L’institution financière a dévoilé mardi un bénéfice net de 1,19 milliard de dollars (G$), ou 1,86 $ par action, ainsi qu’un bénéfice ajusté de 1,23 million de dollars (M$), ou 1,86 $ par action.

De leur côté, les revenus se sont établis à 4,826 G$.

La banque a souligné que ses services aux particuliers et aux entreprises ont généré un bénéfice net de 556 M$, soit près de la moitié du profit trimestriel, ce qui représente une progression de 6 % par rapport à la même période l’an dernier.

Les profits de ses activités aux États-Unis ont bondi de 38 % pour s’établir à 222 M$. Les revenus sont demeurés stables alors que la Banque de Montréal a été en mesure de contrôler ses coûts et réduire ses pertes sur créances.

Dans le secteur de la gestion de patrimoine, le bénéfice net s’est établi à 210 M$, en hausse de 11 % par rapport au troisième trimestre l’an dernier, alors que du côté des marchés des capitaux, les profits ont glissé de 11 %, à 273 M$.

Cette baisse découle principalement de l’accroissement des charges et de la dotation à la provision pour pertes sur créances.

« Notre rendement témoigne de l’avantage que procure la diversification de nos activités et confirme que les investissements que nous avons faits génèrent de la croissance tout en nous permettant de suivre le rythme d’une nouvelle génération de clients », a souligné le chef de la direction de la BMO, Bill Downe, par voie de communiqué.