BMO – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Wed, 13 Aug 2025 13:51:16 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.1 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png BMO – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Alain Desbiens de retour chez FNB BMO https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/alain-desbiens-de-retour-chez-fnb-bmo/ Wed, 13 Aug 2025 13:51:16 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=109013 Il occupera un tout nouveau rôle.

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L’ancien démarcheur (wholeseller) de BMO Gestion mondiale d’actifs (BMO GMA), Alain Desbiens, met un terme à son année sabbatique et signe son retour chez son ancien employeur.

Il intégrera un tout nouveau poste, soit celui de vice-président (vice-chair) de FNB BMO. Dans ses nouvelles fonctions, Alain Desbiens sera « un ambassadeur passionné des FNB BMO sur plusieurs marchés (auprès des conseillers, des clients institutionnels et des investisseurs, en particulier au Québec ainsi qu’au Canada », indique BMO GMA, dans un communiqué.

« En tant que l’un de nos principaux porte-parole, Alain soutiendra l’industrie ainsi que les initiatives médiatiques et les médias sociaux en français et en anglais, alliant sa connaissance approfondie du secteur à son expertise des produits », peut-on y lire.

L’organisation entend mettre à profit son expérience afin de faire valoir les caractéristiques et les avantages des fonds négociés en Bourse (FNB) auprès de conseillers, clients institutionnels et des investisseurs par l’intermédiaire d’entrevues et de présentations.

En entrevue avec Finance et Investissement, Alain Desbiens était enthousiaste à l’idée de jouer son rôle de super ambassadeur auprès des conseillers, gestionnaires de portefeuilles et des investisseurs québécois et canadiens. « Je vais épauler l’ensemble des initiatives qu’on aura sur le plan des FNB et des certificats canadiens d’actions étrangères (CCAÉ). Comme firme, on a fait un gros travail de démocratisation des investissements avec les FNB. On pense que les CCAE peuvent être intéressants pour les investisseurs canadiens ou les conseillers et suivre une tendance similaire que celle des FNB sur le plan de la croissance », déclare Alain Desbiens.

Les CCAÉ sont une façon, pour les clients canadiens, de s’exposer aux actions de sociétés étrangères cotées en Bourse au monde dans un outil de placement en dollars canadiens, assorti d’une couverture de change intégrée.

Ces certificats, qui détiennent comme actif sous-jacent le titre d’une société étrangère, se négocient à une valeur nominale de 10 $ ou de 20 $, ce qui permet indirectement de négocier des fractions d’actions.

« Pour un conseiller, c’est très difficile d’acheter des titres individuels japonais ou européens et les CCAÉ sont une manière de s’y exposer », note Alain Desbiens, qui œuvre depuis quelques mois comme chroniqueur sur les FNB et le monde de l’investissement auprès de Finance et Investissement.

De discuter avec les conseillers des options de placement à faible frais, dont font partie généralement les FNB et les CCAÉ, est d’autant plus pertinent avec l’entrée en vigueur prochaine des obligations d’information sur le coût total des fonds des autorités réglementaires provinciales.

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Améliorer l’efficience fiscale des FNB https://www.finance-investissement.com/fi-tv_/nouvelles-fi-tv/ameliorer-lefficience-fiscale-des-fnb/ Wed, 13 Aug 2025 10:25:24 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106288 FI TV — Erika Toth, Directrice générale, FNB BMO, Est du Canada, explique ce que peut faire un conseiller pour améliorer l’efficience fiscale des FNB.

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Finance et investissement : Que peut faire un conseiller pour améliorer l’efficience fiscale des fonds négociés en Bourse (FNB) de titres à revenu fixe de ses clients?

Erika Toth : Les FNB d’obligation à escompte peuvent permettre à l’investisseur de réduire son revenu d’intérêt imposable par rapport aux fonds obligataires traditionnels ayant des expositions similaires.

Les FNB d’obligation à escompte de BMO investissent dans des obligations où le taux de rendement actuel est inférieur à la valeur nominale.

