institutionnel. » Les titres hybrides et LRCN figurent également dans le portefeuille du fonds Dynamic.

De son côté, Nicolas Normandeau surpondère les actions privilégiées à taux révisable plutôt que les perpétuelles à taux fixe. Il favorise celles dont les rendements de révision sont faibles à moyens et qui se négocient à escompte, car elles offrent à la fois un potentiel de gain en capital et un risque moindre d’être rachetées.

Le portefeuille de Fiera met aussi l’accent sur la qualité du crédit. « Dans l’environnement actuel, il n’est pas rentable de s’exposer à des émetteurs plus faibles », dit-il. Il ajoute que les LRCN et les hybrides offrent une diversification intéressante, même s’ils génèrent un revenu d’intérêt pleinement imposable. « S’ils sont bien évalués, ils méritent leur place », avance-t-il.

Les fonds investis dans des privilégiées américaines, en revanche, ont eu de la difficulté ces dernières années. Le fonds Brompton Flaherty & Crumrine Investment Grade Preferred ETF, tout comme le FINB BMO actions privilégiées de sociétés américaines et le Fonds d’actions privilégiées américaines Purpose, ont pris un retard considérable par rapport à leurs homologues canadiens.

Or, Marc-André Gaudreau envisage d’augmenter son exposition aux titres américains, jugeant que le marché canadien est passé d’« extrêmement bon marché » en 2022 à « cher ». Il s’attend aussi à ce que la raréfaction de l’offre au Canada cesse de soutenir autant les prix.

Le marché américain, d’environ 600 G$ US, est plus vaste et plus diversifié, explique Chris Cullen, vice-président principal et chef des FNB chez Brompton Funds à Toronto. Il comprend davantage de structures à taux fixe, à taux réinitialisé ou à taux variable différé, les premières étant majoritaires.

Pour cette raison, selon Chris Cullen, le marché américain « ne court pas après les rendements à la hausse comme à la baisse », contrairement au marché canadien, fortement pondéré vers des titres à réinitialisation de taux de cinq ans. Le FNB de Brompton offre également, pour la majorité de son portefeuille, plus de trois ans de protection contre un rachat anticipé par l’émetteur, qui permettrait de le remplacer par un titre offrant un rendement inférieur.

Enfin, une alternative aux FNB d’actions privilégiées se trouve dans les stratégies de sociétés scindées, dont la plus importante est le Brompton Split Corp. Preferred Share ETF (SPLT) (610 M$). On retrouve aussi le Quadravest Preferred Split Share ETF parmi ces fonds, classés dans la catégorie « crédit alternatif », qui investissent dans des actions privilégiées émises par des sociétés à capital scindé.

Selon Chris Cullen, ces titres ressemblent aux privilégiées à taux révisable, mais avec des dispositions plus favorables aux investisseurs. « Les révisions reflètent davantage les conditions du marché que des formules prédéterminées. Les rendements ont été plus élevés que ceux du marché canadien des actions privilégiées, et moins volatils. Ils peuvent être une composante très intéressante d’un portefeuille de revenu fixe », résume-t-il.

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Fiera Capital muscle sa stratégie mondiale en infrastructure https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/fiera-capital-muscle-sa-strategie-mondiale-en-infrastructure/ Thu, 25 Sep 2025 11:01:29 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=109812 NOUVELLES DU MONDE – Et nomme de nouveaux dirigeants.

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Fiera Capital procède à un remaniement stratégique de son équipe responsable de l’infrastructure à l’échelle mondiale, qui gère environ 5,5 milliards de dollars d’actifs et compte une trentaine de professionnels. Cette réorganisation vise à mieux répondre aux besoins des investisseurs institutionnels, à améliorer l’accès aux occasions d’affaires au niveau mondial et à consolider l’exécution et la surveillance des risques, a fait savoir la firme.

Dans ce contexte, Bruno Guilmette est nommé chef mondial de l’infrastructure. De son côté, Alina Osorio quittera ses fonctions de présidente de Fiera Infrastructure, mais continuera de siéger au conseil d’administration et au comité de placement en tant qu’actionnaire minoritaire. Le nouveau responsable mondial sera chargé d’accélérer l’expansion des activités, de renforcer les ressources en matière de création, de structuration et de gestion des risques sur les principaux marchés.

