BMO | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/post_company/bmo/ Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Thu, 23 Oct 2025 12:18:13 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png BMO | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/post_company/bmo/ 32 32 BMO vendra 138 de ses succursales https://www.finance-investissement.com/nouvelles/bmo-vendra-138-de-ses-succursales/ Thu, 23 Oct 2025 12:18:13 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110437 Mais seulement sur certains marchés.

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Dans le but d’optimiser son réseau de succursales aux États-Unis et de redéployer son capital et ses ressources, BMO vendra 138 de ses succursales à First-Citizens Bank & Trust Company.

Ces succursales se situent essentiellement dans le Dakota du Nord, le Dakota du Sud, le Wyoming, le Nebraska, le Kansas, le Missouri, l’Oklahoma et l’Idaho. Certaines se trouvent dans l’ouest du Minnesota, une se trouve dans l’Oregon et la dernière, dans le sud de l’Illinois.

Parallèlement à cette décision, BMO compte ouvrir 150 nouvelles succursales au cours des cinq prochaines années pour densifier sa présence sur les marchés américains où elle a la possibilité d’atteindre une masse critique. Les projets de nouvelles succursales seront centrés sur la Californie, mais ne se limiteront pas à cet État.

« Nous concentrons nos efforts sur les marchés présentant le plus grand potentiel de croissance à long terme, explique Aron Levine, président, BMO É.-U. Cette réaffectation nous permet d’approfondir nos relations avec nos clients et de leur offrir toute la puissance de BMO. Nos succursales jouent un rôle essentiel dans cette démarche ; elles sont bien plus que de simples bâtiments. Ce sont des centres de conseil financier et des pôles communautaires où se nouent des relations, où des conseils personnalisés sont prodigués et où les clients sont aidés à atteindre leurs objectifs, tout cela afin de les aider à améliorer leurs finances. »

Cette annonce s’inscrit dans l’ambition de l’institution de devenir une banque nord-américaine de premier plan.

First Citizens Bank reprendra environ 5,7 milliards de dollars américains (G$ US) en dépôts et 1,1 G$ US en prêts, avec une prime d’environ 5 %. La Banque prévoit une charge de bonne volonté de 75 millions de dollars américains (M$ US) et une charge fiscale de 85 M$ US au T4 2025. L’impact sur le ratio de fonds propres CET1 devrait être négligeable.

Sous réserve des approbations nécessaires, cette transaction devrait être finalisée mi 2026.

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Cinq nouveaux CCAÉ signés BMO https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/cinq-nouveaux-ccae-signes-bmo/ Fri, 10 Oct 2025 12:14:20 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=109928 PRODUITS – Heineken, Sanofi et AXA rejoignent ainsi sa gamme.

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La Banque de Montréal lance cinq nouveaux certificats canadiens d’actions étrangères (CCAÉ) visant des entreprises allemandes, françaises et des Pays-Bas.

Les produits disponibles à la bourse Cboe Canada depuis le 18 septembre incluent des actions de grandes entreprises européennes. On y retrouve notamment une société allemande, Rheinmetall AG (RHM), ainsi qu’un nom néerlandais emblématique reconnu mondialement, Heineken N.V. (HEIA). Trois sociétés françaises s’ajoutent également à la liste :

  • AXA SA (AXA),
  • Sanofi S.A. (SAN),
  • Société Générale SA (SOCG).

Pour rappel, chaque série de CCAÉ porte sur une seule catégorie d’actions d’un émetteur constitué à l’extérieur du Canada.

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Relève assurée à la direction des finances de BMO https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/releve-assuree-a-la-direction-des-finances-de-bmo/ Thu, 09 Oct 2025 12:06:44 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=109922 NOUVELLES DU MONDE – Rahul Nalgirkar succède à Tayfun Tuzun.

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BMO Groupe financier a nommé Rahul Nalgirka au poste de chef des finances, en remplacement de Tayfun Tuzun, qui prendra sa retraite début 2026. Après une période de transition en tant que chef des finances délégué, Rahul Nalgirkar se joindra officiellement au comité de direction de la banque le 1er janvier.

