Produits et assurance | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/ Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Thu, 13 Nov 2025 13:12:27 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Produits et assurance | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/ 32 32 Purpose assume la gestion exclusive du Fonds d’épargne Steadyhand https://www.finance-investissement.com/nouvelles/purpose-assume-la-gestion-exclusive-du-fonds-depargne-steadyhand/ Thu, 13 Nov 2025 13:12:27 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110636 PRODUITS — Les frais du fonds diminueront en 2026.

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Investissements Purpose est devenu le seul gestionnaire et conseiller en placement du Fonds d’épargne Steadyhand à Purpose. Connor, Clark & Lunn Gestion de placements qui agissait auparavant à titre de sous-conseiller n’occupe plus cette fonction depuis le 31 octobre dernier.

Ce changement découle de l’intégration de Purpose avec Steadyhand Investment Management. Cela témoigne de l’harmonisation progressive des fonds Steadyhand au sein de la plateforme élargie de Purpose.

Désormais, le fonds investira principalement dans le Fonds de gestion de trésorerie Purpose un fonds du marché monétaire géré par Purpose. Les objectifs de placement et le profil de risque demeurent toutefois inchangés.

Dans le cadre de ces changements, les frais de ce produit passeront de 0,45 % à 0,40 % par année dès le début de l’année 2026.

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TD modifie la cote de risque d’un FNB https://www.finance-investissement.com/nouvelles/td-modifie-la-cote-de-risque-dun-fnb/ Wed, 12 Nov 2025 13:08:03 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110611 PRODUITS – Celle-ci diminue.

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Gestion de Placements TD a réduit la cote de risque du FNB d’obligations du Trésor américain à long terme TD. Celle-ci est passée de « moyenne à élevée » à « moyenne » le 29 octobre 2025.

Malgré cette modification, les objectifs et stratégies de placement du fonds négocié en Bourse (FNB) demeurent les mêmes.

Ce changement est basé sur la méthode normalisée de classification du risque prescrite par les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) et sur l’examen annuel connexe que mène GPTD pour établir la cote de risque des fonds d’investissement offerts au public.

Pour en savoir plus sur ce produit, cliquez ici.

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Les FNB à faible volatilité jouent leur rôle malgré leurs rendements moindres https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/les-fnb-a-faible-volatilite-jouent-leur-role-malgre-leurs-rendements-moindres/ Wed, 12 Nov 2025 11:07:43 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=111006 FOCUS FNB — Ces stratégies favorisent une meilleure discipline des clients.

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Par conception, les fonds négociés en Bourse (FNB) d’actions axés sur la faible volatilité sont voués à sous-performer lorsque les marchés boursiers s’emballent, comme c’est le cas depuis quelque temps. Or, les rendements inférieurs à ceux du marché qu’ils ont affiché récemment ne devraient pas être la véritable mesure de leur pertinence.

« Certaines personnes veulent être investies en Bourse, mais sans subir la volatilité de l’indice général », observe Alain Desbiens, vice-président chez BMO FNB, qui cumule plus de 20 ans d’expérience dans le secteur.

Sur plusieurs mesures clés du risque, les FNB à faible volatilité ont rempli leur mandat, selon les données de Fundata Canada.

« Fidèles à leurs objectifs, leurs écarts-types sont beaucoup plus faibles », souligne Brian Bridger, premier vice-président, analytique et données, chez Fundata, à Toronto.

Un autre indicateur fréquemment utilisé pour évaluer ces stratégies est le taux de capture, c’est-à-dire leur capacité à suivre les rendements du marché à la hausse comme à la baisse.

« Un faible ratio de capture à la baisse montre que ces fonds limitent efficacement les pertes lorsque le marché recule, explique Brian Bridger. Les faibles ratios de capture à la hausse illustrent aussi à quel point ils sous-performent en période de marché haussier. »

Brian Bridger a comparé les rendements moyens des FNB à faible volatilité aux moyennes des catégories des marchés canadien, américain, mondial, international et émergent.

Les résultats, sur les périodes d’un, trois, cinq et dix ans se terminant toutes le 30 septembre, démontrent que la réduction de la volatilité s’accompagne souvent d’une réduction des rendements.

« Presque dans tous les cas, les FNB à faible volatilité ont sous-performé dans leurs catégories respectives, en moyenne, à court et à long terme », rapporte Brian Bridger.

Certaines des disparités de performance les plus importantes ont été observées dans le marché boursier américain, en plein essor récemment. Durant la période de trois années terminées le 30 septembre, selon Fundata, la moyenne de la catégorie s’élevait à 20,4 %, contre seulement 12,2 % pour la moyenne des FNB à faible volatilité.