Auparavant, Bruno Guilmette a occupé des postes de direction à la Caisse de dépôt et placement du Québec puis à PSP Investissements. Plus récemment, il a occupé le poste de vice-président exécutif et directeur financier de Boralex. Il siège actuellement au conseil d’administration et au comité de placement de la Banque de l’infrastructure du Canada. Diplômé en commerce de HEC Montréal et titulaire d’un MBA en commerce international et finance de l’Université McGill, il détient également les titres de CPA et CFA, ainsi qu’une certification de l’Institut des administrateurs de sociétés.

En parallèle, Ciaran Henry prend les fonctions de chef mondial des relations avec les investisseurs. Il avait été auparavant vice-président principal et chef de la distribution pour l’Europe et l’Asie chez Fiera Capital, où il a dirigé la levée de capitaux dans les secteurs de l’infrastructure, du crédit et des placements privés. Plus récemment, il a occupé le poste de directeur général chez Brookwood Financial Limited à Londres, après avoir été associé chez Sagard. « La plateforme mondiale d’infrastructure de Fiera Capital est conçue pour répondre aux besoins des investisseurs institutionnels qui recherchent des opportunités variées et la capacité de s’adapter à l’évolution des conditions du marché », a-t-il déclaré.

De son côté, John Valentini, directeur exécutif, président et chef de la direction de Fiera Marchés privés, indique que « une meilleure coordination de notre expertise en dette et en actions devrait nous permettre d’offrir des solutions plus flexibles, plus précises et plus évolutives ». Dans cet esprit, l’équipe Infrastructure mondiale collaborera désormais plus étroitement avec les équipes de dette d’infrastructure et d’actions d’infrastructure de la firme.

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Un nouveau fonds d’obligations de sociétés canadiennes https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/un-nouveau-fonds-dobligations-de-societes-canadiennes/ Tue, 09 Sep 2025 11:07:37 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=109375 PRODUITS – Solutions de conseillers indépendants a bénéficié du soutien de Fiera Capital pour ce lancement.

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Solutions de conseillers indépendants vient de lancer le fonds Obligations de sociétés canadiennes Plus dans le cadre d’un partenariat élargi avec Fiera Capital.

Le partenariat liant Solutions de conseillers indépendants et Fiera Capital date de juin dernier avec le lancement du fonds Actions canadiennes à forte conviction MiBLOX.

« Cette collaboration avec Fiera reflète notre engagement continu à travailler en partenariat avec des gestionnaires de placements de premier plan pour offrir des solutions novatrices aux conseillers et à leurs clients, a déclaré Jon Kilfoyle, président de Solutions de conseillers indépendants. Fiera apporte une expertise considérable en gestion canadienne, que nous avons déjà mise à profit dans les actions canadiennes et, maintenant, avec ce lancement, dans les titres à revenu fixe de sociétés canadiennes. Elle constitue un complément idéal à nos relations actuelles avec des leaders mondiaux comme Apollo, BlackRock et Goldman Sachs. »

Ce nouveau fonds axé principalement sur les obligations de sociétés canadiennes et offert exclusivement aux conseillers de Wellington-Altus, servira également de base dans certains Portefeuilles privés Platine de Wellington-Altus.

« Nous sommes heureux d’élargir notre partenariat avec Solutions de conseillers indépendants au-delà des actions et d’apporter les principales capacités de Fiera en matière de titres à revenu fixe aux conseillers de Wellington-Altus, a déclaré Maxime Ménard, président mondial et chef de la direction de Fiera Capital. Ce fonds s’appuie sur la profondeur et l’expertise de notre plateforme de titres à revenu fixe et reflète l’approche disciplinée que nous adoptons en tant que gestionnaire de placements indépendant. »

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Fiera Capital renforce sa direction juridique mondiale https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/fiera-capital-renforce-sa-direction-juridique-mondiale/ Wed, 06 Aug 2025 11:16:14 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108585 NOUVELLES DU MONDE – Pour les activités d’investissement et les opérations corporatives.

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Fiera Capital a nommé Sandro Muzzo au poste de chef de la direction des affaires juridiques mondiale. À ce nouveau poste, il dirigera l’ensemble des fonctions juridiques de la firme à l’échelle mondiale et fournira un soutien stratégique à ses activités d’investissement et ses opérations corporatives.