Arrivé chez BMO en 2022, il occupait jusqu’à présent le poste de chef des finances de BMO aux États-Unis et de chef des finances des services bancaires aux grandes entreprises au Canada et aux États-Unis. Avant de se joindre à BMO, il a œuvré à la Fifth Third Bank, chez GE Capital, Citigroup et CIT.

Entré chez BMO en 2020, Tayfun Tuzun y a notamment dirigé les équipes financières des groupes d’exploitation et de l’organisation. « BMO a bénéficié du leadership et de son expertise en ce qui concerne la gestion efficace du capital, des liquidités et du financement », a déclaré Darryl White, chef de la direction de BMO. Durant son mandat, Tayfun Tuzun a entre autres piloté la numérisation et la rationalisation des opérations, ainsi que l’acquisition et l’intégration de Bank of the West. Il continuera de siéger au conseil d’administration de BMO Financial, la filiale américaine de BMO, où il a été nommé en 2023.

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Les FNB à tranche protégée https://www.finance-investissement.com/fi-tv_/nouvelles-fi-tv/les-fnb-a-tranche-protegee/ Wed, 08 Oct 2025 10:26:57 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106290 FI TV — Erika Toth, Directrice générale, FNB BMO, Est du Canada, explique les particularités de ces produits et ce qu’un conseiller devrait vérifier avant de s’en procurer.

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Finance et investissement : BMO propose des fonds négociés en Bourse (FNB) à tranche protégée (buffer ETF) qui utilisent des options pour améliorer la protection à la baisse. Pouvez-vous expliquer comment cette stratégie fonctionne, et que doit vérifier un conseiller lorsqu’il achète ce type de FNB en dehors des dates de réinitialisation?

Erika Toth : Les FNB avec tranche protégée utilisent des contrats d’options pour offrir une protection et mettre un plafond sur la participation au marché au cours d’une période définie.

La zone de la tranche protégée et le plafond de participation au marché sont établis au début de la période et ne s’appliquent qu’à la fin de la période du résultat donné. Au lancement du FNB, une option de vente est achetée, ce qui offre une protection contre les pertes jusqu’à 15 %. Afin de payer cette protection contre les pertes, deux options sont vendues et nous recevons les primes :

  • Premièrement, nous vendons une option d’achat généralement de 8-10 % hors du cours. Cela fixe un plafond au rendement qu’un client peut réaliser ;
  • Nous offrons une deuxième option de vente : 15 % hors du cours. Cela signifie que vous participez seulement aux pertes supérieures à 15 %.

Toutes ces options ont une période d’échéance d’un an. C’est pourquoi nous proposons quatre séries trimestrielles. Pendant cette période, les valeurs dépendront de la valeur marchande intrinsèque et temporelle des options.

Les investisseurs qui négocient les FNB au cours de la période peuvent obtenir un rendement différent de la marge de protection contre la baisse et du plafond d’appréciation indiqué.

Sur notre site web et aussi sur nos outils d’aide à la vente, nous publions quotidiennement la participation potentielle à la hausse restante ainsi que la protection totale à la baisse restante.

Le conseiller devrait consulter ces outils avant de sélectionner quelle série trimestrielle acheter.

Les opinions exprimées sont celles d’Erika Thot, Directrice générale, FNB BMO, Est du Canada, en date du 5 mars 2025, et elles peuvent changer selon la situation des marchés et d’autres conditions.

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Actions privilégiées : marché rétréci, mais payant https://www.finance-investissement.com/edition-papier/actions-privilegiees-marche-retreci-mais-payant/ Wed, 08 Oct 2025 10:03:18 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110242 FOCUS FNB — Malgré la baisse du nombre de titres en circulation, les actions privilégiées renouent avec de solides rendements.

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Le marché canadien des actions privilégiées est en déclin, mais les investisseurs qui détiennent ces titres à dividendes, ainsi que les fonds qui les possèdent, ont de bonnes raisons de se réjouir.

Après des pertes marquées en 2022, environ –18 % pour la catégorie, les actions privilégiées ont connu un rebond spectaculaire, enregistrant des gains de l’ordre de 25 % l’an dernier. Leur progression se poursuit d’ailleurs en 2025.

