Nouvelles – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Tue, 29 Jul 2025 10:57:40 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.1 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Nouvelles – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Mawer Investment Management prend le relais en tant que sous-investisseur https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/mawer-investment-management-prend-le-relais-en-tant-que-sous-investisseur/ Tue, 29 Jul 2025 10:57:40 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108468 PRODUITS — Gestion de placements Manuvie a décidé de modifier son équipe de gestion de portefeuille Actions mondiales.

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Mawer Investment Management devient sous-conseiller au sein de l’équipe de gestion de portefeuille Actions mondiales de Gestion de placements Manuvie.

Cette transition, qui s’explique par le fait que Christian Deckart quitte ses fonctions de gestionnaire de portefeuille, impacte :

  • la Catégorie d’actions mondiales Manuvie,
  • le Mandat privé Actions mondiales Manuvie,
  • le Fonds équilibré mondial Manuvie
  • et la Fiducie privée Équilibré mondial Manuvie.

Paul Moroz, qui reprend ses fonctions de cogestionnaire des stratégies équilibrées au sein de l’équipe actuelle, assurera également les fonctions de gestionnaire principal pour ces produits aux côtés de David Ragan. Ces deux experts se joindront ainsi à Manar Hassan-Agha, qui conserve son poste de cogestionnaire des stratégies d’actions mondiales.

Paul Moroz possède plusieurs décennies d’expériences dans ce poste. Il a rejoint l’équipe de Mawer Investment Management il y a maintenant 20 ans. Il y a occupé plusieurs postes clés, notamment :

  • celui de chef des placements de 2018 à juin 2024,
  • de gestionnaire de portefeuille principal de la stratégie de titres mondiaux à petite capitalisation de Mawer entre 2007 et 2017,
  • et de cogestionnaire de la stratégie de placements privés de Mawer depuis 2023.

David Ragan possède quant à lui de l’expérience dans la gestion du Fonds de placement international Manuvie et de la Catégorie de placement international Manuvie. Comme Paul Moroz, il travaille pour Mawer Investment Management depuis 2004. De 2010 à 2021. Il était gestionnaire de portefeuille principal et continue d’être cogestionnaire des stratégies de placement international Manuvie et de grandes capitalisations internationales Manuvie.

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Manuvie consolide son équipe en assurance individuelle https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/manuvie-consolide-son-equipe-en-assurance-individuelle/ Tue, 29 Jul 2025 10:57:08 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108703 NOUVELLES DU MONDE – Et nomme une nouvelle directrice des ventes.

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Marie-Pascale Étienne a été promue au poste de directrice des ventes, assurance individuelle chez Financière Manuvie. À ce titre, elle sera responsable de promouvoir les solutions de Manuvie auprès des partenaires des comptes nationaux et de certains agents généraux de la région de Montréal.

Forte de plus de 20 ans d’expérience en assurance vie et planification financière, dont près de 15 ans dans les réseaux de distribution, Marie-Pascale Étienne occupait depuis mars 2006 le poste de directrice régionale des services conseils chez Financière Manuvie. Elle a également été conseillère en développement des affaires à la Jeune chambre de commerce haïtienne (JCCH) et a travaillé aux services aux marchands à la Banque TD. Elle est titulaire d’un baccalauréat en planification et services financiers de HEC Montréal et a suivi le cours sur le commerce des valeurs mobilières de l’Institut canadien des valeurs mobilières.

« Marie-Pascale apporte à nos partenaires une expertise pointue et une approche humaine des affaires », a déclaré David Parent, vice-président régional, Services aux particuliers, Assurance individuelle chez Manuvie.

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La Banque du Canada devrait maintenir son taux directeur inchangé https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/la-banque-du-canada-devrait-maintenir-son-taux-directeur-inchange/ Tue, 29 Jul 2025 10:56:08 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108747 Estiment des experts.

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L’économiste en chef de la CIBC, Avery Shenfeld, ne pense pas que la Banque du Canada réduira son taux directeur lors de sa décision de mercredi, mais si elle le fait, il a déclaré que ce serait une « agréable surprise ».