Avec plus de 15 ans d’expérience, dont cinq au sein de l’équipe de la direction juridique de Fiera Capital, Sandro Muzzo occupait jusqu’à récemment le poste de vice-président principal et chef du contentieux pour le Canada.

Avant de se joindre à la firme, Sandro Muzzo a exercé le droit des sociétés et des valeurs mobilières chez Fasken et Norton Rose. Il se spécialise notamment dans les financements canadiens, transfrontaliers et internationaux, ainsi que dans les fusions et acquisitions et désinvestissements.

« Sandro fait constamment preuve d’un jugement sûr et d’une compréhension fine de notre environnement juridique et réglementaire. Sa nomination témoigne de la qualité de nos talents internes et de notre engagement envers l’excellence juridique à l’échelle mondiale » souligne Gabriel Castiglio, chef mondial de l’exploitation de Fiera Capital, dans un communiqué.

« Je suis enthousiaste à l’idée de soutenir les activités et les ambitions de croissance de l’entreprise, tout en maintenant notre solide fondation juridique et éthique », affirme Sandro Muzzo, qui a été admis au Barreau du Québec en 2011.

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Jarislowsky Fraser renforce son expertise en revenu fixe https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/jarislowsky-fraser-renforce-son-expertise-en-revenu-fixe/ Wed, 30 Jul 2025 11:27:20 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108652 NOUVELLES DU MONDE – Avec l’arrivée de Marc-André Gaudreau.

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Jarislowsky Fraser Limitée (JFL) a nommé Marc-André Gaudreau au poste de chef des titres à revenu fixe. Dans ces fonctions, il dirigera l’équipe et les mandats clés pour cette catégorie d’actifs, tout en continuant de diriger l’équipe de crédit spécialisé de Gestion mondiale d’actifs Scotia (1832 Asset Management).

Cette nomination vise à renforcer les capacités et la profondeur de l’expertise de l’équipe de gestion des titres à revenu, dans un environnement de marché en constante évolution, a signalé Charles Nadim, chef de la recherche chez Jarislowsky Fraser, dans un communiqué.

Comptable professionnel agréé, Marc-André Gaudreau possède une vingtaine d’années d’expérience dans la gestion de mandats de revenu fixe pour des clients institutionnels, de détail et de gestion privée.

Durant sa carrière, il a notamment été vice-président et gestionnaire de portefeuille Chez Fiera Capital et Natcan (titres à revenu fixe). Avant de passer à la gestion d’actifs, il a été responsable du crédit aux entreprises à la Banque Nationale du Canada et gestionnaire du risque de crédit au Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF).

Marc-André Gaudreau s’est dit très enthousiaste à l’idée de rejoindre l’équipe de JFL. « L’excellent historique de l’équipe, fondé sur une recherche fondamentale en crédit, est parfaitement aligné avec mes convictions et ma philosophie », a-t-il déclaré.

Diplômé en administration des affaires de l’Université du Québec en Outaouais, il détient également les titres de comptable professionnel agréé (CPA), de comptable général licencié (CGA) et d’analyste financier agréé (CFA).

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La clientèle institutionnelle de Fiera Capital a une nouvelle cheffe https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/la-clientele-institutionnelle-de-fiera-capital-a-une-nouvelle-cheffe/ Mon, 28 Jul 2025 11:34:04 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108543 NOUVELLES DU MONDE – Sophie Lemieux est promue.

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Fiera Capital a nommé Sophie Lemieux au poste de Cheffe de la clientèle institutionnelle, pour le Québec. Elle occupait auparavant le rôle de co-cheffe pour les clients institutionnels canadiens.

Sophie Lemieux a occupé divers postes dans le secteur financier. Elle a notamment été directrice des relations d’affaires chez Optimum, conseillère en communication et analyste. Elle a également été journaliste-lectrice à la chaîne Argent du Groupe TVA de 2004 à 2016 et a été journaliste et chef d’antenne à LCN et TVA Nouvelles. Elle intervient également comme animatrice de conférences, de panels, de tables rondes et de galas.

Détentrice d’une maîtrise en finance de l’Université Laval, Sophie Lemieux siège au conseil d’administration de la retraite et des avantages sociaux du Québec (ARASQ).