Près de 80 % du marché canadien des actions privilégiées est composé de titres à taux révisable, dont les dividendes sont ajustés tous les cinq ans en fonction du rendement des obligations fédérales à cinq ans. Ces titres avaient plongé lorsque les révisions sont survenues en période de taux planchers, mais ils bénéficient aujourd’hui pleinement de la remontée des taux. Les investisseurs semblent d’ailleurs persuadés que ceux-ci ne reviendront pas à leurs creux d’autrefois.

Aujourd’hui, la valeur totale du marché s’élève à environ 46 milliards de dollars (G$), contre 70 G$ il y a cinq ans, selon Nicolas Normandeau, gestionnaire de portefeuille chez Fiera Capital. La firme montréalaise gère le Global X Active Preferred Share ETF (HPR), doté d’environ 920 millions de dollars (M$) d’actifs.

Rien que dans les neuf premiers mois de 2025, environ 4,4 G$ d’actions privilégiées ont été rachetées. Les banques et compagnies d’assurance privilégient désormais les billets de capital à recours limité (limited recourse capital notes ou LRCN), un instrument de capital réglementaire portant intérêt et dont les paiements sont déductibles d’impôt pour l’émetteur. Les entreprises non financières suivent la tendance en remplaçant leurs actions privilégiées par des titres hybrides à intérêt.

Résultat : les institutions et autres investisseurs dont les titres ont été rachetés se livrent concurrence pour reconstituer leurs portefeuilles, ce qui fait grimper les prix. « C’est un moteur important de la vigueur du marché depuis les creux de 2022 », souligne Nicolas Normandeau.

Le iShares S&P/TSX Canadian Preferred Share Index ETF (CPD), dont l’actif est de 1 G$, affiche un rendement de 23,9 % en 2024 et de 11,4 % depuis le début de 2025 jusqu’à la fin de septembre. Or, l’investissement passif dans cette catégorie reste volatil : le même FNB avait perdu 18,4 % en 2022 et détient une cote D de Fundata Canada ainsi qu’une note deux étoiles de Morningstar.

Une approche indicielle différente est celle du FINB BMO échelonné actions privilégiées (ZPR) (1,4 G$), dont le portefeuille contient des actions privilégiées à taux révisable est réparti également entre des échéances d’un à cinq ans. Cette structure réduit la volatilité liée aux variations des taux à cinq ans et améliore le rendement ajusté au risque.

La plupart des fonds négociés en Bourse (FNB) d’actions privilégiées sont gérés activement. Ils offrent un avantage distinct grâce à la sélection de titres au Canada et à la possibilité d’inclure des actions privilégiées américaines, des LRCN ou d’autres instruments hybrides des deux côtés de la frontière.

« L’idée est de faire sa propre analyse fondamentale et de choisir ses titres en fonction de la structure », explique Marc-André Gaudreau, vice-président et gestionnaire principal du Dynamic Active Preferred Shares ETF (DXP) chez Placements Dynamique.

Le marché des actions privilégiées étant peu liquide par rapport aux autres types de titres à revenu fixe, le potentiel de surperformance par rapport à un indice est élevé, ajoute-t-il. Son FNB, l’un des mieux cotés du secteur, affiche d’ailleurs cinq étoiles Morningstar.

Parmi les autres fonds performants, on retrouve le Global X Active Preferred, le FNB NBI Active Canadian Preferred Shares et le TD Active Preferred Share ETF.

« La flexibilité de notre approche est essentielle, précise Marc-André Gaudreau. Nous ne sommes pas obligés de rester uniquement dans le marché des actions privilégiées à valeur nominale de 25 $. Nous pouvons aller aux États-Unis ou sur le marché institutionnel. » Les titres hybrides et LRCN figurent également dans le portefeuille du fonds Dynamic.

De son côté, Nicolas Normandeau surpondère les actions privilégiées à taux révisable plutôt que les perpétuelles à taux fixe. Il favorise celles dont les rendements de révision sont faibles à moyens et qui se négocient à escompte, car elles offrent à la fois un potentiel de gain en capital et un risque moindre d’être rachetées.

Le portefeuille de Fiera met aussi l’accent sur la qualité du crédit. « Dans l’environnement actuel, il n’est pas rentable de s’exposer à des émetteurs plus faibles », dit-il. Il ajoute que les LRCN et les hybrides offrent une diversification intéressante, même s’ils génèrent un revenu d’intérêt pleinement imposable. « S’ils sont bien évalués, ils méritent leur place », avance-t-il.

