Nouvelles | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/nouvelles/ Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Wed, 29 Oct 2025 21:29:14 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Nouvelles | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/nouvelles/ 32 32 La BdC abaisse son taux directeur à 2,25 %/ https://www.finance-investissement.com/nouvelles/la-bdc-abaisse-son-taux-directeur-a-225/ Wed, 29 Oct 2025 14:10:05 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110591 En raison du ralentissement de l’économie et des tensions commerciales persistantes.

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Le ralentissement économique et les prévisions d’une inflation revenant près de la cible de 2 % ont incité le Conseil de direction à abaisser le taux directeur de 25 points de base. Conformément aux anticipations des experts, la Banque du Canada (BdC) a ainsi réduit son taux directeur à 2,25 %. Le taux officiel d’escompte est désormais fixé à 2,5 %, tandis que le taux de rémunération des dépôts s’établit à 2,20 %.

« Pour soutenir l’économie durant cette période d’ajustement, nous avons réduit le taux directeur de 50 points de base avec nos deux dernières décisions. Au total, c’est 100 points de base depuis le début de l’année », explique Tiff Macklem dans sa déclaration préliminaire.

Une situation économique tendue

Malgré la résilience de l’économie mondiale face à la hausse historique des droits de douane américains, la Banque du Canada explique sa décision notamment par les tensions commerciales persistantes. Selon les projections du Rapport sur la politique monétaire, la croissance de l’économie mondiale sera d’environ 3,25 % en 2025 et tournera autour de 3 % en 2026 et en 2027.

Si l’activité économique américaine est restée vigoureuse, notamment grâce aux investissements en intelligence artificielle, la Banque du Canada relève le ralentissement de la croissance de l’emploi et la hausse des prix à la consommation. Dans la zone euro, la croissance est en décélération alors qu’en Chine, les investissements des entreprises se sont affaiblis.

Du côté de l’économie canadienne, la chute des exportations et la faiblesse des investissements des entreprises ont mené à une contraction de 1,6 % au deuxième trimestre. De leur côté, les dépenses des ménages ont augmenté, la croissance du produit intérieur brut (PIB) devrait donc être faible dans la deuxième moitié de 2025. Mais cette croissance devrait ensuite se raffermir avec la reprise des exportations et des investissements des entreprises.

Conflit commercial : un frein structurel à l’économie canadienne

« Même si l’économie mondiale s’est montrée résiliente face à la hausse des droits de douane américains et à l’incertitude accrue, les conséquences deviennent plus évidentes. Les relations commerciales sont en train de se redessiner, et l’incertitude modère les investissements dans de nombreux pays », souligne Tiff Macklem.

Le marché du travail canadien reste relativement calme. Les secteurs exposés au commerce continuent de supprimer des emplois, tandis que l’embauche reste timide dans l’ensemble de l’économie. Le taux de chômage reste à 7,1 % en septembre alors que la croissance des emplois ralentit. Toutefois le ralentissement démographique réduit le nombre d’emplois nécessaires.

La BdC prévoit que le PIB progressera de 1,2 % en 2025, de 1,1 % en 2026 et de 1,6 % en 2027.

« Même si la croissance se redresse, la trajectoire globale du PIB est plus faible qu’elle ne l’était avant le revirement de la politique commerciale américaine », observe Tiff Macklem.

L’inflation mesurée par l’indice des prix à la consommation (IPC) en septembre a légèrement dépassé les anticipations de la BdC, atteignant 2,4 %, ou 2,9 % hors taxe. Les mesures de l’inflation fondamentale privilégiées par la Banque se sont pour leur part maintenues autour de 3 %. La BdC s’attend toutefois à ce que les pressions inflationnistes faiblissent au cours des prochains mois et pense que l’inflation globale se stabilisera autour de 2 % pendant la période de projection.

« La faiblesse que nous observons dans l’économie canadienne est plus qu’un ralentissement cyclique. C’est aussi une transition structurelle. Le conflit commercial avec les États-Unis a affaibli les perspectives économiques du Canada. Les dommages structurels causés par les droits de douane réduisent notre capacité de production et amènent des coûts supplémentaires. Ça limite la capacité de la politique monétaire à stimuler la demande tout en maintenant l’inflation à un niveau bas », prévient Tiff Macklem.