Le fait d’harmoniser le coupon et le taux de rendement à l’échéance peut permettre aux investisseurs de bénéficier d’une plus grande efficience fiscale.

Lorsque le coupon est inférieur au taux de rendement à l’échéance, cela signifie que l’obligation se négocie à un prix inférieur à son cour nominal.

L’avantage que représente l’achat d’un FNB qui détient un panier d’obligations qui se négocient à escompte, c’est qu’une partie du rendement futur proviendra de l’appréciation du cours qui est la différence entre le prix actualisé et la valeur à échéance de 100 $ qui est traitée comme un gain en capital aux fins de l’impôt.

Les opinions exprimées sont celles d’Erika Thot, Directrice générale, FNB BMO, Est du Canada, en date du 5 mars 2025, et elles peuvent changer selon la situation des marchés et d’autres conditions.

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BMO lance une plateforme pour aider à planifier des objectifs financiers https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/bmo-lance-une-plateforme-pour-aider-a-planifier-des-objectifs-financiers/ Thu, 31 Jul 2025 09:57:31 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108538 Le nouvel outil permet notamment de créer des plans personnalisés.

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BMO lance une plateforme numérique pour soutenir les Canadiens dans la réalisation de leurs objectifs financiers. « Mon progrès finance » permet ainsi de créer des plans personnalisés et d’obtenir des informations complètes sur ses finances.

Offert aux utilisateurs des Services bancaires en ligne de BMO et de l’appli Services mobiles BMO, l’outil ajuste les objectifs et les stratégies en temps réel.

« Avec Mon progrès financier, BMO offre aux Canadiens un outil puissant pour prendre en main leur avenir financier en combinant une planification personnalisée, des informations en temps réel et la possibilité de s’adapter à l’évolution des objectifs et de la situation, souligne Gayle Ramsay, chef, Services bancaires courants, Segments et accroissement de la clientèle, BMO. Qu’il s’agisse d’épargner en vue d’une étape importante ou de se constituer un patrimoine à long terme, cet outil innovant aide nos clients à rester sur la bonne voie, à prendre des décisions en toute confiance et en toute connaissance de cause, et à améliorer leurs finances. »

Cette plateforme s’ajoute à la gamme d’outils déjà offerts par l’institution, notamment :

  • FinancesFutées BMO, qui permet d’en apprendre davantage sur les finances personnelles
  • Mon info BMO où les clients peuvent avoir un aperçu rapide et un suivi de leurs dépenses quotidiennes
  • Compte amplificateur d’épargne BMO, un compte offrant un taux d’intérêt intéressant en plus de n’exiger aucun frais mensuel
  • CreditView de BMO qui permet de vérifier son pointage de crédit et d’accéder à des outils et des conseils pour gérer leur profil de crédit
  • PaiementFuté BMO qui permet aux clients de transformer leurs achats par carte de crédit en un programme de versements mensuels égaux.

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LionGuard renforce sa présence sur le marché torontois https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/lionguard-renforce-sa-presence-sur-le-marche-torontois/ Fri, 25 Jul 2025 11:18:42 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108582 NOUVELLES DU MONDE — Avec l’embauche d’Abi Tamot.

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LionGuard Capital Management poursuit son expansion nationale avec l’arrivée d’Abi Tamot au poste de vice-président, développement des affaires.

Basé à Toronto, Abi Tamot se joint à la firme montréalaise en provenance de Roth Canada, où il occupait jusqu’à récemment le rôle de vice-président des ventes institutionnelles, actions. Sa nomination marque une étape stratégique dans l’expansion géographique de LionGuard, a signalé Andrey Omelchak, président et fondateur de la firme.

Dans le cadre de ses fonctions, Abi Tamot sera chargé de gérer les relations avec les conseillers en investissement à travers le Canada et de piloter les efforts de distribution de la firme.

Avec plus de dix ans d’expérience sur les marchés des capitaux, il a débuté sa carrière dans la vente et la distribution chez Canoe Financial, Sentry Investments, TD et BMO, avant de se joindre à Roth, où il a accompagné des clients au Canada, aux États-Unis et en Europe.