Les fonds investis dans des privilégiées américaines, en revanche, ont eu de la difficulté ces dernières années. Le fonds Brompton Flaherty & Crumrine Investment Grade Preferred ETF, tout comme le FINB BMO actions privilégiées de sociétés américaines et le Fonds d’actions privilégiées américaines Purpose, ont pris un retard considérable par rapport à leurs homologues canadiens.

Or, Marc-André Gaudreau envisage d’augmenter son exposition aux titres américains, jugeant que le marché canadien est passé d’« extrêmement bon marché » en 2022 à « cher ». Il s’attend aussi à ce que la raréfaction de l’offre au Canada cesse de soutenir autant les prix.

Le marché américain, d’environ 600 G$ US, est plus vaste et plus diversifié, explique Chris Cullen, vice-président principal et chef des FNB chez Brompton Funds à Toronto. Il comprend davantage de structures à taux fixe, à taux réinitialisé ou à taux variable différé, les premières étant majoritaires.

Pour cette raison, selon Chris Cullen, le marché américain « ne court pas après les rendements à la hausse comme à la baisse », contrairement au marché canadien, fortement pondéré vers des titres à réinitialisation de taux de cinq ans. Le FNB de Brompton offre également, pour la majorité de son portefeuille, plus de trois ans de protection contre un rachat anticipé par l’émetteur, qui permettrait de le remplacer par un titre offrant un rendement inférieur.

Enfin, une alternative aux FNB d’actions privilégiées se trouve dans les stratégies de sociétés scindées, dont la plus importante est le Brompton Split Corp. Preferred Share ETF (SPLT) (610 M$). On retrouve aussi le Quadravest Preferred Split Share ETF parmi ces fonds, classés dans la catégorie « crédit alternatif », qui investissent dans des actions privilégiées émises par des sociétés à capital scindé.

Selon Chris Cullen, ces titres ressemblent aux privilégiées à taux révisable, mais avec des dispositions plus favorables aux investisseurs. « Les révisions reflètent davantage les conditions du marché que des formules prédéterminées. Les rendements ont été plus élevés que ceux du marché canadien des actions privilégiées, et moins volatils. Ils peuvent être une composante très intéressante d’un portefeuille de revenu fixe », résume-t-il.

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BMO agrandit son Conseil consultatif pour les communautés autochtones https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/bmo-agrandit-son-conseil-consultatif-pour-les-communautes-autochtones/ Tue, 30 Sep 2025 10:54:39 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=109956 Et y ajoute cinq nouveaux membres.

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BMO nomme cinq nouveaux dirigeants éminents à son Conseil consultatif pour les communautés autochtones (CCCA). Une nouvelle preuve de l’engagement de l’institution envers la réconciliation, l’inclusion et l’autonomisation économique des communautés autochtones à travers le Canada.

Les nouveaux membres comptent ainsi :

  • Denise Baxter, vice-rectrice aux initiatives autochtones à l’Université Lakehead, qui travaille depuis plus de 30 ans à faire progresser l’éducation des Autochtones. Membre de la Première Nation de Marten Falls, elle a ainsi travaillé au sein :
    • de conseils scolaires publics,
    • du ministère de l’Éducation de l’Ontario
    • et d’écoles privées des Premières Nations.
  • Originaire d’Aujuittuq, au Nunavut, Harry Flaherty est président et chef de la direction de Qikiqtaaluk Corporation & Group of Companies (QC). Sous sa direction, QC est devenu le plus important employeur privé appartenant à des Inuits, contribuant au développement économique par la diversification des services et la mise en place de partenariats stratégiques.
  • Présidente de Pressure Pipe Procurement & Management Services and Northern Oxygen, Hilda Broomfield Letemplie est une entrepreneure autochtone de Terre-Neuve-et-Labrador. Membre du gouvernement du Nunatsiavut, cette dernière a été mainte fois récompensée pour son travail qui promeut la diversité et l’inclusion dans le secteur des ressources naturelles. Elle a notamment reçu e Prix d’excellence en affaires autochtones 2023 et le Prix des femmes les plus influentes du Canada : Top 100 de 2024 de WXN.
  • Jenn Harper, fondatrice et chef de la direction de Cheekbone Beauty Cosmetics, est une entrepreneure sociale qui redéfinit la durabilité et la représentation dans l’industrie de la beauté. Son leadership a permis de récolter plus de 250 000 $ de dons philanthropiques, et elle continue d’être une ardente défenseure des femmes autochtones dans le monde des affaires. Elle a également été nommée parmi les 100 femmes les plus influentes du Canada en 2024 et a reçu un doctorat honorifique de l’université Brock en 2023.
  • Fière membre de la Nation métisse de l’Alberta et présidente et chef de la direction du Gord Downie & Chanie Wenjack Fund, Sarah Midanik est une fervente défenseure de la réconciliation et de l’impact social. Elle est titulaire d’un MBA en commerce et leadership autochtones et a été reconnue comme l’une des femmes les plus influentes du Canada en 2024.