Bénéfices comportementaux

Les stratégies à faible volatilité peuvent être utilisée de diverses manières. Elles peuvent constituer une position centrale dans la portion actions d’un portefeuille pour un investisseur ayant une aversion au risque. Elles peuvent aussi être détenues en combinaison avec un FNB indiciel suivant un marché large ou un FNB à gestion active, précise Alain Desbiens.

« Mais aussi, de plus en plus au fil des ans, les FNB à faible volatilité ont été utilisés comme instrument tactique pendant les périodes d’incertitude accrue sur les marchés. »

Dans le contexte d’incertitude élevée de cette année, les investisseurs continuent de chercher des stabilisateurs dans leurs portefeuilles équilibrés, observe Hail Yang, directrice, secteur canadien des FNB iShares, chez BlackRock Canada, chef de file du marché des FNB.

« Les FNB à volatilité minimale peuvent aider à réduire le risque global sans renoncer à l’exposition aux actions, commente-t-elle. Et comme certaines sources de diversification traditionnelles, telles que les obligations à long terme, se sont révélées moins fiables dans ce rôle ces dernières années, les stratégies à volatilité minimale peuvent jouer un rôle important dans la construction de portefeuille. »

Les stratégies à faible volatilité peuvent aussi avoir un effet positif sur le comportement des investisseurs, en réduisant la tendance à se retirer du marché lors des creux.

« Leur efficacité dépend vraiment du degré de protection que ces FNB offrent, souligne Maddy Griffith, directrice et gestionnaire de portefeuille institutionnelle chez Placements CI. Quand on perd moins, on rebondit plus vite, et ce parcours moins volatile fait qu’il est beaucoup plus facile pour les investisseurs de rester investis. »

Approches variées selon les fournisseurs

Bien que les divers FNB à faible volatilité ou à volatilité minimale aient des objectifs semblables, leurs méthodologies varient considérablement. Cela affecte le degré de différence de leurs placements par rapport aux FNB indiciels de marché, et donc leurs rendements relatifs, surtout à court terme.

Le bêta, qui mesure la volatilité d’un titre par rapport au marché, constitue le principal critère de sélection des titres pour la gamme de FNB à faible volatilité de BMO. Le produit phare, le BMO Fonds FNB d’actions canadiennes à faible volatilité, lancé il y a 14 ans, est à la fois le plus ancien FNB de ce type au Canada et le plus important, avec un actif de 5,3 milliards de dollars (G$).

Fait inhabituel pour une stratégie à faible volatilité, ce FNB a surperformé son indice de référence à long terme. Au 30 septembre, il affichait un rendement annualisé de 12,6 % depuis sa création en octobre 2011, contre 9,9 % pour l’indice composé S&P/TSX. Depuis son lancement, le FNB a capturé 79 % des rendements à la hausse, avec un ratio de capture à la baisse impressionnant de seulement 32 %.

L’exposition à un seul titre dans les FNB BMO est limitée à 10 %, et des plafonds sectoriels sont aussi en place : 35 % par secteur au Canada et 25 % aux États-Unis, à l’international et dans les marchés émergents.

Malgré ces contraintes, l’exposition sectorielle des FNB BMO diffère radicalement de celle de leurs indices de référence.

Le BMO Fonds FNB d’actions américaines à faible volatilité, par exemple, détenait récemment environ 10 % en titres technologiques, soit bien moins que la pondération de 42,6 % dans l’indice S&P 500. Le secteur le plus important du FNB était celui des services publics (20,2 %), contre seulement 2,4 % dans le marché général.

Méthodologies concurrentes

Les iShares MSCI Min Vol ETFs tiennent compte des corrélations entre les actions, tout en imposant des contraintes par secteur et par pays.

En cherchant à offrir une exposition semblable au marché, mais avec un risque moindre, le processus de sélection évite toute concentration excessive dans les secteurs « refuges », résume Hail Yang.

Les stratégies iShares ont historiquement offert des ratios de capture à la baisse plus faibles et des reculs maximaux moindres que les indices de référence. Elles ont aussi réussi à atténuer l’impact des baisses soudaines à court terme.

Hail Yang a donné l’exemple du 3 avril dernier, lorsque les marchés nord-américains ont chuté à la suite d’annonces tarifaires. Ce jour-là, l’indice S&P 500 a perdu 6,6 % (en dollars canadiens), tandis que le iShares MSCI Min Vol USA Index ETF a également reculé, mais seulement de 3 %. Pendant ce temps, l’indice S&P/TSX composé plafonné a baissé de 3,8 %, tandis que le iShares MSCI Min Vol Canada Index ETF n’a perdu que 1,6 %.

Une variation sur le thème de l’investissement en actions à moindre risque est la stratégie de « volatilité minimale à la baisse » employée par Placements CI dans les catégories d’actions mondiales et américaines. Elle vise uniquement à minimiser les pertes.

