PLANÈTE FINANCE - Dans un entretien avec l’Agence France-Presse, l’ex-président de la Banque centrale européenne (BCE), Jean-Claude Trichet, soutient que la situation financière actuelle n’est guère plus rassurante qu’en septembre 2008.
Il est bien connu que pour obtenir un rendement intéressant, il faut s’exposer à un certain niveau de risque. Mais un risque élevé ne signifie pas automatiquement un rendement plus élevé, comme le démontre une analyse publiée sur financial-planning.com.
PLANÈTE FINANCE - Les institutions financières britanniques déploient actuellement des outils de surveillance pour détecter les comportements inappropriés en salle des marchés.
Une récente étude démontre qu’une proportion significative de professionnels qualifiés vivent des situations d’emploi et de revenu précaires. Cela nuit notamment à leur capacité d’épargner pour la retraite.
PLANÈTE FINANCE - UBS, première banque de gestion de fortune de la planète, a déjà déployé l’intelligence artificielle auprès de sa clientèle et en salle de marché. Et elle prévoit de lui donner davantage d’ampleur.
Les gouvernements nord-américains s’apprêtent à engager de lourdes dépenses pour réparer leurs infrastructures. Ces projets devraient bénéficier aux entreprises engagées dans ce secteur.
Les médias sociaux prennent une place de plus en en plus importante dans les relations avec les clients, actuels et potentiels. Certains conseillers ne se contentent plus de faire passer leur message par écrit et utilisent aussi la vidéo.
Un rapport de Richardson GMP souligne le retour de la disparité des performances entre les différentes composantes du marché boursier. Un retour dont les investisseurs devraient se méfier.
Dans un récent article, Financial Advisor IQ se demande pourquoi si peu de femmes souhaitent devenir des professionnelles du conseil financier aux États-Unis. Serait-il possible que plusieurs d’entre elles aient une vision trop négative – et fausse – du métier?
Les taxes de vente frappent désormais la rémunération de gestionnaires de fonds d’investissement. Cette taxation suscite la controverse car elle s’applique à des montants bien difficiles à évaluer, souligne l’avocat fiscaliste François Auger, en entrevue avec Conseiller.