Un manque de conviction

La BdC vient de porter son taux directeur à 2,25 %, soit son niveau le plus bas depuis la mi-2022. Toutefois les experts relèvent le manque de « conviction ferme » de l’institution alors que celle-ci affirme que les taux sont maintenant « à peu près au bon endroit ». « En réalité, ça ressemble plus à de la gestion d’attentes », souligne Pierre-Benoît Gauthier, Vice-Président, Stratégie De Placement
IG Gestion de Patrimoine.

« Le marché des devises ne s’est d’ailleurs pas laissé impressionner : le huard n’a presque pas bougé, observe-t-il. Mais les taux obligataires, eux, ont réagi : les probabilités d’une autre baisse en décembre sont tombées d’environ 40 % plus tôt cette semaine à à peine 10 %. »

Si la BdC parle maintenant de faire une pause, Pierre-Benoît Gauthier estime que celle-ci ne sera que temporaire et qu’elle devra retoucher à son taux aussi tôt qu’en 2026.

« La Banque tente de faire croire qu’elle a atteint le bon niveau de taux, mais on sent surtout une institution qui veut gagner du temps. Entre la prudence affichée et le ralentissement évident des indicateurs, ce ton “à peu près au bon endroit” ressemble davantage à une parenthèse qu’à une fin de cycle. Les investissements sont faibles, les exportations souffrent du ralentissement de la demande américaine en lien avec les douanes et la consommation s’adoucit. Si les données d’inflation confirment le ralentissement, une autre coupe de taux ne serait pas surprenante », continue Pierre-Benoît Gauthier.

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Droits de douane : la Cour suprême se penchera sur le dossier la semaine prochaine https://www.finance-investissement.com/nouvelles/droits-de-douane-la-cour-supreme-se-penchera-sur-le-dossier-la-semaine-prochaine/ Wed, 29 Oct 2025 12:15:27 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110581 Cette cause historique remet en question les pouvoirs tarifaires de Donald Trump.

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Victor Owen Schwartz a démarré son entreprise d’importation de vins et spiritueux aux États-Unis avec sa mère il y a près de 40 ans. Son entreprise VOS Selections, qu’il dirige avec sa fille, vend des boissons provenant de cinq continents ainsi que des produits américains.

Il est aujourd’hui le principal plaignant dans une affaire judiciaire qui pourrait entraver les efforts du président américain Donald Trump pour transformer le commerce mondial par le biais de droits de douane.

« J’ai été choqué du fait que ceux qui ont beaucoup plus de pouvoir et d’argent ne se soient pas mobilisés, a déclaré Victor Owen Schwartz mardi. Alors, quand j’ai eu l’occasion de parler au nom des petites entreprises américaines, je l’ai saisie. Je devais le faire. C’était un impératif moral. »

La Cour suprême des États-Unis doit entendre la semaine prochaine les arguments d’entreprises et d’États qui affirment que l’utilisation par Donald Trump d’une loi sur la sécurité nationale — l’International Emergency Economic Powers Act — pour imposer des droits de douane à presque tous les pays est illégale.

Cette loi, généralement désignée par l’acronyme IEEPA, confère au président américain le pouvoir de contrôler les transactions économiques après avoir déclaré l’état d’urgence. Elle ne mentionne pas le mot « tarif » et la Constitution américaine réserve au Congrès le pouvoir de fixer les impôts et les droits de douane.

L’audience combine deux affaires contestant les droits de douane dits « réciproques » de Donald Trump et les droits de douane liés au fentanyl instaurés contre le Canada, le Mexique et la Chine.

L’affaire a été portée devant la plus haute instance après que la Cour d’appel fédérale des États-Unis et la Cour de commerce international des États-Unis ont jugé que les droits de douane excédaient les pouvoirs conférés par l’IEEPA.

Les droits de douane du « Jour de la libération » de Donald Trump ont bouleversé l’économie mondiale. Le président avait alors déclaré l’état d’urgence en raison des déficits commerciaux persistants des États-Unis.

