Le bénéfice dilué par action a été de 1,85 $, en hausse de 0,19 $ ou de 11 % par rapport à 1,66 $ au 1er trimestre de l’an dernier.

Cependant, comparativement au premier trimestre de l’exercice en cours, le bénéfice net de la Banque Royale a reculé de 218 M$, ou de 7 %.

L’institution estime que les résultats du deuxième trimestre reflètent les bénéfices élevés des secteurs Marchés des Capitaux, Services aux investisseurs et de trésorerie et Gestion de patrimoine ainsi qu’un bénéfice solide dans le secteur Services bancaires aux particuliers et aux entreprises.

Le bénéfice net du secteur Gestion de patrimoine s’est établi à 431 M$, en hausse de 45 M$, ou 12 %, par rapport à un an plus tôt, en raison surtout de l’augmentation du bénéfice attribuable à la croissance de la moyenne des actifs liés aux services tarifés des clients qui a bénéficié de marchés boursiers favorables, et en raison de l’augmentation du revenu net d’intérêt résultant de la croissance des volumes et de la hausse des taux d’intérêt aux États-Unis. Ces facteurs ont été atténués par l’augmentation de la rémunération variable découlant de l’amélioration des résultats et par la hausse des coûts liés à la croissance des activités.

Dave McKay, président et chef de la direction, précise que le bénéfice net de 2,8 G$ témoigne de la forte croissance de la plupart des secteurs et de la gestion prudente des risques.

M. McKay se dit aussi très satisfait de la performance du premier semestre de l’exercice 2017, malgré un contexte d’exploitation incertain.

La Banque Royale du Canada a déclaré un dividende trimestriel sur ses actions ordinaires de 0,87 $ par action. Le dividende sera versé le ou après le 24 août 2017 aux actionnaires ordinaires inscrits à la fermeture des bureaux le 26 juillet 2017.

Avec la Presse Canadienne