« Il y a toujours un risque qu’elle crée la surprise avec une baisse de taux, a-t-il affirmé. Mais je ne nourris pas beaucoup d’espoir. »

La plupart des économistes s’attendent également à ce que la Banque du Canada maintienne son taux directeur à 2,75 % pour une troisième décision consécutive plus tard cette semaine.

Vendredi après-midi, les marchés financiers estimaient à seulement 7 % la probabilité d’une baisse d’un quart de point de taux mercredi, selon LSEG Data & Analytics.

L’obstination sur le front de l’inflation et la vigueur inattendue du marché du travail ont réduit les arguments en faveur d’un nouvel assouplissement depuis la décision de la banque centrale en juin.

L’économie canadienne a créé un nombre inattendu de 83 000 emplois en juin, selon un rapport de Statistique Canada publié plus tôt ce mois-ci, ce qui a entraîné une baisse du taux de chômage pour la première fois depuis janvier.

Quelques jours plus tard, Statistique Canada a annoncé que l’inflation annuelle avait légèrement augmenté pour atteindre 1,9 % le mois dernier, tandis que les chiffres de l’inflation de base, surveillés de près par la Banque du Canada, se maintenaient obstinément autour de 3 %.

« Dans l’ensemble, la persistance des indicateurs d’inflation, un contexte économique affaibli mais relativement résilient et les perspectives d’augmentation des dépenses budgétaires expliquent pourquoi nous ne prévoyons pas de nouvelle baisse des taux par la Banque du Canada au cours de ce cycle », ont écrit les économistes Claire Fan et Abbey Xu, de la Banque Royale, dans une note vendredi.

Mais l’appel de Avery Shenfeld à un abaissement du taux directeur — la CIBC prévoit deux baisses supplémentaires d’un quart de point avant que la Banque du Canada ne change de cap — ne se fonde pas sur l’évolution de l’économie, mais sur ce qui se profile à l’horizon.

Outre la hausse de l’emploi en juin, le marché du travail reste globalement faible, le taux de chômage s’établissant à 6,9 %, a souligné Avery Shenfeld.

Il s’attend également à ce que le différend commercial entre le Canada et les États-Unis ait entraîné une contraction économique au deuxième trimestre de l’année.

Au total, il y a suffisamment de « marge » dans l’économie pour freiner l’inflation dans les mois à venir, a fait valoir Avery Shenfeld.

L’impact des droits de douane

L’enquête de la Banque du Canada sur les perspectives des entreprises pour le deuxième trimestre, publiée la semaine dernière, suggère que de nombreuses entreprises choisissent d’absorber la hausse des coûts liée aux droits de douane plutôt que de la répercuter sur les consommateurs, qui pourraient freiner leurs dépenses dans un contexte d’incertitude économique.

Selon Avery Shenfeld, cela indique que l’impact des droits de douane « ne se traduira pas par un problème d’inflation plus persistant ».

Il a ajouté qu’une fois que la banque centrale sera suffisamment convaincue que les pressions inflationnistes induites par les droits de douane seront de courte durée, les responsables de la politique monétaire devraient se sentir suffisamment en confiance pour abaisser les taux d’intérêt.

« Je pense qu’à ce stade, ils en savent suffisamment pour exclure le pire scénario concernant le commerce », a dit Avery Shenfeld.

Le gouverneur de la Banque du Canada, Tiff Macklem, a explicitement déclaré que les responsables de la politique monétaire se montrent moins prospectifs que d’habitude dans le contexte de la guerre commerciale. La banque centrale n’a pas publié de prévisions économiques traditionnelles dans son rapport de politique monétaire d’avril, proposant plutôt deux scénarios quant à l’impact potentiel des droits de douane sur l’économie.

Jimmy Jean, économiste en chef chez Desjardins, estime que la Banque du Canada aura suffisamment éclairé le dossier commercial pour revenir à des prévisions officielles dans le rapport sur la politique monétaire de cette semaine.

« L’incertitude est bien présente, chacun doit en être conscient. Mais il arrive un moment où il faut prendre des risques et formuler les réserves qui s’imposent », a soutenu Jimmy Jean.

Les échéances tarifaires continuent de peser sur la Banque du Canada: le président américain Donald Trump a menacé d’imposer des droits de douane de 35 % sur les importations canadiennes à compter de vendredi si un accord commercial n’est pas conclu d’ici là, bien que les produits conformes à l’Accord Canada–États-Unis–Mexique devraient être exemptés de ces droits.

