Dynamique | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/post_company/dynamique/ Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Fri, 17 Oct 2025 11:49:56 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Dynamique | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/post_company/dynamique/ 32 32 Nouveau fonds alternatif liquide signé Dynamique https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/nouveau-fonds-alternatif-liquide-signe-dynamique/ Fri, 17 Oct 2025 11:49:56 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110207 PRODUITS – Découvrez le Fonds multi-alternatif PLUS Dynamique.

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Dynamique lance le Fonds multi-alternatif PLUS Dynamique. Ce fonds a été pensé comme une solution tout-en-un pour les investisseurs désirant un instrument de placement offrant des rendements ajustés au risque intéressants, tout en étant faiblement corrélé aux marchés traditionnels.

Cogéré par Richard J. Lee, vice-président et gestionnaire de portefeuille, et Nick Stogdill (CPA, CFA), vice-président et gestionnaire de portefeuille, ce produit cherche ainsi à produire des revenus réguliers et une croissance du capital à long terme. Pour cela, il investit autant dans des titres d’emprunt, que dans des options, des produits structurés, des actions et des placements privés. La répartition de ces actifs est réajustée en fonction des conditions du marché.

« Les conseillers et les investisseurs souhaitent obtenir une exposition diversifiée aux actifs alternatifs pour atténuer la volatilité du marché, à l’aide d’une solution pratique et accessible, assure Mark Brisley, chef de Dynamique. Le Fonds multi-alternatif PLUS Dynamique donne accès à une panoplie de structures du capital et de catégories d’actifs alternatifs dans le cadre d’une solution liquide offrant une diversification complète. Nous pensons que cette stratégie plurielle, qui tient compte des risques, peut générer à la fois des revenus et une croissance du capital dans diverses conditions de marché. »

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Actions privilégiées : marché rétréci, mais payant https://www.finance-investissement.com/edition-papier/actions-privilegiees-marche-retreci-mais-payant/ Wed, 08 Oct 2025 10:03:18 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110242 FOCUS FNB — Malgré la baisse du nombre de titres en circulation, les actions privilégiées renouent avec de solides rendements.

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Le marché canadien des actions privilégiées est en déclin, mais les investisseurs qui détiennent ces titres à dividendes, ainsi que les fonds qui les possèdent, ont de bonnes raisons de se réjouir.

Après des pertes marquées en 2022, environ –18 % pour la catégorie, les actions privilégiées ont connu un rebond spectaculaire, enregistrant des gains de l’ordre de 25 % l’an dernier. Leur progression se poursuit d’ailleurs en 2025.

Près de 80 % du marché canadien des actions privilégiées est composé de titres à taux révisable, dont les dividendes sont ajustés tous les cinq ans en fonction du rendement des obligations fédérales à cinq ans. Ces titres avaient plongé lorsque les révisions sont survenues en période de taux planchers, mais ils bénéficient aujourd’hui pleinement de la remontée des taux. Les investisseurs semblent d’ailleurs persuadés que ceux-ci ne reviendront pas à leurs creux d’autrefois.

Aujourd’hui, la valeur totale du marché s’élève à environ 46 milliards de dollars (G$), contre 70 G$ il y a cinq ans, selon Nicolas Normandeau, gestionnaire de portefeuille chez Fiera Capital. La firme montréalaise gère le Global X Active Preferred Share ETF (HPR), doté d’environ 920 millions de dollars (M$) d’actifs.

Rien que dans les neuf premiers mois de 2025, environ 4,4 G$ d’actions privilégiées ont été rachetées. Les banques et compagnies d’assurance privilégient désormais les billets de capital à recours limité (limited recourse capital notes ou LRCN), un instrument de capital réglementaire portant intérêt et dont les paiements sont déductibles d’impôt pour l’émetteur. Les entreprises non financières suivent la tendance en remplaçant leurs actions privilégiées par des titres hybrides à intérêt.

Résultat : les institutions et autres investisseurs dont les titres ont été rachetés se livrent concurrence pour reconstituer leurs portefeuilles, ce qui fait grimper les prix. « C’est un moteur important de la vigueur du marché depuis les creux de 2022 », souligne Nicolas Normandeau.

Le iShares S&P/TSX Canadian Preferred Share Index ETF (CPD), dont l’actif est de 1 G$, affiche un rendement de 23,9 % en 2024 et de 11,4 % depuis le début de 2025 jusqu’à la fin de septembre. Or, l’investissement passif dans cette catégorie reste volatil : le même FNB avait perdu 18,4 % en 2022 et détient une cote D de Fundata Canada ainsi qu’une note deux étoiles de Morningstar.

Une approche indicielle différente est celle du FINB BMO échelonné actions privilégiées (ZPR) (1,4 G$), dont le portefeuille contient des actions privilégiées à taux révisable est réparti également entre des échéances d’un à cinq ans. Cette structure réduit la volatilité liée aux variations des taux à cinq ans et améliore le rendement ajusté au risque.

La plupart des fonds négociés en Bourse (FNB) d’actions privilégiées sont gérés activement. Ils offrent un avantage distinct grâce à la sélection de titres au Canada et à la possibilité d’inclure des actions privilégiées américaines, des LRCN ou d’autres instruments hybrides des deux côtés de la frontière.

« L’idée est de faire sa propre analyse fondamentale et de choisir ses titres en fonction de la structure », explique Marc-André Gaudreau, vice-président et gestionnaire principal du Dynamic Active Preferred Shares ETF (DXP) chez Placements Dynamique.

