L'économie du Canada a connu une croissance annuelle de seulement 0,4 % au cours des trois premiers mois de l'année, ce qui a donné à notre pays les plus faibles trimestres de croissance consécutifs depuis 2015.
L'économie canadienne est prise dans le feu croisé de la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine, et une éventuelle escalade des conflits commerciaux mondiaux reste une préoccupation majeure pour les décideurs de la Banque du Canada, a affirmé jeudi la première sous-gouverneure de la banque centrale.
La Banque du Canada a fait part jeudi de ses préoccupations croissantes face aux défis posés par le changement climatique, un sujet qu'elle considère être, pour la première fois, un des principaux points faibles pour l'économie et le système financier.
Le gouverneur de la Banque du Canada, Stephen Poloz, estime qu'il est temps de trouver de nouvelles idées en ce qui a trait aux options hypothécaires au Canada.
ZONE EXPERTS - Il y a environ un an, notre perspective sur l’économie mondiale nous a amené à prédire la continuité d’une croissance robuste de l’économie américaine. Plusieurs économistes doutaient de cette perspective et le mot « récession » était même régulièrement évoqué. Par contre, nous avions évoqué certaines craintes à l’égard de l’économie canadienne.
Les titres à revenu fixe mondiaux pourraient surprendre, étant donné que les banques centrales sont moins agressives.
Considérant que les fonds obligataires grossissent et sont de plus en plus exposés aux obligations de sociétés, ils ont une incidence bien plus grande qu’auparavant sur la liquidité du marché des titres à revenu fixe, révèle un rapport publié par la Banque du Canada en avril 2019.
La Banque du Canada a mis de côté la discussion sur les hausses de taux d'intérêt mercredi en révisant à la baisse sa prévision de croissance pour 2019 et estimant que l'économie s'était presque immobilisée au début de l'année.
La Banque du Canada annonce mercredi le maintien de son taux d'intérêt directeur à 1,75 %.
Le gouverneur de la Banque du Canada, Stephen Poloz, a prononcé lundi un discours qui ne faisait aucune mention de futures hausses des taux d'intérêt, alors que le pays est confronté à certains défis économiques nationaux et mondiaux.