Certains prévisionnistes, dont la Banque Royale, estiment que la Banque du Canada a déjà réduit ses taux et qu’elle confiera la tâche de stimuler l’économie pendant la guerre commerciale aux gouvernements fédéral et provinciaux.

Bien que Jimmy Jean pense également que la banque centrale choisira de maintenir ses taux mercredi, il a déclaré que la prochaine décision de la banque, en septembre, constitue une « possibilité ouverte » de baisse.

Les droits de douane sectoriels imposés par Donald Trump aux industries canadiennes de l’acier, de l’aluminium et du cuivre sont particulièrement préoccupants pour l’Ontario et le Québec, a expliqué Jimmy Jean. Si ces droits de douane sont maintenus, il a indiqué que de nouvelles baisses de taux de la Banque du Canada seront justifiées pour amortir le choc économique.

En plus de certaines mesures d’allègement sectoriel, le gouvernement fédéral a pris ces derniers mois des mesures pour accroître le financement de la défense et des infrastructures du Canada — des dépenses qui pourraient offrir un soutien fiscal, plutôt que monétaire, à l’économie.

Jimmy Jean a toutefois dit que Desjardins s’attend à ce que cette hausse se produise au cours des prochaines années, et non des prochains mois, ce qui ouvrirait la voie à une baisse des taux par la Banque du Canada à court terme.

« Nous pensons que, malgré ces mesures en préparation, la Banque du Canada aura encore une raison valable de réduire ses taux d’intérêt en septembre », a-t-il déclaré.

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iA absorbe RF Capital dans une transaction de 597 M$ https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/ia-absorbe-rf-capital-dans-une-transaction-de-597-m/ Tue, 29 Jul 2025 10:55:30 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108755 La société consolide ainsi sa position auprès de la clientèle fortunée.

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iA Société financière (iA), de Québec, annonce la conclusion d’une entente définitive en vue d’acquérir RF Capital Group pour une contrepartie en espèces de 20 $ par action ordinaire, valorisant la transaction à 597 millions de dollars (M$).

Cette acquisition marque une étape importante dans la stratégie de croissance d’iA, qui ajoute ainsi plus de 40 milliards de dollars (G$) en actifs sous gestion à ses activités et renforce sa position dans le segment des clients à valeur nette élevée. À la fin de juillet, Patrimoine Richardson comptait 455 personnes détentrices d’un titre de représentant de courtiers (conseillers associés et adjoints avec permis inclus) répartit dans 23 bureaux à la grandeur du Canada.

RF Capital, connue pour ses services-conseils personnalisés sous la bannière Patrimoine Richardson, continuera d’opérer sous cette marque. Ses quelque 175 G$ d’actifs consolidés sous gestion, une fois intégrés, feront d’iA Gestion de patrimoine une « plateforme non bancaire de premier plan au Canada », particulièrement dans le domaine du courtage de plein exercice indépendant.

« Cette transaction s’inscrit dans notre stratégie de croissance durable et renforce notre modèle de distribution évolutif », affirme Denis Ricard, président et chef de la direction d’IA Groupe financier.

Des synergies technologiques et opérationnelles

L’opération devrait générer des synergies significatives, tant en matière de revenus que de coûts. L’intégration portera notamment sur les plateformes numériques, les fonctions d’entreprise et les fournisseurs externes. Une attention particulière sera toutefois portée au maintien de l’indépendance opérationnelle des conseillers de RF Capital.

Sur le plan technologique, iA entend capitaliser sur l’expertise de RF Capital en matière de plateformes numériques et d’intelligence artificielle pour améliorer l’expérience des clients et des conseillers. Le regroupement permettra également d’harmoniser les outils et d’élargir l’offre de produits, incluant gestion de patrimoine, marchés des capitaux, assurance et services-conseils.

Un financement interne

Le financement de l’acquisition se fera à même l’encaisse existante d’iA, ce qui entraînera une baisse de son ratio de solvabilité d’environ six points de pourcentage. Malgré cela, la direction affirme que l’impact sur les résultats de base sera neutre la première année et que l’acquisition devrait bonifier le bénéfice par action (BPA) d’au moins 0,15 $ à partir de la deuxième année.

