Vers la fin des «temps partiels» ?
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Le sondage, tenu dans le cadre du Mois de la littératie financière et de la septième Semaine de la planification financière organisée par l’Institut québécois de planification financière (IQPF) et le Financial Planning Standards Council (FPSC), démontre aussi que 66 % des répondants estiment avoir besoin d’aide pour parvenir planifier adéquatement leur avenir financier.

« Si les chiffres se maintiennent sur le plan des besoins et de la méconnaissance du public quant à la planification de leur avenir financier, la reconnaissance de l’expertise du planificateur financier et des services qu’il offre a connu une hausse significative comparativement à l’an dernier », affirme Jocelyne Houle-LeSarge, présidente-directrice générale de l’IQPF.

« Cette année, c’est 89 % des Québécois qui savent que le planificateur financier peut les aider en matière de placements alors qu’on était à 84 % l’an dernier. Pour l’aspect « finances », c’est passé de 72 % à 80 % et en fiscalité, de 52 % à 59 %. De plus, sur les questions de succession, les chiffres passent de 43 % à 48 %; dans le cas des assurances ils augmentent de 38 à 45 % et pour ce qui est des aspects légaux, nous faisons un remarquable bond de 31 % à 45 % », ajoute-t-elle.

Le sondage réalisé par SOM a été effectué via Internet entre le 27 octobre et le 1er novembre 2015 auprès de 1 011 adultes québécois.