Nombre total de FCP : 87 (y compris Acuity)Fonds dans le premier quartile : 5 sur trois ans ; 6 sur cinq ansFonds 5 étoiles : 4Actif sous gestion au Canada, au détail : 19,8 G$ (y compris les comptes institutionnels et stratégiques et les particuliers bien nantis)
Parmi les 2 950 fonds de base canadiens recensés par Morningstar, certains sont meilleurs que d'autres. Selon une étude récente réalisée aux États-Unis, les fonds de qualité sont pilotés par des gestionnaires qui battent leurs indices de référence au moins trois années sur dix (http://tinyurl.com/q9nxvop). Cette étude montre aussi que le marché est impitoyable, puisque près d'un gestionnaire sur cinq, aux États-Unis, ne souffle pas sa première chandelle. Il est rapidement congédié pour ses mauvaises performances. En soulignant le grand nombre d'échecs lors de la première année, cette recherche fait ressortir que conseillers et clients doivent accepter un risque élevé lorsqu'ils confient des actifs à des nouveaux venus. Selon une autre recherche publiée par les mêmes auteurs en 2012, Peter Lynch a le mieux incarné l'idéal du gestionnaire vedette. Ses rendements ont dépassé ceux de ses pairs et des indices de façon importante, année après année, pendant les 13 ans qu'il a passés à la barre du fonds Fidelity Magellan. La recherche est très convaincante, car elle analyse les rendements de 289 gestionnaires de la fin des années 1920 jusqu'à 2008 (http://tinyurl.com/lgogguv).
Nombre total de FCP : 28Fonds dans le premier quartile : aucun sur trois ans ; aucun sur cinq ansFonds 5 étoiles : aucunActif sous gestion au Canada, au détail : 899 M$
Nombre total de FCP : 89Fonds dans le premier quartile : 9 sur trois ans ; 17 sur cinq ansFonds 5 étoiles : 3Actif sous gestion au Canada, au détail : 18,6 G$
De nombreux observateurs craignent que l'entrée en vigueur de la deuxième phase du Modèle de relation client-conseiller (MRCC 2) ne vienne ébranler la profession de conseiller, en nuisant surtout à ceux qui sont en début de carrière.On craint particulièrement la réaction des clients lorsqu'ils prendront connaissance des coûts de leurs produits financiers et de la rémunération de leurs conseillers. En effet, le MRCC 2 prévoit qu'à partir de juillet 2016, les épargnants devront recevoir des états de compte chiffrant ces coûts, au dollar près.
Nombre total de FCP : 98Fonds dans le premier quartile : 17 sur trois ans ; 18 sur cinq ansFonds 5 étoiles : 3Actif sous gestion au Canada, au détail : 43,8 G$
L'année 2013 a été généreuse envers l'industrie des fonds communs de placement (FCP).Selon les statistiques de l'Institut des fonds d'investissement du Canada (IFIC), les ventes nettes ont atteint 41,9 G$ lors de la dernière année. L'industrie a également atteint le jalon historique du millier de milliards de dollars d'actif sous gestion, soit le billion.Au 31 juillet, les Canadiens avaient d'ailleurs accumulé 1,1 billion de dollars dans des FCP.Or, la croissance semble loin d'être terminée, puisqu'il reste beaucoup de territoires à conquérir. Par exemple, selon une recherche émise en janvier 2014 par Investor Economics et citée par Placements CI dans son dernier rapport annuel, les Canadiens détiennent plus de 940 G$ en dépôts liquides, rémunérés à un taux moyen de 1,17 %.
Les conseillers doivent faire valoir la spécificité de leurs services, sinon ils risquent de devoir trouver un nouvel emploi.Plus que jamais, les conseillers doivent bien expliquer à leur clientèle en quoi leurs services constituent une valeur ajoutée. Sinon, ils risquent de perdre des clients à la suite de l'entrée en vigueur de la deuxième phase du Modèle de relation client-conseiller (MRCC 2).
Nombre total de FCP : 15Fonds dans le premier quartile : 1 sur trois ans ; s. o. sur cinq ans (en raison de la date de création)Fonds 5 étoiles : aucunActif sous gestion au Canada, au détail : 887 M$
Les 90 premiers jours dans un nouveau poste sont décisifs. Tous les gestes passent sous la loupe des nouveaux collègues, patrons et employés qui ont des attentes élevées. Afin de remporter l'épreuve, l'auteur dit qu'il faut établir sa crédibilité grâce à une série de petits gains rapides ; construire sa propre équipe en évitant l'erreur de conserver trop longtemps l'équipe en place ; forger des alliances ; fixer ses limites afin de garder son équilibre ; et surtout, gagner la confiance de son patron, l'élément clé de la réussite. Il faut, ajoute-t-il, investir du temps et de l'énergie afin de comprendre la culture d'entreprise et les jeux de pouvoir, afin d'éviter les pièges et de saisir ce qui s'y passe. Bien écrit, bien traduit, le livre comporte des outils d'autoévaluation.Michael D. Watkins, 90 jours pour réussir sa prise de poste, Montréal, Les Éditions Transcontinental et Les Affaires, 2014, 275 p.