Des allocateurs d'actifs américains à Montréal pour rencontrer des gestionnaires émergents
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Toronto a pour sa part intégré le top 10, étant passé du 13e au 10e rang depuis un an. Londres conserve la pole position de ce palmarès publié depuis 2007, devant New York et trois villes asiatiques, Singapour, Hong Kong et Tokyo. Malgré leurs positions en tête de classement, Londres et New York ont perdu des points dans la foulée du Brexit et de l’élection américaine, réduisant ainsi l’écart entre Singapour et ces deux capitales financières.

Le classement est compilé en tenant compte d’une centaine de données, provenant notamment de la Banque Mondiale et de l’OCDE, qui sont regroupés sous cinq composantes principales : l’environnement d’affaires, les ressources humaines, les infrastructures, le développement du secteur et sa réputation.

La région du Grand Montréal regroupe près de 100 000 emplois en finance au sein de quelque 3 000 entreprises, 25 000 spécialistes financiers et près de 2 500 professionnels membres de l’Association CFA Montréal, fait valoir l’organisme Montréal International, en précisant que l’émergence des technologies financières (fintech) présente des occasions de développement pour l’industrie.

Selon un palmarès dévoilé en janvier par la même firme Z/Yen, Montréal occupait le 13e échelon des principaux centres de fintech au monde, tout juste derrière Vancouver, tandis que Toronto accaparait le 5e rang.