« En pratique, le modèle ignore la “bonne” volatilité et se concentre sur les entreprises qui se comportent historiquement mieux dans les replis, sans trop sacrifier le potentiel haussier, décortique Maddy Griffith. Le résultat est une expérience plus fluide, avec une meilleure protection à la baisse. »

Lancée en janvier 2023, la gamme de FNB CI n’a pas encore le long historique de ses concurrents plus anciens, comme BMO, iShares et Invesco Canada. (Parmi les nouveaux venus, dont l’historique est inférieur à dix ans, figurent les familles de FNB Brompton, CIBC, Fidelity, Franklin, Mackenzie, Manuvie, TD et Vanguard.)

Maddy Griffith souligne plutôt l’historique des indices sous-jacents des FNB, dont le Solactive US Minimum Downside Volatility Index. Depuis 2006, cet indice a capturé environ 70 % de la hausse du marché, mais seulement 54 % de la baisse, rapporte-t-elle : « Cette approche est conforme au comportement réel des investisseurs. La plupart des gens sont beaucoup plus sensibles aux pertes qu’aux gains de même ampleur. »

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Octobre : attrait pour les FNB d’actions, rotations dans les FNB d’obligations https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/octobre-attrait-pour-les-fnb-dactions-rotations-dans-les-fnb-dobligations/ Wed, 12 Nov 2025 10:56:47 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110965 FOCUS FNB – Les créations nettes mensuelles ont atteint 9,4 milliards de dollars en octobre.

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Le marché canadien des fonds négociés en Bourse (FNB) a connu un mois d’octobre actif, marqué par un léger ralentissement des créations nettes et par 40 nouveaux lancements. Selon des données de Banque Nationale Marchés financiers (BNMF), les créations nettes se sont élevées à 9,4 milliards de dollars (G$), en léger recul par rapport à septembre (12 G$), portant l’actif sous gestion dans les FNB canadiens à 682 G$.

Les FNB d’actions ont attiré 5,3 G$, répartis de manière équilibrée entre le Canada, les États-Unis et les marchés internationaux. Les produits axés sur le marché canadien (notamment QCN, TQCD et TTP) et ceux liés aux actions américaines (XSP, VFV, QQCE, QUU) ont chacun enregistré environ 1,7 G$ d’entrées nettes. Les FNB d’actions mondiales ont mené le bal à l’international, recueillant 1,3 G$, suivis des marchés développés (554 millions de dollars) et émergents (97 M$).

Du côté sectoriel, les FNB d’actions d’entreprise du secteur financier ont connu un troisième mois consécutif de rachats nets (310 M$). Selon BNMF, ces rachats sont principalement attribuables au FNB CI Global Financial Sector, qui a subi une sortie nette de 458 M$. L’immobilier et les soins de santé sont dans le rouge, tandis que l’énergie affiche un septième mois consécutif de sorties nettes. Le secteur des télécommunications enregistre des entrées nettes, notamment grâce au FNB RING (Global X Telecom), ainsi que les matières premières et les services publics. Les FNB multifactoriels ont le vent en poupe, avec 235 M$ d’entrées nettes.

Rotation dans les obligations

Les FNB de titres à revenu fixe ont attiré 2 G$ en créations nettes, un recul par rapport aux entrées nettes de septembre, qui avaient atteint 4,1 G$. BNMF signale que les investisseurs ont opéré une rotation importante, délaissant les obligations gouvernementales à long terme, qui enregistrent les plus importantes sortes nettes (1,9 G$), pour se repositionner sur des obligations de sociétés de qualité investissement telles que ZCB, sur des indices agrégés américains et sur les obligations à haut rendement (ZHY).

Les produits à très court terme et les FNB du marché monétaire affichent des sorties nettes, une conséquence du recul des taux de distribution, en ligne avec la baisse du taux directeur de la Banque du Canada, rapporte BNMF.

Les cryptos rebroussent chemin

Après des afflux records en septembre (329 M$), les FNB de cryptoactifs enregistrent des rachats nets de 247 M$ en octobre, principalement concentrés dans le Purpose Solana ETF (SOLL/U). Ce mouvement s’explique par la cotation, aux États-Unis, des premiers FNB au comptant liés à Solana, survenue à la fin du mois, selon BNMF.

Les FNB de matières premières ont connu une légère accalmie, avec 288 M$ d’entrées nettes comparativement à 412 M$ en septembre, soutenus par l’or, l’argent et les produits diversifiés. Les FNB à effet de levier et inverses ont attiré 580 M$, la plus forte croissance relative parmi toutes les catégories d’actifs.