Titulaire d’un MBA en finance de la Sprott School of Business de l’Université Carleton, il s’est spécialisé dans le développement des partenariats, la conception de stratégies produits et la recherche d’occasions de croissance.

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Les incontournables d’une vérification diligente en FNB https://www.finance-investissement.com/fi-tv_/nouvelles-fi-tv/les-incontournables-dune-verification-diligente-en-fnb/ Wed, 09 Jul 2025 10:21:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106287 FI TV —Erika Toth, Directrice générale, FNB BMO, Est du Canada, cite les éléments incontournables d’une vérification diligente qu’un conseiller doit effectuer pour choisir un FNB.

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Finance et investissement : Selon vous, quels sont les éléments incontournables d’une vérification diligente qu’un conseiller doit effectuer pour choisir un fond négocié en Bourse (FNB) adapté à ses clients?

Erika Toth : D’abord, évidemment, il faut s’assurer que les recommandations faites sont appropriées pour le client en fonction de sa situation financière, ses connaissances en matière d’investissement, ses objectifs de placement et sa tolérance au risque.

Il est aussi important que les conseillers comprennent parfaitement les produits qu’ils recommandent aux clients. Pour bien connaître son produit, il faut comprendre les aspects suivants :

  • comment le produit est construit ;
  • comment il est susceptible de se comporter dans diverses conditions du marché et les risques pertinents ;
  • quels sont les frais annuels du fonds ;
  • quel type de revenu le fonds rapporte à l’investisseur ;
  • et il faut comprendre les détails de l’indice que le FNB suit ou la méthodologie utilisée par l’équipe de gestion.

En plus de connaître les détails spécifiques d’un FNB, un certain niveau de diligence raisonnable est nécessaire pour comprendre le fournisseur.

Les questions suivantes doivent être prises en compte concernant la gestion et le service d’un FNB :

  • La direction possède-t-elle les compétences et l’expertise nécessaires pour gérer l’offre existante ou pour créer de nouveaux produits ?
  • Les compétences du gestionnaire se reflètent-elles dans l’écart de suivi du passé ?
  • Lors du lancement d’un nouveau produit, ont-ils pris les mesures nécessaires pour tenir compte de la liquidité du sous-jacent et de la demande passée pour le produit ?
  • Prennent-ils le temps d’analyser le marché avant de lancer un nouveau produit ou ferment-ils régulièrement des FNB ?
  • Comment se passe le service après-vente de leurs produits ?
  • Quel est le niveau de transparence ?
  • Et, à quelle fréquence leur site web est-il mis à jour ?

Les opinions exprimées sont celles d’Erika Thot, Directrice générale, FNB BMO, Est du Canada, en date du 5 mars 2025, et elles peuvent changer selon la situation des marchés et d’autres conditions.

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FNB : créations nettes vigoureuses pour le premier semestre de 2025 https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/fnb-creations-nettes-vigoureuses-pour-le-premier-semestre-de-2025/ Wed, 09 Jul 2025 10:05:13 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108391  FOCUS FNB – Elles se chiffrent à 55 G$ pour les six premiers mois de l’année.

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Malgré la guerre tarifaire et le contexte géopolitique incertain, l’appétit pour les fonds négociés en Bourse (FNB) canadiens basés sur les actions internationales reste fort, selon un rapport de Banque Nationale Marchés financiers (BNMF).

Les créations nettes de FNB se sont chiffrées à 7 milliards de dollars (G$) en juin, un ralentissement après le rebond de mai, où elles avaient atteint 9,2 G$. Pour les six premiers mois de l’année, les FNB canadiens ont enregistré des créations nettes de 54,8 G$. S’ils continuent à ce rythme, ils pourraient battre le record annuel établi en 2024, signale BNMF.

L’actif total sous gestion (ASG) dans les FNB canadiens atteignait 590 G$ à la fin de juin. La majorité de l’ASG, soit 370 G$, est investie en actions, tandis que les titres à revenu fixes comptent pour 164 G$, selon le rapport.