Le marché des actions privilégiées étant peu liquide par rapport aux autres types de titres à revenu fixe, le potentiel de surperformance par rapport à un indice est élevé, ajoute-t-il. Son FNB, l’un des mieux cotés du secteur, affiche d’ailleurs cinq étoiles Morningstar.

Parmi les autres fonds performants, on retrouve le Global X Active Preferred, le FNB NBI Active Canadian Preferred Shares et le TD Active Preferred Share ETF.

« La flexibilité de notre approche est essentielle, précise Marc-André Gaudreau. Nous ne sommes pas obligés de rester uniquement dans le marché des actions privilégiées à valeur nominale de 25 $. Nous pouvons aller aux États-Unis ou sur le marché institutionnel. » Les titres hybrides et LRCN figurent également dans le portefeuille du fonds Dynamic.

De son côté, Nicolas Normandeau surpondère les actions privilégiées à taux révisable plutôt que les perpétuelles à taux fixe. Il favorise celles dont les rendements de révision sont faibles à moyens et qui se négocient à escompte, car elles offrent à la fois un potentiel de gain en capital et un risque moindre d’être rachetées.

Le portefeuille de Fiera met aussi l’accent sur la qualité du crédit. « Dans l’environnement actuel, il n’est pas rentable de s’exposer à des émetteurs plus faibles », dit-il. Il ajoute que les LRCN et les hybrides offrent une diversification intéressante, même s’ils génèrent un revenu d’intérêt pleinement imposable. « S’ils sont bien évalués, ils méritent leur place », avance-t-il.

Les fonds investis dans des privilégiées américaines, en revanche, ont eu de la difficulté ces dernières années. Le fonds Brompton Flaherty & Crumrine Investment Grade Preferred ETF, tout comme le FINB BMO actions privilégiées de sociétés américaines et le Fonds d’actions privilégiées américaines Purpose, ont pris un retard considérable par rapport à leurs homologues canadiens.

Or, Marc-André Gaudreau envisage d’augmenter son exposition aux titres américains, jugeant que le marché canadien est passé d’« extrêmement bon marché » en 2022 à « cher ». Il s’attend aussi à ce que la raréfaction de l’offre au Canada cesse de soutenir autant les prix.

Le marché américain, d’environ 600 G$ US, est plus vaste et plus diversifié, explique Chris Cullen, vice-président principal et chef des FNB chez Brompton Funds à Toronto. Il comprend davantage de structures à taux fixe, à taux réinitialisé ou à taux variable différé, les premières étant majoritaires.

Pour cette raison, selon Chris Cullen, le marché américain « ne court pas après les rendements à la hausse comme à la baisse », contrairement au marché canadien, fortement pondéré vers des titres à réinitialisation de taux de cinq ans. Le FNB de Brompton offre également, pour la majorité de son portefeuille, plus de trois ans de protection contre un rachat anticipé par l’émetteur, qui permettrait de le remplacer par un titre offrant un rendement inférieur.

Enfin, une alternative aux FNB d’actions privilégiées se trouve dans les stratégies de sociétés scindées, dont la plus importante est le Brompton Split Corp. Preferred Share ETF (SPLT) (610 M$). On retrouve aussi le Quadravest Preferred Split Share ETF parmi ces fonds, classés dans la catégorie « crédit alternatif », qui investissent dans des actions privilégiées émises par des sociétés à capital scindé.

Selon Chris Cullen, ces titres ressemblent aux privilégiées à taux révisable, mais avec des dispositions plus favorables aux investisseurs. « Les révisions reflètent davantage les conditions du marché que des formules prédéterminées. Les rendements ont été plus élevés que ceux du marché canadien des actions privilégiées, et moins volatils. Ils peuvent être une composante très intéressante d’un portefeuille de revenu fixe », résume-t-il.

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Les FNB canadiens poursuivent leur élan https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/les-fnb-canadiens-poursuivent-leur-elan/ Wed, 11 Dec 2024 11:05:46 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104542 FOCUS FNB – L’appétit pour les FNB d’actions américaines a été fort en novembre.

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Le marché des fonds négociés en bourse (FNB) canadiens a poursuivi sa progression au mois de novembre, enregistrant des créations nettes de 9,2 milliards de dollars (G$) après avoir reçu 8 G$ en octobre.

Pour les 11 premiers mois de 2024, les entrées nettes cumulées dans les FNB canadiens totalisent 66 G$, ce qui porte l’actif sous gestion (ASG) à 517 G$ à la fin de novembre, selon un rapport de Banque Nationale Marchés financiers (BNMF). Presque toutes les catégories d’actifs ont reçu des entrées nettes le mois dernier, à l’exception des FNB de cryptoactifs.

Les FNB d’actions ont accru leur domination du marché, avec des créations nettes de 6,9 G$, comparativement à 4,1 G$ en octobre. Sur le plan géographique, les fonds d’actions américaines ont cumulé les plus importantes entrées nettes (3,1 G$) soit près de deux fois plus qu’en octobre. Les FNB d’actions canadiennes les talonnent avec 2,8 G$ en créations nettes, tandis que les FNB d’actions mondiales suivent avec 1 G$.