Vague de lancements et nouvel acteur

RBC iShares domine les créations nettes d’octobre avec 2,4 G$ devant Vanguard (1,5 G$), Mackenzie et Fidelity (1,3 G$ chacune), BMO (833 M$) et TDAM (466 M$). CI GAM enregistre des rachats nets (557 M$) ainsi que Purpose et Invesco. Sur le plan des produits, BMO décroche la plus forte entrée nette pour un FNB en octobre (ZCB : 931 M$).

Le marché canadien compte désormais 46 émetteurs, avec l’arrivée de Capstone, qui a lancé les premiers FNB « Biblically Informed » du pays. Au total, une quarantaine de nouveaux produits ont été lancés en octobre. LongPoint a été le plus actif avec 9 nouveaux produits à double levier sur des actions canadiennes, tandis que Harvest a élargi sa gamme de FNB américains à revenu élevé. CI a étendu sa série d’obligations à échéance cible, JP Morgan a lancé de nouvelles stratégies actives et Global X a multiplié les FNB indiciels à revenu fixe. Global X propose un FNB sur l’argent avec options couvertes et un autre sur la technologie chinoise (Hang Seng Tech).

Le segment des FNB ESG a connu un mois d’octobre calme, avec des entrées nettes de 25 M$. Le produit le plus populaire a été Invesco ESG Nasdaq 100 Index ETF (QQCE), avec 208 M$ d’entrées nettes.

Depuis le début de l’année, les FNB canadiens ont récolté 95 G$ en créations nettes. Les FNB d’actions dominent, avec 49 G$, dont 8 G$ dans les FNB de répartition d’actifs ayant une pondération 100 % actions. Les FNB obligataires ont cumulé 29 G$ d’entrées nettes, tandis que les FNB multi-actifs en totalisent 9,9 G$. Les FNB de matières premières enregistrent des résultats records avec 1,4 G$ de créations nettes depuis le début de l’année. Les FNB de cryptoactifs ont ajouté 749 M$, portés par les FNB Bitcoin à faibles coûts (IBIT et FBTC).

Pour les 10 premiers mois de 2025, RBC iShares affiche 20,1 G$ en créations nettes, suivie de Vanguard (13,7 G$), BMO (12,7 G$), Fidelity (9,7 G$), TD (5,5 G$), Mackenzie (5,2 G$), Scotia (4,5 G$) et Desjardins (4,5 G$).

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FNB : risques d’exiger au moins deux PA par fonds https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/fnb-risques-dexiger-au-moins-deux-pa-par-fonds/ Wed, 12 Nov 2025 10:45:30 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110972 FOCUS FNB - Les régulateurs doivent avoir une approche équilibrée, selon l’industrie.

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Il n’est pas évident qu’on devrait forcer les émetteurs de fonds négociés en Bourse (FNB) de signer une entente avec au moins deux participants autorisés (PA) considérant leur rôle crucial dans le fonctionnement et la liquidité d’un FNB, d’après des membres de l’industrie financière.

Ceux-ci répondaient ainsi à la consultation 81-409 portant sur le rehaussement de la réglementation en matière de fonds négociés en Bourse des Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM).

Communément nommés courtiers désignés, les PA sont les seuls participants au marché qui sont autorisés par le gestionnaire d’un FNB à créer et à racheter des parts d’un tel fonds, ce qui leur permet d’ajuster l’offre de parts du FNB à la demande du marché. En plus de ce rôle qu’ils remplissent sur le marché primaire, les PA sont aussi d’importants fournisseurs de liquidité pour les FNB du marché secondaire en général (achats et vente de parts de FNB).

Dans le secteur des FNB, la coexistence des marchés primaire et secondaire donne lieu à des occasions d’arbitrage qui facilitent le rapprochement du cours des parts des FNB et de la valeur sous-jacente du portefeuille du FNB.

« Notre analyse d’impact montre des preuves statistiques qu’un plus grand nombre de PA était associé à un plus faible écart de prix par rapport à la valeur liquidative, ce qui suggère qu’un plus grand nombre de PA peut contribuer à améliorer le mécanisme d’arbitrage d’un FNB », lit-on dans une étude de la Commission des valeurs mobilières de l’Ontario à la base de cette consultation.

Le fait d’avoir un seul PA autorisé pour un FNB crée donc un risque advenant une défaillance du PA, ce qui ferait accroître de manière significative l’écart cours acheteur/cours vendeur durant la période de défaillance. Il s’agit également d’un risque commercial pour un émetteur d’un FNB, d’où la suggestion des ACVM d’imposer un nombre minimal de deux PA par FNB.