Ces cinq nouveaux membres aideront le CCCA dans sa mission pour ouvrir de nouvelles voies pour l’autonomisation économique, le développement du leadership et la prospérité générationnelle des peuples autochtones.

« Une véritable réconciliation consiste à soutenir activement les communautés autochtones et nécessite un engagement profond à comprendre l’histoire, les droits et les cultures uniques des peuples autochtones, a déclaré Michael Bonner, chef, Distribution, Services bancaires Particuliers et entreprises au Canada, et coprésident du Conseil consultatif pour les communautés autochtones de BMO. Le CCCA a été mis sur pied par BMO pour garantir que les voix autochtones soient entendues et comprises alors que nous nous efforçons de favoriser le progrès économique et un avenir meilleur pour les communautés, les partenaires et les clients autochtones. »

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BMO lance de nouveaux CCAÉ https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/bmo-lance-de-nouveaux-ccae-2/ Mon, 22 Sep 2025 12:12:42 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=109699 PRODUITS – Ces derniers sont liés à des marques françaises reconnues.

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La Banque de Montréal (BMO) a lancé cinq certificats canadiens d’actions étrangères (CCAÉ) qui sont négociés sur la bourse Cboe Canada depuis le 11 septembre.

Ces produits portent sur des actions ordinaires de grandes sociétés françaises :

  • BNP Paribas SA (BNP)
  • Hermès International SCA (HERM)
  • L’Oréal SA (LOR)
  • LVMH Moët Hennessy Louis Vuitton SE (LV)
  • TotalEnergies SE (TTE)

Afin d’en apprendre davantage sur ces CCAÉ, rendez-vous sur le site de BMO.

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Comment discuter des taux de distribution des FNB à vente d’option d’achat couverte https://www.finance-investissement.com/fi-tv_/nouvelles-fi-tv/comment-discuter-des-taux-de-distribution-des-fnb-a-vente-doption-dachat-couverte/ Wed, 10 Sep 2025 10:15:13 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106289 FI TV — Erika Toth, Directrice générale, FNB BMO, Est du Canada, parle des différents éléments à considérer.

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Finance et investissement : Étant donné la prolifération des fonds négociés en Bourse (FNB) utilisant une stratégie de vente d’option d’achat couverte, qui peut entraîner de la confusion sur le «rendement» pour le client, que doit dire un conseiller à ses clients lorsqu’il discute des taux de distribution de ces FNB, sachant qu’ils peuvent inclure un mélange de différents éléments (revenus de dividendes, revenu d’option d’achat, remboursement de capital, etc.)?

Erika Toth : Je dirais qu’il faut se méfier des produits qui génèrent des rendements à deux chiffres ou les analyser de plus proche. Il est vraiment important de comprendre comment le fournisseur génère le rendement supplémentaire dans ce genre de stratégies car cela peut simplement entraîner l’érosion de la base d’actifs du client.

Chez BMO, nous sommes le plus grand fournisseur de FNB de vente d’option d’achat couverte sur le marché canadien et nous gérons notre gamme d’options de manière très prudente. En mettant l’accent sur le rendement total, nous voulons offrir à nos clients le plus grand potentiel de croissance possible tout en leur fournissant un flux de trésorerie supplémentaire grâce aux primes d’options.