Par ailleurs, les coûts de transaction et d’intégration sont estimés à 60 M$ sur trois ans, principalement concentrés sur la première année.

Une prime pour les actionnaires

La transaction, qui prévoit aussi l’achat des actions privilégiées de série B à 25 $ chacune, représente une prime de 107 % sur le cours de clôture du 25 juillet (9,65 $) et de 102 % sur le cours moyen pondéré sur 30 jours. Les actionnaires recevront leur contrepartie intégralement en espèces, assurant ainsi une liquidité immédiate.

L’opération a reçu l’appui unanime du conseil d’administration de RF Capital, sur la recommandation de son comité spécial d’administrateurs indépendants, ainsi que celui de Richardson Financial Group Limited, principal actionnaire de RF Capital avec une participation de 44,32 %.

« Cette étape importante marque le début d’un nouveau chapitre passionnant pour RF Capital. En alliant nos forces à celles d’iA, nous pouvons tirer parti d’excellentes opportunités dans les domaines de la technologie, de l’innovation produit et de l’échelle opérationnelle, ce qui améliore la proposition de valeur pour les conseillers grâce à des capacités et un soutien accru », a commenté Dave Kelly, président et chef de la direction de RF Capital.

La transaction devrait être finalisée au cours du quatrième trimestre de 2025, sous réserve de l’approbation des actionnaires de RF Capital et des autorités réglementaires. Elle soutient l’objectif d’iA d’atteindre un rendement des capitaux propres supérieur à 17 % d’ici 2027.

Le coût de la transaction inclut la liquidation des régimes d’actionnariat, lequel permettait à certains conseillers en placement d’être actionnaires de leur entreprise.

Par ailleurs, lorsque survient ce genre de transaction, surtout dans le secteur du courtage de plein exercice indépendant, certains conseillers gérant d’importants actifs sont sollicités afin qu’ils changent vers une société de courtage concurrente. Pour éviter un départ massif d’actifs, les conseillers de la société cible reçoivent souvent une mesure incitative afin de rester auprès du courtier choisi par leurs supérieurs. Selon le communiqué de presse, iA Groupe financier mettra en place une « stratégie de rétention des conseillers », lequel coût s’ajoutera au prix d’achat. Cette stratégie vise « de maintenir et de développer notre réseau de distribution national », indique-t-on.

Cela fait plusieurs décennies qu’iA Gestion privée de patrimoine tente d’atteindre une masse critique importante de conseillers et d’actifs afin de répartir ses coûts technologiques, de conformité et de croissance. En août 2017, iA avait fait l’acquisition de Patrimoine Hollis et, l’année dernière, se sont ajoutés 31 conseillers de la division de courtage de détail de plein exercice de la Banque Laurentienne.

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iA Société financière fera l’acquisition de RF Capital Group https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/ia-societe-financiere-fera-lacquisition-de-rf-capital-group-inc/ Mon, 28 Jul 2025 14:16:04 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108735 Pour un prix d’achat de 597 M$.

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iA Société financière a annoncé la conclusion d’une entente avec RF Capital à l’issue de laquelle elle fera l’acquisition de la totalité des actions ordinaires émises et en circulation de RF Capital moyennant 20,00 $ par action en espèces.

« Cette acquisition s’inscrit dans notre approche distinctive, À la façon de iA — mettant de l’avant notre approche stratégique en matière de croissance durable — en élargissant notre portée dans les segments cibles et en améliorant notre modèle de distribution évolutif, a déclaré Denis Ricard, président et chef de la direction de iA Groupe financier. Nous réaffirmons notre engagement envers la valeur du conseil en dotant les conseillers d’outils de premier ordre tout en préservant leur indépendance, afin qu’ils puissent aider les clients à se sentir en sécurité face à leur avenir financier. »

Le prix d’achat de 597 millions de dollars (M$) comprend une évaluation des capitaux propres de RF Capital après dilution de 370 M$ et 227 M$ en obligations financières (facilité de crédit renouvelable et actions privilégiées).

