Le conseiller agissait alors à l’insu de son employeur, un courtier en valeurs mobilières. Il a également reconnu, selon le document, avoir induit en erreur son employeur « en répondant à la négatives aux questions posées dans les déclarations annuelles que ce dernier lui a demandé de compléter », ce qui constitue une contravention au règlement de l’OCRCVM.

Syndney Azancot à reconnu ces deux infractions. Pour ces gestes, il devra payer une amende de 15 000 $ et une autre de 3 000 $ au titre des frais de l’OCRCVM. L’enquête sur le conseiller avait été ouverte en avril 2013. Il n’est plus inscrit comme représentant auprès de l’OCRCVM.