Le Québec financier en chiffres

Avant d’être assermenté comme député de la circonscription de Robert-Baldwin, Carlos Leitao était chef économiste de Valeurs mobilières Banque Laurentienne depuis 2004. Il avait entre autres auparavant travaillé pour la Banque Royale. En 2008, il avait été classé au deuxième rang des meilleurs économistes au monde selon un palmarès Bloomberg. Il détient un baccalauréat en sciences économiques de l’Université McGill.

Le nouveau président du Conseil du trésor et député de Nelligan, Martin Coiteux est titulaire d’un baccalauréat en sciences économiques de l’Université de Sherbrooke, d’une maîtrise en sciences économiques de Queen’s University et d’un doctorat en économie internationale de l’Institut universitaire de hautes études internationales de Genève. Il a d’ailleurs enseigné l’économie et les affaires internationales à HEC Montréal pendant 20 ans avant d’obtenir le poste de représentant principal de la Banque du Canada pour la région de Québec en 2012. Martin Coiteux devient aussi ministre responsable de l’administration gouvernementale et de la révision permanente des programmes.

En ce qui a trait au ministre de l’Économie, de l’Innovation et des Exportations. Jacques Daoust et député de Verdun est l’ancien président d’Investissement Québec qu’il a dirigé de 2006 à 2013. Il a entre autres occupé des postes de direction à la Banque Nationale et de la Banque Laurentienne. Il détient un baccalauréat des arts de l’Université de Montréal, un baccalauréat en administration des affaires de HEC Montréal et une maitrise en administration des affaires (MBA) de l’Université Laval. Il possède notamment un brevet (fellow) de l’Institut des banquiers canadiens, de courtier en valeurs de plein exercice, de planificateur financier, de conseiller en valeurs de plein exercice et de dirigeant pour le compte d’un courtier de plein exercice.

Dans son discours, Philippe Couillard a notamment mentionné que Carlos Leitao serait responsable de « rétablir l’équilibre budgétaire afin d’éventuellement porter le surplus sur la dette » et de mettre en place « une réforme de la fiscalité des particuliers et des entreprises ». Le premier ministre a dit que son conseil serait celui de « l’économie et du redressement ».