Le président américain a également déclaré l’état d’urgence aux frontières en lien avec le trafic de fentanyl pour imposer des droits de douane à l’échelle de l’économie canadienne. Les produits conformes à l’Accord commercial Canada-États-Unis-Mexique en sont exemptés.

La Cour à la rescousse

La semaine dernière, le président américain a suspendu les négociations commerciales avec le Canada et menacé d’une augmentation de 10 % des droits de douane après avoir été offensé par une publicité achetée par le gouvernement de l’Ontario. Cette dernière utilisait un enregistrement audio de l’ancien président Ronald Reagan qui critiquait les droits de douane.

« Cette FRAUDE avait pour seul but de nourrir l’espoir du Canada de voir la Cour suprême des États-Unis venir à son “secours” concernant les droits de douane, qu’il utilise depuis des années pour nuire aux États-Unis », a affirmé Donald Trump sur les réseaux sociaux le 25 octobre.

Le président Trump a lui-même accru la pression sur la Cour suprême en commentant à plusieurs reprises l’affaire, prévenant de terribles conséquences pour les États-Unis si son administration ne gagne pas. Il a même suggéré qu’il pourrait assister en personne à l’audience de la semaine prochaine.

Jeffrey Schwab, du Liberty Justice Center, qui représente Victor Owen Schwartz et les autres petites entreprises, a déclaré ne pas se préoccuper de savoir s’il pourrait assister à l’audience.

Me Schwab s’est dit confiant dans son argument qui stipule que l’IEEPA n’autorise pas les droits de douane. Même si c’était le cas, a-t-il ajouté, l’IEEPA est limitée aux menaces et aux urgences extraordinaires, et un déficit commercial ne compte pas.

« Le président affirme pouvoir imposer des droits de douane à n’importe quel pays, à n’importe quel prix, à tout moment et pour n’importe quelle raison. Cela signifie essentiellement qu’il soutient que l’IEEPA est un chèque en blanc », a-t-il déclaré.

Si la Cour suprême juge que l’IEEPA n’autorise pas les droits de douane, les droits de douane « réciproques » et ceux liés au fentanyl seraient jugés illégaux.

Mais la Cour pourrait rendre une décision partagée, car les droits de douane liés au fentanyl reposent sur une théorie juridique légèrement différente, a souligné Michael McConnell, professeur à la faculté de droit de Stanford.

Ancien juge à la Cour d’appel des États-Unis pour le dixième circuit, Michael McConnell a déclaré que cette affaire était historique ; « il s’agit d’une confrontation majeure entre l’exécutif et le Congrès ».

Qui paie le prix ?

La Tax Foundation a déclaré mardi que les droits de douane justifiés par l’IEEPA avaient fait augmenter le taux de droits de douane appliqué par les États-Unis de plus de 13 points de pourcentage et le taux de droits de douane effectif de plus de sept points de pourcentage.

Le groupe a ajouté que le gouvernement avait perçu plus de 88 milliards de dollars grâce aux droits de douane, des frais payés par les importateurs américains.

Scott Lincicome, vice-président de l’économie générale au Cato Institute, a soutenu que Donald Trump avait tort de croire qu’une défaite judiciaire entraînerait un préjudice économique majeur.

Il a affirmé que l’invalidation des droits de douane profiterait en réalité à l’économie américaine dans son ensemble, car elle éliminerait les taxes et l’énorme incertitude qu’ils ont engendrée.

Scott Lincicome a déclaré que l’IEEPA avait mis un « interrupteur à droits dans le bureau Ovale », empêchant les entreprises de planifier et d’investir.

Malgré les déclarations de l’administration Trump affirmant que les autres pays prennent véritablement la charge des droits de douane, Victor Owen Schwartz a affirmé que ce sont les entreprises américaines qui en payaient le prix. Son entreprise new-yorkaise est mise à mal par des droits d’importation dévastateurs, que Victor Owen Schwartz a décrits comme une « menace existentielle ».