Outre les FNB pondérés par la capitalisation boursière pour différentes régions (4 G$), les FNB sectoriels ont retenu l’attention des investisseurs, totalisant des entrées nettes de 1,3 G$, selon BNMF. Le secteur des services financiers a été le sous-secteur le plus populaire, cumulant des entrées nettes de 744 M$, suivi par les titres des sociétés du secteur des matériaux (244 M$). Tous les secteurs ont enregistré des créations nettes.

Les FNB axés sur les dividendes, les stratégies multifactorielles et les facteurs de valeur ont gagné en popularité. Les FNB basés sur le facteur de faible volatilité (dont le FNB CGDV/B) ont enregistré des rachats nets de 51 M$.

Moins en vogue, les FNB de titres à revenu fixe

Les FNB de titres à revenu fixe marquent le pas. En novembre, ils ont enregistré des entrées nettes totalisant 1,4 G$, comparativement à 3 G$ en octobre. Ce ralentissement reflète une certaine prudence des investisseurs face aux conditions de marché actuelles, selon les analystes de BNMF Daniel Straus, Tiffany Zhang et Linda Ma.

Les FNB du marché monétaire, qui mènent le bal dans cette catégorie depuis septembre, ont affiché des entrées nettes de 646 M$ en novembre. Les FNB d’obligations canadiennes agrégées ont connu de rares rachats nets, en raison de rachats importants provenant d’investisseurs institutionnels. Les FNB d’obligations à moyen et long terme ont également enregistré des sorties nettes (notamment pour les fonds HTB et ZIC). Les FNB d’actions privilégiées ont enregistré des rachats de 366 M$.

Les FNB de cryptomonnaies sont toujours dans le rouge sur le plan des créations nettes après un bref sursaut en septembre. Ils ont enregistré des rachats de 81 M$ en novembre. En revanche, les FNB de matières premières ont attiré des entrées nettes de 216 M$. Cette croissance a été largement menée par le FNB à l’exposition ciblée sur le lingot d’or CGL de iShares, qui a enregistré 151 M$ d’entrées nettes, réalisant son meilleur mois depuis dix ans.

Les principaux fournisseurs de FNB ont connu d’importantes créations nettes en novembre. RBC iShares est en tête avec 2,4 G$, suivi par BMO (1,6 G$) et Vanguard (1,3 G$), selon des données de BNMF et Bloomberg. Fidelity (763 M$), Global X (680 M$) et TD (665 M$) sont les suivantes à ce chapitre. CI GAM et BNI ont subi des rachats en novembre de 129 M$ et 115 M$ respectivement. Les fonds XIC, ZSP et ZEB ont enregistré les plus importantes créations nettes, tandis que ZAG, ZEA et XIU ont connu des rachats.

De nombreux émetteurs ont profité des entrées nettes de novembre, dont IA Clarington, Accelerate, J.P. Morgan, Corton Capital et Quadravest, qui ont vu leurs actifs sous gestion croître de plus de 15 % en un mois pour cette raison. De plus petits joueurs tels que Fidelity, Picton Mahoney, Capital Group et Caldwell ont également connu des taux de croissance avoisinant les 8 %, signale BNMF.

Novembre a vu le lancement de 18 nouveaux FNB au Canada. LongPoint s’est ajouté à la liste des émetteurs canadiens, portant leur nombre total à 45. La firme torontoise a lancé un premier fonds et a dévoilé quatre FNB à effet de levier et inversés début décembre. Parmi les émetteurs, Global X a lancé une dizaine de nouveaux produits. Dynamic, Purpose, First Trust, Forall Core et Picton Mahoney ont également présenté de nouveaux FNB, avec des stratégies basées sur les options, des FNB sectoriels et des FNB gérés activement.

Depuis le début de l’année, les FNB canadiens ont dépassé le précédent record annuel d’entrées nettes établi en 2021. Les FNB d’actions représentent plus de la moitié des créations nettes avec 36,8 G$ de créations nettes. Les FNB de titres à revenu fixe en accumulent 21,8 G$.

Pour les 11 premiers mois de 2024, BMO, RBC iShares et Vanguard prennent la tête des créations nettes, avec 15,3 G$, 14 G$ et 12 G$ respectivement. Ils sont suivis par Fidelity (5,2 G$), TD (4 G$) et Global X (2,9 G$).

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Changement de sous-conseiller chez Fonds Dynamique https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/changement-de-sous-conseiller-chez-fonds-dynamique/ Fri, 15 Nov 2024 11:27:07 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103841 PRODUITS — Jarislowsky, Fraser a été choisi à ce titre.

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Jarislowsky Fraser a été désigné comme le nouveau sous-gestionnaire du Fonds d’actions Asie-Pacifique Dynamique, qui est géré par Gestion d’actifs 1832 S.E.C.

Malgré cette nomination, l’objectif de placement du fonds reste inchangé.

À noter que les investissements dans les fonds communs peuvent entraîner des commissions, des frais de suivi, des frais de gestion et d’autres charges. Il est important de consulter le prospectus avant d’investir. Les parts de fonds communs ne sont ni garanties ni assurées par la Société d’assurance-dépôts du Canada ou tout autre organisme public d’assurance-dépôts. Leur valeur fluctue fréquemment et les rendements passés ne garantissent pas des résultats futurs.

Pour en savoir davantage sur ce fonds ou sur d’autres produits de Fonds Dynamique, rendez-vous sur dynamique.ca.

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Fonds Dynamique lance deux FNB https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/fonds-dynamique-lance-deux-fnb/ Thu, 14 Nov 2024 12:43:08 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103836 PRODUITS – Ceux-ci seront inscrits à la Bourse de Toronto.