« Cette étape importante marque le début d’un nouveau chapitre passionnant pour RF Capital. En alliant nos forces à celles de iA, nous pouvons tirer parti d’excellentes opportunités dans les domaines de la technologie, de l’innovation produit et de l’échelle opérationnelle, ce qui améliore la proposition de valeur pour les conseillers grâce à des capacités et un soutien accru, a déclaré Dave Kelly, président et chef de la direction de RF Capital. Nos conseillers continueront d’opérer de façon indépendante sous la marque Patrimoine Richardson, soutenus par la solidité et la stabilité financières de iA Groupe financier, et demeurent entièrement dédiés à fournir des conseils personnalisés et fiables à leurs clients. »

« L’ajout de RF Capital renforce la position de iA Gestion de patrimoine en tant que plateforme de gestion de patrimoine non bancaire de premier plan au Canada, offrant une portée supplémentaire dans le secteur du courtage de plein exercice indépendant. En regroupant des modèles de distribution complémentaires, cette transaction propulse les actifs sous gestion totaux du réseau de conseillers de gestion de patrimoine de iA à près de 175 milliards de dollars et crée des économies d’échelle en termes de prix, de distribution, de force numérique et de marque, a déclaré Stephan Bourbonnais, vice-président exécutif, Gestion de patrimoine.

Rappelons qu’en 2024, iA Groupe financier a acquis la division de courtage de détail à service complet de la Banque Laurentienne.

Plus d’informations à venir.

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La clientèle institutionnelle de Fiera Capital a une nouvelle cheffe https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/la-clientele-institutionnelle-de-fiera-capital-a-une-nouvelle-cheffe/ Mon, 28 Jul 2025 11:34:04 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108543 NOUVELLES DU MONDE – Sophie Lemieux est promue.

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Fiera Capital a nommé Sophie Lemieux au poste de Cheffe de la clientèle institutionnelle, pour le Québec. Elle occupait auparavant le rôle de co-cheffe pour les clients institutionnels canadiens.

Sophie Lemieux a occupé divers postes dans le secteur financier. Elle a notamment été directrice des relations d’affaires chez Optimum, conseillère en communication et analyste. Elle a également été journaliste-lectrice à la chaîne Argent du Groupe TVA de 2004 à 2016 et a été journaliste et chef d’antenne à LCN et TVA Nouvelles. Elle intervient également comme animatrice de conférences, de panels, de tables rondes et de galas.

Détentrice d’une maîtrise en finance de l’Université Laval, Sophie Lemieux siège au conseil d’administration de la retraite et des avantages sociaux du Québec (ARASQ).

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Partenaires Ninepoint lance de nouvelles séries de FNB https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/partenaires-ninepoint-lance-de-nouvelles-series-de-fnb/ Mon, 28 Jul 2025 11:33:40 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108600 PRODUITS – Celles-ci seront disponibles à la Bourse de Toronto.

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Partenaires Ninepoint lance cinq nouvelles séries de fonds négociés en Bourse (FNB) à la Bourse de Toronto (TSX).

Les investisseurs canadiens peuvent dès à présent investir dans des fonds existants de Partenaires Ninepoint, et ce, grâce à de nouveaux symboles boursiers liés aux séries de FNB récemment inscrites en Bourse.

« Nous sommes ravis de soutenir une plus grande souplesse et une meilleure accessibilité à certaines de nos stratégies bien établies grâce à des séries de FNB », commente James Fox, codirecteur général et associé directeur de Partenaires Ninepoint.

Les investisseurs ont ainsi accès :

  • au Fonds d’infrastructure mondiale Ninepoint (INFR) ;
  • au Fonds aurifère et de minéraux précieux Ninepoint (GLDE) ;
  • au Fonds de lingots d’or Ninepoint (GBUL) ;
  • au Fonds de lingots d’argent Ninepoint (SBUL) ;
  • et au Fonds d’appréciation du capital NinepoinT (NCAP).

« Des infrastructures sensibles à l’inflation et des métaux précieux à la croissance du capital à long terme, ces séries de FNB permettent aux investisseurs d’allouer efficacement le capital en fonction de leurs objectifs de portefeuille et des perspectives du marché », affirme James Fox.

Le INFR propose une exposition mondiale aux sociétés d’infrastructure cotées, un secteur reconnu pour offrir une bonne protection contre l’inflation ainsi que des flux de trésorerie stables.