Actions internationales en tête

Les FNB d’actions ont dominé les créations nettes du mois avec 4,1 G$. Les actions internationales ont continué à mener le bal avec des créations nettes d’1,1 G$, une tendance observée depuis le début de l’année, selon les analystes de BNMF.

Les entrées nettes dans cette catégorie ont toutefois fléchi en juin par rapport au mois précédent (2,7 G$).

Les actions canadiennes enregistrent des entrées nettes de 970 millions de dollars (M$), devançant les actions américaines.

Les FNB sectoriels ont enregistré des sorties nettes (847 M$), principalement dans le secteur financier (710 M$), dans celui des matières premières (143 M$) et de l’énergie (136 M$).

Recherche du long terme dans le fixe

Les FNB de titres à revenu fixe ont enregistré des créations nettes de 1,4 G$ en juin, en dessous des 3,4 G$ du mois précédent. Ce sont les FNB de marché monétaire et les FNB d’obligations qui ont généré l’essentiel des entrées. À l’inverse, les obligations à moyen terme enregistrent les principales sorties nettes du mois.

La rotation des FNB du marché monétaire vers des produits obligataires à plus long terme, déjà observée en mai, s’est poursuivie en juin. Cette tendance se confirme depuis le début de l’année, selon l’institution financière, en raison de l’incertitude liée à la politique tarifaire du gouvernement américain et au climat géopolitique mondial.

Du côté des actifs non traditionnels, les FNB de cryptoactifs ont enregistré des créations nettes (99 M$ par rapport à 6 M$ en mai), dominées par le XRP de 3iQ. Depuis janvier, les créations nettes dans cette catégorie atteignent 338 M$. Les FNB adossés à l’or, pour leur part, ont continué à enregistrer des créations nettes, en particulier dans CGL, CGL/C et ZGLD.

Des fournisseurs qui se démarquent

En juin, les principaux émetteurs de FNB ont profité de cette dynamique. RBC iShares se hisse en tête avec des créations nettes d’1,5 G$, suivi de Vanguard (1,0 G$), Fidelity (1,0 G$), et Scotia (756 M$). Parmi les 20 premiers fournisseurs de FNB, BMO et CI affichent des rachats nets.

Le FNB XIC d’iShares s’est distingué comme le produit le plus populaire du mois, attirant 542 M$ de créations nettes, tandis que le ZEB de BMO enregistre pour un quatrième mois consécutif les plus importants rachats nets (390 M$).

Juin a aussi été marqué par le lancement de 36 FNB, avec notamment une nouvelle génération de produits à effet levier et inversé. LongPoint et Global X ont lancé à eux seuls 23 produits. 3iQ, Purpose et Evolve ont mis 3 XRP sur le marché, tandis que BMO a lancé le premier nouveau FNB ESG depuis deux ans, ZHC, un FNB basé sur le « facteur humain ».

Pour les six premiers mois de l’année, 192 FNB canadiens ont été mis sur le marché, comparativement à 224 pour la même période de 2024. De ces nouveaux produits, plus de la moitié sont gérés activement. La part de cette catégorie continue à croître et représente actuellement 34 % de l’ensemble de l’ASG détenu dans les FNB canadiens.

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Transformation numérique : Raymond James cible les conseillers et les parts de marché https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/transformation-numerique-raymond-james-cible-les-conseillers-et-les-parts-de-marche/ Thu, 03 Jul 2025 11:02:48 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108234 La division canadienne de l’entreprise américaine s’associe à FNZ pour une plateforme de patrimoine de bout en bout, basée sur l’IA.

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L’automne dernier, Raymond James s’est fixé comme objectif d’atteindre 125 milliards de dollars (G$) d’actifs sous gestion (ASG) d’ici cinq ans, contre 88 G$ actuellement. Pour soutenir cette ambition, l’entreprise a lancé un plan de transformation numérique. La division canadienne de cette banque d’investissement et de courtage indépendante, basée aux États-Unis, a notamment investi dans la plateforme intégrée de gestion de patrimoine du FNZ Group.