Une minorité de mémoires déposés auprès des régulateurs du Québec et de l’Ontario sont en faveur de cette proposition, dont certains groupes de défense des intérêts des investisseurs et Mackenzie Investments. « Obliger d’avoir au moins deux PA est raisonnable, écrit cet émetteur de fonds. Une surveillance accrue peut certainement aider à ce qu’un seul PA maintienne un arbitrage efficient, mais une manière plus robuste d’assurer cet arbitrage est de favoriser » la présence de multiples PA qui se livrent concurrence.

« Les courtiers en placement que nous représentons ont observé des cas où des émetteurs de FNB ont refusé des demandes légitimes de courtiers non affiliés souhaitant agir à titre de participants autorisés (PA), et ont plutôt choisi de conclure des ententes de participation avec des courtiers liés ou affiliés », signale Annie Sinigagliese, du Conseil Indépendant Finance et Innovation du Canada (CIFIC).

Étant donné que cette pratique soulève un conflit d’intérêts important et nuit à une saine concurrence sur le marché, le CIFIC souhaite que les ACVM exigent la présence de plusieurs participants autorisés indépendants.

FAIR Canada appuie la proposition des ACVM pour des raisons d’équité et de protection des clients, mais convient qu’une telle exigence présente des défis pour les FNB nichés, plus petits ou lancés récemment. « Dans les cas où le fait d’avoir un seul PA soit dû à des contraintes légitimes, nous recommandons que les ACVM interdisent des ententes exclusives avec des PA afin de s’assurer que l’ajout de nouveau PA soit faisable. »

FAIR Canada, tout comme Investor Advisory Panel, jugent que les émetteurs de fonds devraient divulguer les FNB pour lesquels un seul PA agit pour son compte.

Prudence svp

La majorité des mémoires présentée conviennent que la présence d’un seul PA pour un FNB représente un risque, mais qu’imposer deux PA par FNB constitue une barrière à l’entrée indue qui risque de saper l’innovation et nuire aux petits acteurs.

Ainsi, nombre de membres de l’industrie financière soulignent que la présence de plusieurs participants autorisés (PA) est bénéfique, assure la continuité des activités et favorise la concurrence, ce qui améliore l’efficience du marché et les résultats pour les investisseurs.

Or, « la simple présence de plusieurs PA “sur papier” ne garantit pas nécessairement une participation ou une cotation active », fait valoir l’Association canadienne des FNB (ACFNB).

« Les PA doivent aussi être incités économiquement à coter quotidiennement ; sans cet engagement, la présence de plusieurs PA peut n’avoir que peu d’impact réel sur les résultats pour les investisseurs », poursuit l’association.

L’enjeu est que les nouveaux émetteurs ou les émetteurs de plus petite taille peuvent avoir du mal à attirer plus d’un PA, compte tenu du nombre de produits déjà en marché et des importantes exigences en capital et en systèmes nécessaires pour agir à ce titre. C’est sans compter que les FNB nichés ou à faible volume de transactions peuvent ne pas offrir des occasions de négociation ou d’arbitrage suffisantes pour motiver plusieurs PA à participer.

« Les pratiques internationales offrent aussi des pistes de solution. En Europe, les émetteurs de FNB versent souvent des honoraires aux teneurs de marchés afin d’assurer un niveau minimal de liquidité sur leurs FNB. Au Canada, un tel cadre n’existe pas, ce qui peut rendre plus difficile pour les émetteurs plus petits ou plus récents d’obtenir plusieurs PA. Les régulateurs pourraient envisager d’examiner si des lignes directrices similaires relatives au soutien à la tenue de marché amélioreraient la cohérence et les résultats pour les investisseurs », écrit l’ACFNB.

Cette association soutient que le fait de n’avoir qu’un seul PA ne crée pas nécessairement un risque systémique nécessitant une intervention réglementaire, alors que cela peut accroître les risques opérationnels et les coûts pour les investisseurs.

« Imposer l’obligation d’avoir plus d’un PA représenterait un fardeau disproportionné pour les petites sociétés et pourrait décourager ou empêcher les petits gestionnaires de fonds de lancer de nouveaux FNB, ce qui réduirait la concurrence sur le marché », plaide l’AGPC.

Vanguard reprend par ailleurs l’argument présenté par Valeurs mobilières TD voulant que l’important ne soit pas le nombre de PA pour un FNB, mais la qualité des activités de maintien de marchés.

Certains deviennent des PA dans le cadre de leur fonction de tenue de marché, tandis que d’autres le deviennent principalement pour pouvoir faciliter l’exécution de transaction sur le FNB en question. Ces derniers ne doivent pas nécessairement être impliqués dans l’arbitrage de FNB ou dans la cotation active et constante de prix pour un FNB. Certains PA peuvent ne participer qu’à l’activité du marché primaire et ne pas fournir de liquidité quotidienne en tant que mainteneur de marché.

