L’institution financière prévoit également offrir des retraites anticipées ainsi que des réaffectations à 300 autres employés, ce qui fait grimper à 900 le nombre de postes touchés par cette décision annoncée jeudi.

Elle prévoit inscrire une charge de restructuration de 128 millions de dollars (M$) après impôt, ou 38 cents par action, au quatrième trimestre de son exercice se terminant le 31 octobre.

La Banque Nationale, qui divulguera ses résultats du quatrième trimestre le 2 décembre, estime que cette restructuration lui permettra d’économiser annuellement 120 M$ avant impôt.

Selon ses plus récents documents financiers datant du 31 juillet, la sixième banque en importance au pays comptait 19 860 employés au Canada et 1871 à l’extérieur du pays.

Malgré les licenciements, la Banque Nationale dit avoir 500 postes à pourvoir dans des secteurs comme celui des technologies, de la vente ainsi que des services.

En entrevue l’an dernier à Finance et Investissement, Diane Giard, première vice-présidente à la direction, particuliers et entreprise, à la Banque Nationale, parlait de manque « d’appariement entre les postes offerts et les postes qui doivent être éliminés ».