Il a ajouté qu’il était difficile de gérer les 15 % de droits de douane qu’il paie sur les boissons alcoolisées en provenance de l’Union européenne tout en maintenant des prix raisonnables pour ses clients. Il a cessé tout achat en provenance d’Afrique du Sud, frappée de droits de douane de 30 %.

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Cryptomonnaies en héritage https://www.finance-investissement.com/nouvelles/cryptomonnaies-en-heritage/ Wed, 29 Oct 2025 12:10:41 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110478 Un casse-tête potentiel pour la planification successorale.

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Les cryptomonnaies et autres actifs numériques — jetons non fongibles (NFT), logiciels, propriétés virtuelles, etc. — doivent être pris en compte dans la planification successorale, ce qui représente un défi pour bon nombre de conseillers. Faute de préparation adéquate, héritiers et liquidateurs risquent de se retrouver face à des verrous technologiques et juridiques qui peuvent rendre les actifs inaccessibles.

Les actifs numériques peuvent être saisis, vendus et doivent être intégrés aux inventaires successoraux, a rappelé Charlène Bouchard, notaire et professeure titulaire à la Faculté de droit de l’Université Laval, lors d’une conférence de l’Association du Barreau canadien, division du Québec.

Cependant, tous les actifs numériques ne se transmettent pas de la même manière. Les cryptos, NFT et autres logiciels peuvent être transmis aux héritiers comme n’importe quel actif. À l’inverse, les courriels, profils de réseaux sociaux, courriels, historiques de navigation, conversations privées, données biométriques ou photos personnelles, qui relèvent de la vie privée, ne peuvent pas être transmis par succession. « Cette distinction est encore mal comprise et se trouve au cœur de nombreux litiges successoraux actuels », explique Charlène Bouchard.

Transmettre des cryptos à ses héritiers

Le Code civil du Québec reconnaît les cryptomonnaies comme des « biens meubles incorporels patrimoniaux », au même titre que des actions ou des droits d’auteur. Cela signifie qu’elles peuvent être intégrées dans le patrimoine successoral, évaluées fiscalement et attribuées à des héritiers.

Cependant, pour se faire sans heurts, la transmission des cryptomonnaies exige un élément crucial : l’accès aux clés privées et aux phrases de récupération. Sans ces codes, les héritiers n’ont aucun moyen d’accéder aux fonds, même si ceux-ci figurent dans le testament. Des fortunes numériques, parfois colossales, disparaissent ainsi faute de planification adéquate, signale la notaire.

Pour éviter ces situations, Charlène Bouchard dresse un « B.A.-BA » de la planification successorale des actifs numériques.

  • Utiliser des portefeuilles fiables et sécuriser les clés privées sont des précautions essentielles, selon la notaire. Le stockage hors ligne (« à froid ») reste le plus sûr, notamment via des portefeuilles matériels. Les portefeuilles en ligne, via des plateformes ou des logiciels, sont plus accessibles, mais plus vulnérables.
  • Créer un document d’accès. Ce document confidentiel peut se présenter en format papier ou sous la forme d’un fichier crypté. Il doit contenir les clés privées, phrases de récupération, mots de passe, noms d’utilisateur et dispositifs de double authentification. Il doit aussi lister clairement tous les actifs numériques et plateformes utilisées. Surtout, il ne doit pas être inclus directement dans le testament, car celui-ci devient public après le décès, exposant ainsi les informations sensibles. Distinct du testament, il doit être mis à jour régulièrement et conservé en lieu sûr, accessible à l’exécuteur numérique désigné.
  • Nommer un « liquidateur numérique » ou « exécuteur numérique ». Ce rôle peut être distinct de celui du liquidateur principal, car il exige des compétences technologiques particulières. Cette personne de confiance sera chargée d’interagir avec les plateformes et de sécuriser l’accès aux biens numériques après le décès. Cette précaution permet d’éviter que les héritiers ou le notaire soient confrontés à des interfaces qu’ils ne maîtrisent pas ou à des procédures complexes d’authentification, signale Charlène Bouchard.

Et les données personnelles?