« Il ne s’agit pas seulement d’une mise à niveau technologique, assure Jamie Coulter, PDG de Raymond James Ltd, dans un communiqué de presse récent. Il s’agit d’un bond en avant dans le soutien que nous apportons à nos conseillers pour leur permettre d’offrir un service exceptionnel à leurs clients. »

Ce saut coûtera « des dizaines de millions de dollars », rapporte-t-il en entrevue, mais il permettra de remédier à la fragmentation du bureau à laquelle de nombreux conseillers du secteur ne sont que trop habitués. L’investissement fait partie de l’enveloppe d’un milliard de dollars américains que la société mère Raymond James Financial consacrera à l’infrastructure technologique et de sécurité dans l’ensemble de l’entreprise au cours de l’exercice 2025.

FNZ, qui a des bureaux dans le monde entier, y compris à Toronto, travaille en partenariat avec plus de 650 institutions financières et administre plus de 2,4 billions de dollars d’actifs, selon le communiqué de presse.

Au fur et à mesure que Raymond James mettra en œuvre la plateforme intégrée de gestion de patrimoine de FNZ sur une période d’environ trois ans, l’entreprise retirera quelques douzaines de systèmes existants, explique Jamie Coulter. Cela signifie qu’il ne sera plus nécessaire de passer d’une application à l’autre pour faire quelque chose d’aussi simple que d’ajouter un CELI au ménage d’un client.

La plateforme gérera « tout ce qui concerne le règlement des transactions, la compensation et la conservation, tout au long du cycle de vie d’une transaction pour un client sur un compte, par exemple », résume Jamie Coulter. En outre, l’IA générative intégrée contribuera à des fonctions telles que les rapports sur les clients et permettra aux conseillers de rechercher des données spécifiques au sein de leurs pratiques.

« J’ai vraiment hâte de voir ce déploiement », confie-t-il.

L’investissement de Raymond James dans FNZ fait suite à plus de trois années d’analyse au cours desquelles l’entreprise a comparé les plateformes et consulté le personnel, y compris les conseillers et le personnel des opérations et de la conformité.

Les conseillers ont exprimé le besoin que la société leur « redonne du temps », explique Jamie Coulter. « Il est essentiel de libérer du temps pour qu’ils puissent se consacrer à leurs clients actuels, développer de nouvelles relations et investir dans leur pratique — que ce soit au niveau des systèmes, des processus ou des ressources humaines. »

Raymond James n’est pas la seule société à dépenser beaucoup d’argent pour des mises à niveau technologiques afin d’améliorer les flux de travail des conseillers et les systèmes existants, et d’attirer des conseillers de haut niveau. BMO Gestion privée passe également à FNZ à partir de 2026.

Raymond James utilise le système Dataphile de Broadridge Financial Solutions pour son back office. Alors que la transition vers la plateforme de FNZ progresse, « de nombreux ateliers seront organisés pour les conseillers, en collaboration avec les équipes de FNZ, afin que chacun soit bien informé », indique Jamie Coulter.

Certaines frictions sont apparues lorsque Patrimoine Manuvie et Patrimoine Richardson ont modernisé leurs services administratifs au cours des dernières années, passant de Dataphile à Fidelity Clearing Canada. Patrimoine Richardson a attribué ses problèmes à des questions de transfert de données et de formation des utilisateurs.

S’appuyant sur une expérience récente

Jamie Coulter constate que le passage de Raymond James à l’ouverture automatisée des comptes clients avec signatures numériques, qui a coïncidé avec la pandémie, a aidé l’entreprise à se préparer à gérer la mise en œuvre de FNZ. Même si la mise en œuvre du FNZ sera plus importante en termes de portée et d’échelle, « je pense que nous pouvons nous appuyer sur cette expérience récente », assure-t-il.

Raymond James compte environ 520 conseillers indépendants, ainsi que des conseillers salariés et une activité de conseil en investissement. « Je suis indifférent à l’option choisie par un conseiller, du moment qu’il nous choisit », dit Jamie Coulter. L’entreprise a la capacité de gérer simultanément quatre transitions d’équipes de conseillers, et « ces équipes sont occupées jusqu’en janvier de l’année prochaine », commente-t-il.

