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Une étude française publiée en 2015 a révélé que, chez les femmes, la dépendance à l’alcool se manifeste surtout chez celles qui ont un haut degré de scolarité. Chez les hommes, c’est pourtant le contraire : l’alcoolisme est plutôt lié à un faible niveau d’éducation.

Pas surprenant donc que les femmes qui accèdent à des postes de direction soient particulièrement à risque. Ainsi, parmi toutes les catégories socio-professionnelles étudiées, les femmes cadres présentent le plus haut pourcentage de consommation à risque d’alcool (12 %), devant les ouvrières (8 %) et les employées de bureau (7 %), peut-on lire dans Le Figaro.

Laurence Cottet fait partie de ces femmes dirigeantes qui ont souffert d’alcoolisme pendant de nombreuses années. Après la perte de son mari, celle qui occupait un prestigieux poste de direction dans une grande société d’ingénierie pouvait consommer de deux à trois bouteilles de vin par jour. Après dix ans de dépendance, elle a finalement perdu son emploi lors d’une soirée organisée par l’entreprise, lors de laquelle elle s’est effondrée ivre morte, a-t-elle racontée au quotidien français.

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