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Dissolutions de fonds à Fiera Capital https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/dissolutions-de-fonds-a-fiera-capital/ Fri, 25 Jul 2025 11:19:04 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108589 PRODUITS – La firme fermera deux de ses fonds en novembre.

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Corporation Fiera Capital veut dissoudre deux de ses fonds aux alentours du 28 novembre 2025, soit le Fonds canadien à versement fixe imaxx et le Fonds d’obligations à court terme imaxx.

Les porteurs ont jusqu’à la fermeture des bureaux à la date de dissolution pour racheter leurs parts. En attendant, Fiera Capital renonce aux frais d’opérations à court terme et aux frais de rachat exigibles dans le cadre de rachats de parts des deux produits.

Étant donné que les deux fonds sont préparés en vue de leur dissolution, il est probable qu’ils ne soient plus exactement alignés sur les objectifs de placement mentionnés dans le prospectus simplifié.

À noter que ces fonds étaient, et resteront, fermés aux nouvelles souscriptions. Ceci inclut les souscriptions effectuées dans le cadre de programmes de prélèvements automatiques existants.

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AlphaFixe Capital nomme une vice-présidente https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/alphafixe-capital-nomme-une-vice-presidente/ Wed, 25 Jun 2025 11:45:07 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108100 NOUVELLES DU MONDE — Elle a notamment fait ses classes chez Fiera Capital.

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Alphafixe Capital a annoncé l’embauche de Mélissa La Haye au sein de son équipe. Elle occupera le rôle nouvellement créé de vice-présidente.

Diplômée de HEC Montréal où elle a obtenu un BAA en finance (2007), puis une maîtrise en finance (2009), Mélissa La Haye a commencé sa carrière chez Mercer où elle a passé plus de six ans avant de se joindre à Bombardier pour cinq ans. Elle a ensuite rejoint Fiera Capital où a travaillé près de cinq ans. Elle y occupait plus récemment le poste de vice-président, Bureau du CIO, Stratégie et solutions pour les marchés publics.

Mélissa La Haye possède la désignation CFA.

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Fiera Capital : un nouveau PDG pour mener à terme un virage amorcé de longue date https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/fiera-capital-un-nouveau-pdg-pour-mener-a-terme-un-virage-amorce-de-longue-date/ Thu, 08 May 2025 20:35:53 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=107222 Maxime Ménard entend consolider les fondations déjà posées et assurer la continuité d’un projet de transformation entamé il y a plusieurs années.

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Maxime Ménard prendra officiellement la tête de Fiera Capital le 1er juillet prochain à titre de président et chef de la direction mondiale. Il succède ainsi à Jean-Guy Desjardins. Cette transition marque la fin de l’ère fondateur-dirigeant et le début d’un nouveau chapitre plus institutionnel pour Fiera.

Interrogé sur ses différences avec Jean-Guy Desjardins, Maxime Ménard préfère insister sur les similitudes qui le rapprochent de celui qu’il considère comme « un grand entrepreneur ».

« J’ai moi aussi un style de leadership très entrepreneurial. Je privilégie une approche axée sur la performance, l’exécution et la collaboration », souligne celui qui est déterminé à marcher dans les pas de son prédécesseur.

D’ailleurs, Jean-Guy Desjardins ne quitte pas Fiera Capital. Maxime Ménard met tout de suite les points sur les i : « un fondateur reste toujours présent dans l’organisation. Son rôle évolue ».

Il précise que Jean-Guy Desjardins restera étroitement impliqué dans l’entreprise puisqu’il assumera désormais le poste de président exécutif du conseil et chef de la répartition globale de l’actif. « Il passera beaucoup de temps avec moi. Son rôle s’orientera davantage vers l’allocation d’actifs globale. Jean-Guy est économiste de formation et l’investissement est sa passion. L’objectif, c’est de le maintenir dans un rôle où il se plaît, où il excelle et où son impact est le plus fort. »

Mener à terme un virage amorcé de longue date

Arrivé chez Fiera Capital il y a 18 mois, Maxime Ménard entend mener à bien un chantier déjà bien amorcé : celui de la régionalisation de l’organisation.