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Fonds Dynamique lance deux fonds négociés en Bourse (FNB), soit le FNB actif d’obligations Dynamique (DXBB) et le FNB actif d’obligations de sociétés Dynamique (DXCB). Ces derniers sont inscrits à la Bourse de Toronto depuis le 31 octobre.

« Il s’agit d’un bon moment pour investir dans les titres à revenu fixe, où une connaissance approfondie du secteur et de la souplesse sont essentielles pour tirer profit des occasions. Nos deux nouveaux FNB actifs d’obligation seront gérés par l’équipe des titres à revenu fixe de base, qui dispose de la souplesse et des outils nécessaires pour faire face à l’évolution des conditions du marché », souligne Mark Brisley, directeur général de Fonds Dynamique.

Le DXBB cherche à générer un revenu tout en préservant le capital grâce à un portefeuille diversifié. Constitué principalement de titres à revenu fixe d’État nord-américains et de sociétés, ce fonds dirigé par Derek Amery, vice-président et gestionnaire de portefeuille principal, Domenic Bellissimo, vice-président et gestionnaire de portefeuille, et Romas Budd, vice-président et gestionnaire de portefeuille principal, est géré de façon active. Une équipe de dix spécialistes des titres à revenu fixe chez Fonds Dynamique épaulera également les gestionnaires du fonds. Ses frais de gestion sont de 0,30 %

Le DXBC quant à lui, veut également générer un revenu tout en offrant un potentiel d’appréciation du capital à long terme au moyen d’un portefeuille diversifié, géré activement et composé essentiellement de titres à revenu fixe de sociétés de qualité. Ce produit sera aussi géré par Derek Amery, Domenic Bellissimo et Romas Budd avec l’aide de l’équipe des titres à revenu fixe de base de Fonds Dynamique. Ses frais de gestion s’élèvent à 0,35 %.

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Les choix stratégiques d’un conseiller en placement https://www.finance-investissement.com/edition-papier/produits-et-assurances/les-choix-strategiques-dun-conseiller-en-placement/ Mon, 16 Sep 2024 04:11:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102807 Protection du capital et production de revenus sont les mots d'ordre.

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« J’exerce un des métiers du monde où n’importe qui peut faire mieux que nous, lance Sébastien St-Hilaire, mi-figue, mi-raisin. N’importe quel investisseur peut avoir une stratégie qui fonctionne, mais on ne trouverait certainement pas la même chose avec un chirurgien cardiaque. »

Cependant, le conseiller, gestionnaire principal de patrimoine et gestionnaire de portefeuille à Valeurs mobilières Desjardins multiplie les stratégies pour donner à ses clients des rendements solides et fiables, notamment en ayant recours à des outils parfois non traditionnels.

Son entrée dans la carrière de conseiller en placement est originale. Après avoir décroché un baccalauréat en mathématiques et un certificat en analyse financière dans les années 1990, il a occupé divers rôles de gestion en entreprise. Un jour de 2008, il appelle les deux gestionnaires de son portefeuille, Stéphane Martineau et Marc Leblanc, et leur demande à brûle-pourpoint : « Qu’est-ce qu’il faut que je fasse pour me joindre à vous ? » Ils lui ont répondu qu’il devait suivre le cours en gestion de valeurs mobilières, ce qu’il a fait. Et cela fait 17 ans qu’il a rejoint l’équipe d’une quinzaine d’employés, qui gère aujourd’hui environ 1,5 milliard de dollars d’actifs.

Si n’importe qui peut faire de l’argent en Bourse, le gestionnaire aguerri sait, à l’instar de Warren Buffett, que la première loi du placement est de ne pas en perdre — la deuxième loi étant de ne pas oublier la première. Sébastien St-Hilaire juge que les investisseurs suivent une voie dangereuse en ce moment, qui risque de leur coûter cher. « Il y a trop de consensus présentement dans le marché, dit-il. Les gens se basent sur des stratégies qui ont cours dans les médias sociaux en privilégiant l’investissement passif. »

Pourtant, le marché actuel appelle à la prudence. « On n’a pas eu de prises de profits, souligne le conseiller, les mauvaises nouvelles ne font pas sursauter les marchés. »Ce sont tous des signes suspects qui imposent « d’être prudent dans l’allocation de capital ».

C’est pourquoi les stratégies que retient Sébastien St-Hilaire sont axées d’abord et avant tout sur la protection du capital en marché baissier et sur la production de revenus. Fidèle à la politique de Desjardins, il refuse d’identifier des fonds en particulier et s’en tient à des choix stratégiques généraux, ce qui constitue une première pour cette chronique.

Notes structurées à revenu conditionnel

Nous sommes ici dans le domaine des produits financiers dérivés, dont il existe une très grande variété et qui sont du ressort exclusif des conseillers de plein exercice. « Dans le contexte de bas taux, rapporte Sébastien St-Hilaire, on aime le fait que, si le marché fait zéro dans les prochaines années, ils offrent quand même des garanties de revenu. »

Avec un tel produit, le gestionnaire s’engage dans un contrat avec une institution financière où celle-ci lui garantit le rendement d’un actif sous-jacent. Il peut s’agir tout simplement du rendement de l’indice S&P 500 ou d’un panier sur mesure de titres sectoriaux, en télécommunications, par exemple. Un contrat typique va garantir un rendement de 8 %, payé semi annuellement en deux tranches de 4 % « à la condition que le sous-jacent ne baisse pas de plus que 30 % dans sa durée, qui s’étend typiquement sur cinq ou sept ans, explique le conseiller. Le capital est garanti tant que cette barrière n’est pas brisée ». En contrepartie de cette protection à la baisse, le contrat peut offrir un potentiel de gains, mais plafonné, à 10 % par exemple.