Le GLDE donne accès à l’or au moyen de solutions d’actions et de lingots, quant au GBUL, il offre une exposition directe aux lingots d’or. Le SBUL expose les investisseurs directement aux lingots d’argent.

Finalement, le NCAP a pour but de faire croître le capital, et ce, en investissant dans des actions sélectionnées en fonction de leur fort potentiel de rendement. Il s’agit d’un portefeuille diversifié exposé à des stratégies alternatives.

Ces cinq séries ont pour but d’offrir des liquidités quotidiennes à leurs investisseurs tout en garantissant une certaine transparence.

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Harbourfront Wealth réalise sa quatrième acquisition en un peu plus d’un an https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/harbourfront-wealth-realise-sa-quatrieme-acquisition-en-un-peu-plus-dun-an/ Mon, 28 Jul 2025 11:32:20 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108718 L’achat de Millar Private Wealth Management ajoute 800 M$ d’actifs.

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Harbourfront Wealth Holdings s’est porté acquéreur de Millar Private Wealth Management, une firme basée à Ottawa qui gère 800 millions de dollars (M$) d’actifs clients.

L’acquisition porte le total des actifs sous administration (ASA) de Harbourfront Wealth, de Vancouver, à 12 milliards de dollars (G$), indique-t-on dans un communiqué.

Il s’agit également de la plus récente d’une série d’acquisitions menée par la firme. En mai dernier, Harbourfront a racheté Harrison & Partners (KJH), une société de gestion de patrimoine et de family office basée à Toronto, dans le cadre d’une acquisition qui devait ajouter 2,2 G$ à ses actifs.

Quelques mois plus tôt, Harbourfront a acheté Rothenberg Wealth Management, de Westmount, au Québec, et Cornerstone Investment Counsel, de Calgary.

« Nous sommes ravis d’annoncer notre quatrième acquisition en un peu plus d’un an », a déclaré Danny Popescu, PDG de Harbourfront Wealth, dans le communiqué.

« Millar Private Wealth est un ajout solide à notre entreprise indépendante et soutient nos plans en cours pour une croissance accélérée et une expansion à travers le Canada. »

Initialement appelée Millar Corporation, Millar Private Wealth a été fondée au milieu des années 1980 par le regretté Jim Millar, qui nourrissait une « passion pour aider les familles à atteindre la sécurité financière », indique le communiqué.

Fraser Thom, président de Millar Private Wealth, a déclaré que l’accord permettrait d’accéder aux ressources et à la technologie de Harbourfront Wealth, ce qui « élèvera l’efficacité de notre service et permettra à notre équipe de travailler encore plus étroitement avec les clients. »

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Le déficit fédéral s’est élevé à 6,5 G$ en avril et en mai https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/le-deficit-federal-sest-eleve-a-65-g-en-avril-et-en-mai/ Mon, 28 Jul 2025 11:31:51 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108720 Il était de 3,8 G$ pour la même période l’an dernier.

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Le gouvernement fédéral a affiché un déficit de 6,5 milliards de dollars (G$) au cours des deux premiers mois de l’exercice.

Ce résultat pour la période d’avril à mai se compare à un déficit de 3,8 G$ pour la même période l’an dernier.

Les recettes ont augmenté de 26 M$, un niveau pratiquement inchangé par rapport à l’exercice précédent.

Les augmentations des droits de douane à l’importation et des produits de la tarification de la pollution à restituer aux Canadiens ont été largement compensées par une diminution des recettes provenant des taxes sur le revenu des sociétés et des taxes sur les produits et services.

Le ministère des Finances indique que les dépenses de programmes, hors pertes actuarielles nettes, ont augmenté de 2,9 G$, soit 4 %.

Les frais de la dette publique ont augmenté de 400 M$, soit 3,8 %, en raison d’une augmentation du stock d’obligations négociables et d’ajustements plus importants de l’Indice des prix à la consommation sur les obligations à rendement réel.

Les pertes actuarielles nettes ont diminué de 600 M$, soit 46,8 %

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Approcher les ultras-fortunés sans changer de modèle d’affaires https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/approcher-les-ultras-fortunes-sans-changer-de-modele-daffaires/ Mon, 28 Jul 2025 11:31:10 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108534 Le conseil est la clé.