Bref, davantage de PA ne veut pas dire davantage de mainteneurs de marchés. Or, ce sont ces derniers qui favorisent la liquidité, pas seulement les PA.

Vanguard reconnaît « que l’accent devrait être mis sur la qualité, l’activité et l’engagement des PA plutôt que sur leur simple nombre. Une vérification diligente rigoureuse, une surveillance continue et des incitatifs bien alignés constituent des moyens plus efficaces de préserver l’intégrité du marché que l’imposition d’un nombre minimal de PA. »

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Un FNB devient rentable après cinq ans https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/un-fnb-devient-rentable-apres-cinq-ans/ Wed, 12 Nov 2025 10:39:03 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110968 FOCUS FNB — Le quart des FNB atteint 50 M$ en actif un an après son lancement.

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En moyenne, un fond négocié en Bourse (FNB) a besoin d’environ cinq années pour atteindre un actif sous gestion de 50 millions de dollars (M$), soit un seuil approximatif qui lui permettra de générer des revenus suffisants pour excéder ses coûts opérationnels, selon Valeurs mobilières TD (VMTD), qui s’est intéressé au cycle de vie et la probabilité de survie des FNB lancés au Canada.

Chaque jour de négociation boursière voit le lancement de 1,4 nouveau FNB au Canada ; aux États-Unis, la cadence est de 3,8, rapporte une étude de VMTD. Un tel rythme, apparemment effréné, « déclenche inévitablement des discussions dans l’industrie à savoir si le secteur est surpeuplé », avance VMTD.

Une question connexe concerne le taux de mortalité : s’il y a trop de FNB, à quel rythme expirent-ils ? Quant à ceux qui survivent, comment le font-ils ?

Après tout, il n’y a aucune raison de maintenir en vie des produits « zombies », juge VMTD. Le lancement et la gestion d’un FNB « ont un coût pour l’émetteur et les mainteneurs de marché ; il faut donc avoir de bonnes raisons de maintenir en vie un produit impopulaire. »

VMTD a procédé à une revue de tous les FNB actifs depuis 2016 (mais ne tient pas compte du biais de survie, susceptible d’influer sur les résultats). Selon VMTD, une règle du pouce conservatrice au Canada établit à 50 M$ en actifs sous gestion (ASG) le seuil de rentabilité d’un FNB. Ce seuil varie selon plusieurs facteurs : économies d’échelle, coût d’implantation et de suivi de la stratégie, gestion indicielle ou active, etc. et varie en fonction de l’émetteur du FNB.

Selon VMTD, seulement 23 % des FNB atteignent un actif supérieur à 50 M$ au bout d’un an. Après cinq ans, 51 % y parviennent. Le rythme de croissance varie selon qu’il s’agit d’une gestion indicielle ou active : les FNB indiciels tardent un peu à rejoindre le seuil de 50 M$ comparé aux FNB à gestion active, mais ils se rattrapent à partir de la 3e année. Toutefois, les deux stratégies rejoignent les 50 M$ d’actifs au bout de cinq ans, dans une proportion de 51 % pour les FNB indiciels, de 50 % pour les FNB à gestion active.

Il y a une différence immense entre l’actif médian et l’actif moyen. Après cinq ans, l’actif sous gestion médian des FNB ayant soufflé leurs cinq bougies est de 52 M$, alors que l’actif sous gestion moyen s’établit à 226 M$. Cet écart s’explique par la forte popularité de certains FNB dont celui ayant le symbole boursier CSAV, ayant atteint 7,2 milliards de dollars (G$) d’actifs après cinq ans.

« La proportion (de FNB) ayant plus de 50 M$ d’actifs sous gestion demeure stable après cinq ans, ce qui indique que le succès se produit généralement au cours de cette période », indique VMTD.

Aux États-Unis, le rythme d’atteinte de la rentabilité est accéléré : 50 % des stratégies indicielles et 58 % des stratégies actives atteignent le seuil de 50 M$ après seulement deux ans. Après cinq ans, 78 % s’y rendent. Chez l’oncle Sam, l’écart entre l’ASG médian et l’ASG moyen est plus marqué. Après une durée de vie cinq ans, le premier est de 168 M$, le second, de 750 M$. Ici, la moyenne est fortement tirée par un champion, le FNB affichant le symbole SGOV, qui récoltait 46,7 G$ après cinq ans.

Attention, l’ASG n’est pas le seul facteur à tenir en compte dans la décision de laisser vivre ou mourir un FNB. Un facteur majeur, par exemple, tient à son appartenance à un groupe plus large de fonds. Plusieurs FNB ont maintenu un actif inférieur à 50 M$ au-delà de cinq ans, puis ont été retirés du marché ou fusionnés à un autre FNB. « Certains FNB étaient des versions couvertes contre le risque de change de FNB déjà établis, tandis que d’autres représentaient des séries de FNB de fonds communs de placement existants », précise VMTD.