Outre le risque de marché implicite, le principal risque attaché à de tels produits en est un de solvabilité, lié à la possibilité que l’institution financière fasse faillite. Mais au Canada, précise Sébastien St-Hilaire, c’est une éventualité peu probable. Quand même, « on évite de concentrer les contrats dans une seule banque », lance-t-il.

Par ailleurs, un tel contrat peut offrir un revenu substantiel et son rendement est peu corrélé aux marchés courants. Bien qu’il s’agisse de contrats liés au marché des actions, un tel produit a sa place dans la part obligataire d’un portefeuille et « il est rare qu’on y investisse plus que 15 % du portefeuille d’un client ».

Fonds communs thématiques

« On n’achète pas des fonds communs classiques, dit Sébastien St-Hilaire, on gère plutôt nos propres portefeuilles. Par contre, certains manufacturiers offrent des thématiques attrayantes qu’on juge indispensables dans certains secteurs. »

Le plus souvent, ces fonds thématiques logent à l’enseigne de ce qu’on appelle communément les « fonds alternatifs liquides », car de façon typique, indique le conseiller, ils ont recours à des stratégies de vente à découvert, qui sont une marque de commerce de certains de ces fonds. « On achète ainsi une police d’assurance quand on pense que les marchés sont élevés. »

Fidelity, Dynamique et Piéton Mahoney sont des manufacturiers de tels fonds. Par exemple, explique Sébastien St-Hilaire, « si on juge que le secteur des technologies est cher, on va le vendre à découvert via un tel fonds, qui achète plutôt dans des titres de valeur. Plutôt que de le faire à l’interne, ce qui n’est pas notre mission de base, cette approche nous donne accès à des équipes aguerries ».

FNB intelligents

Sébastien St-Hilaire distingue ces fonds négociés en Bourse (FNB) factoriels ou « à bêta intelligent » des produits indiciels, dont il n’est pas friand. « Ils nous permettent de mettre en place une stratégie de diversification rapidement à très peu de frais », fait-il ressortir.

La faveur actuelle accordée aux FNB indiciels est hasardeuse, juge-t-il. « Les gens ne réalisent pas nécessairement qu’ils achètent surtout les Magnificent Seven (M7), qui ont généré 95 % du rendement de l’indice et dont les valeurs sont très élevées. On pense, pour notre part, que le potentiel de rendement pourrait se trouver ailleurs. »

Certes, ces FNB comportent certains désavantages, notamment des frais plus élevés, une certaine complexité et une liquidité parfois réduite. Par contre, ils permettent de faire un découpage très sélectif dans le marché général. Par exemple, Sébastien St-Hilaire pourrait recourir à un FNB plus axé sur la qualité des entreprises. « On pourrait y retrouver des titres des M7, mais on serait moins exposé à une thématique qui ne cesse d’enfler. »

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Changements proposés par Fonds Dynamique https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/changements-proposes-par-fonds-dynamique/ Mon, 26 Sep 2022 12:25:47 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=89123 PRODUITS – La firme veut modifier deux de ses fonds.

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Fonds Dynamique veut apporter des changements aux objectifs de placements de deux de ses fonds soit :

  • le Fonds de revenu de retraite+ Dynamique;
  • et le FNB actif de revenu de retraite+ Dynamique.

Si ces changements sont approuvés, ces deux produits deviendront des fonds traditionnels aux fins des lois sur les valeurs mobilières applicables. La nouvelle structure des fonds permettrait aux gestionnaires de portefeuille de respecter les objectifs de placement avec plus d’efficacité, selon la firme. De plus, les frais de gestion seraient réduits de 5 points de base aux alentours du 28 octobre.

Les fonds changeraient également de nom pour devenir respectivement, le Fonds de revenu de retraite Dynamique et le FNB actif de revenu de retraite Dynamique. Le symbole boursier du FNB actif de revenu de retraite+ Dynamique demeurerait toutefois DXR.

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Le retour du conseil avec un grand C https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/le-retour-du-conseil-avec-un-grand-c/ Wed, 11 May 2022 19:35:24 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=86927 Pour faire face aux nouveaux enjeux de l’industrie.

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Changements démographiques, économiques et géopolitiques, l’industrie doit s’adapter à une réalité de plus en plus complexe, où les conseillers sont en première ligne.

La démographie du Québec affiche une double réalité. D’un côté, une population composée de baby-boomers au bas de laine garni, de l’autre une génération qui héritera de biens importants à court terme. Ces deux générations ont des besoins d’investissement et de conseils différents. C’est sur ce constat que s’est ouverte la table ronde sur les enjeux et tendances de l’industrie présentée à l’occasion du 15e Colloque du Conseil des fonds d’investissement du Québec (CFIQ), le 10 mai dernier.

Premier constat : Le vieillissement de la population impacte fortement l’industrie. « La population est vieillissante, ce qui amène un décaissement important, donc un plus grand besoin de conseils. Or, notre force de vente, elle aussi, est vieillissante », a souligné d’emblée Stéphane Blanchette, vice-président exécutif, chef de la conformité et chef de la gestion des risques d’Investia Services Financiers.