La culture numérique actuelle accentue les enjeux : les jeunes générations publient de nombreuses informations sur leur vie privée en ligne. Ils créent ainsi un volume considérable de données susceptibles de soulever des questions successorales. Même les autorités fiscales, comme Revenu Québec, peuvent consulter ces comptes pour valider certaines déclarations, signale Charlène Bouchard.

L’absence de planification successorale pour les actifs numériques entraîne des situations où des spécialistes doivent retracer des cryptomonnaies perdues dans les méandres du Web, sans garantie de succès. Des fortunes entières peuvent ainsi rester inaccessibles faute de clés privées ou de phrases de récupération, affirme la professeure.

Pour les gestionnaires de patrimoine, l’enjeu est double : sensibiliser les clients à la nécessité de cette planification et intégrer les actifs numériques dans leur offre de services successoraux. Concrètement, cela suppose d’aborder tôt la question avec les clients, et de les guider dans la constitution du document confidentiel et dans la désignation d’un exécuteur numérique.

Des innovations accompagnent le mouvement. La Chambre des notaires du Québec a récemment octroyé 4 millions de dollars à la Chaire 2.0 sur les contrats intelligents, la chaîne de blocs et les technologies émergentes dirigée par Charlène Bouchard, afin de développer des outils destinés à simplifier le travail pour gérer les successions numériques et sécuriser la transmission des cryptomonnaies.

Succession numérique : 4 bonnes pratiques

  • poser systématiquement la question des actifs numériques lors de la planification successorale ;
  • informer leurs clients sur les différentes options de portefeuilles et leurs niveaux de sécurité ;
  • insister sur l’importance de conserver les clés privées et mots de passe dans un format sécurisé ;
  • recommander la désignation d’un exécuteur numérique distinct.

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Partenaires Ninepoint élargit sa plateforme de FNB https://www.finance-investissement.com/nouvelles/partenaires-ninepoint-elargit-sa-plateforme-de-fnb/ Wed, 29 Oct 2025 10:37:33 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110323 PRODUITS — Et lance la série FNB du Fonds d’évolution minière Ninepoint.

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Le gestionnaire de placements indépendant Partenaires Ninepoint lance la série FNB du Fonds d’évolution minière Ninepoint (NMNG), anciennement Fonds ressources Ninepoint, à la Bourse de Toronto.

Ce fonds, au niveau de risque « élevé », est conçu pour exposer les investisseurs aux sociétés du secteur mondial des métaux et de l’exploitation minière, autant des producteurs établis que des sociétés de développement émergentes ou des sociétés de prospection en phase de démarrage.

« Les sociétés minières sont au cœur des grands changements mondiaux, qu’il s’agisse de la géopolitique et de la sécurité nationale, des avancées technologiques ou des moteurs environnementaux tels que les véhicules électriques et l’énergie renouvelable », souligne Nawojka Wachowiak, gestionnaire de portefeuille principale du Fonds d’évolution minière Ninepoint.

Le fonds effectue principalement des placements dans des actions mondiales et dans des titres apparentés de sociétés participant directement ou indirectement aux activités du secteur des métaux et de l’exploitation minière pour obtenir une croissance du capital à long terme.

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TD déploie un assistant virtuel propulsé par l’IA https://www.finance-investissement.com/nouvelles/td-deploie-un-assistant-virtuel-propulse-par-lia/ Wed, 29 Oct 2025 10:37:30 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110475 Pour la gestion de patrimoine.

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Le Groupe Banque TD lance un nouvel assistant virtuel de gestion de patrimoine. Cet outil de gestion des connaissances alimenté par l’intelligence artificielle (IA) générative a été développé par Layer 6, le centre de recherche et de développement en IA de l’institution financière. Il vise à permettre aux conseillers en gestion de patrimoine de la banque d’accéder rapidement à l’information pertinente pour servir les clients.

Conçu pour simplifier la recherche de politiques et de procédures internes, le système de gestion des connaissances (SGC) regroupe les données principales au sein d’une interface unique. Ainsi, les conseillers n’auront plus besoin de naviguer entre plusieurs systèmes pour trouver l’information nécessaire, signale la TD.

