Dans le rapport de l’institution financière, les chercheurs affirment que les prix des maisons de la ville britanno-colombienne avaient grimpé à des niveaux incohérents par rapport aux facteurs économiques locaux.

Selon le document, le risque d’une bulle immobilière est plus grand à Vancouver que dans d’autres marchés à prix élevés tels que Londres, Hong Kong et Sydney, en Australie.

L’étude a été menée avant l’entrée en vigueur, le mois dernier, d’une taxe de 15 % pour les acheteurs étrangers dans la région métropolitaine de Vancouver.

La semaine dernière, le gouvernement de la Colombie-Britannique a indiqué que les transactions immobilières réalisées par des acheteurs étrangers avaient chuté à 60 entre le 2 août et le 31 août. Elles s’étaient chiffrées à 1974 unités entre le 10 juin et le 1er août.