Près de 30 % de ses conseillers sont âgés de 60 ans et plus, alors que cette tranche d’âge constitue 25 % de la population canadienne. Les représentants de moins de 40 ans gèrent seulement 17 % des actifs. « Notre principal défi est le transfert des affaires des représentants expérimentés vers les plus jeunes », signale le vice-président d’Investia.

Pour ce faire, la firme a adapté ses stratégies au profil des conseillers. Les plus âgés, ceux que Stéphane Blanchette surnomme affectueusement « les éternels » ont un volume d’affaire en croissance mais n’envisagent pas de se retirer. « Leur travail, c’est leur passion, leur vie », résume le dirigeant. La firme les amène donc à avoir un plan de transition pour pouvoir prendre en charge rapidement leur clientèle au cas où ils devraient cesser soudainement leur activité. « Nous avons aussi des conseillers plus passifs, qui font peu de démarchage. Ils constituent notre bassin cible pour attirer les nouveaux conseillers en les amenant à travailler avec eux. »

Une des difficultés consiste à briser l’équation selon laquelle les conseillers doivent avoir plus d’actifs pour maintenir leur niveau de vie, et donc travailler davantage, estime Stéphane Blanchette. « Servir une plus vaste clientèle ne signifie pas automatiquement travailler plus. Pour cela, les conseillers doivent maximiser l’utilisation de la technologie. C’est le facteur de succès. »

Conseils financiers sur Tik Tok

Le profil des clients évolue également. Les jeunes sont de plus en plus nombreux à utiliser les plateformes numériques et les robots conseillers pour gérer eux-mêmes leurs avoirs. « Ils héritent de sommes importantes. Or, à mesure que le montant d’argent grandit, la complexité des dossiers augmente », constate Éric Hallé, vice-président régional, Est du Canada, de Fonds Dynamique.

Est-ce que cette génération qui prend ses conseils financiers sur Tik Tok a la capacité à gérer ses investissements ? « Pas totalement ! » lance le dirigeant, rappelant que seulement 9 % des investisseurs ont les connaissances nécessaires pour s’occuper de leurs placements, selon une étude de Fidelity Personal Investing.

« Le conseiller doit avoir une conversation avec son client sur les opportunités et les risques liés aux placements alternatifs, tels que les petites capitalisations boursières et les fonds de cryptomonnaies. Il ne doit pas vouloir gérer 100 % du son portefeuille du client, mais plutôt le laisser gérer un certain montant de manière autonome », estime Éric Hallé.

Stéphane Blanchette croit que cette situation permettra au conseil « avec un grand C » de retrouver ses lettres de noblesse. « Le client doit pouvoir trouver l’information dont il a besoin, 24 heures par jour et 7 jours sur 7, mais il doit aussi pouvoir s’appuyer sur un conseiller, quel que soit le véhicule de placement choisi, et à toutes les étapes de sa vie. »

Tommy Baltzis, président et fondateur de WhiteHaven, une firme d’investissement indépendante, soulève un autre enjeu relatif à la démographie qui passe souvent sous le radar, celui des nouveaux arrivants. « On voit de plus en plus de clients issus de cultures différentes. Certains ne sont pas à l’aise avec notre environnement réglementaire. Par exemple, certains nouveaux arrivants viennent de pays où l’on croit seulement à l’immobilier, car ce type de biens ne peut pas être saisi par le gouvernement. Les conseillers doivent s’adapter à cette réalité dans leurs recommandations. »

Les produits alternatifs, une porte de sortie

La chute des marchés affecte durement les investisseurs. En adoptant une position plus défensive dans les placements, la répartition 60-40 risque de ne plus tenir, met en garde Éric Hallé. Certains clients pourraient devoir retarder leur départ à la retraite de plusieurs années.

« En 1998, avec un portefeuille de revenu fixe investi 100 % dans des titres américains, on pouvait espérer un rendement de 7 %. En 2015, pour ce même objectif, il faudrait introduire plus de 90% en actions, avec un écart type supérieur à 17 », illustre le spécialiste.

Les investisseurs doivent s’exposer à plus de volatilité pour espérer obtenir du rendement, d’où la popularité des produits alternatifs. Depuis mars 2021, 16 milliards de dollars (G$) sont entrés dans cette catégorie d’actifs avec 40 firmes, 88 fonds et 35 fonds négociés en Bourse (FNB) impliqués dans ce marché, résume Éric Hallé.

Un nombre important de nouveaux produits arrivent rapidement sur le marché, tels des fonds axés sur les commodités, les devises et l’immobilier, ou des fonds événementiels. Les principaux fonds de pension canadiens, tels que PSP et Teachers, détiennent actuellement près de 50 % de leurs actifs dans des stratégies alternatives.

Avant de recommander ce type d’investissement, les conseillers doivent se questionner sur l’objectif d’ajouter des placements alternatifs dans les portefeuilles, souligne Éric Hallé. Que soit à des fins de diversification, de protection ou pour générer du rendement, l’élément clé est de savoir pourquoi on les utilise, estime-t-il.

Stéphane Blanchette considère pour sa part les placements alternatifs comme une occasion de revoir les processus de contrôle qui encadrent la distribution de ces produits. « Cela oblige notre équipe d’encadrement et de surveillance à aller chercher ces compétences. » Il estime toutefois que l’obligation de connaissance du produit représente une charge supplémentaire en raison de la vérification diligente que le distributeur doit effectuer sur certains produits et fournisseurs.