« Les attentes pour un service à la clientèle exceptionnel étant de plus en plus élevées, nous dotons nos collègues des meilleurs outils pour les aider à offrir encore plus de valeur à nos clients », affirme Sara Thomson, première vice-présidente, Bureau national de Gestion de patrimoine à Gestion de patrimoine TD.

Selon TD, l’assistant virtuel permettra d’améliorer l’efficacité opérationnelle en fournissant des réponses précises de manière plus fluide dès la première requête, ainsi que des ressources pertinentes, tout en garantissant la fiabilité de l’information. L’outil intègre une fonction de rétroaction qui permet aux conseillers de proposer des améliorations en mode continu.

Selon Luke Gee, chef des analyses et de l’intelligence artificielle au Groupe Banque TD, l’assistant de gestion de patrimoine s’inscrit dans une stratégie plus large de transformation numérique de l’institution financière : « Miser sur l’IA est au cœur même de notre façon de bâtir une banque plus simple, plus rapide et plus efficace », affirme-t-il

Cet outil est l’un des sept assistants virtuels propulsés par l’IA générative que la TD prévoit déployer dans divers secteurs d’ici la fin de l’année. Ces technologies sont conçues à l’interne à partir des données récoltées lors de la migration vers la plateforme infonuagique sécurisée de la banque.

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Un nouveau président du c.a. à la SADC https://www.finance-investissement.com/nouvelles/un-nouveau-president-du-c-a-a-la-sadc/ Wed, 29 Oct 2025 09:37:32 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110455 Celui-ci a été nommé pour cinq ans.

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Le ministère des Finances a également annoncé la nomination de Martin Glynn au poste de président du conseil d’administration de la SADC pour un mandat de cinq ans.

Martin Glynn est membre du conseil d’administration de l’Office d’investissement des régimes de pensions du secteur public (Investissements PSP) depuis 2014, y compris en tant que président de celui-ci. Jusqu’à ce qu’il prenne sa retraite en 2006, il a occupé des postes de direction à la HSBC, notamment celui de président et chef de la direction de la Banque HSBC Canada de 1999 à 2003, et de président et chef de la direction de la HSBC Bank USA de 2003 à 2006.

Martin Glynn a été président de la UBC Investment Management Trust Inc., administrateur de la Financière Sun Life et de la Husky Energy, et conseiller principal de la Second City Real Estate II Corporation.

Il est titulaire d’un baccalauréat ès arts spécialisé en économie de l’Université Carleton et d’une maîtrise en administration des affaires (MBA) en finance et commerce international de l’Université de la Colombie-Britannique. Il a également été titulaire de la bourse Jarislowsky en gestion des affaires à la Haskayne School of Business de l’Université de Calgary de 2009 à 2010.

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Un encadrement inégal du secteur crypto fait planer un risque systémique https://www.finance-investissement.com/nouvelles/un-encadrement-inegal-du-secteur-crypto-fait-planer-un-risque-systemique/ Tue, 28 Oct 2025 10:02:21 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110447 Le CSF et l’OICV constatent une application incohérente des politiques.

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Les efforts déployés pour réglementer le jeune secteur des cryptomonnaies demeurent fragmentés et incohérents, exposant ainsi le système financier mondial à des risques systémiques, concluent deux examens publiés par le Conseil de stabilité financière (CSF) et l’Organisation internationale des commissions de valeurs (OICV).

Le CSF a publié un rapport d’étape sur la mise en œuvre de son cadre de 2023 pour la réglementation des entreprises de cryptomonnaies et des stablecoins, constatant que l’adoption de ses recommandations progresse lentement.

Peu de juridictions ont élaboré un cadre réglementaire complet pour le secteur crypto et, « même lorsque ces cadres sont finalisés, leur alignement complet sur les recommandations du CSF demeure limité, en particulier pour les dispositifs de stablecoins et les prestataires de services d’actifs numériques », note le rapport.

Dans l’ensemble, le CSF conclut que, malgré certains progrès, il subsiste « des lacunes et incohérences importantes susceptibles de menacer la stabilité financière et le développement d’un écosystème d’actifs numériques résilient ».