Feuille de route des perdants

Il reste qu’un faible ASG entraîne plus de risques de voir un FNB fermer à cause d’un manque d’intérêt de la part des investisseurs. Les chiffres de VMTD montrent qu’au Canada, les fermetures se concentrent dans les années 2 à 4 de la vie d’un FNB. Aux États-Unis, les actes de décès sont nettement plus hâtifs et se concentrent dans la deuxième année surtout, et se poursuivent dans la troisième dans une moindre mesure. Après cinq ans de survie, les décès s’amenuisent considérablement, tant au Canada qu’aux États-Unis.

Au Canada, on retarde davantage la fermeture d’un FNB « malgré des niveaux d’ASG inférieurs », note VMTD. Aux États-Unis, les actes de décès sont émis plus rapidement.

Depuis 2016, constate VMTD, le taux de fermeture des FNB américains est supérieur à celui

des FNB canadiens (20 % contre 16 %). Pour tous les FNB radiés au Canada, la durée de vie moyenne avant la fermeture est de 3,1 ans et la durée de vie médiane est de 2,9 ans. Pour tous les FNB radiés aux États-Unis, la durée de vie moyenne avant la fermeture est de 2,6 ans et la durée de vie médiane est de 2,2 ans.

Certaines catégories de FNB échappent à ces grandes moyennes. Les FNB de titres de revenu fixe ont la vie un peu plus longue : une durée de vie de 3,5 ans avant fermeture au Canada, 3,1 ans aux États-Unis. Les FNB alternatifs affichent une très bonne longévité : sur 126 FNB alternatifs recensés, seulement 8 sont décédés, un taux de 7 % comparé à une moyenne de 16 % pour toutes les catégories. C’est dans les FNB d’allocation mixte et de produits de base que l’on compte le plus haut taux de mortalité.

« Fait à noter : il n’y a eu aucune fermeture de FNB du marché monétaire au Canada au cours des dix dernières années », indique VMTD.

Au Canada, les FNB à gestion active montrent un taux de fermeture légèrement inférieur à celui des FNB indiciels : 15 % contre 17 %. Cependant, aux États-Unis, où le marché des FNB à gestion active est plus jeune, ils affichent une très bonne tenue : un taux de fermeture de seulement 13 % comparé à 32 % pour les FNB indiciels. Cela explique sans doute qu’une majorité de FNB soit désormais émise en gestion active.

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BNI simplifie sa gamme de fonds et ajuste ses réductions de frais https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/bni-simplifie-sa-gamme-de-fonds-et-ajuste-ses-reductions-de-frais/ Mon, 10 Nov 2025 13:05:49 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110564 PRODUITS — Deux fonds sont fusionnés tandis que le programme destiné aux investisseurs fortunés prendra fin en décembre.

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Banque Nationale Investissements fusionne deux de ses fonds et modifie son programme de réduction des frais de gestion pour les investisseurs fortunés.

Le 24 octobre dernier, les parts du FNB de revenu d’actifs réels mondiaux BNI ont été échangées contre des parts équivalentes de la série FNB du Fonds de revenu d’actifs réels mondiaux BNI. À la suite de cette opération, le fonds cédant a été retiré de la Bourse de Toronto.

Trois jours plus tard, les parts de la série FNB du fonds receveur ont été inscrites à la cote de la Bourse de Toronto, sous le même symbole boursier NREA. Les porteurs de parts du fonds cédant ont reçu des parts équivalentes du fonds receveur, d’une valeur égale à celle de leurs placements avant la fusion.

Modification au programme de réduction

Le programme de réduction des frais de gestion pour les investisseurs bien nantis applicable au Fonds d’actions américaines SmartData BNI et au Fonds d’actions internationales SmartData BNI prendra fin le 24 décembre prochain.

À noter toutefois que le 8 août dernier, les frais de gestion et d’administration des séries Conseillers, F, F5, FH, H, Investisseurs, T5, FNB et FNBH de ces deux fonds ont été réduits.

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BMO Gestion d’actifs revoit la gestion de plusieurs fonds https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/bmo-gestion-dactifs-revoit-la-gestion-de-plusieurs-fonds/ Fri, 07 Nov 2025 12:10:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110563 PRODUITS — BMO Gestion d’actifs assume désormais la fonction de sous-conseiller pour plusieurs FNB et fonds d’actions canadiennes et américaines.

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BMO Gestion d’actifs a procédé à des changements de gestionnaire de portefeuille et de sous-conseiller pour certains de ses fonds.