Des investissements plus verts

En période d’incertitude géopolitique et de volatilité, l’ajout des critères ESG dans les investissements ajoute une complexité supplémentaire pour obtenir du rendement, considère Tommy Baltzis.

Éric Hallé constate que le critère social tend à prendre plus d’importance en raison de la guerre en Ukraine par rapport au critère environnemental, qui avait pris beaucoup de place ces derniers temps dans le sillage de la transition énergétique. Face à l’influence parfois exagérée des facteurs externes dans la définition des critères ESG, il juge important « d’établir un processus pour s’assurer qu’on ne soit pas distrait par les événements du quotidien », souligne-t-il.

Dans l’évaluation de la performance ESG, il prône une approche active et inclusive, qui ne s’arrête pas au pointage attribué par les agences de notation. « On doit faire notre propre revue diligente pour intégrer des compagnies qui investissent pour améliorer leur position actuelle, qui ont de beaux cash flows et qui offrent des opportunités d’augmenter leur dividende. »

Il ne faudrait pas toutefois que l’imposition de critères ESG s’accompagne d’un encadrement supplémentaire en fonction du profil du client, estime Stéphane Blanchette. « Tant que l’approche continue à reposer sur la bonne volonté, c’est positif. La journée où cela deviendra une obligation réglementaire, la distribution sera plus impactée. »

Un œil attentif sur les aspects réglementaires

Interrogés sur la réforme des frais d’acquisition reportés (FAR), qui seront abolis le premier juin, les participants à la table ronde ont émis des réserves. Tommy Baltzis considère que les petits clients seront les grands perdants de la réforme, car les conseillers risquent d’avoir moins de temps à leur consacrer. Il voit également la réforme comme un enjeu pour la relève, car les jeunes pourraient être moins tentés de faire carrière dans l’industrie.

Avec cette réforme, les conseillers seront amenés à aller chercher une rémunération sur d’autres produits que l’épargne, estime Stéphane Blanchette. « Cela pourrait laisser croire que le consommateur avec un plus petit portefeuille sera moins bien servi. » Une des avenues pour les conseillers consiste selon lui à automatiser davantage l’accès à l’information de base pour certains clients afin de se concentrer sur la recherche d’autres sources de revenus.

Au nombre des autres défis présents sur le radar, Éric Hallé évoque le Modèle de relation client-conseiller (MRCC3) qui succédera au MRCC2, un ensemble de règles qui exigent une plus grande transparence quant au coût et au rendement des comptes clients. L’impact des réformes axées sur le client préoccupe également Stéphane Blanchette. Il attend avec intérêt le résultat des premières rondes d’examens du nouvel organisme d’autoréglementation (OAR) prévues cet automne, avant le début de la phase transitoire qui débutera au 1er janvier, ainsi que son interprétation des obligations des membres.

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Changement de niveau de risque à Fonds Dynamique https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/changement-de-niveau-de-risque-a-fonds-dynamique/ Fri, 03 Dec 2021 13:07:06 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=84013 PRODUITS – 11 fonds sont concernés par ces modifications.

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Fonds Dynamique a modifié le niveau de risque de 11 de ses fonds le 23 novembre dernier afin de respecter la méthode de classification du risque de placement des Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM).

Sept ont vu leur niveau de risque augmenter, soit :

  • le Mandat privé Catégorie d’actions canadiennes Dynamique, dont le niveau de risque est passé de « faible à moyen » à « moyen »;
  • la Catégorie Valeur canadienne Dynamique, dont le niveau de risque est passé de « faible à moyen » à « moyen »;
  • le Fonds diversifié d’actif réel, dont le niveau de risque est passé de « faible à moyen » à « moyen »;
  • le Fond d’actions européennes Dynamique, dont le niveau de risque est passé de « moyen » à « moyen à élevé »;
  • le Mandat privé de dividendes internationaux Dynamiques, dont le niveau de risque est passé de « faible à moyen » à « moyen »;
  • la Catégorie de ressources stratégie Dynamique, dont le niveau de risque est passé de « moyen à élevé » à « élevé »;
  • et le Fonds Valeur du Canada Dynamique, dont le niveau de risque est passé de « faible à moyen » à « moyen ».

Les quatre autres ont vu leur niveau de risque baisser. On parle ainsi :

  • du Fonds immobilier mondial Dynamique, dont le niveau de risque est passé de « moyen » à « faible à moyen »;
  • de la Catégorie Croissance américaine Power Dynamique, dont le niveau de risque est passé de « élevé » à « moyen à élevé »;
  • du Fonds Croissance américaine Power Dynamique (exclusion faite des séries N et FNB), dont le niveau de risque est passé de « élevé » à « moyen à élevé »;
  • et de la Catégorie de rendement d’actions privilégiées Dynamique, dont le niveau de risque est passé de « moyen » à « faible moyen ».

Interdiction des FAR

Fonds Dynamiques a profité de cette annonce pour signaler que dès le 31 mars 2022, afin de respecter les changements réglementaires, les nouveaux placements ne seront plus acceptés en vertu des options de frais reportés modérés et de frais reportés modérés 2.

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Mars : un autre bon mois pour les FNB https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/mars-un-autre-bon-mois-pour-les-fnb/ Tue, 13 Apr 2021 15:39:35 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=79119 FOCUS FNB – Leurs créations nettes ont frôlé les 5 G$ au mois de mars.