Le niveau de rendement total doit être durable. Voici quelques questions que je suggère aux conseillers de poser dans le cadre de leur processus de diligence raisonnable sur ces produits :

  • Quelle méthode le FNB utilise-t-il pour construire son portefeuille sous-jacent. Utilise-t-il une méthode axée sur les dividendes ?
  • Sur quel pourcentage du portefeuille les options d’achat sont-elles vendues ?
  • Dans quelle mesure la vente d’option d’achat se fait-elle hors du cours ?
  • Comprenez-vous les répercussions de la vente d’option dans le cours ?
  • Le taux de rendement est-il fiscalement avantageux ?
  • Dans quelle mesure la construction de portefeuille et l’approche de superposition des options sont-elles transparentes ?
  • Le FNB utilise-t-il l’effet de levier ?
  • Quels sont les antécédents du FNB ?
  • Quel rendement a-t-il enregistré au cours des cycles précédents du marché ?

Les opinions exprimées sont celles d’Erika Thot, Directrice générale, FNB BMO, Est du Canada, en date du 5 mars 2025, et elles peuvent changer selon la situation des marchés et d’autres conditions.

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Économie : les dirigeants des banques adoptent une attitude prudente https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/economie-les-dirigeants-des-banques-adoptent-une-attitude-prudente/ Fri, 29 Aug 2025 11:24:50 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=109346 Le pessimisme n’est pas encore de mise.

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Le ton était plus prudent que pessimiste cette semaine, alors que les dirigeants des six grandes banques canadiennes publiaient leurs résultats du troisième trimestre et évoquaient la probabilité que les troubles géopolitiques et les turbulences commerciales continuent d’obscurcir la situation dans les mois à venir.

« Les tensions commerciales mondiales pourraient entraîner un ralentissement de la croissance et une hausse de l’inflation dans de nombreux pays, dont le Canada et les États-Unis », a indiqué Victor Dodig, président et chef de la direction de la Banque CIBC, aux analystes lors d’une conférence téléphonique jeudi.

« Nous prévoyons que la baisse des taux d’intérêt contribuera à soutenir la croissance économique, tandis que la politique budgétaire offrira un soutien ciblé aux secteurs les plus touchés par les négociations commerciales », a-t-il ajouté.

La CIBC, dont les bénéfices trimestriels ont dépassé les 2 milliards de dollars (G$) et les attentes du marché, est bien positionnée pour résister à la volatilité, a ajouté Victor Dodig.

« Quel que soit le contexte macroéconomique, nous continuerons d’exécuter notre stratégie. Nous continuerons de soutenir nos clients. Nous continuerons de contrôler ce que nous contrôlons et de positionner la CIBC pour qu’elle maintienne sa solidité », a-t-il soutenu.

Il semble y avoir un sentiment partagé parmi les dirigeants de grandes banques : si l’optimisme prudent est justifié quant à l’économie, la prudence est de mise tant que l’avenir de l’accord commercial Canada-États-Unis-Mexique (ACEUM) demeure incertain.

« Au début de l’année, mon indicateur d’incertitude était très élevé et il l’est aujourd’hui moins », a mentionné Darryl White, chef de la direction de BMO Groupe financier, lors d’une conférence téléphonique mardi, alors que sa banque annonçait une hausse de 25 % de son bénéfice net trimestriel, à 2,33 G$.

« Cela ne signifie pas qu’il n’y a pas d’incertitude », a-t-il nuancé.

Le président et chef de l’exploitation du Groupe Banque TD, Raymond Chun, a souligné jeudi que la dynamique du commerce mondial « reste fluide », avec un examen de l’ACEUM prévu l’année prochaine.

« Bien que les entreprises canadiennes aient bénéficié de cet accord commercial, les droits de douane, et plus particulièrement les tarifs sectoriels, créent de l’incertitude commerciale et des distorsions économiques, avec des répercussions importantes sur les secteurs les plus exposés », a-t-il précisé.

Les économies canadienne et américaine ont fait preuve de résilience malgré l’incertitude, mais leur dynamique s’est ralentie.

« Nous n’en sommes qu’aux prémices. Il faudra probablement beaucoup de temps avant que l’impact complet des droits de douane soit bien compris », a-t-il rappelé.

La TD a annulé une perte de l’année précédente pour enregistrer un bénéfice trimestriel de 3,3 G$.

La Banque Scotia a vu ses provisions pour pertes sur créances diminuer de 1,05 G$ à 1,04 G$.