Il y a quelques années, la société a acquis la Solus Trust Company basée à Vancouver, et la plupart des conseillers de la société « s’appuient sur la planification financière et d’autres types de services de gestion de patrimoine », dit Jamie Coulter. « La gestion des investissements est un élément important, mais c’est le fait de commencer par un plan financier ou une planification successorale qui a le plus d’impact sur les clients. »

Bien que 85 % des revenus de l’entreprise soient basés sur les honoraires, les conseillers ayant des pratiques transactionnelles et souhaitant passer à autre chose sont également des candidats potentiels pour rejoindre l’entreprise. « Il se peut qu’un conseiller d’une autre plateforme ait une pratique plus traditionnelle, mais qu’il cherche un catalyseur pour passer à une pratique plus planifiée et basée sur les honoraires, observe Jamie Coulter. Le passage d’une plateforme à l’autre est un excellent moyen d’engager la conversation avec vos clients. »

Jamie Coulter souligne la capacité de mise à l’échelle avec la mise en œuvre de FNZ, positionnant Raymond James pour atteindre son objectif de cinq ans de 125 G$ d’ASG — une augmentation de 42 %, en ligne avec les antécédents de l’entreprise — sans ajouter de personnel opérationnel. « Nous nous attendons à ce que nous fassions plus avec moins à mesure que nous continuons à développer nos activités », explique-t-il. Par conséquent, « nous ne prévoyons pas de changements importants dans la grille de rémunération au cours de la période de mise en œuvre ou par la suite ».

La dernière acquisition de Raymond James dans le domaine de la gestion de patrimoine a été celle de MacDougall, MacDougall et MacTier basée à Montréal en septembre 2016.

Parallèlement à la croissance des conseillers, « une acquisition serait la cerise sur le gâteau », estime Jamie Coulter.

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Hausse de l’anxiété financière chez les Canadiens https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/hausse-de-lanxiete-financiere-chez-les-canadiens/ Fri, 27 Jun 2025 11:10:25 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=107960 Surtout chez les baby-boomers.

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La nervosité économique gagne du terrain au Canada. Selon les données du plus récent Indice de BMO sur l’amélioration des finances, entre mars et avril, la proportion de Canadiens préoccupés par le coût de la vie est passée de 61 % à 78 %, soit une hausse de 17 points de pourcentage. Les inquiétudes liées à l’inflation ont également augmenté de 16 points de pourcentage, atteignant 76 % des répondants, tandis que les craintes de récession ont grimpé à 74 %, comparativement à 60 % un mois plus tôt.

« La confiance des consommateurs canadiens a récemment chuté à son plus bas niveau depuis au moins six décennies », souligne Sal Guatieri, économiste principal chez BMO, évoquant l’impact de la guerre commerciale et de la volatilité des marchés.

Différences générationnelles
L’étude, réalisée par Ipsos pour BMO auprès de 2 500 adultes, révèle aussi des différences générationnelles marquées. Les baby-boomers (nés entre 1946 et 1964) sont les plus préoccupés par les grands enjeux économiques : 84 % s’inquiètent du coût de la vie, 83 % des tarifs douaniers américains, 82 % d’une récession et 80 % de l’inflation.

En revanche, la génération Z (18-24 ans) s’inquiète surtout de perdre son emploi — une préoccupation exprimée par 37 % des jeunes répondants.

Appel à la discipline financière
Face à ces préoccupations, les experts de BMO insistent sur l’importance d’une planification financière rigoureuse et proactive. Anthony Tintinalli, chef des ventes spécialisées à BMO, recommande de revoir ses objectifs financiers régulièrement et d’adapter son plan en conséquence.

Brent Joyce, stratège en chef chez BMO Gestion privée de placements, rappelle quant à lui que « les périodes d’incertitude peuvent être l’occasion de réévaluer sa tolérance au risque », tout en insistant sur la nécessité de maintenir une perspective à long terme.