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Après un mois de février impressionnant avec 5,8 milliards de dollars (G$) de créations nettes, le mois de mars a également été un autre bon mois pour les fonds négociés en Bourse (FNB) inscrit à une Bourse canadienne avec des créations nettes de 4,7 G$. Une belle entrée d’argent si l’on compare avec le mois de mars de l’année dernière avec ses 2,9 G$. Toutefois, cela porte le total des entrées pour le premier trimestre de 2021 à 13,4 G$, soit moins que les 15,3 G$ de 2020, d’après le rapport sur les FNB de Banque Nationale Marchés financiers.

Les FNB d’actions internationales, les FNB prenant en compte les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance et les FNB de cryptomonnaies ont enregistré des entrées nettes particulièrement importantes en mars. Les premiers ont ainsi enregistré des créations nettes de 1,79 G$ durant ce mois. Le FNB BMO MSCI USA ESG Leaders Index ETF CAD hedged a enregistré à lui seul des créations nettes de 1,22 G$ et les FNB de cryptomonnaies ont enregistré des créations nettes de 483 M$, soit une croissance de 76,5 % en un mois. À noter que dans cette dernière catégorie, les actifs ont franchi, depuis la création récente des FNB de cryptomonnaie, la barre du milliard de dollars, s’établissant à 1,3 G$ à la fin du mois de mars.

En fait, le mois de mars est clairement celui des actions. Les FNB d’actions représentent plus de 60 % des apports nets de capitaux en mars. Les FNB d’actions internationales ont très bien performé, mais la catégorie des actions américaines n’a pas été en reste avec des créations nettes de 1 G$, principalement vers les FNB ESG. En fait, les flux entrants des FNB ESG en 2021 a déjà dépassé l’année record de 2020. En 2020, ceux-ci avaient enregistré des créations nettes d’un peu moins de 2 G$, en mars 2021, ce type de produits a déjà dépassé les 2,8 G$.

Il est intéressant de noter également que les principaux moteurs du marché haussier semblent être passés des secteurs de la technologie et des soins de santé, avec leurs méga-capitalisations et leurs grandes capitalisations, aux secteurs cycliques (énergie, finance et industrie) ainsi qu’aux portions du marché à moyenne et petite capitalisation. Les créations nettes dans les FNB de moyennes et petites capitalisations n’ont cessé de croître depuis le début de l’année. Le total des flux nets de cette catégorie au premier trimestre à 374 millions de dollars, soit 29 % de l’actif sous gestion de fin d’année 2020.

Au Canada, le rendement des obligations d’État à dix ans a plus que doublé, un élément qui n’a pas manqué d’avoir un impact sur les FNB d’obligations. Les investisseurs en FNB à revenu fixe ont réagi en préférant nettement les outils de placement à court terme aux véhicules à long terme pour réduire le risque de taux d’intérêt.

En mars 2021, les FNB de titres à revenu fixe ont recueilli 485 M$ en créations nettes. Un montant bien plus bas que les FNB d’actions, mais nettement supérieur aux rachats nets de 1,3 G$ de l’an passé.

Les créations nettes ont été bien réparties entre les différents fournisseurs. En mars, seuls Franklin Templeton et Smartbe ont enregistré des rachats nets.

Vanguard en tête des créations nettes

Pour les trois premiers mois de 2021, la catégorie d’actifs des actions domine les créations nettes de FNB, absorbant plus de 60 % d’entre elles. Les actions pondérées par la capitalisation boursière, les secteurs (technologie et finance) et les actions thématiques (ESG et innovation perturbatrice) ont alimenté les flux.

Les FNB des catégories « revenu fixe » et « multi-actifs » ont chacune amassé près de 2 G$ depuis le début de l’année. Le nouveau segment de FNB ayant comme sous-jacent des cryptomonnaies a rassemblé 1,3 G$ d’actifs depuis le début de l’année.

Par ailleurs, pour cette période, Vanguard affiche la tête des créations nettes avec 2,53 G$. Cet émetteur de fonds est suivi de BMO (2,20 G$) et RBC iShares (1,53 G$). Placements Mackenzie (1,15 G$) et Gestion de Placements TD (1,14 G$) complète les cinq manufacturiers affichant les créations nettes les plus élevées pour les trois premiers mois de l’année, selon Banque Nationale Marchés financiers.

Nombreux lancements de produits

Le mois de mars a également été le mois des lancements de produits. On enregistre ainsi 23 nouvelles inscriptions de FNB en mars, notamment des FNB ESG, de bêta à faible coût, de gestion active et un nouveau FNB de bitcoins.

CI First Asset a lancé trois FNB, la CIBC quatre. Desjardins a décidé d’élargir sa gamme de FNB RI Low CO2 avec un nouveau produit.

Dynamic a ajouté deux autres FNB à sa gamme de FNB actifs, Emerge a lancé le FNB Ark Space Exploration, la First Trust a lancé deux FNB à gestion active, la Guardian Capital a lancé quatre FNB à gestion active et Purpose a lancé des parts de FNB de deux fonds alternatifs.

Finalement, RBC a élargi son offre de FNB ESG avec trois FNB qui suivent les indices MSCI ESG Leaders pour le Canada, les États-Unis et le segment EAEO (pour Europe, l’Australasie et l’Extrême-Orient).

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