« Les progrès demeurent incomplets, inégaux et incohérents. Cela crée des occasions d’arbitrage réglementaire et complique la supervision d’un marché des cryptoactifs par nature mondial et en constante évolution », commente Arthur Yuen, chef de la direction adjointe de la Hong Kong Monetary Authority et président du groupe du CSF ayant rédigé le rapport.

De son côté, l’OICV a publié un rapport sur la mise en œuvre de ses propres recommandations pour le secteur crypto, couvrant la protection des investisseurs, la prévention des conflits d’intérêts, de la fraude et des abus de marché, ainsi que les exigences de divulgation et de gouvernance.

L’organisation avertit que « l’écosystème des cryptoactifs, en évolution rapide, présente encore des risques liés à la protection des investisseurs et à l’intégrité des marchés » et exhorte les régulateurs du monde entier à agir rapidement pour appliquer ses recommandations politiques.

Le rapport souligne également que les mécanismes actuels d’échange d’informations transfrontaliers dans le domaine des cryptomonnaies demeurent « relativement limités » et appelle à renforcer la coopération internationale.

« Une collaboration internationale renforcée est essentielle pour contrer l’arbitrage réglementaire et assurer une supervision cohérente et harmonisée », selon Matthew Long, coprésident du groupe de travail de l’OICV et directeur, paiements et actifs numériques, à la Financial Conduct Authority (FCA) du Royaume-Uni.

« Notre rapport met en lumière la nécessité d’un partage proactif d’informations tout au long du cycle de réglementation — de l’autorisation à la surveillance, jusqu’à l’application des règles », précise-t-il.

Le rapport du CSF va dans le même sens, exhortant les décideurs et les régulateurs à poursuivre la mise en œuvre intégrale et uniforme de ses recommandations, et à renforcer la cohérence, la coopération transfrontalière et la coordination dans la supervision du secteur.

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La SADC nomme une présidente et première dirigeante par intérim https://www.finance-investissement.com/nouvelles/la-sadc-nomme-une-presidente-et-premiere-dirigeante-par-interim/ Tue, 28 Oct 2025 10:01:59 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110453 NOUVELLES DU MONDE – La nouvelle dirigeante est au service de la SADC depuis 18 ans.

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Le ministre des Finances et du Revenu national, François-Philippe Champagne, a annoncé la nomination de Gina Byrne au poste de présidente et première dirigeante par intérim de la Société d’assurance-dépôts du Canada (SADC). Son mandat s’est amorcé le 1er octobre 2025.

Elle succède à titre intérimaire à Leah Anderson, qui a pris sa retraite à la fin du mois de septembre.

Gyna Byrne occupe des postes aux responsabilités croissantes à la SADC depuis 2007. De 2019 à 2025, elle a été vice-présidente des groupes Risques liés aux institutions membres et Planification de règlement, à la SADC, et auparavant, elle a occupé plusieurs postes de gestion et de direction. Elle a ainsi notamment présidé à l’élaboration du cadre de planification de règlement de faillite et des premiers plans de règlement des grandes banques canadiennes de la SADC.

De 2001 à 2007, Gyna Byrne a occupé des postes de comptable et d’auditrice auprès de KPMG et de Gestion MD. Elle est titulaire d’un baccalauréat ès sciences avec distinction de l’Université Wilfrid-Laurier et d’une maîtrise en administration des affaires de l’Université Dalhousie. Elle est également comptable agréée.

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Global X lance de nouveaux FNB https://www.finance-investissement.com/nouvelles/global-x-lance-de-nouveaux-fnb/ Tue, 28 Oct 2025 10:01:57 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110319 PRODUITS - Découvrez-les.

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Global X Investments Canada lance quatre nouveaux fonds négociés en Bourse (FNB) à la Bourse de Toronto et à Cboe Canada. Cela permet aux investisseurs de s’exposer aux géants chinois de la technologie, à la première stratégie d’options d’achat couvertes de lingots d’argent du Canada et à des fonds du Trésor américain.