Le 28 octobre dernier, BMO Capital Markets Corp. et Brian Belski ont été démi de leurs fonctions de sous-conseillers de plusieurs fonds de BMO. BMO Gestion d’actifs assurera maintenant cette fonction en plus de conserver le rôle de conseiller de portefeuille pour les fonds négociés en Bourse (FNB) concernés.

Les changements touchent notamment le FNB BMO équilibré canadien et américain de base Plus (ZBCB) ainsi que le BMO Fonds d’actions américaines toutes capitalisations (séries A, F, I, FNB [ZACE] et Conseiller).

Ils s’appliquent aussi au FNB BMO d’actions canadiennes Plus (ZBEC) et au BMO Fonds d’actions américaines Plus (séries A, F, I et Conseiller).

Trois autres FNB sont également visés : le FNB BMO de croissance des dividendes américains (ZBDU/ZBDU.F), le FNB BMO ciblé d’actions américaines (ZBEU/ZBEU.F) et le FNB BMO d’actions américaines à forte capitalisation axé sur la valeur et la discipline (ZBVU).

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Lancement d’un nouveau fonds multi-actifs de marchés privés https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/lancement-dun-nouveau-fonds-multi-actifs-de-marches-prives/ Thu, 06 Nov 2025 10:53:52 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110508 PRODUITS – Ce dernier est le fruit d’un partenariat entre Placements Mackenzie et Northleaf Capital Partners.

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Placements Mackenzie et Northleaf Capital Partners unissent leurs forces pour lancer le Fonds multi-actifs de marchés privés Mackenzie Northleaf. Destiné aux investisseurs qualifiés ce dernier offre une exposition au capital-investissement, au crédit privé et aux infrastructures.

« Avec une croissance notable et continue attendue dans les marchés privés, le Fonds multi-actifs de marchés privés Mackenzie Northleaf constitue une option pour les investisseurs voulant accéder aux catégories d’actif des marchés privés par l’intermédiaire d’un seul placement », assure Kristi Ashcroft, vice-présidente exécutive, Produits et solutions, Placements Mackenzie.

« Grâce à notre partenariat stratégique avec Northleaf, les conseillers et les investisseurs obtiennent une occasion attrayante d’intégrer efficacement une exposition aux marchés privés dans leurs portefeuilles », continue-t-elle.

Ce fonds permet d’accéder à un portefeuille diversifié qui regroupe aussi bien des placements en capital-investissement, que du crédit privé et des infrastructures du marché intermédiaire. Le fonds visera une allocation 60/40. Il cherchera des occasions de croissance, tout en visant une volatilité moindre et des rendements ajustés au risque plus élevé.

« Northleaf a le plaisir de s’associer à Mackenzie pour lancer cette offre innovante. Le Fonds témoigne d’importantes recherches sur le marché, y compris les perspectives de conseillers sophistiqués sur les meilleures façons d’intégrer des actifs privés dans des portefeuilles individuels », affirme Nadim Vasanji, directeur général, Northleaf.

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Desjardins revoit la tarification et les stratégies de plusieurs FCP https://www.finance-investissement.com/nouvelles/desjardins-revoit-la-tarification-et-les-strategies-de-plusieurs-fcp/ Wed, 05 Nov 2025 11:24:35 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110589 PRODUITS — La Coopérative harmonise les frais des parts de catégorie W.

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Desjardins société de placement (DSP) modifie sa gamme de fonds communs de placement (FCP). Elle apporte notamment quelques changements à son modèle de tarification des parts de catégorie W ainsi que des modifications aux stratégies de placement de certains de ses produits.

Tarification des parts de catégorie W

À compter du 1er février 2026, les frais de gestion et les frais d’administration des parts de catégorie W ne seront plus négociés et acquittés directement par la société du représentant de l’investisseur, mais directement assumés par les fonds concernés.

Ce virage, qui s’inscrit dans un effort d’harmonisation et de simplification du modèle de tarification, entraînera une réduction du placement net des investisseurs dans ces fonds.

Modification des stratégies de placement

Afin d’augmenter les seuils d’exposition aux obligations à rendement élevé et aux titres étrangers, DSP ajustera les stratégies de placement de plusieurs fonds. Ces changements entraîneront une meilleure flexibilité dans la gestion active des portefeuilles.

Par exemple, le Fonds Desjardins Obligations mondiales géré pourra désormais investir jusqu’à 55 % de son actif dans des obligations à rendement élevé, alors que le Fonds SociéTerre Obligations mondiales et le Fonds Obligations mondiales tactique verront leur limite passer à 80 %.

Du côté des portefeuilles, la limite d’investissement dans des titres étrangers atteindra désormais 35 % pour les Portefeuilles Stratégie active Conservateur, SociéTerre Conservateur et FNB Conservateur.

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