Cependant, le chef de la gestion du risque de la Scotia, Phil Thomas, a déclaré mardi aux analystes que la durabilité de cette tendance n’était pas certaine.

« L’économie canadienne traverse une période agitée. L’incertitude commerciale continue de peser sur nous. Le consommateur canadien montre encore des signes de stress », a-t-il souligné.

La Banque Scotia a annoncé une hausse de 32 % de son bénéfice trimestriel, à 2,53 G$.

La Banque Royale du Canada a indiqué que ses provisions pour pertes sur créances ont augmenté par rapport à l’année précédente pour atteindre 881 millions de dollars (M$), et son chef de la gestion des risques a indiqué que ce chiffre devrait rester élevé compte tenu de la persistance des tensions commerciales.

« Face à l’incertitude persistante de ce trimestre, nous avons maintenu notre prudence et conservé une pondération élevée de nos scénarios baissiers, conformément au trimestre précédent », a affirmé Graeme Hepworth aux analystes mercredi.

La plus grande banque du Canada a enregistré une hausse de 20 % de son bénéfice trimestriel, à 5,4 G$.

Le PDG de la Banque Nationale, dont le siège social est à Montréal, s’est dit encouragé par la manière dont les gouvernements fédéral et provinciaux cherchent à apporter des changements durables pour stimuler la productivité et la résilience économique.

« Les investissements dans l’énergie, la sécurité et les infrastructures essentielles à la construction nationale stimuleront la croissance et nous mettront sur la bonne voie », a soutenu Laurent Ferreira.

Le bénéfice trimestriel de la Banque Nationale a légèrement progressé, passant de 1,03 G$ un an plus tôt à 1,07 G$.

Le bénéfice par action ajusté de chacune des banques a dépassé l’estimation moyenne des analystes compilée par LSEG Data & Analytics, à l’exception d’un manque à gagner d’un cent pour la Banque Nationale.

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Bénéfice en hausse chez BMO et la Scotia https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/benefice-en-hausse-chez-bmo-et-la-scotia/ Wed, 27 Aug 2025 11:12:41 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=109214 Les deux institutions enregistrent un beau T3.

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BMO Groupe financier a annoncé une hausse de son bénéfice au troisième trimestre par rapport à l’année précédente, grâce à une baisse de sa dotation à la provision pour pertes sur créances.

La banque indique avoir réalisé un bénéfice net de 2,33 milliards de dollars (G$), soit 3,14 $ par action, pour le trimestre clos le 31 juillet. Ce résultat trimestriel se compare à un bénéfice de 1,87 G$, soit 2,48 $ par action, au même trimestre l’an dernier.

Les revenus du trimestre ont totalisé 8,99 G$, en hausse par rapport à 8,19 G$ l’année précédente.

La dotation à la provision pour pertes sur créances de BMO s’est élevée à 797 millions de dollars (M$) pour le trimestre, contre 906 M$ un an plus tôt.

Sur une base ajustée, BMO indique avoir réalisé un bénéfice de 3,23 $ par action au cours de son dernier trimestre, en hausse par rapport à un bénéfice ajusté de 2,64 $ un an plus tôt.

Selon LSEG Data & Analytics, les analystes tablaient en moyenne sur un bénéfice par action de 2,95 $.

Beau semestre à la Scotia

La Banque Scotia a vu son bénéfice net s’établir à 2,53 G$ au troisième trimestre, en hausse par rapport à 1,91 G$ il y a un an.

La banque indique que son bénéfice s’est élevé à 1,84 $ par action lors du trimestre clos le 31 juillet, comparativement à 1,41 $ par action un an plus tôt.

Ses revenus se sont élevés à 9,49 G$, en hausse par rapport à 8,36 G$ au même trimestre l’an dernier.

Sa provision pour pertes sur créances a totalisé 1,04 G$, en baisse par rapport à 1,05 G$ un an plus tôt.

Sur une base ajustée, la Banque Scotia affirme avoir réalisé un bénéfice de 1,88 $ par action au cours de son dernier trimestre, contre un bénéfice ajusté de 1,63 $ un an plus tôt.

Selon LSEG Data & Analytics, les analystes tablaient en moyenne sur un bénéfice de 1,73 $ par action.

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