Les investisseurs ont désormais accès :

  • au FNB Global X China Hang Seng TECH Index (CHQQ) ;
  • au FNB Global X Silver Covered Call (AGCC) ;
  • au FNB Global X 1-3 Year US Treasury Bond Index (TSTX) ;
  • et au Global X 20+ Year US Treasury Bond Index ETF (TLTX).

Le CHQQ permet aux investisseurs canadiens de s’exposer à l’indice Hang Seng TECH, soit l’indice qui représente les 30 plus grandes sociétés technologiques cotées à Hong Kong. Ce produit offre notamment une exposition à des entreprises actives dans les technologies financières, l’informatique en nuage, le développement de véhicules autonomes, le commerce électronique et d’autres secteurs innovants.

« À une époque où la diversification mondiale est au premier plan pour de nombreux conseillers et investisseurs, le QCHQ offre aux Canadiens une nouvelle occasion de se faire connaître auprès d’entreprises technologiques de premier plan en Chine, l’un des marchés les plus peuplés du monde. » explique Chris McHaney, Executive Vice President et Head of Investment Management and Strategy at Global X.

L’AGCC est le premier FNB d’achat couvert axé sur l’argent au pays. « Comme les autres métaux précieux, y compris l’or, l’argent est souvent utilisé comme réserve de valeur pendant les périodes d’inflation et d’incertitude économique. Cependant, l’argent a tendance à afficher une plus grande volatilité des prix que l’or, en raison de son double rôle de métal monétaire et d’intrant industriel », rappelle Chris McHaney.

« Ce niveau élevé de volatilité crée plus de possibilités de primes d’option, ce qui rend l’argent particulièrement bien adapté aux stratégies d’achat couvertes. En lançant des appels sur l’exposition argent, l’AGCC offre aux investisseurs la possibilité d’obtenir un revenu intéressant tout en maintenant leur participation de base aux tendances à long terme du métal », continue-t-il.

Global X poursuit son expansion avec le lancement de deux FNB d’obligations du Trésor américain, soit le TSTX, le premier FNB au Canada à suivre l’indice obligataire ICE U.S. Treasury 1-3 Year, et le TLTX, qui suit l’indice obligataire à 20 ans et plus du Trésor américain ICE, offre une exposition efficace à l’extrémité longue de la courbe du Trésor américain.

« En partenariat avec ICE Data Indices, nous sommes fiers de nous appuyer sur notre expertise de longue date en titres à revenu fixe pour offrir ces principaux titres du Trésor américain à des investisseurs canadiens », déclare Chris McHaney.

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CIBC lance un nouvel outil pour améliorer l’expérience client https://www.finance-investissement.com/nouvelles/cibc-lance-un-nouvel-outil-pour-ameliorer-lexperience-client/ Tue, 28 Oct 2025 09:01:20 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110449 Celui-ci tire parti de l’IA.

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La Banque CIBC lance l’outil CIBC Expérience client en temps réel (CIBC eXCTR). Alimenté par l’intelligence artificielle (IA), celui-ci combine les préférences des clients et la prise de décisions en temps quasi réel afin d’offrir des solutions personnalisées.

« La mobilisation et la fidélisation de la clientèle sont de plus en plus façonnées par la personnalisation axée sur les données », souligne Mike Clabby, vice-président à la direction, Plateformes numériques et Mobilisation de la clientèle, Banque CIBC.

L’outil est conçu pour s’intégrer avec les plateformes technologiques actuelles pour assurer une expérience uniforme dans tous les points de contact avec le client.

« Les clients s’attendent à ce que leur banque les connaisse bien, assure leur satisfaction et comprenne vraiment leurs besoins et leurs ambitions uniques. L’outil CIBC eXCTR tire parti de l’IA et des capacités numériques de pointe pour offrir des renseignements en temps quasi réel afin d’aider les clients à obtenir une valeur ajoutée, à gagner du temps et à réaliser leurs ambitions », continue Mike Clabby.

Avec l’aide de CIBC eXCTR, l’institution espère mieux comprendre les besoins financiers des clients et ainsi leur offrir des solutions et des conseils encore plus personnalisés.

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