De plus, 13 % des répondants croient que les droits de cotisation inutilisés sont perdus après la fin de l’année d’imposition en cours, alors qu’en fait, ils sont reportés et s’accumulent au fil des ans.

« Les investisseurs risquent de renoncer à beaucoup d’argent s’ils ne comprennent pas pleinement les options de placement et les incidences fiscales liées aux CELI, a commenté Jamie Golombek, directeur gestionnaire, Planification fiscale et successorale, Services consultatifs de gestion de patrimoine CIBC. L’optimisation des cotisations à un CELI procure des avantages fiscaux. »

Les Canadiens ignorent aussi ce qu’ils peuvent détenir dans leur CELI. Ainsi, 22 % des répondants disent pouvoir détenir des actions de sociétés cotées en Bourse, 28 % des certificats de placements garantis, 29 % des fonds communs et 23 % des obligations. Un Canadien sur deux, soit 50 %, avoue ne pas être certain de ce qu’il peut mettre dans son CELI.

Quarante pour cent des Canadiens affirment ne pas avoir consulté un spécialiste en services financiers au sujet du CELI parce qu’ils n’en ont « pas besoin ». La même proportion, soit 40 %, disent qu’ils n’ont pas consulté un professionnel, mais qu’ils devraient le faire. Seulement un Canadien sur cinq soutient avoir consulté un conseiller au sujet de son CELI.

Ce sondage a été mené en ligne auprès de 3 011 Canadiens adultes. La marge d’erreur, qui mesure la variabilité d’échantillonnage, est de +/- 1,79 %, 19 fois sur 20.