La «maladies graves» comme placement
BMO Assurance suggère aux conseillers de présenter à leurs clients l’assurance maladies graves comme un «placement sensé». L’assureur illustre cette proposition par un scénario impliquant un homme de 38 ans qui a une assurance vie. Il reçoit un remboursement d’impôt de 1 700 $ (une part de 60 % des déclarations de revenus engendre un remboursement d’impôt moyen de 1 695 $). À cette occasion, son conseiller lui propose l’achat de deux polices Prestation du vivant de BMO avec avenants de remboursement de primes. Elles couvrent 25 problèmes médicaux, y compris la perte d’autonomie. La première, Prestation du vivant à 75 ans avec remboursement des primes à la résiliation à partir du 75e anniversaire, comporte une protection de 50 000 $ et une prime annuelle de 951 $. La seconde, Prestation du vivant à 100 ans avec remboursement des primes au décès ou remboursement des primes à la résiliation au 20e anniversaire, est dotée d’une couverture de 25 000 $ et d’une prime annuelle de 539 $. À 65 ans, le client pourrait ainsi toucher les 25 677 $ en primes payées de sa première police. Et avec cela, il pourrait s’offrir la prime annuelle de sa Prestation du vivant à 100 ans, investir le reste ou s’acheter une rente.
- Par : Jean-François Barbe
- Source : Finance et Investissement
- 1 octobre 2016 1 octobre 2016
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