Pour rappel, Fiera Capital est maintenant structurée en quatre grandes régions dont le Canada est la plus grande. Viennent ensuite les États-Unis, la région EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique) et l’Asie, un marché en pleine croissance.

« Nous avons des bureaux un peu partout dans le monde : dont un important à Londres, et d’autres à Abu Dhabi, un bureau à New York, à Boston et à Dayton », rapporte Maxime Ménard.

Pour en savoir davantage sur cette régionalisation, lisez : Un nouveau tournant pour Fiera Capital

Cette stratégie de régionalisation, déjà en marche avant son arrivée, s’est accélérée avec sa nomination. « Mon arrivée a renforcé ce positionnement, et en tant que chef de la direction, ma priorité sera de poursuivre l’exécution de cette stratégie et de consacrer beaucoup de temps à l’international », explique-t-il.

Avec plus de 115 milliards de dollars en actifs gérés au Canada, Maxime Ménard est convaincu que l’avenir de Fiera Capital passe par son rayonnement mondial. « C’est pourquoi cette régionalisation sera au cœur de mon action dans les premiers mois », insiste-t-il.

Ce modèle décentralisé permet à chaque région d’avoir son propre chef de la direction, doté d’une pleine autonomie opérationnelle. « Chaque équipe de placement au sein de notre organisation fonctionne selon ce même principe : elles sont responsables de leur performance et s’appuient sur leur propre capacité à livrer des résultats », résume-t-il.

Son rôle, à lui, consiste à soutenir ces équipes en veillant à ce qu’elles disposent des ressources nécessaires pour réaliser leur mission commune. « Dans ce cadre, les CEO peuvent mettre de l’avant leurs idées et conserver leur esprit entrepreneurial tout en contribuant activement à l’organisation. »

Pour encourager cette culture d’entreprise axée sur l’initiative, Fiera mise également sur la participation directe des employés à la réussite de la firme. Récemment, celle-ci a eu l’occasion de racheter les actions détenues par Desjardins, une démarche qui s’inscrit pleinement dans cette volonté de favoriser l’implication directe des employés dans la croissance de la firme.

Des phases critiques du plan

Maxime Ménard considère la gestion de portefeuille comme le cœur de métier de Fiera Capital. « Notre priorité absolue, c’est la qualité de notre plateforme d’investissement. Nous gérons près de 140 milliards de dollars en actifs sur les marchés publics, auxquels s’ajoutent 20 milliards en gestion privée. La combinaison de ces deux univers crée pour nous une opportunité unique », affirme-t-il.

Cette approche intégrée permet à Fiera de développer des solutions d’investissement qu’il qualifie d’innovantes, alliant performance pour les gestionnaires et pertinence pour les clients. « Cela peut se traduire, par exemple, par des stratégies de multigestion intégrant des actifs privés, des solutions axées sur le revenu fixe ou la liquidité pour les fonds de pension », donne-t-il comme exemple.

« Dans toutes ces classes d’actifs, que ce soit au Canada ou à l’échelle mondiale, peu de gestionnaires peuvent offrir l’ensemble de la gamme sur une seule plateforme. Ils sont encore moins nombreux à être capables d’innover en combinant ces solutions pour créer une véritable valeur ajoutée à travers une approche multi-actifs intégrée. »

Toutefois, mener ces chantiers de transformation implique des choix difficiles. Dans un souci de rationalisation et d’efficacité, Fiera Capital a dû procéder à des réductions de postes. « Quand on est une organisation de 850 personnes, rester entrepreneurial et agile demande parfois de recentrer nos efforts, ce qui peut malheureusement entraîner des départs. »

Cette nouvelle organisation décentralisée, qui mise sur l’autonomie des équipes, s’avère néanmoins très bénéfique. Elle permet aux différentes unités de se distinguer sur leurs marchés respectifs — un avantage stratégique, notamment à l’international.

