Dans un rapport provisoire publié lundi, l’organisme fédéral rappelle que « presque tout ce que nous faisons » dépend du secteur des services financiers, qui est « un pilier de l’économie canadienne ». Afin d’« examiner l’impact concurrentiel de ces nouvelles technologies qui changent la façon dont les Canadiens accèdent aux produits et services financiers et les utilisent », il a donc lancé une étude de marché sur cette question au printemps 2016.

Un an et demi plus tard, le constat du Bureau est qu’« une multitude de technologies novatrices ont fait leur apparition dernièrement pour offrir de nouveaux moyens d’accéder aux services financiers ». Par ailleurs, il estime que « l’introduction de produits novateurs est l’occasion d’accroître la concurrence dans le secteur » et que, « lorsqu’il y a une plus grande concurrence, on constate généralement une baisse des prix, ainsi qu’une augmentation du choix et de la commodité pour les consommateurs ».

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