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Dans un marché de plus en plus concurrentiel, les conseillers qui veulent croître organiquement doivent repenser leur approche. Il ne s’agit pas d’offrir davantage de services spécialisés, mais plutôt d’adopter une posture stratégique axée sur le conseil. En s’inspirant du modèle de « bureau familial virtuel », ils peuvent conquérir une clientèle fortunée tout en améliorant leur accompagnement global — sans restructurer leur pratique de fond en comble, selon un article d’Advisorpedia.

Le conseil avant tout
Plutôt que de multiplier les recrutements de spécialistes, les conseillers repositionnent leur rôle autour de trois axes majeurs :

  • rehausser le niveau de sophistication de leur offre-conseil,
  • appliquer les méthodes destinées aux UHNW (pour ultra-high-net-worth) à l’ensemble de leur clientèle,
  • et adapter leur modèle de service.

L’approche présente un avantage considérable, selon l’auteur de l’article : elle permet d’offrir des conseils sophistiqués à tous les clients, indépendamment de leur patrimoine. « Le conseil — et non les services — devient le cœur de l’offre », précise-t-il.

Une méthodologie appliquée à tous
L’analyse démontre que le cadre méthodologique utilisé pour les clients très fortunés peut s’appliquer à tous les patrimoines. Chaque famille, quelle que soit sa richesse, nécessite une approche globale qui dépasse la simple gestion de portefeuille.

Cette méthodologie intègre cinq composantes essentielles :

  1. la gestion de l’ensemble de la structure financière (immobilier, placements alternatifs, entreprises privées, assurance),
  2. une gestion des risques robuste,
  3. une vision d’investissement global incluant actifs publics et privés,
  4. la conception de portefeuilles de patrimoine global,
  5. et des solutions patrimoniales holistiques (investissement, assurance, planification successorale forment un tout).

Gérer l’incertitude, pas seulement le risque
Les modèles classiques de planification financière se fondent souvent sur des simulations probabilistes. Mais la vie réelle échappe aux probabilités : perte d’emploi, maladie, ou choc économique ne peuvent être anticipés par un simple questionnaire.

Pour cela, l’arsenal du conseiller doit inclure des stratégies de protection du mode de vie : réserves de liquidité, assurance, diversification, couverture, flexibilité budgétaire. Ces outils renforcent la résilience financière et la crédibilité du conseiller en tant que stratège global.

L’investissement repensé
Le modèle propose également une philosophie d’investissement unifiée pour les marchés publics et privés. Les rendements proviennent de trois sources identifiées :

  • le risque d’entreprise (exposition au marché, facteurs de valeur),
  • le risque construit (illiquidité, levier, produits dérivés),
  • et la compétence des gestionnaires (sélection active, arbitrage).

Cette grille d’analyse permet d’évaluer équitablement tous les actifs, qu’ils soient privés ou publics, et d’intégrer des éléments souvent négligés comme la valeur actualisée du capital humain ou celle de la Sécurité sociale.

Orchestrer sans tout internaliser
Le modèle de bureau familial virtuel repose sur la coordination d’expertises externes autour d’un noyau-conseil solide. Le conseiller demeure le point central, avec quatre leviers principaux :

  • La stratégie : intégrer planification, allocation, risque et patrimoine ;
  • La technologie : agréger les données, y compris les actifs illiquides ;
  • Les partenaires : s’entourer de fiscalistes, notaires, avocats et assureurs ;
  • L’exécution : mettre en œuvre les solutions avec cohérence ;

Ce modèle permet d’offrir une expérience à grande échelle à la clientèle bien nantie, tout en maintenant une pratique flexible et adaptable.

Un modèle accessible
Le marché des plus fortunés n’est pas réservé aux grandes firmes dotées de ressources internes colossales. Les conseillers indépendants peuvent eux aussi tirer leur épingle du jeu, à condition de revoir leur posture : de fournisseur de produits à stratège en patrimoine.

L’approche basée sur le conseil — bien structurée, personnalisée et soutenue par un réseau d’experts — constitue une voie prometteuse pour bâtir des relations solides et capter des segments de marché à fort potentiel.

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