Maxime Ménard cite le marché américain en exemple. « Contrairement au Canada, où nous pouvons proposer l’ensemble de nos solutions, les États-Unis sont un marché où une approche plus ciblée, plus de niche, nous permet de nous démarquer. »

Dans ce contexte, Fiera mise sur des relations solides avec des intermédiaires locaux, pour développer ses activités de manière progressive. « Notre stratégie n’est pas de dépenser massivement en espérant que ça prenne. On bâtit sur des relations durables — avec de grandes banques américaines, des consultants influents ou encore des caisses de retraite — pour développer graduellement notre présence. »

D’autres nominations importantes

En plus de la nomination de Maxime Ménard, deux membres de la haute direction élargissent leur mandat :

  • Gabriel Castiglio devient chef de l’exploitation (COO), responsable des opérations et de l’alignement organisationnel.
    • Lucas Pontillo ajoute la stratégie d’entreprise à ses fonctions actuelles de chef des finances (CFO), avec un mandat élargi sur la planification et l’exécution stratégique.

Les deux hommes relèveront désormais directement de Maxime Ménard. Ce dernier précise toutefois qu’il avait déjà l’habitude de travailler en étroite collaboration avec eux. « Le rôle de Gabriel était déjà effectif, mais il n’avait pas encore le titre. Ce titre vient reconnaître l’ampleur de ses responsabilités à l’échelle mondiale », explique-t-il.

« Le fait d’avoir une proximité avec mes deux collègues, un agenda clair et des responsabilités bien définies va nous permettre d’accélérer l’exécution. Nous fonctionnons beaucoup par équipe. Mon approche est très collaborative », ajoute-t-il.

Naviguer dans un marché incertain

Maxime Ménard reconnaît que le marché actuel est pour le moins incertain. Il s’attend d’ailleurs à ce que l’industrie traverse énormément de consolidations au cours des cinq prochaines années.

« L’importance d’avoir beaucoup d’actifs nous aide à pouvoir traverser des périodes plus difficiles. Notre modèle repose également sur le fait que chaque équipe a la capacité de pouvoir générer sa propre profitabilité comme organisation. Donc, c’est un modèle qui est axé sur un partage des revenus pour les gestionnaires de portefeuille. »

Pour ce qui est des clients, il comprend que ces derniers recherchent avant tout une certaine confiance en matière de placement, mais aussi une diminution de volatilité et une performance stable à long terme. Il assure que Fiera Capital en est pleinement consciente et entend maintenir une relation étroite avec sa clientèle pour répondre à ses attentes.

Quant à l’avenir, Maxime Ménard compte poursuivre sur sa lancée bien amorcée. « L’idée, c’est de continuer à bâtir notre plateforme publique, notre plateforme privée et de déployer nos ressources à travers le monde, d’avoir des assises très importantes, soit en Europe, à Londres, aux États-Unis, puis de continuer à accroître la qualité de nos gestionnaires de portefeuille sur nos plateformes. »

Et au-delà de la performance, il ambitionne de faire de Fiera une référence mondiale : « Je veux que nous restions un employeur de choix, une organisation solide qui rayonne à l’international comme une firme d’investissement de premier plan », conclut-il.

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Innocap renforce son équipe d’investissement durable https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/innocap-renforce-son-equipe-dinvestissement-durable/ Thu, 27 Mar 2025 11:07:14 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106258 NOUVELLES DU MONDE – Pour le PGEQ et le fond Investi.

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Marc Natal se joint à l’équipe ESG (environnement, social, gouvernance) et solutions d’impact d’Innocap. Comme directeur, développement des affaires du programme des gestionnaires en émergence du Québec (PGEQ) et du fonds d’innovation durable Investi, il sera responsable de promouvoir le PGEQ et ses gestionnaires ainsi que les fonds Investi auprès de la clientèle institutionnelle du Québec.

Avant de se joindre à Innocap, Marc Natal a occupé des postes de gestion de relations clients auprès de Montrusco Bolton, Gestion financière MD et Banque Scotia. Durant ces années, il a principalement travaillé auprès de la clientèle institutionnelle, dont des régimes de retraite, des fondations et des assureurs. Portant le titre de CFA, il détient des certifications en investissement durable de l’Université Concordia et du programme RI Fundamentals de la PRI Academy.

Le fonds Investi en finance durable a été lancé à l’initiative de douze organisations financières québécoises en 2024. Il vise à lever jusqu’à 1 milliard de dollars dans le but de confier des mandats de gestion à des firmes spécialisées en approches ESG et en investissement d’impact dans les actions, les titres à revenu fixe, les fonds de couverture et les placements privés. Les trois premiers gestionnaires sélectionnés sont Addenda Capital, Beutel Goodman et Fiera Capital.

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