BMO propose à cet effet une série de bonnes pratiques : commencer à planifier tôt, faire preuve de discipline budgétaire, constituer un fonds d’urgence, diversifier ses actifs, tester la résilience de son portefeuille et, surtout, consulter un conseiller en services financiers.

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BMO fait l’acquisition de Gestion d’actifs Burgundy https://www.finance-investissement.com/nouvelles/bmo-fait-lacquisition-de-gestion-dactifs-burgundy/ Fri, 20 Jun 2025 17:53:46 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108151 Contribuant ainsi à l’expansion de BMO Gestion de patrimoine.

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Gestion d’actifs Burgundy et BMO ont signé une entente définitive en vue de l’acquisition du gestionnaire de patrimoine indépendant par BMO.

Gestion d’actifs Burgundy sert aussi bien des clients privés, des fondations, des fonds de dotation, des régimes de retraite et des bureaux de gestion de patrimoine familial. Ses actifs sous gestion s’élevaient à près de 27milliards de dollars en date du 31mai 2025.

En plus de contribuer à l’expansion de BMO Gestion de patrimoine, cette acquisition consolidera l’offre de l’institution dans le domaine du conseil en investissement au Canada, en s’adressant à des clients à valeur nette élevée et à valeur nette très élevée.

La transaction devrait être finalisée d’ici la fin de l’année, sous réserve des approbations nécessaires. Celle-ci s’élève à 625millions de dollars (M$), payable en actions ordinaires de BMO, y compris une retenue de 125M$ à verser sous réserve que Burgundy maintienne certains actifs sous gestion 18mois après la conclusion.

« Gestion d’actifs Burgundy est l’un des gestionnaires d’investissement indépendants les plus respectés au Canada, connu pour son équipe de haut niveau, son processus d’investissement rigoureux et son service dévoué à la clientèle privée, aux institutions et aux bureaux de gestion de patrimoine familial, commente Deland Kamanga, chef, Gestion de patrimoine, BMOGroupe financier. L’acquisition s’appuiera sur l’héritage de BMO en tant que gestionnaire de patrimoine axé sur le client, tout en élargissant notre offre de conseils en matière de patrimoine et d’investissements privés. »

Après cette transaction, Burgundy continuera d’exercer ses activités dans le cadre de BMOGestion de patrimoine et le chef de la direction de Burgundy, Robert Sankey, continuera de diriger l’entreprise. Tony Arrell et Richard Rooney, les cofondateurs de Burgundy, resteront également dans l’entreprise.

« Nous avons toujours eu l’intention de bâtir Burgundy pour le long terme, de manière à pouvoir servir nos clients et leur famille d’une génération à l’autre, a indiqué Tony Arrell, président et cofondateur de Gestion d’actifs Burgundy. Nous sommes heureux de nous joindre à BMO, un leader nord-américain, et nous croyons qu’il s’agit d’une excellente occasion de continuer à bien servir nos clients à l’avenir. »

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BMO lance un nouveau FNB https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/bmo-lance-un-nouveau-fnb/ Fri, 20 Jun 2025 10:55:16 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108050 PRODUITS – Celui-ci est axé sur le capital humain.

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BMO Gestion d’actifs lance le FNB BMO d’actions américaines axées sur la capital humain (ZHC) à la bourse Cboe Canada.

Ce produit cherche à générer une plus-value à long terme en investissant essentiellement dans des actions d’émetteurs américains présentant une solide culture d’entreprise. Ce fonds négocié en Bourse (FNB) investira avant tout dans des entreprises qui ont un bon résultat en matière de gestion du capital humain.

À titre de conseiller en gestion de portefeuille, BMO Gestion d’actifs choisira les actions du portefeuille de FNB BMO à l’aide des données et des méthodologies développées par Irrational Capital. Ces dernières intègrent divers facteurs non financiers, comme :

  • la qualité des relations entre les employés et la direction,
  • le degré d’harmonisation au sein de l’organisation,
  • la mobilisation des équipes,
  • la capacité d’innovation,
  • l’optimisation de l’organisation
  • le lien émotionnel
  • et la motivation extrinsèque.

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